LU SUR LE NET
Hortense est congolaise, mariée, 3 enfants et responsable d’une agence touristique. 40 ans
« J’ai été envoyée à Dakar dans le cadre d’un séminaire sur le tourisme africain. Le séminaire devrait durer trois jours et nous disposions d’une semaine supplémentaire pour toutes autres activités de notre choix et cela aux frais de l’organisation. Je connais Dakar pour y avoir séjourné lorsque je préparais ma maîtrise en comptabilité. Nous sommes arrivés de nuit et avions été conduits à l’hôtel Sofitel. Les trois journées de séminaire se sont déroulées comme convenu. A la fin, on nous a convié à une petite réception pour sceller le tout. J’avais hâte que le jour se leva car j’étais impatiente de renouer avec mes anciennes habitudes. Je me suis rendue le lendemain vers 11 heures sur une plage privée de la ville. On était en fin juin et la chaleur était intense. Je me suis installée sous une paillote, allongée sur ma serviette en attendant d’aller me baigner. En réalité, je cherchais à aguicher les jeunes baigneurs nombreux ce jour. Il y’en avait beaucoup dans de petits groupes, des étudiants essentiellement.
A 40 ans, je n’ai pas ressentis la moindre honte à m’afficher dans une tenue assez mini quand même. J’avais passé un maillot deux pièces dont le soutien gorge et la culotte supportaient à peine ma poitrine proéminente et mes fesses charnues. Je ne suis pas grosse, mais la nature m’a doté d’un cul et de lolos impressionnants. C’était excitant de voir tous ces jeunes corps nus et musclés exposés tout autour de moi. Je mouillai rien que d’admirer un corps jeune. Un des jeunes baigneurs à fini par mordre et me fixait intensément. J’ai fais mine de ne pas m’en apercevoir et continuai à lire mon journal, question de voir s’il m’enviait vraiment. Et ce fut le cas. Il y’avait plus qu’a l’attirer. J’ai regardé dans sa direction et lui ai adressé un regard brûlant, sourire aux lèvres. Il me rendit la pareille. Il hésitait sur la conduite à tenir doutant de mes véritables intentions. Je lui fis signe de me venir. Il m’a rejoint sous les rires de ses amis. On se présenta (il s’appelle Johnson) et discuta longuement de choses et d’autres. Ses yeux étaient fixés sur mes seins débordants du soutien. Pour l’allumer d’avantage, je les touchais feignant de les ajuster. Cela lui fit plus d’effets encore. Il avait du mal à dissimuler la formidable érection qui lui déformait le short. Il était mal à l’aise. Pour clouer le tout, je me suis allongée sur le côté, la cuisse posée en équerre, dévoilant indécemment mon bas ventre et mon minou dont les poils, abondons, dépassaient de part et d’autre de ma culotte. Ne tenant plus à ce supplice, il s’est recouvert l’érection sous sa serviette. Je lui souris et la lui arracha en lui disant que j’aimais bien qu’il bande pour moi et d’ajouter que sa queue était vraiment grosse. J’étais émue et mon ventre s’est mis à couler. J’avais de plus en plus envie de sa queue en moi, j’en mouillais rien d’y penser. J’ai invité mon jeune admirateur à s’allonger contre moi sur la serviette. Il me faisait face et je ressentais sa respiration rapide et saccadée. Je lui ai saisis la queue sous le short (discrètement bien sûre). Elle était longue, grosse et toute chaude. Je l’ai masturbé lentement en le fixant du regard. Voyant qu’il était apeuré, je le rassurai en plaçant sa serviette sur sa main. Personne à cet instant ne se doutant que j’astiquais la bite tendue de ce jeune allongé à côté de moi! J’étais troublée comme lui. Jamais je n’aurai osé agir ainsi dans mon pays. Dakar est à des milliers de kilomètres de chez moi et je me plaisais à jouer, m’éclater.
