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Mature d’été

Mature d’été



Cette histoire s’est passée il y a quelques années durant un été particulièrement chaud.

J’étais en Espagne avec quelques amis durant le mois de juillet. Je devais rentrer avant eux à Paris pour le travail et le dernier jour, nous quittâmes notre villa de location et nos chemins se séparèrent, eux, continuant leur périple vers le sud du pays. Ce jour là, J’arrivais à l’aéroport avec mes deux heures d’avance habituelles, afin d’avoir le temps de prendre un repas frugal.

Assis dans un des sièges du terminal, je lisais machinalement mon journal quand j’aperçus une très jolie brune d’une cinquantaine d’années, qui venait de s’assoir face à moi. Mes lunettes de soleil me permettaient de la déshabiller totalement du regard. Sa jolie jupe lui arrivait à mi cuisses et elle semblait intégralement bronzée. Elle portait des sandales montantes qui maintenaient de très beaux pieds fins. Son vernis rouge était minutieusement appliqué que ce soit sur ses orteils ou sur ses doigts. Elle regardait son portable avec un air amusé, ses jolies boucles noires retombant gracieusement sur ses oreilles. Sa petite bouche était également ornée d’un rouge à lèvres rouge léger. Je devinais facilement ses courbes avec cette courte jupe moulante. Elle avait une jolie poitrine ni trop grosse, ni trop petite. Quand elle se leva pour regarder le tableau d’affichage des vols, je m’attardai sur son cul. Il était parfait, assez rebondi et très bien dessiné. Ses hanches larges contribuaient à ce merveilleux spectacle.

Notre vol fut annulé. Grève du personnel.

La ruée vers les guichets fut impressionnante, les gens se bousculaient littéralement pour être les premiers à avoir un complément d’information. Je restai calme vu qu’il n’y avait aucun vol avant demain. Mon nouveau fantasme aussi apparemment. Elle n’avait pas levé les yeux de son téléphone et faisait une petite moue délicieuse avec sa bouche. J’entrepris alors de réserver mon hôtel avant qu’il ne soit trop tard. Je sorti mon téléphone et me mis à la recherche d’un endroit où dormir.

« Excusez –moi ? Vous pouvez m’aider ? »

La brunette s’adressait à moi, en me montrant son téléphone. Ses yeux verts illuminaient mon cœur, son sourire était une ode au baiser.

« Oui, bien sûr »

Elle m’expliqua qu’elle voulait réserver un hôtel mais qu’elle n’était pas très douée avec son téléphone. A ce moment là, je sentis le mien vibrer dans ma poche… plus de batterie… Je lui montrai alors sur quel site aller pour la réservation. Elle eu un coup de cœur pour un hôtel à moins d’un kilomètre de l’aéroport. Je lui demandai alors de me réserver une chambre aussi. Vu qu’elle était devenue soudainement très à l’aise avec la technologie (grâce à mes soins) je la laissai réserver pour moi.

« C’est bon ! On partage le taxi ? »
………………

Nous arrivâmes à l’hôtel. Visiblement, quelqu’un n’avait pas correctement fait son travail. Il n’y avait pas deux chambres de réservées mais une seule. Et tout l’hôtel était complet. Le réceptionniste soutenait qu’une seule réservation avait été effectuée, il était formel.

Bug informatique sans doute. Ou bien, mon fantasme prenait vie… Elle l’avait fait exprès…

Elle était désolée que nous ayons à nous partager la chambre (Alors que moi je jubilais…). La porte s’ouvrit. Un seul lit double. Nous nous regardâmes et un fou rire nous pris. Elle avait rougi et je le remarquais malgré son teint halé. La climatisation était en panne et la température devait atteindre les 27 degrés dans la chambre. Elle partit prendre sa douche pendant que j’ôtai ma chemise trempée. Je m’allongeai alors sur le lit en short et torse nu.

Dix minutes plus tard, elle sortit de la salle de bain en nuisette rose. Elle s’accroupit pour mettre son téléphone en charge et je constatai alors qu’elle n’avait pas de culotte le haut de ses cuisses m’étant parfaitement visible. Je me levai pour aller me doucher à mon tour, elle se redressa à ce moment là. Me barrant inconsciemment la route, elle me sourit une fois de trop et nous restâmes figés quelques secondes à nous contempler.

