Le lundi matin en me promenant en ville je rencontre Alex l’agent de police municipale avec qui j’ai eue une petite relation sexuelle pour faire passer une histoire de stationnement interdit pour ma voiture et aussi parce que j’en avais envie.
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Il m’explique ce qu’ils attendent des femmes et me demande si je suis intéressée.
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<<à un moment, excités comme des animaux vous allez nous sauter dessus>>.
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Nous discutons longtemps puis comme d’habitude et bien que je sache comment ça va se terminer je me laisse fléchir, je promets d’en parler à mon amie Manon qui je le sais sera intéressée.
Manon est d’accord pour participer surtout une fois que je lui expose mon plan.
J’ai une idée en tête et comme j’ai du temps avant l’évènement je me mets en quête d’une caméra miniature avec vision nocturne.
Je trouve mon bonheur sur internet.
Cela ressemble à une batterie de secours, elle a une bonne autonomie et je l’équipe d’une carte mémoire largement suffisante pour ce que je veux en faire.
Je la fixe dans mon sac à main en veillant à ne pas cacher le champ de vision de l’objectif.
Le jour fatidique arrive, la veille comme je l’avais demandé à Alex l’agent de police je reçois une convocation disant que je dois me rendre rapidement au poste pour une affaire importante qui me concerne: je serais responsable d’un accident grave avec délit de fuite.
Malheureusement au dernier moment mon amie Manon a un imprévu et ne peut pas venir, cela me contrarie.
Pour compléter la tenue que je possède déjà et qui me sert quand je réveillonne en tête à tête avec mon mari, j’ai fait les magasins pout trouver les vêtements adaptés.
Avant de sortir de chez moi je revêts le déguisement rouge de mère noël.
Soutien-gorge et string assortis, maillot ajusté qui fait ressortir ma poitrine, jupe agrémentée de fausse fourrure avec en dessous pour l’occasion un jupon blanc qui dépasse de la jupe avec dans le bas de la dentelle, veste assortie à la jupe, une ceinture large noire à la taille, bas autofixant blancs et pour finir des bottes noires et des gants blancs.
Je ne suis pas très rassurée en allant à la petite fête.
J’arrive devant le poste de police, je filme l’entrée principale puis je frappe à la porte.
A l’intérieur je suis accueillie par Alex.
Avec ses collègues, ils ne sont pas cinq mais sept ce qui commence à faire beaucoup.
Sur des bureaux sont disposés diverses boissons et plusieurs sortes de gâteaux.
Ils n’ont pas perdu de temps pour commencer à boire et sont déjà bien chauds.
Les décorations de fête ne manquent pas dans la salle.
Je pose mon sac à main sur un meuble classeur en faisant en sorte que l’objectif de la caméra balaie au maximum la pièce.
Je me retrouve menottée et assise sur une chaise pendant qu’à plusieurs ils m’interrogent sur le présumé délit que j’aurais commis.
Ils font ça avec sérieux et s’excitent de plus en plus, je nie les faits mais ils se montrent insistants concernant les accusations, la situation me paraît étrange et je ne suis pas à l’aise.
Ils finissent par me proposer un marché: ils oublient l’infraction si je me montre gentille et leur fais un striptease.
Je me fais prier pendant un moment puis j’accepte mais c’est eux qui doivent me déshabiller.
Après avoir bu plusieurs verres de champagne et parlé, surtout de sexe, avec les hommes l’appréhension m’a quittée.
Ils s’impatientent et commencent à tourner autour de moi et à me peloter.
Je m’installe sur les genoux d’un homme qui est assis sur une chaise, je passe un bras autour de son cou et avec ma main libre je caresse ses joues.
Il reste plus ou moins figé, je pose mes lèvres sur les siennes et lui donne un baiser.
Ses collègues l’encouragent à ne pas être timide et il me débarrasse du bonnet.
Je me lève et vais m’asseoir sur les genoux d’un autre agent.
Le déshabillage continue, une fois mes gants enlevés lentement je caresse son visage.
Après que je l’aie embrassé sur les lèvres il retire ma ceinture.
Je me colle et me frotte contre un troisième homme qui est debout, il ne perd pas de temps et me déleste de la veste.
Passant à un autre, il enlève maladroitement mon chemisier, je me recule quand il commence à me peloter.
