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Gynécologue Pervers 2

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Caroline ne faisait que répéter  » oui, oui, « , ses cris se transformèrent en hurlements lorsque le docteur changea de position pour l’enculer tout en lui fourrant une main entière dans la chatte, et le film s’arrêta après qu’il jouit et la laissa pantelante sur le tapis.

Le docteur me jeta un regard satisfait, et je pensai que le matin même j’avais dit à Caroline que j’allais chez le gynéco, et que son visage n’avait pas montré la moindre émotion, alors qu’elle savait ce qu’il allait me faire subir.

 » Comme vous le voyez,  » dit-il,  » votre fille prend très bien du cul, je pense que maintenant vous allez faire de même. « 

Je compris ce qu’il désirait et il me prit aux hanches pour m’aider à me retourner, malgré mes poignets toujours menottés. Je me retrouvai à quatre pattes sur la table, mon ventre et mes seins alourdis frôlant le tissu qui la recouvrait, pendant que le docteur s’agenouillait derrière moi et m’écartait les fesses. Son sexe était plus gros que le godemichet, quoique plus souple, et je subis son assaut avec quelque difficulté. Mais enfin il parvint à tout faire rentrer dans mon anus encore lubrifié, et se mit à aller et venir tout en me maintenant les reins d’une main, tandis que de sa main libre il avait repris le gode, me l’avait passé entre les cuisses et me l’enfilait dans la chatte. Attachée, à genoux, avec mes seins et mon ventre qui ballottaient sous moi en frottant contre la table, forcée devant et derrière par cet homme qui avait déjà abusé de ma fille, je pensai à mon mari, au père de mes enfants, et l’abjection de ma situation ne fit que démultiplier mon orgasme lorsqu’il éjacula dans mon cul, pendant que le godemichet expertement manié me faisait exploser par-devant. C’était la sensation la plus merveilleuse de ma vie, je hurlais, râlais, le suppliais de continuer, mes genoux se dérobèrent sous moi et je serais tombée sur le ventre s’il ne m’avait pas retenue par les hanches pour me faire repasser sur le dos.

J’étais étendue sur la table, à moitié évanouie, et lui debout à côté de moi avec son sexe à peine sorti de mon cul. Je craignis qu’il ne veuille à nouveau me le faire sucer, mais il se contenta de l’essuyer en le frottant sur mon ventre et mes seins. Dans ma semi-inconscience, je sentis qu’il libérait mes mains des menottes. Je restai quelques minutes à reprendre mes esprits, esquissai un geste pour me relever de la table, et le découvris assis toujours nu dans son fauteuil, me disant avec un geste autoritaire :

 » Nous n’avons pas terminé. Veuillez achever de vous déshabiller. « 

J’enlevai ma robe entièrement défaite, et mon soutien-gorge qui ne soutenait ni ne cachait plus rien. Je fis sans conviction un geste pour ôter mes escarpins et mes bas, mais il me fit signe de les garder. Il m’ordonna de venir m’agenouiller devant lui. Les jambes flageolantes sur mes escarpins, j’obéis ; il avait réglé son fauteuil dans la position la plus basse et se tenait assis les jambes écartées, son membre à la hauteur de ma poitrine. Sur son ordre, je pris le sexe flaccide dans une main, le plaçai entre mes seins, les rapprochai et me mis à les masser doucement en les faisant se toucher. L’engin recommença à devenir raide à mesure que je l’enfonçais de plus en plus entre les deux globes, jusqu’à ce qu’il frotte de presque toute sa longueur contre mon sternum pendant que je me caressais les seins sur lui. Je le sentis près d’éjaculer, sortis spontanément le membre de sa vallée de chair pour le prendre dans ma bouche. J’étais prête à tout avaler une fois de plus, mais il m’ordonna de me reculer car il voulait éjaculer sur mon visage. Ce qu’il fit, essuyant en outre son membre gluant sur mes joues et mes cheveux, et me permettant juste de lécher le sperme qui était tombé autour de mes lèvres.

Tout en se rhabillant, il me dit qu’il y avait un lavabo dans le couloir. J’en avais sacrément besoin avant de remettre mes propres vêtements, avec la mouille qui avait coulé de ma chatte jusqu’à tacher le haut de mes bas, et le sperme encore tiède qui collait à mes cheveux et dégoulinait de ma figure dans mon cou jusqu’à rejoindre les traînées innommables qui séchaient sur mon ventre et mes seins.

J’étais néanmoins tellement épuisée qu’avant que j’aie pu me remettre debout sans vaciller, le docteur était complètement rhabillé et sortait lui-même dans le couloir. Je l’entendis ouvrir une porte qui devait être celle de la salle d’attente… et, à ma grande horreur, il appela la patiente suivante.

Je n’avais ni la force de m’enfuir ni aucun endroit pour le faire, et la femme qui entra dans le cabinet aurait dû être aveugle pour ne pas me voir. Le pire de tout était qu’elle et moi nous connaissions parfaitement : c’était Marie-Claude, une amie d’enfance et collègue de travail à moi.

Toujours élégante dans son tailleur strict, elle eut l’air pétrifiée de se trouver en face de moi, dans l’état que j’ai décrit plus haut, toujours uniquement vêtue de mes chaussures et de mes bas. De mon côté, j’éprouvais comme on l’imagine la honte de ma vie, mais ce fut à mon tour d’être stupéfaite lorsque le docteur passa derrière elle et lui caressa familièrement les fesses.