Je l’embrassai soudainement et plongea ma langue dans sa bouche. Malgré sa surprise, elle gémit. Elle semblait fiévreuse tant son corps était chaud. Nerveusement, elle tournait sa langue au fond de ma bouche en ne se savant que faire de ses mains. Elle ne semblait pas tout à fait à l’aise avec ses envies. Ma main palpait ses fesses et mes doigts glissaient le long de sa fente totalement glissante. Elle était inondée de mouille. L’une de ses mains était posée sur mon torse et l’autre baissa ma braguette et sorti ma verge extrêmement gonflée. Sa petite main tentait de me branler convenablement même si ses doigts n’arrivaient pas à faire le tour de ma queue. Je glissai deux doigts au fond de son vagin. Nos langues étaient entrelacées dans un mélange de bave et de sueur.
Je fis descendre sa nuisette rapidement (ainsi que mon short) et nous nous retrouvâmes alors tous les deux nus, englué l’un à l’autre, mes doigts dans sa chatte touffue, les siens autour de mon sexe.
J’avais envie de contempler ce magnifique cul que j’avais aperçu à l’aéroport. Je me glissai alors dans son dos et la serra en glissant ma verge contre sa raie. Nous nous embrassions encore, de manière plus sensuelle et moins mécanique désormais. Je la poussa doucement sur le lit.

A quatre pattes, elle était plus que désirable. Son corps était intégralement bronzé excepté ses seins et ses fesses restés pâles. Je commençai à lui baiser la nuque lentement, mon sexe bandé collé à son pubis trempé. Mes baisers couvrirent son dos et ses grains de beauté mutins. Je descendais doucement le long de ses épaules. En arrivant à sa croupe, ma bouche laissa place à ma langue : je léchais minutieusement sa colonne en descendant vers son cul. Lorsque j’atteignis sa raie, elle gémit doucement et se cambra, écartant de ce de fait ses délicieuses fesses blanches pour m’offrir une vue intégrale sur ses deux trous luisant. Je repris mon chemin lentement, ma langue glissa sur sa raie et vint trouver son petit trou. Je la sentis tressaillir, elle ne devait pas être habituée à se faire lécher ici. L’une de mes mains caressait sa jambe et sa cuisse magnifiquement galbé, tandis que mon autre main masturbait délicatement la belle. Ma langue s’affairait toujours sur son anus rétracté. Je la lapais. Je décidai de forcer un peu les choses et j’enfonçai, sans la prévenir ma langue au fond de ses entrailles. Elle eut un sursaut mais se laissa calmement faire, gémissant de plus en plus fort. Je fis de nombreux aller retour avant que son trou fut parfaitement dilaté. Elle était prête. Ma seule inquiétude était la largeur de mon sexe et la taille de son orifice: elle avait un cul plutôt resserré et mon sexe était proéminent. Quand je me redressa, elle gémissait encore, son corps était devenu moite, sa peau était recouverte d’une fine pellicule de sueur, elle gouttait littéralement des seins. Je sentais qu’elle voulait se faire prendre par l’arrière et je compris également que c’était la première fois. Je me redressa et me positionna exactement derrière elle… elle cambrait son cul, faisant de petits mouvement d’avant vers l’arrière en murmurant « …vas-y… baise moi… ». Elle était dans un état de relâchement total. Sa peau bronzée m’excitait tellement… Je pris mon sexe à la base et le décalotta complètement. Je me mis à genoux et colla ma queue contre ses petites lèvres ruisselantes de mouille, histoire de bien la lubrifier. Ses gémissements continuaient, elle eu même l’audace de m’att****r les couilles et de me les malaxer ce qui n’était pas simple dans sa position. Je présentai alors ma bite à l’entrée de son anus en collant mon gland à son cul.

« …Attend, … je ne… ne …sais pas si…je… »

. Elle n’eue pas le temps de finir sa phrase : ma queue était déjà à moitié rentrée. Je ne pensais pas que ce serait si simple mais elle semblait alors extrêmement dilatée. Ce fut la première fois que j’entendis ce long râle de surprise et d’excitation sorti du fond de sa gorge. Je forçais délicatement les dernières résistances et enfonçais intégralement mon sexe tendu dans son cul chaud. Je fis quelques allers retours délicat pour l’habituer la raideur de mon sexe au fond de son intimité, puis accéléra le mouvement, l’empalant pour de bon, sortant totalement ma queue pour la lui re-rentrer d’un trait jusqu’aux couilles. Ma main tâtait et malaxait ses seins moites qui continuaient à suer intensément. Mon autre main était à moitié enfoncée dans sa bouche ; elle mordillait et suçait trois de mes doigts. Je l’entendis brusquement haleter étrangement et au bout de vingt pauvres aller retour, un râle énorme sortit de sa gorge, on aurait dit un a****l. Je sentis de nombreux mouvements autour de ma queue, son cul alternant de fortes contractions suivis de d’intenses moments de dilatation. Je continuai de la défoncer sauvagement, mes couilles claquant contre ses lèvres, et ses râles s’estompèrent peu à peu. Elle avait eu un phénoménal orgasme en s’étant faite sodomisé pour la première fois. Cette pensée m’excita d’avantage et j’accélérai le mouvement, mon gland gonflé pilonnant ses muqueuses. Au bout d’une minute de va et vient elle attrapa mon sexe à la base pour l’empêcher de rentrer encore.