J’ai embrassé le petit sur les lèvres. Ses amis étaient depuis dans les vagues chaudes entrain de jouer. J’étais donc sereine pour « traiter » leur pote tombé sous mes griffes. Je lui ai dis de me pénétrer par derrière. Ce faisant, je me retournée lui faisant dos, j’ai placé la serviette de façon à nous couvrir et retiré ma culotte. Il a cherché l’entrée de mon minou chaud en tâtonnant et me pénétra. J’ai manqué crié. Il a commencé à bouger en moi s’enfonçant aussi profondément qu’il pouvait. C’était très délicieux. Qui pouvait imaginer que ce jeune me baisait. Il me malaxait les seins sous la serviette en pinçant les bouts. Je suis très réactive aux caresses mamelles. Je regardais l’entourage en travers de mes lunettes de soleil. Mon amant baisait bien. Je me mordais les lèvres pour ne par laisser échapper mes gémissements et soupirs. J’ai jouis, ravagée par un orgasme. J’en griffais le sable chaud, le cerveau en ébullition. Le petit lui semblait infatigable. Il n’a pas jouis aussi vite que je le pensais, mais j’en profitais. Mes fesses étaient collées contre son ventre. Nous étions en sueur. J’ai jouis et réjouis encore. Et peu après, il éjacula en moi. On a soufflé, la bite chaude toujours en moi. Puis nous nous sommes arrangés et avons enlevé la serviette. Je n’en revenais pas de m’être faite sauté par ce jeune homme sur une plage bandée. J’ai pris des photos de lui. Il était mignon et bien bâti.
Nous sommes allés nous baignés à notre tour. L’eau était bonne et agréable. On s’est amusé comme des fous et loin des autres. Les baigneurs semblaient quand étonnés de me voir m’éclater ainsi avec cet homme alors qu’il était en âge d’être mon fils. Mais je m’en foutais éperdument. Nous sommes revenus nous allonger et avons mangé. Le temps est passé. Ses amis sont venus l’appeler pour partir, mais il refusa comme je le lui avais demandé. Ils sont repartis, perplexes. La plage se vidait peu à peu et je ne me retenais plus de l’embrasser à découvert. On s’est enlacé, on a roulé sur le sable rigolant comme des fous. Nous sommes partis ensuite directement à mon hôtel. Le personnel me regardait avec surprise.
Aussitôt montés dans ma chambre nous avons baisé. Le lit était couvert de sable car nous n’avions pas eu le temps de nous laver de retour de la plage. Johnson m’a pris dans toutes les positions. J’ai surtout apprécié quand il m’a pénétré par dernière, moi allongée sur le ventre les cuisses grand ouvertes et lui sur moi en me maintenant la nuque enfonçant mon visage dans le doux matelas. J’étais en partie étouffée mais j’ai jouis de me sentir brutalisée, malmenée. Nous nous sommes allés nous lavés dans le baignoire et remit la partie. Mon jeune amant m’a baisé dans toute la pièce, sur la moquette, sur le balconnet et dans la salle de bain. Les jours se sont succédés pareils. Johnson était infatigable. Il m’a fait visiter la ville et m’a aidé à faire les courses.
De retour d’une de ces journées de ballade à l’hôtel, Johnson m’a de nouveau baisé et contre tout attente, mon mari appela. J’ai répondu et nous avions discuté longtemps. Je lui ai expliqué combien je me plaisais à Dakar sans bien entendu lui préciser qu’en cet instant même, un jeune et adorable amant me baisait dans mon lit. C’était grisant de se retrouver entre mon mari et sur la bite de mon amant. J’avais l’impression d’avoir les deux hommes en moi, mon mari dans ma tête et Johnson dans mon minou. Il semblait ravi de me sauter pendant que je discutai gentiment avec mon époux. La discussion s’éternisait et mon plaisir montait autant. J’ai jouis à plusieurs reprises. Johnson m’allongea sur le ventre et m’écarta les cuisses et m’enfonça de toute sa grosseur et longueur. J’ai crié sur le coup sans me retenir. Mon mari s’en inquiéta et je lui balançai que je suivais un film violent à la télé. S’il s’était douté un seul instant… Le plaisir montait en moi, puissant et sentant que j’allais de nouveau hurler, j’ai demandé à mon mari de raccrocher et de me rappeler dans cinq minutes le temps que je réponde à un appel de la réception. Il raccrocha. Je suppliai Johnson de me baisé plus fort. Il s’est rué dans une chevauchée puissante. Sa bite butait contre mon col. J’ai Crié, râlé, hurlé mon bonheur d’être baisée comme ça. Et ensemble, nous avons jouis. Le téléphone sonna immédiatement. Ouf il était temps. Mon mari s’est remit à bavarder. Je me contentais de lui répondre par des oui, au fait je répondais ainsi aux coups de bite de Jonson dans mon minou. Ha Johnson, je ne l’oublierai pas de sitôt. Mon mari a raccroché et de nouveau, j’ai jouis ravagée par l’orgasme. Nous sommes sortis en boîte le samedi soir. Nous avons dansé les slows pendant que Johnson me fouillait le sexe. Comme j’aimai me mettre en jupe et robe courtes, la tâche lui était facile.