 » Vous voyez, Marie-Claude, votre amie Edith est également une de mes patientes. Je pense d’ailleurs que vous pourriez l’aider à se nettoyer? « 

Marie-Claude balbutia une approbation, et le docteur l’embrassa dans le cou en faisant glisser ses mains sur ses hanches. Pendant que je le regardais avec ahurissement caresser le corps de mon amie par-dessus son tailleur (Marie-Claude est divorcée, mais à ma connaissance elle n’a jamais eu d’aventure et ne vit que pour ses deux enfants), il m’expliqua :

 » La première fois, je lui ai fait prendre une drogue et je l’ai prise sans qu’elle ne puisse bouger. J’en ai gardé quelques enregistrements qu’elle ne souhaite pas voir montrer à ses enfants ni à ses proches, c’est pourquoi j’ai régulièrement le plaisir de ses visites. « 

A l’air désespéré de Marie-Claude, je compris que cette explication était vraie. Elle parut près de fondre en larmes lorsque le docteur ordonna :

 » Aidez votre amie à enlever le sperme de son visage.  » Après un court instant de silence, il compléta :  » Avec votre langue. « 

Comme hypnotisée, Marie-Claude avançait vers moi, lorsque le docteur ajouta :  » Enlevez votre tailleur, ce sera plus facile. « 

Obéissante, Marie-Claude ôta sa veste et sa jupe grises, apparaissant dans des dessous que je n’aurais jamais cru lui voir porter : un soutien-gorge qui faisait pigeonner sa généreuse poitrine en en découvrant complètement les bouts, un mini-slip, des bas et un porte-jarretelles. Si les bas étaient couleur fumée, le slip, le soutien-gorge et le porte-jarretelles étaient rouge vif .

C’est dans cette tenue qu’elle approcha son visage du mien, et je vis sa langue sortir entre ses lèvres, puis la sentis passer sur mes joues, mon nez, mon menton, laper le sperme qu’elle avalait sans hésiter. Ses lèvres secondèrent sa langue, je ne sais comment nos bouches se frôlèrent, puis elles se collèrent l’une contre l’autre et je me retrouvai, moi qui jusqu’alors n’avais jamais eu de pulsions homosexuelles, à embrasser fougueusement mon amie d’enfance, heureuse mère de famille comme moi, en faisant aller ma langue jusque dans le fond de sa bouche, pendant que mes tétons à nouveau durs et érigés frottaient contre les siens dans le même état, et que mon ventre se bombait contre le sien. Je tombai assise sur la table d’examen et Marie-Claude se remit à lécher le sperme du docteur sur moi, passant sa langue et posant ses lèvres dans mon cou, entre mes seins, sur mes seins encore rouges d’avoir servi à masturber notre dominateur. Ma main dans ses cheveux, je sentis qu’en même temps elle me caressait les hanches, la touffe, touchait ma fente. Lorsqu’après avoir longuement et soigneusement léché mon ventre gonflé elle approcha sa bouche de mon sexe, le docteur ordonna :

 » Ça suffit. Edith, vous pouvez aller vous laver. Venez ici, Marie-Claude. « 

Pendant que furieuse et frustrée je me dirigeais vers le fameux lavabo, mon amie s’approchait docilement du docteur, et j’eus le temps d’entendre celui-ci dire  » mettez-vous à genoux  » avant de refermer la porte.

Les toilettes étaient équipées d’une cabine de douche, et j’en pris une longue et chaude. J’avoue que j’en profitai pour me caresser sur tout mon corps de femme enceinte, et finis par me masturber en pensant à ce que le docteur devait être en train de faire à Marie-Claude. Je n’étais tout de même pas préparée au spectacle que j’allais découvrir à mon retour.

Entièrement nue, je ressortis dans le couloir sur la pointe des pieds et me dirigeai vers le cabinet pour récupérer ma robe et mes chaussures. A travers la porte, j’entendis les cris saccadés de mon amie, auxquels il semblait se mêler un claquement. Lorsque j’entrai, Marie-Claude était à genoux devant le bureau du docteur, cramponnée des deux mains au meuble, et notre bourreau, debout derrière elle une cravache à la main, cinglait avec une précision impitoyable son dos et sa croupe nus. Des traits rouges zébraient déjà les zones frappées, et elle tourna vers moi un visage baigné de larmes. Le docteur parut penser que je redoutais d’être soumise à un pareil traitement, car il me dit :

 » C’est là quelque chose que je ne peux pas faire avec une femme mariée, car cela laisse des marques que le mari verrait infailliblement. Notre chère Marie-Claude va garder ces traces pendant près d’une semaine. Aussi, même après votre accouchement, vous n’avez pas à craindre que je vous y soumette. « 

Après mon accouchement? me dis-je. Il a donc l’intention de continuer à abuser de moi jusque là? Pendant que je me rhabillais, en laissant Marie-Claude prostrée devant le bureau, il me dit de ne pas oublier le prix de la consultation. Je le payai et, venue pour un contrôle de routine, me préparai à ressortir après avoir été attachée, enfilée de toutes les façons, avoir joui sous un homme qui me prenait de force, avoir appris que la fille en faisait autant que moi, m’être quasiment gouine avec ma meilleure amie et l’avoir vue se faire frapper à coups de cravache.

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