Cela la travailla toute la semaine, elle tenta d’occuper son esprit de plusieurs manières mais rien n’y faisait. Elle dut se masturber plusieurs fois et parfois en des lieux incongrus pour calmer sa libido en pleine recrudescence. Elle devait se rendre à l’évidence, malgré la folie que cela représentait, c’était sa seule solution. Le lundi soir elle trouva sa fille dans sa chambre en train de faire ses devoirs.
« -Marlène, je peux te parler deux minutes ? »
« -Bien sûr maman. »
« -Voila, j’ai repensé à tout ce que tu m’avais dit l’autre jour… »
« -Oui… »
« -Mon dieu, comme c’est gênant de te parler de ça. Je suis folle, oublie tout ça. » Bafouilla Béatrice en se retournant pour quitter la pièce.
« -Maman, ne pars pas, ne soit pas gênée avec moi. Parle je t’en prie. » Béatrice resta un moment figée dos à sa fille, le regard baissé. Elle ne bougea pas d’une once quand elle reprit.
« -Je, je veux bien faire ce que tu m’as proposé. »
« -Tu as envie de faire l’amour avec Damien, c’est bien ça ? » lui demanda sa fille en saisissant sa main.
« -Oui. Mais seulement si tu es totalement d’accord. » Répondit-elle en se retournant.
« -Mais oui, bien sûr maman chérie. Comme je suis contente, tu vas voir ça va être si bon. » Lui dit-elle en la prenant dans ses bras.
Le mardi fut plein d’excitation, sa fille lui avait dit qu’elle en parlerait à Damien pour le faire dés mercredi. La journée lui parut interminable et quand enfin le soir arriva elle se précipita vers Marlène pour lui demander ce que Damien lui avait dit. Tout était ok, il viendrait comme chaque mercredi et ils auraient toute l’après-midi pour eux. Le mercredi elle posa sa journée, profitant du matin sur les conseils de sa fille pour faire un passage chez l’esthéticienne. Plus la matinée avançait et plus les doutes et la peur la gagnèrent. Etait-elle en train de faire une terrible erreur ? Céder ainsi à ses plus bas instincts était indigne d’elle, de la mère qu’elle était. Mais elle était aussi tenaillée par l’excitation la curiosité et l’envie. C’est pleine d’angoisse qu’elle rentra chez elle, une boule dans le ventre, garée devant son domicile elle était sur le point de s’enfuir quand on tapa à sa vitre. C’était sa fille accompagnée de Damien, il n’y avait plus de marche arrière possible, elle en était presque soulagée. Ils expédièrent le repas, de toute façon elle était trop nerveuse pour manger. Ils passèrent au salon et Béatrice servit un digestif à chacun, elle en but deux. Ils avaient très peu parlé depuis leur arrivé c’est comme si chacun attendait un déclic, un signe pour se lancer. Damien décida de prendre les choses en mains, il s’assit à côté de Béatrice. Qu’il est jeune se dit-elle, je suis folle de faire ça, je ne devrais pas… Mais quand elle sentit sa main se poser sur sa cuisse son cœur qui battait déjà vite s’emballa, elle tourna le visage vers lui et le laissa l’embrasser. Ce premier baiser juste avec les lèvres fut une révélation, il était doux et chaud, tendre et respectueux. Le plus beau baiser qu’on lui ait donné, le plus prometteur, elle en voulut aussitôt d’avantage. Alors quand il écarta ses lèvres, quand elle sentit sa langue au bord de sa bouche, elle fit de même, pressée d’en avoir encore, d’en avoir plus. Ils échangèrent un long baiser charnel et passionné. Tous ses doutes, toutes ses angoisses s’étaient évaporées, seul restait son désir de plus en plus exhorté. Elle le laissa dégrafer son chemisier et toucher ses seins au travers du tissu de son soutien-gorge. Elle ne broncha pas quand il fit glisser la dentelle en dessous de son téton pour le titiller. Elle en ressentit aussitôt un plaisir extrême. Ils s’embrassèrent longuement et elle apprécia son savoir faire, s’il tenait aussi bien toutes ses promesses, s’il faisait l’amour aussi bien qu’il embrassait alors ça fille aurait dit vrai, la folie aurait été de passer à côté. Sa main quitta ses seins, elle le regretta, pour revenir à ses cuisses, le regret disparut. Il la remonta vers son entrejambe, elle écarta légèrement les cuisses pour lui faciliter la manœuvre. Il toucha sa culotte, elle était trempée, elle aurait dû avoir honte, elle s’enorgueillit de pouvoir montrer son désir pour lui. Elle se félicita aussi d’avoir suivi le conseil de sa fille en faisant débroussailler sa toison fournie pour ne laisser qu’un petit triangle roux bien délimité. Sa fille, ça faisait deux fois qu’elle pensait à elle, Béatrice quitta à regret la bouche de Damien pour se tourner vers elle. Marlène les fixait, le teint empourpré de sa peau claire trahissait son émoi. Elle respirait lourdement et ses cuisses étaient serrées l’une contre l’autre, les mains enfoncées dans le cuir du canapé.
