Je m’appelle Sonia, j’ai 26 ans, je suis une jeune femme libre, je travaille dans une grande entreprise de travaux public, je suis secrétaire et gagne bien ma vie, j’habite Paris et travaille en banlieue ouest, mon travail est assez stressant, mes collègues me trouvent belle et leurs regards sur mes fesses en disent long, mais je n’ai jamais mélangé ma vie professionnelle et ma vie personnelle, je commence assez tôt pour éviter le plus possible les encombrements, et fini un peu tard, je vis seule depuis 1 ans, mon copain m’a largué et je m’en porte pas plus mal, sauf de temps en temps un manque que je sais combler seule, en fait je me masturbe.
Une fois par semaine, je vais courir pour me détendre dans un petit bois au sud de Paris, je croise souvent une femme d’environ le même âge que moi qui court aussi, mais quand j’arrive, elle s’en va, nous nous saluons en partons chacun de notre côté.
Un soir, elle arrive en même temps que moi, elle me dit : « Je suis très en retard, j’ai été retenue par mon travail, cela ne vous dérange pas si nous courons ensemble. »
J’accepte et mon partons courir toutes les deux, elle m’attend un peu, elle est plus entraînée que moi, nous parcourrons nos 4 kilomètres, avant de revenir sur le parking ou sont garée nos voitures.
Nous nous quittons en nous saluant et elle me demande si la semaine prochaine nous pouvons courir ensemble, cela nous stimule un peu de ne pas être seule.
Les semaines suivantes, nous courons ensemble, nous avons fait connaissance, elle s’appelle Sandra, à le même âge que moi, elle est marié, mais son mari n’est pas là souvent, en déplacement pour raison professionnelle, et quand elle est en manque, elle fait comme moi, l’automne arrive, il fait nuit de plus en plus tôt et je lui dis que je ne vais plus pouvoir venir, elle me propose de venir chez elle de suite après mon travail pour me changer, comme cela je gagnerais une petite heure.
Cela me semble une bonne idée, donc le matin je pars travailler avec mon sac de sport que je laisse dans la voiture, je me changer chez Sandra, puis nous partons avec une seule voiture pour notre jogging hebdomadaire.
D’hebdomadaire, notre jogging se transforme en bihebdomadaire et puis en quotidien, je passe me changer, nous courrons, puis je rentre chez moi après avoir récupéré ma voiture ou déposé Sandra chez elle.
Un soir, arrivant chez elle, elle m’invite à prendre un verre, je refuse en disant que je sens un peu la sueur et j’ai envie de prendre une douche, Sandra me dit que je peux la prendre chez elle et que j’ai les vêtements pour me rhabiller, alors j’accepte, de toute façon je n’ai rien à faire.
Elle me demande ce que je veux boire après ma douche, mon choix va vers un jus d’orange, puis elle m’indique la salle de bains et me donne une serviette en me disant, que je l’appelle s’il me manque quelque chose. Sandra prend une douche, qui est attenante à sa chambre, puis nous nous rejoignons dans le salon.
Nous buvons nos verres en parlant d’une chose une autre, puis je prends congé une petite heure après, Sandra me raccompagne à ma voiture, nous nous embrassons, mais Sandra me fait une bise sur la bouche, je suis assez surprise, et je pars encore toute retournée de l’attitude de Sandra.
Je passe une affreuse nuit en repensant à Sandra, j’ai un peu flirté avec mes copines au collègue, mais j’ai très vite passé aux garçons et même avoir été plus loin que le flirt.
Sandra m’appelle au bureau, et s’excuse pour la bise, mais qu’elle en avait envie et que cela ne se reproduirait plus, mais qu’elle compte sur moi pour notre jogging.
Souvent nous prenons un verre ensemble, mais nos bouches ne se retrouvent jamais, j’en avais pourtant envie, mais je n’osais pas.
Le printemps est revenu, il y a presqu’un an que nous nous connaissons, j’avais de plus en plus envie de Sandra, au bureau, je ne regardais plus les hommes, mais les femmes, certaines me plaisais beaucoup, j’aurais aimé faire l’amour avec elles, j’étais attiré inconsciemment vers les femmes, ce baiser furtif a révélé en moi ce besoin de femme, qui enfoui depuis l’adolescence s’est réveillé.
Un soir, Sandra et moi, nous buvions un verre, et n’y tenais plus, je l’embrasse sur la bouche, et à ma grande surprise, elle écarte les lèvres pour laisser passer ma langue, je cherche la sienne et nous flirtons comme deux gamines.
Nos jeux deviennent de jour en jour plus osés, flirt, caresses, Sandra comme moi c’est la première fois avec une autre femme et nous ne savons pas comment faire, mais nos caresses solitaires nous aident bien, puisque nous savons ce que nous aimons.
Mes mains caresses sa poitrine sur le dessus de son chemisier, comme l’aurait fait deux ados, alors que l’une et l’autre nous avons fait beaucoup plus mais avec des hommes. Je m’enhardie un peu et déboutonne quelques boutons de son chemisier pour sentir ses seins à travers son soutien-gorge, puis passant ma main sous un bonnet, je saisis son tétons que je caresse et pince doucement, Sandra réagit de suite, ses seins deviennent très durs, je caresse doucement pour ne pas lui faire mal, je dégrafe son soutien-gorge et je suce son téton durci par mes caresses et Sandra me dit qu’elle aime cela et de continuer.
