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Jenny, la femme de mon ami

Jenny, la femme de mon ami



A l’époque j’étais célibataire, beau garçon mais pas en très grande forme après une séparation toute récente d’avec mon amie avec laquelle j’avais vécu plus de 10 années. J’étais parti en camping avec un couple d’amis Mark et Jennifer. Elle, grande blonde sportive avec un corps à damner un saint mais d’une timidité presque maladive. Lui, taille moyenne, grand sportif comme moi. Nous nous entendions comme larrons en foire si j’ose m’exprimer ainsi et du coup, nous avons décidé de dormir tous les trois dans la même tente plutôt que d’en amener une pour moi etc. etc. Nous y étions un peu à l’étroit mais bon, ce n’était que pour dormir alors ça ne devait pas poser trop de problèmes de promiscuité. La 1ère nuit, rien de spécial ne se produit sinon que Jennifer se plaint de ne pas avoir dormi du tout à cause du fait qu’elle se trouvait près du bord la tente ce qui lui faisait peur. En effet, les bruits de la nuit prennent une toute autre dimension lorsqu’on est dans le noir total. De plus, en bord de mer certains oiseaux poussent des cris qui ressemblent à des lamentations de bébés abandonnés et pour ceux qui ne connaissent pas, c’est vraiment à vous glacer le sang. Bref, elle nous dit qu’elle serait plus rassurée de dormir entre nous ce à quoi mon ami, lui réponds qu’il n’y voyait pas d’inconvénient si de mon côté ça ne posait pas de problème non plus. Il lui propose néanmoins de prendre un de ses somnifères pour ne pas entendre ces fameux bruits comme il le fait lui. J’apprends alors qu’ayant le sommeil léger, il est obligé de prendre des somnifères lorsqu’il est en camping car sinon le moindre bruit le réveille et il n’arrive pas à dormir de toute la nuit. Bref, elle n’est pas très chaude pour cette solution aussi, le 2ème soir, la voilà couchée entre nous. Ça me fait bizarre de sentir la chaleur de son corps près de moi et je m’endors en essayant de chasser des pensées coquines la concernant.
Durant la nuit, je me rends compte qu’elle a carrément poser sa tête dans le creux de mon épaule contre mon cou. Elle m’a presque enjambé avec une de ses jambes. Je sens encore plus la chaleur de son corps contre le mien, ses seins à travers le fin tissu de son t-shirt me troublent, sa cuisse contre la mienne encore plus. Je me mets à bander comme un fou. Je n’ose pas bouger de peur qu’elle ne se réveille et se mette à hurler en se méprenant sur ce qui s’est passé. Dans ma tête, je réfléchis à toute vitesse. Je pense à mon ami qui lui aussi, s’il se réveille en nous découvrant pratiquement enlacés, risquerait de ne pas apprécier le spectacle puis, je me dis qu’il fait nuit noire et qu’il ne risque pas de voir quoi que ce soit dans ses conditions. C’est alors que je me souviens qu’il dort avec un somnifère du coup, je suis moins affolé par la situation.
J’essaie néanmoins de me dégager mais il me faut me rendre à l’évidence. Ça ne sera possible que si elle, me libérait de cette fâcheuse posture. J’essaie quand même de la repousser mais dans la seconde qui suit, elle revient se blottir à nouveau contre moi. Je ne sais vraiment plus quoi faire puis finalement je réussis à me convaincre qu’il n’y a rien à faire sinon attendre qu’elle ne se décide à se retourner d’elle-même. Et puis, le contact de son corps contre le mien est plutôt agréable, pourquoi ne pas prendre le bon côté des choses. Je sens les effluves de sa respiration. C’est agréable. Je suis très sensible aux odeurs et celle-ci me plaît, m’excite même. Je me rends alors compte que ma main bloquée sous son ventre est exactement à hauteur du renflement que fait son Mont-de-Venus. Elle est nue, aucun sous-vêtement entre nos peaux. C’est terriblement excitant. Je ne sais pas ce qui me prend mais au lieu d’essayer de rompre ce contact interdit, je fais pivoter ma main. Mes doigts sont maintenant au contact de ses poils pubiens, un mince filet de poils que je sens bien taillés en forme de ticket de métro. Mon Dieu, mais qu’est-ce qui me prends ? Qu’est-ce que je fais ? Je deviens fou, c’est complètement dément. Je suis sur le point de toucher le sexe de la copine de mon ami.
Je ne devrais pas faire çà. Non vraiment, ce n’est pas bien pourtant, mes doigts progressent lentement plus bas, vers la naissance de sa fente. Ils progressent encore, j’y suis. Je sens nettement le début des lèvres. Je progresse encore. La fente s’élargit, c’est doux. Doux et humide. Mon cœur s’emballe, mon sang s’échauffe. Les chairs s’ouvrent sous la poussée de mes doigts. Ma respiration s’accélère. Mes doigts progressent encore. J’y suis vraiment. Mon majeur se dresse, trouve facilement l’entrée de cette vulve qui accapare mes pensées. L’envie de m’y enfoncer est trop forte. Je ne résiste pas. J’appuie doucement. Les chairs s’ouvrent. Ça y est. Je suis en train de la pénétrer. C’est un océan de douceur qui m’accueille. Je pousse encore jusqu’à ne plus pouvoir avancer. Son fourreau me serre. Je me mets à la pistonner doucement. Je suis fou, complètement fou. Je ressors, remonte, cherche son bouton, le flatte, le caresse. Il durcit sous mon doigt. C’est trop bon. Je continue, il grossit encore. Je l’abandonne pour retourner vers son puits d’amour. Ah mon Dieu, je n’en reviens pas. L’entrée est trempée, elle mouille. Sa respiration est toujours aussi calme et posée. J’en suis certain. Elle dort à poings fermés. Je la pistonne encore puis revient vers son bouton d’amour. Il est vraiment gros. C’est la première fois que j’en caresse un d’aussi imposant. Si je le pouvais, je le lécherais avant de le prendre en bouche et le sucer comme il le mérite. J’arrive à le prendre doucement entre pouce et majeur. Jenny se met tout à coup à gémir doucement. J’insiste. Elle gémit encore. C’est trop bon d’entendre le son plaintif de sa voix. Je la masturbe maintenant franchement. Tant pis pour moi. Tant pis pour tout. J’ai trop envie de la sentir jouir sous mes doigts. Son ventre se crispe, son bassin s’anime pour venir à la rencontre de mes doigts. J’alterne masturbation de son bouton et pénétration profonde. Elle va jouir. Les muscles de ses cuisses se tendent. Son ventre m’agresse. Un long gémissement s’échappe enfin de sa gorge. Elle jouit. Elle jouit longuement. Mon Dieu que c’est bon. Le silence reprend possession rapidement de notre tente. Seule nos respirations conjointes trahissent encore l’extrême excitation qui nous a submergé. J’ouvre doucement mes doigts pour les laisser reposer sur la couverture qui nous sert de tapis de sol. L’excitation retombe progressivement. Je m’apprête à me rendormir quand j’entends Jenny me murmurer dans le creux de l’oreille :
– Merci. C’était délicieux.