Puis le suivant dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds.
Ensuite je me dirige vers un autre assis sur une chaise, je lève une jambe et met le pied sur ses genoux pour qu’il m’enlève une botte puis j’en fais autant pour l’autre pied afin qu’il me retire l’autre botte.
Ensuite je me retrouve délestée du jupon par un agent qui se trouve debout derrière moi.
Assise sur une chaise deux participants font glisser maladroitement mes bas le long de mes jambes pour les retirer, ils tirent dessus avant de comprendre que c’est plus facile en les roulant.
Pendant les différentes phases de déshabillage ils commentent, sifflent et rient.
L’ambiance est montée très rapidement dans la pièce.
Quand il ne me reste plus que le string et le soutien-gorge je me désintéresse d’eux et je vais boire un verre les laissant loucher sur mon corps.
Ils sont chauds, même très chauds et en me frottant contre eux j’ai pu constater aux bosses dans les pantalons qu’ils sont tous en érection.
Je bois en prenant mon temps tout en tournant sur moi même histoire de les exciter encore.
Enervés et impatients ils viennent s’agglutiner autour de moi et rapidement je me retrouve nue.
Comme je l’avais prévu la petite fête dégénère.
Ils se bousculent plus ou moins collés à moi et me pelotent partout.
On m’embrasse, je mêle ma langue à celles qui pénètrent ma bouche.
Des doigts fouillent mon intimité et mon anus.
Ils me saisissent à plusieurs, me soulèvent et m’allongent sur des bureaux rassemblés côte à côte.
Ils ont tous mis leur sexe à l’air en ouvrant leur pantalon ou en le retirant et ils n’ont pas besoin de mon aide pour être en érection.
Il me pelotent partout, écartent mes cuisses et des doigts s’enfoncent dans mon intimité et s’y agitent.
C’est la bousculade, chacun veut être le premier à utiliser mon corps, ça ne m’est pas facile de les calmer un peu, je ne contrôle plus rien.
Deux hommes montent sur les bureaux, je me retrouve à genoux, je lèche puis suce la queue que l’un présente devant ma bouche pendant que l’autre à genoux derrière moi pénètre ma chatte.
Comme ils ne tiennent pas longtemps avant d’éjaculer ils sont vite remplacés, c’est un défilé de queues qui se succèdent rapidement dans ma bouche et ma chatte y laissant leur semence.
Même si j’avale ce que je peux du sperme une partie coule sur mon menton quand ils retirent trop rapidement leur pénis de ma bouche.
Une fois qu’ils se sont soulagés chacun une fois ils sont un peu plus calmes sans être assouvis.
Ils me couchent sur le dos et un premier homme s’allonge sur moi et me pénètre pendant qu’avec mes mains et ma bouche j’entretiens l’érection de ceux qui attendent que mon intimité soit disponible.
Il donne des coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans mon intimité pendant un moment puis avec des tressauts son membre envoie des giclées de semence dans mon vagin.
Soulagé il se retire puis un de ses collègues le remplace et me défonce jusqu’à ce qu’il éjacule lui aussi dans mon corps.
Les pénétrations se succèdent, les va-et-vient des pénis dans ma grotte inondée durent plus longtemps.
Je mouille de plus en plus et le plaisir monte dans mon ventre et à un moment je suis prise de spasmes j’ai un orgasme ce qui entraîne des commentaires.
Les aller-retour des queues dans ma chatte continuent pendant un moment et j’éprouve toujours beaucoup de plaisir.
Un homme qui me prend à son tour replie et relève mes jambes puis présente sa verge entre mes fesses et en s’aidant de ses doigts la positionne contre mon anus, les mains cramponnées à mes hanches il pèse de tout son poids pour l’enfoncer à l’intérieur.
Avec les coups de reins qu’il donne en me sodomisant mon corps se déplace et c’est lui qui imprime les va-et-vient de ma bouche sur la queue que je suis en train de sucer.
Les pénis se succèdent dans mon anus ou mon intimité.
A force de me faire défoncer le plaisir dans mon ventre devient intolérable et prise de spasmes j’ai de nouveau un orgasme, la cyprine qui gicle de mon vagin arrose le bureau sur lequel je suis allongée et vient s’ajouter au sperme qui coule entre mes fesses.