« -Ca ne va pas ma chérie, tu ne supportes pas de me voir avec ton ami. » s’inquiéta Béatrice.
« -Non pas du tout, bien au contraire. Mais je vais vous laisser, tu dois avoir besoin d’intimité avec lui. »
« -Reste je t’en prie. Je préfère que tu sois là si ça ne te dérange pas, je ne veux pas faire ça dans ton dos. »
« -Je vais rester avec plaisir, mais ce que je vois m’excite tellement que je risque de me caresser en vous regardant. »
« -Fais tout ce dont tu as envie ma chérie, ne te gêne pas. »
Sans s’expliquer pourquoi, Béatrice éprouvait un plaisir particulier à s’exposer devant sa fille. Cela l’excitait encore plus d’être vue en train de faire ça, par sa fille, avec son copain. Damien hautement satisfait de la tournure des événements poussa d’un doigt le tissu de la culote de la mère de sa petite amie et y glissa deux doigts. Béatrice se cambra dans un râle et s’abandonna à la caresse du jeune homme. Elle fut bientôt allongée sur le sofa, sa jupe disparue elle ne savait comment, Damien lui retirait sa petite culotte et découvrait sa chatte rousse.
« -La même que celle de Marlène ! » Ce fut son seul commentaire avant de poser sa bouche dessus et de lui prodiguer le meilleur cunnilingus qu’elle ait jamais eu. C’est ado était terriblement doué et elle ne tarda pas à jouir dans sa bouche. Damien se régalait de ses jus au goût feutré de miel si bien qu’il la lécha encore et encore. Béatrice se laissa faire, ressentant un plaisir continu. A un moment elle regarda sa fille, elle avait retiré son pantalon et sa culotte, et deux doigts s’agitaient dans sa petite fente. Une telle vision aurait dû la choquer, son enfant, sa fille entrain de se masturber devant elle. Elle la trouva belle et indécente, c’était … pervers, toute cette situation l’était, en percevant cela elle eut une formidable jouissance.
Damien se déshabilla, Béatrice allongée et lascive le regarda faire, il avait l’air si frêle si fragile, vierge de tout poil à part ceux peu fournis de son sexe, qui affichait une belle érection. Elle fut surprise par la taille de l’engin, réjouie aussi. Comme il était jeune et beau, elle eut envie de le câliner, de le dorloter, elle effleura de sa main son énorme pénis, elle avait envie de faire l’amour avec lui maintenant.
« -Venez avec moi dans ma chambre, on sera plus à l’aise. »
Elle le prit par la main et l’entraina, il s’assit sur le lit, sa fille prit position dans le petit fauteuil situé dans l’angle de la pièce. Béatrice s’agenouilla devant Damien, lui caressa le sexe avant d’y poser sa bouche, elle l’embrassa, le lécha doucement avant de l’engouffrer avec délicatesse. Elle avait rarement pratiqué ce genre de faveur, non pas que ça lui déplaisait, mais son mari ne lui rendait jamais la pareille alors elle ne l’avait plus fait. Mais aujourd’hui tout était différent, elle avait très envie de le faire, très envie de le faire jouir à son tour, de sentir sa jouissance dans sa bouche. Elle le suça vaillamment et avec toute l’application qu’elle put. Cela dura longtemps mais elle ne s’en lassa pas et enfin elle obtint sa récompense. Un jet épais et abondant se propagea dans sa bouche, elle en avala et trouva cela agréable mais il y en avait trop, elle allait s’étouffer, elle recula le laissant terminer d’éjaculer sur sa poitrine. Elle finit d’avaler tout ce qu’elle avait en bouche, ses lèvres et son menton en étaient maculés et dégoulinants. De grosses gouttes tombaient sur ses seins et venaient rejoindre ce que Damien finissait d’y répandre directement. Marlène s’avança alors vers eux et en s’agenouillant à côté d’elle lui dit : « -Je n’aime pas voir gâcher une si bonne chose. » puis elle prit le sexe de Damien en bouche pour en récupérer les dernières gouttes. Quand elle eut fini elle se tourna vers sa mère.