Je n’ose pas répondre, me demandant si elle s’est rendue compte que ce n’était pas Mark mais moi qui l’avait mené à l’orgasme. Nous nous endormons rapidement l’un contre l’autre, épuisés par tant d’émotions.
Quand j’ouvre les yeux sans doute plusieurs heures plus tard. La lumière du jour commence à poindre à l’horizon. Jenny est à nouveau blottie contre son homme. Elle me tourne le dos. Son t-shirt est remonté sur ses reins m’offrant une vue magnifique de sa croupe aux fesses fines et musclées. Je souris en me délectant du spectacle.
– ça te plaît ?
Je sursaute en me rendant compte que c’est la voix de mon ami. Il me regarde en train de mater les fesses de son amie. Il me sourit.
– Elle est belle ma petite femme non ?
Les paroles me semblent bien inutiles. Un long regard, les yeux dans les yeux suffit à lui seul.
– Elle est magnifique ! Excuses-moi j’ai….
Mark me sourit. Il semble réfléchir puis, me dit :
– Non non, ne t’excuses pas. J’aurais fait pareil avec ta femme si l’occasion s’était présentée et puis, je préfère ça plutôt que tu cherches à me faire croire que tu n’étais pas en train de te faire plaisir en matant le cul de ma petite amie.
Ouf, je souris à mon tour. On dirait que je l’ai échappé belle. Mon regard glisse à nouveau vers les fesses de sa femme endormie. C’est vrai qu’elle a vraiment un cul magnifique. Je détaille la courbe de ses fesses, le sillon qui les sépare, l’anneau sombre de sa petite porte et plus bas, sa fente que l’on devine plus qu’on ne la voie. C’est un régal et si je m’écoutais, ce serait avec le plus grand plaisir que j’irais goûter à ces trésors qui s’offrent à ma vue.
– Elle a vraiment un beau…
– Un beau cul ?
– Ça m’a tout l’air d’être de moi que vous parlez espèces de pervers ?
Elle était donc réveillée et pourtant sachant que je la regardais, elle m’a laissé profité de ses trésors bien plus que de raison. Je me sens tout bête d’avoir pour ainsi dire, été pris sur le fait.
– Tu ne dormais pas ?
– Hé non, je ne dormais pas, parfois une femme en apprend bien plus endormie que réveillée. Bon, allez c’est terminé, rideau.
D’un geste, elle tire sur les pans de son t-shirt cachant à ma vue son sublime postérieur.
– Je ne vous savais pas si coquins tous les deux.
Puis s’adressant à son mari :
– Et toi j’te retiens. Laisser ton copain me mater les fesses !!
La journée se passe normalement avec son lot de découvertes, de jeux et de rencontres avec la population locale. J’en suis à me demander si je n’ai pas rêver tout ce qui s’est passé cette nuit. Mark et Jenny sont toujours aussi adorables. Ni l’un ni l’autre ne font allusion à notre réveil comme si cela n’était finalement pas si grave. La nuit arrive vite, trop ou pas assez, je ne sais plus à dire vrai !
Jenny est à nouveau entre nous. Je la sens câline et elle l’est assurément. La lumière est éteinte rapidement. Je n’arrive pas à trouver le sommeil, loin s’en faut. Les souvenirs de la veille hantent mes doigts, mon odorat. Nous sommes vraiment à l’étroit et le moindre de nos mouvements est immédiatement perçu par son voisin et là, je sens que Jenny en train de se tortiller. Je ne comprends pas tout de suite ce qui se passe mais bien vite je réalise qu’en fait elle s’est positionnée de façon à pouvoir faire une gâterie à son homme. Du coup, ses fesses sont appuyées contre une de mes cuisses et je sens parfaitement le sillon qui les sépare. Rapidement, Mark se met à soupirer. Je ne vois rien mais les bruits de succion que font sa bouche et ses lèvres m’amènent à bander comme un cerf. Je n’en peux plus de les entendre se faire du bien. Je tente une approche en posant une de mes mains sur sa hanche sans rencontrer de réaction négative. Je la fais glisser plus bas pour atteindre un des globes. Je le caresse doucement toujours sans qu’elle ne réagisse. Je descends dans son sillon, continue jusqu’à atteindre son anneau, ne m’y attarde pas, continue encore. Je sens l’entrée humide de sa vulve au bout de mon doigt. Elle me laisse faire, cambre même ses reins vers mes doigts. Mon ami gémit de plus en plus fort. J’en profite pour la pénétrer lentement en enfonçant juste le bout de mon doigt, je ressors, la réinvestis aussitôt plus profondément. Elle redouble d’ardeur. Mark lui dit sans se soucier de moi qu’il va jouir. Elle continue de plus belle et finalement je l’entends pousser un long grognement de plaisir. Il est en train de jouir dans la bouche de sa femme qui a vraiment l’air d’aimer ça si j’en juge par les contractions de son vagin m’enserrant les doigts. Je jurerais qu’elle est en train de jouir elle aussi simplement en le suçant. Les contractions cessent progressivement. Je retire mes doigts de son ventre tandis qu’elle revient de blottir contre son homme qui ne tarde pas à s’endormir sous l’effet du cachet qu’il a déjà pris et de cette jouissance qu’elle vient de lui offrir. Quand il se met à ronfler doucement, je sais qu’il est vraiment au pays des rêves. Je m’approche alors doucement pour me coller à ses fesses, pose une de mes mains sur ses hanches. Elle se laisse faire. Je soulève son t-shirt, elle écarte lentement ses jambes en me tendant ses fesses dans une invite qui ne laisse planer aucun doute sur ce qu’elle attend de moi. Je m’approche encore, puis en m’aidant d’une main, je cherche l’entrée de sa grotte. Elle se cambre encore pour me faciliter la tâche. Ça y est. J’y suis. Mon gland est dans l’entrée de son ventre, je m’y engouffre lentement en la tenant par les hanches. Ses chairs cèdent sous la poussée. Elles s’ouvrent pour me permettre de glisser aussi profondément que possible, jusqu’à buter contre sa matrice. Elle est totalement passive. Je commence à bouger doucement puis l’excitation aidante, je la prends de plus en plus fort. Elle gémit doucement à chacun de mes coups de reins. J’alterne les coups puissants et ceux plus profonds, tout en douceur. Elle tourne son visage vers moi :
– Oui c’est bon comme çà. N’arrêtes pas, tu vas me faire jouir.
