Elisabeth était toute excitée, le chien lui plaisait beaucoup et elle était impatiente de voir comment son fils allait s’en servir auprès de ses femelles. Elle l’aimait si fort son Damien, jamais elle n’aurait imaginé qu’il la comble autant. Qu’elle chance se dit-elle d’avoir eu un fils qui la comprenne si bien, qui la pousse à accepter ce qu’elle était et à s’épanouir en vivant pleinement tous ses désirs. Quel bonheur elle avait de partager tout ça avec lui, son intimité, ses désirs et ses fantasmes. Qu’elle veine qu’il soit si intuitif, si persuasif, si viril et dominateur, si bon amant. Elle aimait son fils à la folie, elle lui permettait tout, acceptait tout de lui, il était son amour, son mâle, son maître.
Arrivés chez eux, Elisabeth prépara un repas rapide tandis que Damien faisait découvrir à Bram leur parc arboré derrière la maison, il lui montra dans un coin ombragé la belle niche spacieuse qu’ils avaient achetée. Elisabeth arriva avec un plateau transportant ce qu’il fallait pour manger et le posa sur leur table de jardin. Il faisait encore de très belle journée en ce début de mois d’octobre et ils avaient eu envie de profiter encore de leur parc tout en permettant à Bram de se défouler après la longue route. C’est ce qu’il fit en gambadant gaiement pendant qu’ils mangeaient. A la fin du repas il vint se coucher près d’eux en soufflant, sa langue légèrement sortie entre ses deux imposantes canines.
« -Je pense qu’il va se plaire ici, il y avait moins d’espace chez Géraldine. »
« -Je pense aussi, tu devrais lui donner à boire, je crois qu’il a soif maman. »
« -Oh oui tu as raison, attends je vais chercher la jolie gamelle chromée que je lui ai achetée. » Elle revint avec et la posa au sol pour la remplir. Bram vint y boire et la vida rapidement. Alors qu’elle était accroupie en train de reverser de l’eau avec la carafe, Bram leva sa tête et lui lécha le visage. Surprise Elisabeth ne bougea pas et le laissa faire. Sa figure fut vite recouverte de bave, Bram selon son habitude s’appliqua ensuite à lécher uniquement la bouche de sa maîtresse. Damien observait attentivement la scène.
« -Ouvre ta bouche maman, embrasse le c’est ce qu’il attend. » Elisabeth avait vu faire son ancienne propriétaire, cette image l’avait troublée et était gravée dans sa mémoire. Elle s’était demandée ce que ça faisait d’embrasser un chien, un embryon d’envie de goûter à l’expérience. Evidemment avec Damien tout devenait plus rapide, les idées qu’elle effleurait, lui les avait déjà bien en tête et voulait les voir se réaliser. Obéissant à son fils, elle s’exécuta lentement. Elle savait d’expérience qu’il décelait et anticipait ce qu’elle désirait alors qu’elle se l’interdisait bêtement. Sa bouche s’entrouvrit, rapidement la langue de Bram y pénétra et ils échangèrent un long baiser. Le chien savait y faire, il ne se servait que d’une partie de sa langue pour ne pas l’étouffer. Il ne la remuait pas trop rapidement, elle était douce et râpeuse à la fois, une délicieuse expérience. Sa truffe lui touchait le bout du nez, elle était un peu froide ce qui contrastait avec la chaleur de sa gueule. Alors qu’elle se reculait pour suspendre ce premier baiser, Elisabeth perdit l’équilibre et bascula vers l’arrière. Elle regarda son fils et ils éclatèrent de rire. Bram lui ne saisit pas le comique de la situation et y vit plutôt un appel à d’autres activités.
Elisabeth se glaça, le chien venait de passer sa tête entre ses cuisses. Elle comprit immédiatement pourquoi à la vue de sa position. Elle avait tendu ses bras vers l’arrière pour éviter de s’affaler sur le dos et en même temps que ses fesses touchaient le sol, ses cuisses s’étaient écartées par simple mouvement naturel. Elle ne portait plus de culotte à la maison depuis que Damien lui en avait intimé l’ordre. Bram avait donc pris sa position pour une invitation ou un ordre à octroyer des coups de langues sur le sexe de sa maîtresse.
En un éclair Elisabeth questionna du regard son fils car elle sentait déjà la truffe de Bram sur ses poils pubiens.
« -Ne bouge pas, laisse le faire. » Sa réponse la paniqua tout en la comblant tant elle avait peur et envie de goûter à cette nouvelle expérience, à ce nouveau péché.