« Arrête s’il te plait… ça fait mal maintenant… »

J’étais proche du but et consciente de cet état, elle se redressa et se retourna vers moi. Je me mis à genoux en lui faisant face. Elle agrippa ma bite et me branla chaotiquement, sa petite main ayant du mal à faire le tour de mon sexe. Elle y mettait beaucoup d’énergie. Je lui caressai la bouche et pris doucement sa tête pour l’abaisser jusqu’à ma bite. Elle ne rechignait même pas à pomper un chibre fraichement sorti de son cul. Cette jolie femme mure n’avait décidément que peu de tabous. Elle se mit à l’œuvre avec beaucoup d’entrain, une de ses mains me palpant les couilles et l’autre branlant délicatement la base de mon sexe. Sa langue passait nerveusement contre toutes les aspérités de mon gland et nettoyait totalement mon frein. Au bout de quelques secondes, elle me prit en bouche, de forts bruits de succion venant rompre le bruit mes gémissements. Sa petite bouche était déformée par ma queue, elle peinait à prendre la moitié de mon sexe. Elle trouva son rythme et devint régulière dans sa pompe, sa langue maladroite léchait avec rapidité toutes les parties qu’elle trouvait.
Tout mon corps s’électrifia et je sentis monter de mes couilles une gigantesque vague. Elle, continuait de me sucer le gland avec application et régularité, sa langue tournoyant autour de mon sexe de manière nerveuse. Elle voulait vraiment bien faire et sa maladresse m’excita encore plus. Je décidai de ne pas lui dire que j’allais tout lui envoyer dans la bouche. Elle s’attarda sur mon frein avec le bout de sa langue pendant que ses lèvres enserraient la base de mon gland. Un jet soutenu et extrêmement puissant vint lui éclabousser la gorge. Elle s’étrangla avant de tousser, les yeux écarquillés. Les deux giclées suivantes explosèrent sur ses cheveux, laissant de longues trainées blanches sur ses jolies boucles noires et sur son front moite. Alors qu’elle reprenait à peine son souffle, elle tendit sa main face à mon sexe pour se protéger le visage mais un long jet furtif vint à ricocher contre ses doigts et ses bagues pour venir terminer contre ses lèvres et son nez. Elle détourna la tête me permettant de lui arroser copieusement les seins. Quand j’eu finis elle me jeta un regard noir. Elle était couverte de sperme et de sueur, ses cheveux à moitié collés. De la bave coulait encore par la commissure de ses lèvres. Son pubis était trempé et ses poils en bataille. Ses tétons encore raides luisaient. Elle se leva sans un mot et retourna à la douche légèrement honteuse de s’être faite traitée de la sorte.

Le lendemain matin, nous fîmes les choses de manière moins sauvage et plus classique. Elle me réveilla en me léchant délicatement les couilles. Elle remonta jusqu’au sommet de mon gland et me prit dans sa bouche. Décidé à profiter encore d’elle, j’enfonçais légèrement ma queue au plus profond de gorge en lui tenant la tête. Elle avait du mal à déglutir, sa petite bouche étant totalement occupée. Elle se redressa et prit les choses en main. Elle attrapa mon sexe à sa base et le décalotta entièrement. J’étais allongé sur le dos. Elle vint me chevaucher dans cette position en introduisant mon sexe au plus profond d’elle. Je ne fis alors aucun mouvement. Elle s’occupa de tout comme pour prendre sa revanche sur hier soir… son buste allait et venait contre moi, ses seins claquaient contre mon visage. Elle s’empalait de plus en plus rapidement sur moi en poussant de petits cris stridents. Je jouis bien avant elle, n’en pouvant plus de voir et de sentir ses seins s’agiter sous mon nez. Lorsque ce fut son tour, elle ouvrit grand sa bouche et poussa de courts râles entrecoupés de gémissements. Elle s’étala alors sur moi, ses boucles brunes contre mon torse…
…….

Je la revis quelques années plus tard à Paris. Elle travaillait dans une bijouterie ou j’avais emmené une ex à moi. Pendant que ma copine admirait les bagues dans la boutique, ma brune me reconnut et me sourit. Elle n’avait que très peu vieilli, gardant toujours ce côté fougueux. Elle inséra un doigt dans sa bouche et le suça pendant quelques secondes. Je lui fis un petit clin d’œil et alla rejoindre ma copine trop occupée à regarder les bracelets pour s’apercevoir de quoique ce soit.

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