C’est trop bon d’entendre une femme te dire qu’on lui fait du bien. Je la saisis plus fermement aux hanches pour mieux l’attirer sur mon vit. Elle pose une main sur la mienne. Elle me serre ou au contraire la relâche pour me donner le tempo. Elle sait ce qu’elle veut. Rapidement, elle me serre de plus en plus rapidement. Je suis son rythme. Ça lui plaît. Elle me dit qu’elle est tout près et d’un seul coup je sens son corps se tendre. Elle me broie les doigts entre les siens en laissant échapper un long feulement rauque. Tout le bas de son corps est pris de tremblements. Je sais qu’elle jouit. J’adore çà. Je la besogne encore un long moment pour mieux l’accompagner dans son orgasme jusqu’à ce qu’elle se calme. Je n’ai pas joui mais Dieu que c’était bon. Je me retire doucement en continuant à lui caresser les hanches, les fesses, son ventre plat et musclé. Elle se laisse faire, complètement alanguie puis alors que je me suis à nouveau allongé sagement à côté d’elle, passe sa main sur mon ventre, rencontre ma verge toujours tendue et s’étonne :
– Tu n’as pas joui ?
– Je n’ai pas osé le faire en toi.
– Idiot, je prends la pilule.
Sur ces mots elle se penche vers mon ventre en déclarant :
– Je ne peux pas te laisser comme çà. Ça ne serait pas sympa.
Mon cœur s’emballe une nouvelle fois en réalisant qu’elle va me sucer. Ses lèvres glissent sur mon ventre, atteignent ma hampe. Je sens son visage sur mon sexe, son nez sur mon gland. Elle me sent.
– Hummmm ! Je sens mon odeur sur toi. Ça m’excite de savoir que ce sexe était en moi.
Elle se met à me lécher sur toute la longueur de ma hampe puis s’attaque à mon gland, le frein, cette petite bande de chair si sensible. Elle pose ses lèvres juste au-dessous du gland et se met à me téter. Des décharges électriques me labourent les reins. Je comprends maintenant pourquoi Mark n’arrivait pas à contrôler les gémissements qui sortaient de sa gorge. Elle fait ça vraiment bien. Elle alterne les succions et les léchages sur chaque partie de mon sexe qui n’en peut plus de se tendre et se redresser au rythme des spasmes de plus en plus forts qui me parcourent le ventre. Je sens que la jouissance approche. C’est trop rapide, j’essaie de me concentrer sur autre chose mais rien n’y fait. Elle ne me laisse aucun répit. Je vais jouir. Je lui souffle :
– Jenny, je vais venir.
Elle me désembouche deux secondes pour me dire :
– Donnes-moi ton jus. J’ai envie.
Elle me presse plus fortement les couilles tout me laissant lui perforer la gorge. C’en est trop. Ma tête explose, c’est le feu d’artifices. L’orgasme est là, ravageur. J’éjacule. Une, deux, trois puis quatre violentes giclées de ma semence montent le long de ma hampe. Elle me garde en bouche. Je la sens déglutir au fur et à mesure des spasmes de ma verge. Elle me boit jusqu’à la dernière coulée, me garde encore dans sa bouche un long moment jusqu’à ce que je perde peu à peu de ma superbe puis, remonte se blottir contre mon épaule.
– Tu as aimé ?
– Non, j’ai adoré.
– Humm…… moi aussi j’ai bien aimé ton goût.
Elle me fait un dernier bisou sur les lèvres puis se retourne pour se blottir contre son homme en me souhaitant une bonne nuit.
Je n’en reviens pas qu’une femme puisse faire çà à côté de son homme endormi. Je m’en veux mais c’est plus fort que moi. Cette fille dégage une incroyable sensualité qui me met hors de moi.

Le reste de notre périple se passe comme dans un rêve (surtout pour moi). Nous nous entendons à merveille et chaque soir, dès que Mark s’est endormi comme une masse après avoir joui dans la bouche de celle qui était devenue ma maîtresse, je m’empresse de la baiser en lui arrachant des gémissements de plaisir qui me comblent de joie.
Ensuite Jennifer me suce et me boit jusqu’à la dernière goutte dans sa bouche. Je suis devenu accroc à ses fellations du soir, il me faut bien le reconnaître mais malheureusement, tout a une fin, et à notre retour de vacances, notre relation cesse aussi spontanément qu’elle avait commencé.
Jennifer redevient la femme fidèle et exclusive de Mark qui n’a visiblement rien remarqué de tout le périple. Je respecte son choix aussi, lorsque nous nous voyons, il n’y a aucune ambiguïté tant de ma part que de la sienne. J’essaie d’oublier ces moments merveilleux d’intimité qu’elle m’a accordé comme un cadeau, toute la durée de nos vacances. Chacun a repris la place qu’il n’aurait jamais dû quitter.
Les mois s’écoulent paisiblement, je vois des filles sporadiquement, mais vraiment rien de sérieux puis vient le moment de ma mutation dans un département limitrophe. Nous commençons malheureusement à nous voir moins souvent malgré nos efforts pour essayer de nous rencontrer au moins les week-end mais ça devient de plus en plus difficile à cause de la distance et nos boulots respectifs qui ne nous laissent pas beaucoup de liberté.