Le dimanche précédent mon départ, Johnson m’a emmené chez lui dans l’après midi. Je voulais savoir où il logeait. C’était un studio assez confortable avec un grand lit. Sans tarder, je me suis encore offerte à lui. Je lui ai donné tout ce qu’il voulait. Il a abusé de mon con, de mes fesses, de ma bouche, tout… Vers la nuit sa copine frappa à la porte. Il a regardé au judas. Il ne pouvait pas lui ouvrir. J’aimais me faire sauter par Johnson certes, mais je me voyais mal entrain de me chamailler avec sa petite amie. De savoir que la propriétaire de sa queue se trouvait juste derrière la porte m’a allumé. Alors que sa copine frappait désespérément à la porte, je me faisais sauté en douceur. J’étais penchée en avant les mains en appui sur la porte tandis que Johnson me fourrait sa bite aussi fort qu’il pouvait. Je bavais abondement, la bouche entrouverte. Elle repartie, certainement déçue. On a du lui raconter que je l’avais ravi. Je lui ai imposé de ne pas répondre à son portable le temps qu’on était ensemble.
Nous sommes repartis à l’hôtel pour passer ma dernière fabuleuse nuit à Dakar. Johnson m’ a tellement baiser qu’il en avait des douleurs à la bite. La moindre érection semblait lui faire mal. Je lui ai fait prendre des calmants. Je tenais à me faire sauter toute la nuit, au fait ma dernière à Dakar car je devrais prendre un vol le matin. Je voulais une folie avant mon départ. Lors de nos courses, je me suis procurée un lubrifiant car j’avais en tête de me faire enculer. Je me suis aussi enduite tout le corps d’huile et fais pareil pour lui. On luisait et c’était excitant. Johnson m’a fait jouir comme d’habite. Je lui proposai à sa grande surprise de me sodomiser. Il a accepté et mon dieu, pour la première fois de ma vie, je me suis faite baisée de cette façon. C’était douloureux au début à cause de sa grande taille, mais je me suis habituée à mesure que sa bite me dilatait l’anus. Je sentais mieux encore sa bite chaude dans mes intestins que dans le minou. J’en étais pleine, envahie. J’ai jouis et réjouis. Il m’a pris, toujours fiché dans mes fesses, dans toutes les positions. Je regrettais amèrement de n’avoir pu expérimenter la sodomie depuis le début avec lui. Ma soirée de sodomie s’est achevée en pleurs. Je pleurais autant de plaisir, de joie comme de peine. Mon séjour tirait à sa fin et j’allais quitter Johnson pour toujours peut être. J’aurais tout donné pour rester un jour de plus, hélas.
Il a pris place à mes côtés dans le bus qui nous emmena à l’aéroport. Je pleurais à chaude larme, inconsolable sous les regards médusés des autres passagers. Je l’embrassais sans gêne, le caressais. Johnson était affligé lui aussi. Il a pleuré quand arrivés à l’aéroport, je me suis dirigée vers la salle d’embarquement. J’ai emmené de lui d’agréables souvenirs…une grossesse. Hé oui, je ne m’étais pas protégée et Johnson m’a engrossée. Je l’avais décidé le soir où mon mari m’avait appelé. Je me savais fertile ce jour là. De ramener ainsi une part de Johnson me réconfortait. Mon coeur s’est brisé à l’instant où l’avion s’est arraché du sol. Je ne reverrai peut être plus jamais mon Johnson…On s’appelle jusqu’aujourd’hui mais j’hésite toujours à lui annoncer que l’enfant que j’avais eu était de lui. »
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