La langue de Bram était sur sa chatte, chaude et humide, la langue du chien et la chatte d’Elisabeth. Il se mit à la lécher, à lui laper la choune avec une vigueur et une rapidité qu’elle n’avait jamais expérimentée. Le plaisir la submergea, elle écarta instinctivement les cuisses au maximum pour lui donner libre accès à toute son intimité. Elle éprouvait tant de félicité qu’elle remarqua à peine son fils qui s’approchait d’elle pour lui relever sa robe afin de profiter au mieux du spectacle. Elisabeth s’allongea et jouit férocement plusieurs fois sous le magique appendice buccal de son chien. Son fils très excité l’embrassa à pleine bouche et lui libera les seins de son chemisier pour jouer avec. Au bout d’un moment le chien remarqua la poitrine aux tétons durcis d’Elisabeth, il quitta la chatte gluante et dégoulinante d’Elisabeth avec l’intention de promener sa langue sur eux, suivant son dressage. Elisabeth émit un bruit de désapprobation en ne sentant plus les longs et durs lapements de Bram. Elle fut surprise de le découvrir en rouvrant ses yeux en train de s’intéresser à ses mamelles. Damien affichait un sourire bienveillant et sa mère laissa donc le molosse lui baver sur les nichons et lui mordiller les tétons. Elle remarqua alors la tige écarlate qui pendait entre les pattes massives de l’a****l. Tentée et sans plus aucune pudeur elle avança sa main et la caressa avec délicatesse. Elle était souple, vibrante et pleine de chaleur. Bram gémit de joie sous l’effet de sa paume et de ses doigts. Elisabeth s’enhardit à la faire toucher son sexe puis à l’y faire glisser dessus. Elle l’y appuyait fermement, la passant entre les renflements de sa motte, ses lèvres vaginales s’ouvraient comme une fleur au passage de la pine canine. Le chibre de Bram fut bientôt humidifié de sa cyprine. C’est alors que Damien lui tira les cheveux en arrière.
« -Pas touche à ça maman, c’est pas pour toi. La seule bite que tu dois servir c’est la mienne. »
« -Pardon mon fils, j’étais si excitée, si intriguée… »
« -Tu es une véritable chienne ma parole, plus rien ne t’arrête. »
« -Pardon, j’ai cru que c’est ce que tu voulais. »
« -Je veux que tu joues à t’exciter avec lui, qu’il te lèche comme le font mes autres femelles pour te donner du plaisir. Mais je suis le seul à pouvoir te baiser, tu n’as le droit de toucher que ma bite. C’est compris ? »
« -C’est compris Damien mon amour. Seule ta bite peut me prendre, seule la bite de mon maître peut me toucher. » Approuva Elisabeth en relâchant le pénis du chien.
« -Parfait maman chérie, j’aime mieux ça. En tout cas tu nous l’a excité à mort le petit Bram, il va la défoncer à Béatrice. »
« -Hummm ! Oui, moi aussi j’ai besoin de prendre des grands coups de bite mon bébé. Je suis très chaude maintenant. J’ai envie que tu me défonces la chatte, que tu me baises comme une grosse chienne. »
« -Je vais te troncher maman, tu m’excites trop recouverte de la salive du clebs. On va baiser comme des bêtes, ça va être crade et immonde. »
« -Oui, mais allons dans la chambre, il faut que le toutou se calme. »
Le week-end suivant Béatrice et Marlène furent de nouveau conviées chez Elisabeth et Damien. Claire et Sophie avaient platoniquement rencontré Bram la veille et si l’aînée était restée quelque peu distante, la prof de Damien avait de suite trouvé de la complicité avec l’a****l.
En ce début d’après-midi Damien était bien. Debout et nu dans son salon, sa superbe petite amie rouquine lui léchait goulûment les couilles tandis que la mère de celle-ci tout aussi appétissante et rousse lui suçait le dard avec expertise. Sa jolie prof blonde lui bouffait le trou du cul d’un entrain certain et sa sœur aux cheveux d’or s’occupait d’une langue avisée de ses tétons. Sa propre mère, une divinité à la toison ébène l’embrassait de sa langue suave. Toutes ses femmes étaient nues et prêtes à s’offrir à lui, à assouvir le moindre des ses fantasmes pervers.