Je n’ai toujours personne de sérieux dans ma vie par contre je réussis à garder un semblant de contact avec eux par l’intermédiaire de Jennifer qui me donne de leurs nouvelles en m’expédiant de temps en temps des petites cartes postales, plus rarement des lettres. Internet, les mails, le téléphone portable avec ses SMS n’existent pas encore. Je me rends compte petit à petit au contenu de ses missives qu’elle n’est pas au meilleure de sa forme et je m’en inquiète si bien que la fois suivante c’est une longue lettre que je reçois. Lettre où elle m’avoue que ça lui ferait du bien si l’on pouvait se voir et discuter rajoutant que si je voulais, je pouvais l’appeler en me donnant des heures durant la journée où elle se trouve seule chez eux.
Je sens qu’elle a besoin de parler aussi, dès le lendemain je l’appelle. Elle est bien seule et nous pouvons discuter de longues minutes, je sens des sanglots dans sa voix à plusieurs reprises. Elle s’excuse de m’avoir demandé de l’appeler, rajoutant qu’elle a conscience de m’inviter dans l’intimité de leur couple mais après ce qui s’était passé entre nous et l’attitude que j’avais su garder après pour ne pas mettre son couple en péril, elle avait confiance en moi. Elle rajoute que Charly allait devoir partir plusieurs jours pour son travail. C’est visiblement un appel afin que l’on profite de ce déplacement pour se voir tranquillement.
Je n’hésite pas une seule seconde en lui disant qu’il suffisait qu’elle me communique les dates et je m’arrangerais pour me libérer quitte à prendre quelques jours de vacances. Ma proposition lui fait vraiment chaud au cœur. Elle me dit avant de raccrocher que le simple fait de m’avoir parlé lui a déjà fait le plus grand bien.
C’est ainsi qu’à peine mon ami dans l’avion, je me retrouve devant leur domicile, toquant fébrilement à leur porte.
– J’étais sûre que c’était toi.
Elle est là, devant moi, telle que dans mes souvenirs, peut-être même encore plus belle. Nous nous étreignons longuement sur le pas de la porte. Le temps semble s’arrêter puis réalisant que nous sommes au vu et au su de tout le monde, elle se décide à me faire entrer.
Nous nous regardons longuement avant de nous étreindre à nouveau. Son odeur m’enivre, son corps souple et ferme à la fois se colle à moi. Je sens ses seins, son ventre, même son pubis tout contre le mien. Je savoure ce moment d’intense émotion. Je commence à bander grave. J’essaie de me dégager légèrement pour éviter qu’elle ne sente le désir qui m’étreint mais son bas-ventre revient aussitôt se coller au mien encore plus fermement. Je ne sais plus si c’est la réalité ou le fruit de mon imagination mais j’ai la nette impression qu’elle frotte son pubis doucement contre ma verge maintenant en pleine érection.
Je ne sais plus quoi faire, quoi penser mais c’est si bon que je me laisse aller au plaisir de l’avoir tout contre moi. De longues secondes se passent encore avant qu’elle ne me souffle :
– ça fait du bien d’être dans tes bras tu sais.
Je lui réponds bêtement que j’aime ça moi aussi.
Il ne lui en faut pas plus pour me rétorquer tout de go :
– ça, c’est sûr. Je le sens que tu aimes çà.
J’essaie de me dégager une nouvelle fois en balbutiant des excuses aussi bêtes qu’inappropriées quand elle me retient en s’agrippant à moi, rajoutant :
– Non, non. Reste. Ça me fait du bien ça aussi.
Je lève les yeux vers les siens. Ses dernières paroles résonnent dans ma tête comme un appel à aller plus loin. L’instant est grave. Encore de longues secondes à se regarder, les yeux dans les yeux, sans un mot avant que tout bascule. Nos lèvres se frôlent, se caressent, s’épousent et s’ouvrent enfin pour laisser nos langues se lancer dans un long ballet sans fin.
Je la soulève dans mes bras tandis que d’un signe, elle me montre vers où aller. Un couloir, une porte qui s’ouvre, un lit. Je l’y dépose mais elle m’en empêche, m’entraînant avec elle sur ce lit que je ne connais pas. Nos vêtements tombent comme par enchantement aux quatre coins de la pièce, nous sommes nus. Je m’allonge contre elle, nos bouches se soudent à nouveau. Mes mains courent sur ce corps dont la douceur de sa peau me revient en mémoire. J’en explore chaque centimètre carré avec un plaisir que je ne cherche même pas à cacher. Son odeur m’enivre. Une folle envie de lui dévorer la chatte, de sentir le goût de sa mouille sur ma langue me prend mais elle m’en empêche encore. Elle en veut plus, tout de suite. Elle m’attire sur elle en écartant tout grand ses jambes. Je ne résiste pas à cet impérieux appel à la possession. Mon sexe tendu glisse vers son entrejambe, entre en contact avec ses lèvres intimes, se frotte à son pubis, revient vers sa fente. Elle gémit, me demande de la prendre, me souffle qu’elle n’en peut plus, qu’elle me veut dans son ventre. Moi aussi j’en meurs d’envie. D’une main je l’ajuste, posant mon gland dans l’entrée humide.
– Viens. Prends-moi.
J’appuie doucement. Les chairs s’ouvrent. Je m’enfonce millimètres par millimètres, le plus lentement possible à l’intérieur de son ventre. Un océan de douceur m’accueille. Ma tête est sur le point d’exploser. Toutes mes sensations ne sont plus centralisées que dans mon bas-ventre, autour de mon sexe. C’est incroyablement bon, encore meilleur que les souvenirs que j’en avais gardés. Elle me serre plus fort dans ses bras tandis que mon sexe progresse dans son fourreau, se frayant un passage entre ses chairs baignées de ses abondantes secrétions. Nous ne faisons plus qu’un lorsqu’entièrement enfoncé dans son ventre, elle me souffle :
C’est bon de te sentir dans moi. J’ai honte de te dire çà mais j’y ai souvent pensé en particulier ces derniers mois.
Je commence à bouger lentement. Plus rien ne compte que ces sensations qui me bouleversent au-delà de l’entendement. Jennifer m’encourage de la voix. Elle me dit qu’elle aime çà, que je lui fais un bien fou. Petit à petit elle se met à répondre à mes coups de reins en soulevant son bassin pour venir à la rencontre de mon sexe tendu comme jamais.
Plus fort. Oui comme çà. Encore, encore.
