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Cet été en plain air

Cet été en plain air



Cet été en plein air.

C’était une nuit chaude comme d’habitude en cette période de l’année. Et qui dit moite dit aussi chaud du cul.
Connaissant un parking en plein air où les mecs vont la nuit tombée pour se soulager, je me suis dit que pourquoi ne pas aller y faire un tour.
Quand je suis arrivé il y avait déjà du monde, il y en a toute la nuit. Mais là les gens étaient plus excités que d’habitude. On le sentait. J’avais loué un grand 4×4 comme ça je pouvais aller partout avec. Même du côté un peu plus inaccessible du parking, ou les gens se retiraient pour baiser tranquillement sans être dérangés. J’ai tout de suite repéré 2 voitures dans cette partie là, un gars en chemise blanche et pantalon sombre, et un autre devant lui à genoux en train de lui bouffer la teub. Pas mal excitante comme scène, mais je ne voulais pas les déranger et encore moins vu la quantité de voitures dans le parking. Du coup j’ai fait demi tour et je me suis garé plus loin. Mais en gardant un oeil sur eux. Leur plan me titillait bien.
Peu de temps plus tard je les vois rentrer chaqu’un dans leur voiture et l’un d’entre eux partir, l’autre revint vers là où je me trouvais. En plus c’etait le gars en chemise, qui vu de près était encore plus bandant, petit bouc, cheveux cours, look très latin et très cho. Il se gare à côté de ma voiture et descend fumer sa clope.
Rien que de le voir à côté j’avais la gaule. Mais je le laisse fumer tranquile en le matant et me caressant la queue par dessus mes shorts, sans sous vêtements en dessous.
Il a pas tardé à venir se mettre à côté de moi et faire comme moi, juste histoire de voir si je restais ou pas. De suite il est passé à me caresser par dessus mon short et en voyant que je bandais dur, il l’a sortie et se l’ai mise direct dans la bouche, bien chaude et humide, j’en ai eu des frissons et il l’a bien ressenti.
Des voitures et des gens allaient et venaient et j’avais sincèrement envie de ce beau mâle rien que pour moi. Alors je lui ai proposé de partir plus loin. Il a accepté immédiatement.
Nous sommes allés là où il était avant, et rien qu’en descendant de la voiture il m’enleva le short et le tshirt, me laissant à poil devant ma voiture. Il se mis à genoux devant moi et commença à me sucer avec envie. Je peux dire que même si j’étais resté là où il y avait du monde j’aurais quand même gémis comme un dingue tellement le gars s’y prenais bien et qu’il m’excitait.
Il avait sa chemise ouverte et plus de pantalon, son torse poilu et musclé devant moi, il me caressait les fesses en même temps que sa langue mon gland, ses doigts jouaient autour de ma rondelle. Il écartait mes fesses et laissait parfois sa langue aller un peu plus bas que m couilles. Soudain il se releva, j’en profite pour aller le sucer et mettre mon cul bien à sa disposition pour son bon désir, mais il a une autre idée en tête.
Il me relève et me pousse gentil mais décidément vers l’avant de ma voiture. Il me lève pour m’asseoir sur le capot de la voiture et écarte mes jambes sur mes épaules pour avoir un meilleur accès aussi bien a ma queue qu’a mon trou. Il les bouffe goulûment en émettant des grognements de plaisir. Il me lubrifie la zone complètement et voyant et entendant mon plaisir intense il me remet debout et me demande si cela me plait.
« Je mouille de partout tellement tu m’excites » je lui répond.
« Veux tu que je continue ou tu en as assez? »
Non, vas y, fais comme tu en as envie… » je lui soupire.
« Alors je vais te bouffer le cul jusqu’à ce que tu n’en puisses plus, j’adore les petits culs poilus qui aiment se faire lécher. Et ta queue aussi elle en redemande »
Sitôt dit sitôt fait, je suis à nouveau allongé sur le dos, sur la voiture, mon cul et ma queue à la hauteur de sa bouche, pour un plaisir mutuel. Il me le fait savoir avec ses gémissements étouffés dans mes parties intimes. Je tremble tellement j’ai du plaisir et tellement il s’y prend bien. Mais soudain il me fait redescendre et me retourner, complètement nu, il me serre contre lui et me fais sentir sa gaule, dur comme du bois, et chaud et humide aussi. Je sens les poils de son torse contre mon dos, il est couvert de sueur, moi aussi, je vibre et je me laisse aller.
Il n’a même pas besoin de guider sa queue, grosse et bien dressée, pointant vers mon trou, lubrifié au maximum. Il effleure ma rondelle et je gemis en me mordant les lèvres, il pousse un peu, je cède, je me laisse aller, je gémis fort pendant que tout son morceau fait chemin en moi. Il s’arrête, ressort et me chuchote « putain, ton trou est trop bon, il est chaud et bien ouvert, tu veux mon jus? »
« Mmmh, te retiens pas, baise moi, défonce moi »
Il reprend, comme avant mais juste un peu plus vite, arrivé au fond il s’arrête, je sens sa queue donner des coups dedans, mes jambes tremblent mais il me tient, il me serre contre lui. Il entreprend un léger va et vient, mais je suis trop excité, je gémis « je jouis… » et ma queue commence à envoyer des giclées de foutre partout, il en prend une avec la main, la goûte et me la met dans la bouche. A ce moment je le sens trembler et grogner, sa queue s’agite dans mes entrailles et me remplit de chaleur. Il jouit, il pousse, il m’envoie sa purée dedans. Il me serre fort, je continue à gicler, je me branle pour finir les dernières goutes, tout comme lui dans mon cul.
Il respire fort, épuisé, transpirant de plaisir, tout comme moi. Il se retire, me retourne et m’embrasse. Je suis à lui. Je me laisse faire, son jus coule le long de mes cuisses, mêlé au mien. J’ai adoré, me dit il. Je lui répond que moi aussi.

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