Il était d’ailleurs temps d’en concrétiser un particulièrement dépravé et contre nature. Il fit un signe à sa mère qui s’éclipsa. Damien s’installa alors sur le canapé avec Marlène d’un côté et Sophie de l’autre, leur caressant les seins distraitement. A genoux devant lui Claire et Béatrice s’occupant de sa bite avec leurs bouches. C’est alors qu’Elisabeth fit une apparition éblouissante.
Celle d’une déesse de l’érotisme et de la dépravation. Montée sur des escarpins en cuir aussi sombres qu’une nuit sans lune, ses sublimes jambes serties dans un porte-jarretelles du même obscur coloris, elle s’avançait en mêlant la souplesse de la panthère noire et la fierté d’un pur-sang. Sa poitrine harmonieuse et ferme oscillait à peine sous la virtuosité de son déplacement. Seuls ses tétons vermeils trahissaient son intense excitation. Son merveilleux visage laiteux où étincelaient ses yeux de saphir était impassible comme il se doit chez une impératrice du vice. La luisante noirceur de ses cheveux bouclés resplendissait sur ses épaules pâles en ondulant au rythme de ses pas. Elle arborait à son cou gracile l’épais collier ténébreux et chromé de chienne. Telle la reine des succubes elle apportait à son maître l’ultime offrande, l’extrême perversité.
Tenant en laisse la bête puissante, elle s’arrêta devant eux. Bram était affamé à la vision de tant de chairs offertes, provoqué par les senteurs de si nombreux et brûlants effluves vaginaux. Il tirait sur sa laisse en gémissant, mais une main ferme et délicate le retenait.
Béatrice avait les yeux exorbités et remplis de frayeurs, ceux de sa fille exhalaient l’impatience et la férocité, ceux de Claire étaient enfiévrés. La mère de Damien rassura la femelle rousse.
« -N’aie pas peur Béa, il est imposant mais très doux. Il va commencer avec sa langue, tu vas voir, tu vas adorer. »
« -Allez Béatrice, mets toi à quatre pattes que mon chien te lèche le cul. » Ordonna Damien
« – Oui maman, montre-nous que tu es une vraie chienne et offre toi à cet a****l. »
Béatrice mit son remarquable corps de femme mûre dans la position demandée en tremblant. Ses beaux seins se maintenaient parfaitement dans cette position et son ventre plat à peine strié par les marques du temps se rebondit à peine. Elisabeth laissa approcher le chien qui aussitôt se mit à lécher la chatte de celle qu’on lui présentait. En quelques coups de langue les poils roux de Béatrice furent imbibés de salive canine. Mouillés et collants ils prirent une teinte encore plus calcinée. Bientôt la résistance de Béatrice s’estompa sous les merveilleux coups de langue de Bram. La fente de Béa s’ouvrit en sécrétant un jus abondant qui encouragea le canidé. Sa grosse et large langue râpeuse englobait toute la surface du sexe de la mère de Marlène, il la mouvait avec tant de force, de rapidité et adresse qu’il lui semblait l’avoir en continu sur ses chairs. Le plaisir afflua, un plaisir primaire qui fit abandonner toute inquiétude et toute honte à Béatrice. Elle avait eu si peur d’être humiliée devant eux, de servir de simple spectacle, mais elle comprenait maintenant quel cadeau et quel honneur lui faisait Damien. Elle se livra alors sans complexe à cet acte bestial en gémissant et en incitant la bête.
« -Oui vas-y le chien, lèche moi la chatte. Lèche moi bien, qu’elle est bonne ta grosse langue. »
« – Vas-y Bram, bouffe la moule de ma mère, régale toi de ta chienne. Tu vois elle aime ça, elle en redemande. »
Béatrice se fit lécher très longuement et jouit à plusieurs reprises. Sa fille fut si excitée par cette scène qu’elle demanda à son chéri de la baiser devant ce spectacle obscène. Claire était mourante d’envie et vint auprès de Béatrice pour l’embrasser et participer à son plaisir.
« -C’est bon Béatrice ? »
« -Oh Claire, c’est merveilleux, c’est le truc le plus dément que j’ai jamais ressenti. »
Sophie suçait le fion de Damien qui baisait sa petite amie en levrette, Marlène avait le visage juste devant le cul de sa mère et distinguait les moindres détails de ce cunnilingus bestial. Damien aussi se régalait du spectacle échangeait de fréquents regards de complicité avec sa mère.
« -Il est temps de voir si ce bon chien est capable de saillir correctement une femelle. » Décida Damien.