Je m’enfonce et me retire de plus en plus vigoureusement. Mes mains s’agrippent fermement à ses hanches pour mieux la pilonner. Ce sont bientôt de véritables coups de boutoirs que je lui assène, lui arrachant à chaque pénétration un cri rauque de bête blessée. Je la sens tout à coup se tendre sous moi. Ses cuisses se raidissent en même temps qu’elles s’ouvrent pour me permettre d’aller encore plus profondément en elle, ses bras s’agrippent à moi avec une force que je ne lui connaissais pas. Sa jouissance monte à la vitesse de l’éclair. J’alterne les coups puissants et rapides à d’autres plus lents, plus profonds. C’est elle qui accélère pour se lancer dans un incroyable sprint. Elle se met à crier enfin, hurlant presque sa jouissance.
– Haaaaaaaaaaaaa !!!! Je jouis. Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir! Oh mon Dieu que c’est bon.
J’essaie de l’accompagner du mieux que je peux au bout de son plaisir, en continuant de la prendre au rythme des mouvements de son bassin. Je prends le temps de la regarder dans le plaisir, ses traits habituellement si délicats, déformés par l’effet de la jouissance, ses yeux à moitié retournés dans ses orbites, sa bouche grande ouverte d’où aucun sort ne sort. Mon Dieu que j’adore ce visage sous le coup de l’orgasme. Elle se calme peu à peu, reprenant doucement sa respiration et ses esprits. Je continue de la prendre doucement. Elle ouvre les yeux, me sourit.
– Merci. C’était très très bon Monsieur mon ancien amant.
Nous nous enlaçons tendrement en riant de bon cœur. Je lui murmure :
– Merci à toi, de m’avoir permis de revivre un tel bonheur.
Il est déjà tard mais nous nous mettons à discuter longtemps, très longtemps. J’apprends plein de choses sur elle, sur eux. Il semblerait que mon ami la délaisse. Peut-être même qu’il a une maîtresse ce qui expliquerait ses fréquents déplacements et surtout ses retards inexpliqués lorsqu’il rentre du travail. J’essaie de la rassurer, la consoler comme je peux. Elle pleure à chaudes larmes sur mon épaule. Elle m’avoue enfin que dernièrement, il lui a même demander pour pimenter leur quotidien sexuel, qu’elle accepte de se laisser prendre par un autre homme devant lui ce qui ne plaît pas du tout. Je me retiens d’en profiter pour lui dire d’accepter à condition que ce soit elle qui choisisse l’homme qui lui fera l’amour car elle n’est vraiment pas dans son assiette.
Il se fait de plus en plus tard si bien qu’elle finit par me proposer de rester dormir et profiter de leur chambre d’amis. J’accepte car je suis épuisé et il n’est pas question de reprendre la route dans ces conditions.
Ce n’était pas prévu aussi, elle me propose de me prêter des vêtements de mon ami. Nous prenons notre douche puis après un dernier bisou, prenons chacun la direction de notre chambre respective. Je m’endors rapidement. Durant la nuit, je suis réveillé par une envie de boire comme chaque nuit. Je me lève pour aller vers la cuisine mais en passant dans le couloir devant la chambre de Jennifer, j’ai l’impression d’entendre des sanglots. La porte n’est pas fermée. Je la pousse doucement et effectivement, elle est en train de pleurer. Sans réfléchir, j’entre pour la réconforter. Lorsque je pose ma main sur son épaule, elle se retourne, me voit et m’agrippe aussitôt, s’accrochant à moi comme à une bouée de sauvetage. Je comprends ne pas pouvoir l’abandonner à ses angoisses aussi, sans plus réfléchir, je me décide à m’asseoir à ses côtés. Petit à petit, elle se calme mais continue de me serrer le bras à m’en faire mal pourtant, je n’ose ou plutôt je ne songe même pas à essayer de me dégager. Au bout d’un long moment, elle semble s’être endormie. J’essaie de retirer mon bras mais rien à faire, elle me serre toujours aussi fermement. Je tombe de sommeil si bien que finalement, je me décide à m’allonger à ses côtés. Nous sommes tous près l’un de l’autre. De longues secondes s’écoulent. J’entends à sa respiration qu’elle s’est profondément endormie. Je la regarde dans la pénombre si belle et pourtant si fragile. Tout à coup elle se retourne en me libérant de son étreinte. Je peux m’en aller mais au lieu de le faire, inexplicablement, je l’entoure de mes bras dans un élan de tendresse incontrôlé. Elle ronronne en me remerciant d’avoir su répondre présent à un moment où elle en a vraiment besoin puis se rendort. Je ne mets pas longtemps à m’endormir aussi.
Mon sommeil est agité, peuplé des images de nos folies d’antan. Son corps, sa peau, son odeur, ses fesses et sa petite chatte, me hantent. Une main caressant mon visage me réveille peu à peu, j’ouvre les yeux pour découvrir le visage de Jenny pratiquement au-dessus du mien.
– Tu as crié mon prénom en dormant. Ça m’a réveillé et ton sommeil m’a l’air d’être très agité.
Je suis vraiment confus. J’essaie de balbutier de vagues explications, des excuses qui, j’en suis sûr, ne sont guère convaincantes. Elle me sourit puis s’approche de moi pour déposer un baiser sur mes lèvres.
– Merci d’être là. Je comprends que tout cela te perturbe. Moi non plus, je ne sais plus où j’en suis mais je suis heureuse de t’avoir là, à mes côtés, en ce moment.
Nous nous regardons tendrement. Elle dépose un nouveau baiser sur mes lèvres, instinctivement mes bras l’entourent. Nos corps se rapprochent. Un autre baiser plus doux, moins rapide, plus sensuel nous unit. Le temps semble s’être arrêté tout à coup. Encore un autre baiser, nos bouches s’ouvrent, sa langue vient à la rencontre de la mienne. La tendresse que nous éprouvons l’un pour l’autre se transforme en plaisir de la chair. Des gémissements sortent en continue de sa gorge tandis que notre baiser semble ne pas pouvoir s’arrêter. C’est délicieux. Dans un souffle elle me demande :
– J’ai envie d’un gros câlin. Fais-moi l’amour. Je sais que toi aussi t’en as envie. Prends-moi.