Je retire son chemisier et le mien, nous sommes maintenant torse nu l’une contre l’autre, nous nous caressons et embrassons la poitrine, mon string est mouillé, et je suis sure que sa petite culotte aussi, mais nous ne continuons pas plus notre jeu et nous nous quittons en nous embrassant tendrement.
Je rentre chez moi, en m’apercevant que j’ai oublié mes vêtements de sports, j’appelle Sandra de suite, qui me dit de ne pas m’inquiéter, que tout est dans la machine à laver, et qu’elle m’attend demain.
Le lendemain, je partais au bureau, comme d’habitude, mais mes collègues s’aperçurent que je n’étais pas comme les jours précédents, surtout mes collègues féminines, je ne tenais pas en place et n’avais qu’un hâte de retrouver Sandra.
En fin d’après-midi, je sonne chez Sandra, Dans la seconde qui suivit, elle ouvre la porte à croire qu’elle m’attendait derrière, à peine entrée, elle m’embrasse de toute ses forces et me dis qu’elle ne pouvait plus attendre, et m’entraîna dans la chambre.
Je ne sais pas comment, mais nous nous sommes retrouvées nues allongées sur le lit et Sandra me dit que ce soir nous n’irons pas courir, mais nous allons faire l’amour.
Nous embrassions nos corps sans vraiment se rendre compte, les seins, le sexe, puis ma langue trouva son petit bouton, c’est là que cela me fait beaucoup de bien dans mes caresses solitaires, je pense que pour elle c’est pareil.
Ma langue embrasse son clitoris, je le mordille un peu avec douceur pour ne pas lui faire mal, car je sais que c’est sensible, puis ma langue entre dans sa fente, elle écarte les jambes pour me laisser de la place, et mes doigts vont vers ses fesses, elle me fait la même chose, je sens que je vais venir sur sa figure et la préviens de ma jouissance éminente, elle continue à me lécher en me disant qu’elle aussi elle va jouir, ses doigts dans mon cul me font du bien, et je sens bien que les miens lui donnent aussi du plaisir, nous avons ensemble notre 1er orgasme.
Elle me demande de ne pas arrêter, et bientôt un deuxième arrive. Mes doigts entrent facilement dans son cul et elle me dit que son mari aime la prendre par derrière, et elle est habituée, je lui dis que moi aussi mon copain aimait cela et que je lui donnais souvent et sans problème, même que j’aimais cela.
Nous avons continué à nous faire du bien une bonne partie de la nuit en oubliant de dîner, mais il fallait que je rentre chez moi, dormir un peu, prendre une bonne douche et aller au bureau comme si rien ne s’était passé.
Les journées suivantes ce passèrent bien, avec une seule hâte de retrouver Sandra, mais j’ai prévu des vêtements de rechange pour passer la nuit avec elle et pouvoir aller au bureau directement.
Un jour, je quittais le restaurant d’entreprise et avec des collègues masculins, avec qui je déjeunais souvent, nous nous dirigeons vers la machine à café, alors que nous attendions que la machine soit libre, une femme que je connaissais de vue, vient vers moi et me dit : « Tu es des nôtre maintenant, je t’appelle tout à l’heure. »
A peine assise à mon bureau pour travailler l’après-midi, mon téléphone sonne, je regarde le nom, c’est cette femme que j’ai à peine vue, je décroche sans mettre l’ampli, et elle me dit qu’elle a vu sur mon visage que je préférais les femmes aux hommes et me donne rendez-vous chez elle le soir même. Je réponds d’accord, et m’empresse de téléphoner à Sandra de ne pas m’attendre car je quitterai très tard ce soir.
Le soir même, j’avais ma 2ème relation avec une femme, et ma collègue me dit que ce week-end elle organise une petite soirée avec des amies et que je vienne avec la mienne.
Je mets au courant Sandra pour notre invitation, cela tombe bien son mari ne compte pas rentrer ce week-end et elle me dit que c’est cela mon travail tard… Elle accepte de m’accompagner, donc le samedi soir, nous nous rendons à la soirée, ou surprise, nous ne sommes que des femmes, Sandra me dit que c’est une soirée « lesbiennes » mais que cela ne la dérange pas, bien au contraire. Nous buvons un peu et très vite, nous flirtons toutes entre nous, et quelques-unes sont déjà au lit, nous ne tardons pas à les rejoindre, ou nous faisons l’amour avec des partenaires multiples. Comme Sandra et moi n’avons pas beaucoup d’expérience, nous sommes prises en main et très vite, nous comprenons comment cela fonctionne.
Nous rentrons chez Sandra, et je lui demande comment elle a trouvé la soirée, elle me dit qu’elle ne s’est jamais temps amusé et jouit, qu’elle est prête à recommencer.
Ma collègue de travail, me présente des amies qui comme nous sont célibataires, ou vivent avec des femmes, des « lesbiennes », très vite nous sympathisons, et devenons rapidement pour la grande joie de Sandra et la mienne leurs maîtresses.
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