« -Ca m’a ouvert l’appétit, je peux ? » Lui demanda-t-elle en désignant ses seins. Béatrice surprise mais intriguée par l’attitude de Marlène acquiesça. Sa fille se pencha vers elle et posa sa langue sur sa peau, Béatrice tressaillit, cela allait trop loin, il fallait une limite, pas ça, pas avec sa fille. Elle allait protester, oui elle allait le faire mais sa langue était si douce, si chaude, si troublante. Elle parcourait ses seins si sensuellement pour y butiner le sperme de Damien, c’était si agréable. Les yeux mi clos Béatrice se laissa faire appréciant ce pur moment de volupté. Elle fut réveillée de cette semi transe par le murmure de sa fille à son oreille.
« -Maman, dis moi avant que je n’en laisse plus une goutte, tu en veux encore ? » Et Béatrice sans bien comprendre à quoi elle répondait dit simplement :
« -Oui, j’en veux encore. » Sa fille retourna à ses seins pour recueillir le reste du sperme, il y en avait une bonne part accroché à un téton, elle le prit en bouche et le téta bien plus que nécessaire. Le plaisir qu’en ressentit Béatrice la perturba d’avantage. Puis Marlène remonta vers le seul endroit où il en restait, le menton et la bouche de sa mère. Avec précaution elle sortit sa langue et la promena sur le menton poissé de sa maman. Béatrice était tendue, ne sachant comment réagir, quand elle sentit la langue de sa fille sur ses lèvres elle trembla mais ne se déroba pas, elle était étrangement fascinée par son attitude. Marlène agrippa affectueusement sa nuque, sa bouche était à présent remplie de foutre et quand elle posa ses lèvres sur les siennes elle comprit qu’elles allaient échanger un baiser baigné de la semence de Damien. C’était un acte d’un grand vice, totalement dénaturé et impur, qui pouvait être qualifié d’un mot qu’elle n’osait envisager. Elle ouvrit ses lèvres, c’était si inconcevable et pourtant si délicieux, la perversion la subjuguait lui ôtant toute entrave, toute raison. Le sperme se déversa dans sa bouche ainsi que la langue de sa fille. Elles se roulèrent une pelle d’anthologie en dégustant la semence de leur amant, elle en aima le goût, elle la savoura jusqu’à la dernière goutte. Son premier baiser saphique dura longtemps, il était voluptueux et satiné, il était merveilleux. Embrasser une femme était différent et elle aimait ça, mais cette femme était sa fille et cette spécificité en amplifiait mystérieusement le plaisir qu’elle en éprouvait.
Elles avaient avalé tout le foutre depuis un bon moment quand leurs langues et leurs lèvres se quittèrent. Marlène se releva et dit en constatant que Damien avait retrouvé toutes ses forces :
« -Vas-y baise là maintenant, baise ma mère. » Béatrice fut franchement étonnée de l’attitude de sa fille. Non pas qu’elle n’ait envie de ce qu’elle exprimait, mais c’était ça façon de le faire. Comme si c’était elle qui menait le jeu, comme si elle avait tout initié, tout manigancé pour que tout arrive à ce dénouement. Elle s’aperçut soudain que cette situation excitait sa fille au plus haut point. Etait-elle leur jouet, une poupée dans les mains de sa fille, avait-elle été manipulée ?
« – Oui, vas-y Damien Baise moi !» Feula Béatrice. Inexplicablement, que se soit réel ou dans son imagination, le fait d’être à leur merci, d’être une marionnette entre leurs mains l’excita encore d’avantage. Elle avait envie de se soumettre à eux, de tout permettre à Damien, d’obéir à tous les ordres de sa fille. Elle s’allongea sur le lit, écarta les cuisses et accueillit avec délectation l’énorme queue de Damien. Elle était tellement trempée qu’il la pénétra aussitôt de toute sa longueur, il la baisa brutalement, en lui assénant de grand coup de butoir, elle en ressentit un plaisir sauvage, une envie féroce de sexe débridé et violent. Il lui embrassa les seins, les lui téta, les lécha et les mordit, c’était délicieux. Il s’embrasèrent fougueusement, sa chatte dégoulinait tellement, qu’elle émettait des bruits de suintements indécents. Le plaisir était inouï et durait à n’en plus finir, ce garçon était d’une endurance incroyable. Elle avait joui déjà trois fois quand il ralentit la cadence et se redressa. Sa fille était à côté d’eux, il se retira da sa chatte, elle le suça doucement avec un plaisir non dissimulé puis il replongea sa bite dans sa fente rougie. Ils renouvelèrent cette opération plusieurs fois, Béatrice les contemplait à chaque fois, de plus en plus fascinée, se demandant si Marlène aimait sucer Damien par-dessus tout ou si elle venait y chercher autre chose, d’un genre… prohibé.