Impossible de rester indifférent à cet appel de la chair. Nos corps enlacés roulent sur le lit tout en faisant voler le peu de vêtements qui nous empêchent de sentir nos peaux l’une contre l’autre. T-shirt, slip et culotte, tout vole rapidement au pied du lit, jusqu’à ce qu’enfin, son corps se retrouve sous le mien. D’elle-même, elle écarte ses jambes en me murmurant :
– J’ai envie de toi dans moi. Prends-moi. Fais-moi sentir ta présence. Prouves-moi que je ne rêve pas.
Je bande comme un fou. Nos sexes se frottent l’un à l’autre dans un ballet infernal, sur le point de trouver son apothéose. Mon gland glisse contre ses lèvres, cherchant désespérément l’entrée de ce sexe qu’on lui offre sur un plateau. Des doigts l’entourent tout à coup avant que les miens ne viennent à la rescousse. Je sens qu’on le place dans l’entrée humide et chaude. J’appuie doucement. Les chairs s’ouvrent, m’accueillent et m’enveloppent dans un océan de douceur. Jenny me serrent plus fort dans ses bras en criant :
– Oh oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C’est tellement bon de te sentir glisser en moi.
Je me concentre sur mon sexe et les sensations qu’il me transmet tandis que je m’enfonce millimètre par millimètre dans son écrin de chair. Des mots complètements fous me traversent l’esprit pour manifester tout ce plaisir que je ressens, toute cette tendresse que j’ai envie de lui donner et pourquoi ne pas l’avouer, toute cet amour que j’ai pour elle mais je me retiens, je me retiens de peur de gâcher ce moment incomparable de plénitude et d’union.
C’est tellement bon qu’au bord de la jouissance, je lutte de toutes mes forces pour ne pas exploser et gicler tout de suite comme un jeune puceau à sa première étreinte. Mes tempes bouillonnent. Ma tête aussi. Heureusement Jenny qui sent peut-être mon émoi, se tient totalement immobile. Nous restons un long moment sans bouger, profondément emboités l’un dans l’autre, nous contentant de nous caresser en échangeant des mots qui ressemblent à s’y méprendre à ceux de l’amour.
– Je te sens bien dans mon ventre. J’y ai pensé souvent dans les moments difficiles.
– J’y ai pensé souvent moi aussi. Parfois même en faisant l’amour à une autre, c’est à toi, à ton ventre, tes fesses, ta chatte, ton visage que je pensais.
– J’ai envie d’être à toi maintenant. J’ai envie de t’entendre jouir en recevant ta semence dans mon ventre.
Lentement, je commence à bouger en elle. Elle m’encourage de la voix.
– Oui. Prends-moi. Je suis toute à toi. Fais de moi ta femelle. Fais-moi jouir.
Mon bassin s’anime. Mes mouvements prennent peu à peu de l’amplitude. Je la besogne bientôt franchement, alternant des coups rapides et puissants à d’autres plus amples, plus lents mais beaucoup plus profonds. Elle se contente d’ouvrir toutes grandes ses cuisses sans bouger manifestant son désir d’être à moi, d’être prise, de se donner. Elle écarte ses bras en croix, s’abandonnnant totalement à ma possession. Mon vit s’engouffre en elle puis ressort, déclenchant à chaque fois, des cris de bonheur de ma maîtresse. Mark tout à coup me vient à l’esprit comme un reproche à ce que nous sommes en train de faire mais fort heureusement j’arrive vite à le chasser de ma tête pour me concentrer sur le plaisir que j’ai envie d’offrir à cette femme à laquelle je n’ai jamais cessé de penser. Je la secoue, la caresse, explore son corps, ses seins, ses hanches, son ventre et ce visage presque parfait. Ma bouche va de ses lèvres pour des longs baisers mouillés à ses seins dont les mamelons aux pointes érectiles m’affolent. D’un seul coup elle se raidit, tends ses jambes en vibrant de tout son corps et me crie qu’elle jouit. Je la besogne encore et encore pour l’accompagner jusqu’au bout de son plaisir. Elle me remercie, me dit combien elle est heureuse d’être dans mes bras et se donner à moi comme elle le fait en ce moment. Je n’ai pas joui et quand sa jouissance se fait moins présente je la sens se relâcher lentement tandis qu’elle me caresse le dos et les fesses puis se rendant compte que je suis toujours aussi dur dans son ventre.
– Mais tu n’as pas joui on dirait. J’ai envie de ton sperme dans mon ventre. Donnes-le moi maintenant.
Ses désirs sont des ordres. Je lui souffle ce que j’attends d’elle. Nous nous séparons, elle se retourne pour se mettre à genoux en m’offrant son magnifique postérieur en offrande.
– Comme çà. C’est comme ça que tu me veux maintenant ?
– Oui, exactement comme çà.
Mes mains caressent ses fesses, descendent dans sa raie. Mes doigts palpent sa fente, caressent son anus, reviennent vers l’antre de tous les plaisirs, s’y engouffrent puis ressortent, remontent pour caresser à nouveau des fesses, ses hanches et ses reins. Elle me souffle :
– Prends-moi.
Je l’ajuste doucement puis, d’un coup de reins je m’enfonce en elle jusqu’à la garde, déclenchant un gémissement de satifaction qui me comble, m’incitant à commencer sur le champ mes allers-et-retours. J’admire son cul qui m’a tant fait rêver. Il est maintenant à moi tout entier. Je le tiens dans mes mains, je l’embroche de mon sceptre arrivant à faire crier de plaisir sa propriétaire. J’ai du mal à croire que ce que je vis n’est pas un rêve pourtant ces chairs sous mes doigts, cette peau si douce et si fragile sont bien réels. Ma tête bourdonne de tant de plaisir. Ma vue se trouble tandis que ma partenaire me demande de la prendre plus fort puis me crie de la remplir enfin de ma semence.
C’en est trop. La dernière ligne droite est là. C’est la fin de la course. Un dernier coup de reins et j’explose. Je me vide à grands jets dans le ventre de cet adorable femme, mon ex-maîtresse. Un, deux, trois, quatre puis cinq puissantes giclées montent le long de ma hampe pour se mélanger aux abondantes secrétions intimes tapissant les chairs intimes. Je jouis, jouis a en perdre haleine accueillant à bras ouverts les endorphines du plaisir. Je m’affale, rassasié sur les reins de ma maîtresse qui se laisse glisser à plat ventre sur le lit. Nous savourons un lent mais nécessaire retour au calme, sans bouger, se contentant de nous câliner en nous susurrant des gentillesses.