« -Oh mon dieu, je ne sais pas si je peux. » S’interrogea Béatrice, sortie de sa voluptueuse léthargie par les paroles du jeune ado.
« -Pourquoi, il ne t’a pas fait du bien jusqu’à présent ? » questionna Elisabeth.
« -Oh que si, mais tout de même de là à ce qu’il… me prenne. »
« -Ne fais pas ta mijaurée maman, tout le monde ici voit bien que tu n’as envie que de ça ! Alors tu vas te faire baiser par ce chien, devant nous et tout de suite ! »
« -N’aie crainte Béa, nous sommes là pour tout arrêter si ça ne va pas et je reste à côté de toi. » lui murmura Claire.
« -Bon, bon d’accord. » Céda Béatrice à demi rassurée, à demi incitée.
« -Va Bram, baise ta chienne ! » Ordonna Elisabeth.
Aussitôt Bram sauta sur le dos de la belle rousse, personne ne l’avait remarqué jusqu’alors mais il avait des chaussettes de la même couleur que son pelage à ses pattes avant, un conseil de Géraldine. Fruit d’une grande expérience, le chien ne tarda pas à trouver l’entrée du sexe de Béatrice. Il bandait vaillamment et la taille de son pénis n’avait rien à envier à celle de Damien. Il pénétra la mère de Marlène d’un coup sec, celle-ci largement dilatée et humidifiée par le long cunnilingus canin n’en ressentit aucun malaise. Ce fut même un plaisir nouveau et intense qui se diffusa dans ses chairs. La cadence et la puissance des coups de reins du molosse la secouèrent comme une poupée de chiffon mais lui procurèrent également des dizaines de minis orgasmes. Sa fille ne pouvant se retenir quitta la bite de Damien et empoignant la chevelure de feu de sa mère lui planta le visage dans sa chatte trempée.
« -Bouffe moi la moule sale pute. Tu es une chienne, une pute, une putain de zoophile i****tueuse. Tu te fais tringler par un clébard et tu lèches la chatte de ta fille en même temps. HAAAAAA !!! Sale pute, sale chienne ! Allez lèche moi la touffe, enfonce ta langue de salope dans la minette de ta propre fille et lèche-la ! » Marlène était déchainée, voir sa mère se faire saillir par le chien l’avait emmenée au paroxysme de l’excitation, elle avait envie d’être abjecte et diabolique.
Elisabeth attrapa Sophie par son collier et la traina derrière le chien. Elle avait une petite revanche à prendre sur cette esclave qui avait osé lui inspirer de la pitié.
« -Lèche la chatte et la bite de Bram pendant qu’ils baisent chienne ! » Sophie récalcitrante se rebiffa, après une gifle elle s’exécuta. Allongée sous Béatrice elle promena sa langue sur son clito. La jolie rousse gémit sous l’effet de ce nouveau plaisir. Comme Sophie se contentait de faire cela, Elisabeth appuya son pied sur sa chatte épilée. La jolie blonde comprit le message et glissa immédiatement sa langue le long de la tige de Bram. Elle appréciait très modérément la zoophilie mais elle adorait se faire soumettre par la force et ça compensait largement la répulsion qu’elle avait à lécher la bite de ce chien. Elisabeth garda son pied là où il était pour s’assurer de son assiduité. Sophie s’appliqua, alors la mère de Damien s’amusa à glisser son orteil dans la fente trempée de Sophie, puis elle la laissa pour aller chercher sa sœur. Elle l’attrapa elle aussi par le collier, bien plus docile et consentante elle obtempéra immédiatement quand elle lui ordonna d’embrasser le chien. Claire fit quelques bises sur son museau puis sur ses dents et sa langue. Bram se mit à lui lécher la bouche alors elle ouvrit la sienne et sa grosse langue y entra. Il lui roula d’énormes pelles qu’elle accompagna da sa petite langue. Elle eut la bouche pleine de sa salive si bien qu’il en dégoulina le long de son menton. Elisabeth l’emmena alors de l’autre côté du chien, la mettant à genoux entre les jambes de Sophie pour lui faire lécher la chatte de sa sœur. Elisabeth imprégnée de perversion souleva la queue de l’a****l et de lui intima l’ordre de lui lécher le trou du cul. Claire la regarda d’un air surpris, puis docilement posa ses lèvres sur le rectum du chien et lui embrassa, ensuite elle sortit sa jolie langue rose et entreprit de lui lécher la rondelle. Damien se leva pour admirer l’idée immonde de sa mère.
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