Quand un peu plus tard je jouis de nouveau, ils décident de me changer de position.
Toujours allongée sur les bureaux mes jambes écartées pendent dans le vide, celui qui veut me prendre se tient debout au bord du bureau avec les mains agrippées à mes cuisses, il me tire vers lui afin que mon sexe soit au bord du bureau.
Son pénis s’enfonce dans ma chatte et y fait des aller-retour pendant un moment avant de s’y agiter et d’y déverser sa semence.
Les queues qui me défoncent de plus en plus longtemps se succèdent dans mon intimité et dans mon anus, elles n’en sortant qu’après y avoir déversé leur sperme.
Ils ne prêtent pas attention à mes gémissements et n’ont pas besoin de se préoccuper de moi quand je jouis, car même si mon corps remue sous l’effet du plaisir, je reste pratiquement en place.
Avec la mouillure et le sperme qui s’échappent de mes orifices ceux qui ont gardé leur pantalon sont bons pour le faire nettoyer.
Les hommes montent sur les bureaux pour que je remette leurs membres gluants en forme en les masturbant ou en leur faisant une fellation, ils en profitent pour peloter mes seins et martyriser les tétons.
Un homme s’est allongé sur le dos, je me retrouve couchée sur lui et après avoir tatonné il introduit sa queue dans mon intimité, je sens une présence derrière moi, un corps se colle contre moi et un pénis se déplace entre mes fesses puis bute contre mon anus avant de s’enfoncer à l’intérieur.
Les deux hommes font aller et venir leur membre en moi surtout celui qui me sodomise et donne de bons coups de reins.
Je n’ai plus qu’à subir et prendre du plaisir.
Je suis de plus en plus sensible aux sensations que me procurent les va-et-vient des verges dans ma chatte et mon anus et qui donnent presque l’impression de s’activer dans le même orifice vu la faible épaisseur de chair entre le vagin et le cul.
Je ferme les yeux et recommence à gémir pendant le plaisir ne quitte plus mon ventre.
Cette façon de me prendre fait qu’ils s’excitent sans avoir besoin de moi.
Ils me défoncent de plus en plus longtemps avant de jouir.
Le plaisir que je ressens reste à son maximum, mes orgasmes deviennent de plus en plus rapprochés et ma lucidité s’envole petit à petit.
Mes gémissements et plaintes ne font que les exciter, maintenant ceux qui bandent encore se remplacent sans éjaculer ce qui n’arrange pas mon état et les jouissances me fatiguent.
Enfin ils décident d’en finir et ne se retiennent plus quand l’envie de jouir arrive.
Un dernier homme, encore en forme, me sodomise pendant un bon moment avant de se soulager dans mon cul pendant que la queue d’un de ses collègues qui est resté sous moi, après avoir joui une dernière fois, a débandée et est sortie de mon intimité dégoulinante de sperme et de mouillure.
Je reste inerte un moment avant de reprendre un peu mes esprits.
J’ai du sperme partout sur mon corps et ce n’est pas avec les serviettes en papier qu’ils me tendent que je peux me nettoyer correctement.
Je me rhabille et les quitte après avoir bu encore du champagne et mangé des gateaux.
Ils me remettent une enveloppe qui contient l’argent que chacun des agents a mis en compensation de mes faveurs sexuelles.
Je sors du poste et je rentre chez moi, j’ai les jambes molles et la démarche mal assurée.
Pour éliminer toute trace de sperme je me douche et prends un bain ce qui me fait un bien fou.
Le lendemain de la fête je rencontre un des agents qui a participé aux ébats sexuels.
Il me regarde avec un sourire narquois aux lèvres et me sort des propos graveleux, il ne s’attend pas à ce qui va suivre.
Je m’approche de lui et lui tends un papier.
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Il lit ce que j’ai écrit.
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Je lui donne une carte SD sur laquelle j’ai enregistré plusieurs séquences ou on les voit dans des positions très gênantes pour eux.
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IL palit.
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Le sourire narquois a quitté ses lèvres, maintenant son visage révèle l’inquiétude pour ne pas dire la peur.
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Il me quitte décontenancé et la mine déconfite, il ne peut pas savoir que vis à vis de mon mari je ne peux pas ébruiter cette histoire.
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