– Tu me fais trop de bien ?
– Hummm ! C’est grâce à toi plutôt.
– Tu n’as toujours personne ?
– Il n’y a que toi qui occupe toutes mes pensées. Et si j’avais quelqu’un tu peux me croire je serais quand même venu mais il se serait rien passé.
– Ça c’est vraiment gentil et, je sais qu’il ne serait rien passé si tu avais eu quelqu’un.
– C’est comme çà. On ne se refait pas !
– Je suis vraiment contente que tu sois venu tu sais !
– Je viendrais toujours, à chaque fois que tu en auras besoin.
– T’es mon 2ème homme alors ?
– Il le faut bien puisqu’il y en a déjà un et qu’il est mon ami.
– Je t’aime. Oui, je crois bien que je t’aime toi aussi. Tu ne m’en veux pas d’aimer aussi ton ami ?
– Non c’est comme çà mais moi aussi je t’aime. Je t’aime bien plus que je ne devrais.
Le sommeil nous gagne petit à petit. Nous nous endormons finalement dans les bras l’un de l’autre, heureux, satisfaits du plaisir d’être ensemble.

Le lendemain lorsque j’ouvre les yeux. Elle est là, dormant profondément à mes côtés. Ce n’était donc pas un rêve. Je pense à mon ami, à nous, aux conséquenses de ce nouveau débordement s’il apprenait ce qui s’est passé. Je me lève sans faire de bruit pour aller prendre une douche dans la salle d’eau de ma chambre afin de ne pas la réveiller. C’est samedi, elle ne travaille pas et moi je suis en vacances. Pourquoi ne pas la laisser profiter d’une bonne grasse matinée. La douche prise, je décide de préparer le petit déjeuner, puis me souvenant qu’elle adore les viennoiseries, je m’habille en vitesse et cours à la boulangerie que j’avais vu au coin de la rue en arrivant la veille.
Quand je reviens quelques instants plus tard, elle dort toujours mais le drap a glissé, découvrant presqu’entièrement ses fesses magnifiques. Je ne peux m’empêcher de la mater, m’attardant sur ses fesses, le sillon qui les sépare en laissant apparaître son petit oeillet brun, la courbe de ses reins. Elle est vraiment très belle, plus belle encore que dans mes souvenirs les plus fous. Je tire doucement sur le drap pour la découvrir entièrement. Elle s’est positionnée en chien de fusil, une jambe légèrement repliée sous son ventre. J’ai une vue imprenable sur son sexe, ses lèvres intimes. Je peux admirer tout à loisir ce corps où la graisse et la cellulite n’ont pas droit de citer, cette affolante chute de reins sur laquelle de nombreux mâles ont dû se retourner et fantasmer. Je m’intéresse à son petit abricot dont les lèvres légèrement entrouvertes font monter en moi une folle envie de lui faire l’amour.
Elle est toujours aussi belle, à la reflexion bien plus belle qu’avant car ses formes autrefois un peu trop fines sont maintenant celles d’une femme au sommet de sa séduction.
Sa position me refait penser à la première fois où mes mains se sont égarées dans son entrejambe pour faire connaissance avec la douceur de la peau de son ventre, de ses fesses puis de son sexe. Je sens monter en moi le désir de la prendre encore, comme avant quand sa voix me fait réaliser qu’elle s’est réveillée.
– ça te plaît ?
– Tu es magnifique !
– Flatteur en plus. T’as une idée derrière la tête où tu le penses vraiment !
– Les 2 pour être franc.
– Je les trouve trop grosses maintenant.
– Plus appétisssantes je dirais !
J’en profite pour poser une de mes mains sur ses hanches en descendant doucement vers ses fesses. Je la sens frissonner au contact de mes doigts. Je continue mes caresses sans rencontrer la moindre désapprobation de sa part. Mes deux mains courent maintenant sur son corps, explorant le moindre centimètre carré de sa peau, m’attardant sur ses fesses pour les malaxer et les séparer pour me repaître de ses trésors intimes. Elle n’est pas dupe.
– Voyeur !
– Ça m’excite que tu te laisses faire ainsi !
– Je sais et ça m’excite aussi de te laisser t’exciter en te rinçant l’oeil sur ma chatte et entre mes fesses comme tu le fais.
– Justement c’est que ça se voit qui m’excite !
– T’es vraiment un grand vicieux toi ! Tu vas me faire languir longtemps comme çà ?
Je me déshabille rapidement pour me coller à elle et lui faire sentir le désir que j’ai d’elle. Je ne bande pas encore complètement mais mon sexe glissé entre ses deux globes de chair va très vite devenir opérationnel.
Elle ronronne de plaisir en frottant ses fesses d’une manière suggestive contre ma verge. Elle se plaint en me murmurant :
– Je pensais que mon cul t’excitait plus que çà.
– Ne t’inquiètes pas. Tu vas être servie ma chère.
N’y tenant plus je couvre mon gland de salive avant de le faire coulisser dans la vallée offerte, me rapprochant à chaque coup de reins de l’entrée de sa vulve. C’est délicieux. Je fais durer le plaisir de cette lente, très lente progression vers la porte de tous les plaisirs. J’y arrive enfin. Ma belle se cambre, m’invite à poursuivre mes investigations sans plus tarder. Encore une fois ce sont ses doigts qui enserrent mon vit et le font glisser dans l’entrée toute acquise à ma cause. Je m’enfonce en elle. Elle pousse un long gémissement tandis que je sens ses chairs s’ouvrir pour me permettre de la pénétrer de plus en plus profondément. C’est trop bon. Je ne peux m’empêcher de gémir à mon tour. Elle me souffle :
– Tu aimes ?
– Non. Non. J’adore. C’est trop bon. TU es trop bonne.
– Prends-moi. Prends-moi tout au fonds.
– Laisses-toi faire !
C’en est trop. Elle m’excite comme ce n’est pas permis. Je me mets complètement sur elle, la forçant à se mettre à plat ventre puis après avoir immobilisé ses poignets au-dessus de ses épaules, je commence à la besogner.
– Oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiii. Fais de moi tout ce que tu veux !
– Tout ?
– Oui tout.