La réponse ne tarda pas quand sa fille approcha son visage de l’union de leurs sexes. A l’effarement de Béatrice elle se mit à les y embrasser et à les y lécher. Sa langue se mêlait à leur accouplement. Damien lui souriait, bien qu’inquiète elle le lui retourna, la situation et les sensations lui procuraient un plaisir immense. Il lui arrivait parfois de sentir la langue de sa fille sur son sexe, elle ne fit rien paraitre, faisant semblant d’ignorer ce qui arrivait, il le valait mieux, pour sa fille, pour elle. Cependant cela arriva de plus en plus souvent, puis elle sentit clairement qu’elle lui léchait le clito. Le plaisir qu’elle en retirait était incroyable une bonne bite lui limait la chatte et une douce langue lui titillait le clito. Elle s’abandonna à l’extase oubliant volontairement d’où elle venait.
Une fois de plus cela ne dura pas.
« -Mets toi sur sa bouche, fais lui goûter ta chatte. » Ordonna Damien. Marlène s’exécuta aussitôt. Béatrice paniqua, ce qu’elle venait d’entendre allait lui faire franchir le point de non retour. Elle ne pourrait plus atténuer ce qui s’était passé jusqu’à présent. Elle ne pourrait plus mentir ni aux autres ni à elle-même sur le rapport lesbien et i****tueux qui avait débuté et qui allait se poursuivre avec sa fille. C’était maintenant qu’il fallait tout stopper, mais déjà une jambe à demi pliée passait au-dessus de son visage, elle avait maintenant les deux cuisses de sa fille autour de sa tête et ses yeux découvraient en gros plan le sexe de Marlène. Ses lèvres vaginales étaient luisantes et rosées, sa fente légèrement entrouverte exhalait une enivrante odeur de femelle en chaleur. Sa fille pliait ses genoux, abaissant sa chatte vers son visage, elle allait protester, se rebiffer, arrêter cette horreur.
Béatrice ne put que sortir sa langue pour laper telle une possédée dénuée de toute volonté la fente de sa fille. Sa pulsion avait pris le dessus sur sa raison et elle consentait à s’offrir au pire des vices, le plus infect de tous, l’i****te.
« -Elle me lèche Damien, maman me lèche la chatte. C’est trop bon, c’est trop… top. Continue à la baiser, je veux que tu lui jutez dans la chatte, je veux que son vagin soit gorgé de ton sperme, je veux que tu lui remplisses le ventre de ton foutre. » S’égosilla Marlène en frottant furieusement son abricot sur le visage de sa mère. Béatrice était éblouie par la perversion de sa fille, Damien la baisait sans capote, elle s’en foutait elle avait envie de sentir son sperme jaillir en elle.
Marlène embrassa Damien leurs langues s’enroulèrent alors que leurs sexes profanaient Béatrice. Damien caressait les seins de Marlène puis ceux de sa mère puis un de chaque femme en même temps. Il lécha ceux de sa petite amie quand il sentit la jouissance arriver. Puis il émit un grand râle, Marlène le contempla se répandre dans sa mère avant de jouir à son tour. Les deux jeunes gens se retirèrent de Béatrice qui resta allongée dégustant les dernières ondes de plaisir qui parcouraient son corps. Elle sentit alors de nouveau la langue de sa fille sur sa chatte, cette fois-ci sans la présence du chibre de Damien, Marlène avait tout le loisir de l’explorer à sa guise. Après une impalpable hésitation, sa mère écarta ses cuisses pour lui faciliter l’accès de sa plus profonde intimité. Sous l’effet de sa langue diabolique elle connut de nouvelles jouissances. Alors quand sa fille remonta lascivement le long de son corps afin de poser sa bouche sur la sienne, elle répudia tous les tabous et elle butina dans sa bouche le nectar que Marlène avait récolté dans sa cramouille.
Sans plus aucune retenue elle embrassa sa fille et se gouina avec elle. Elle lécha tout son corps, se repaissant de ses seins et de ses fesses. Elles se mirent en soixante-neuf pour se donner encore du plaisir, dans le même objectif elles frottèrent leurs chounes en position de ciseaux tout en s’embrassant passionnément.
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