J’accélère ma possession. Elle se laisse totalement faire. M’encourage à la prendre sans ménagement en me soufflant qu’elle aime çà, me demande de la faire jouir. Il me faut reprendre le contrôle sinon c’est moi qui vais jouir prématurément. J’alterne les coups profonds plus lents et ceux plus rapides mais plus superficiels.
C’est vraiment un délice de la prendre alors qu’elle est totalement offerte, ouverte. Elle jouit très vite, presque trop vite, moins puissament aussi. Elle récupère très vite aussi, bien plus vite qu’elle ne m’en a donné l’habitude. Je n’ai pas joui. Mon regard glisse sur ses reins, ses fesses alanguies, sa raie, son petit anneau brun si attirant. Mes mains courent sur ses courbes. Elle ne bouge pas. J’en profite pour la retourner et la mettre sur le dos. Elle ne dit rien, se laisse faire docilement tandis que j’ouvre ses jambes tout en les ramenant contre sa poitrine. Je la regarde ainsi offerte. Elle est magnifique avec son abricot entrouvert d’où s’échappe un long filet de mouille. Elle me regarde en souriant tandis que ses yeux descendent vers ma verge dressée contre mon ventre. Je m’approche. Elle me sourit toujours. Je pose mon gland dans l’entrée de sa vulve, je m’y enfonce lentement, je ressors. Tout mon gland est luisant de ses sécrétions. Je le pose plus bas sur sa petite corolle brune.
Son regard change tout à coup. Ses beaux yeux s’écarquillent tandis que je lui demande :
– Vraiment tout ?
Elle ferme les yeux pour répondre :
– Oui. Tout. Vraiment tout.
J’appuie fermement en la tenant fermement aux cuisses tandis que je la voie relâcher tous ses muscles. Ses chairs s’ouvrent doucement. Je m’enfonce entre ses fesses lentement. Elle ouvre la bouche comme lorsque l’on est en train de suffoquer. Je m’arrête quelques secondes avant de pousser à nouveau et poursuivre ma conquête de cette antre secrète. Je pousse encore jusqu’à ce qu’enfin les sphincters derrière rempart protecteurs cèdent et me laisse m’engouffrer tout entier dans son anus. Elle ouvre les yeux, affolée, expulsant de sa gorge un cri de douleur marquant s’il en était besoin, que j’étais arrivé au bout de mon entreprise. Je suis en elle, entièrement. Elle halète plus qu’elle ne respire, imitant les jeunes chiots pour atténuer la douleur lanscinante qui lui brûle le rectum. Nos regards se cherchent, se trouvent et s’accrochent. Nos lèvres se joignent puis c’est nos langues qui se caressent, s’épousent et se cajolent pour un long, très long baiser profond. Lorsque nous nous séparons enfin je lui demande :
– Ça va ?
– Tu es gros. Je n’accepte pas souvent çà tu sais !
– J’apprécie beaucoup, énormément même.
– J’espère bien car je n’ai pas permis çà à beaucoup de mecs crois-moi.
Je commence à bouger doucement. Elle se met à haleter comme un petit chiot. Je m’arrêtes.
– Non, non. Ça va aller. N’arrêtes pas.
– Sûr ?
– Tu vas réussir à me faire changer d’avis si tu t’arrêtes maintenant.
Je recommence à bouger doucement en me retirant presque entièrement avant de replonger jusqu’à la garde plusieurs fois de suite. Mon sexe coulisse plus facilement après quelques allers-et-retours. Ça glisse comme dans du beurre. Jennifer vient maintenant à la rencontre de mon vit en faisant des mouvements d’avant en arrière avec son bassin. C’est incroyablement bon d’autant que ma maitresse laisse échapper des gémissements significatifs du plaisir qu’elle éprouve.
– Tu aimes ?
– Oui. N’arrêtes pas. C’est bon maintenant. Prends-moi plus fort.
– Comme çà ?
– Non. Plus fort encore. Défonces-moi.
– Comme çà ?
– Oui. Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii !
Elle a vraiment l’air d’aimer çà. Je la besogne exactement comme si je la prenais par devant. Elle gémit de plus en plus fort. J’aime çà. Ça m’excite de plus en plus d’autant qu’elle m’encourage en usant de mots incroyablement ordurier comme « Encule-moi » « Oui, bourres-moi bien profonds» etc. etc. Cette fille est vraiment d’une incroyable sensualité. Elle m’envoûte jusqu’au plus profond de moi-même. J’accélère encore. La fin approche à grandes enjambées. Nous crions de concert. Je sens aux spasmes de ses sphincters et à la longue plainte qui s’échappe de sa gorge qu’elle est en train de jouir. Ses yeux basculent dans ses orbites pour ne plus laisser apparaître que ce blanc si grisant pour l’amant que je suis mais déjà ma vue se brouille. Je n’en peux plus. Tout explose dans ma tête. La jouissance m’emporte à mon tour. C’est énorme. Les spasmes de plaisir se succèdent, ma semence gicle, c’est la petite mort qui me fauche en pleine extase. Mes forces me quittent tandis que les vagues de la jouissance se font moins puissantes. Je me laisse retomber contre ses jambes, déconnecté du monde des vivants. Le calme revient doucement. Quand j’ouvre les yeux, elle est là devant moi. Son beau regard planté dans le mien. Elle me sourit encore.
Je lui souris, ne sachant pas trop que dire après cette débauche des sens.
– ça t’a plu ?
– Enorme. C’était énorme. Merci. Merci. Merci. Si tu n’étais pas presque mariée je tomberais raide dingue de toi.
– Ça c’est gentil vraiment gentil. Tu as toujours su parler aux femmes toi, enfin à moi surtout.
Nous sommes toujours emboîtés l’un dans l’autre. Je recule doucement pour la libérer de mon poids, de mon sexe planté dans cette partie de son corps qu’elle vient de m’offrir. Elle me laisse faire puis, s’allonge en me tendant ses bras, réclamant après le plaisir, la tendresse bienfaitrice.
– Viens. Viens maintenant me prendre dans tes bras. Tu crois que tu peux faire çà ?
Les paroles sont inutiles. Nous nous enlaçons tendrement avant de nous endormir l’un contre l’autre, oubliant l’espace d’un instant, la voie sans issue dans laquelle nous nous engouffrons.

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