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La reine Margo – 2

La reine Margo – 2



La petite vicieuse

En avançant silencieusement dans l’un des nombreux passages secrets du château, tenant une petite lampe tempête a bout de bras, je me sentais fébrile et surexciter, car j’entendais au loin, les gémissements bien reconnaissables de ma sœur qui était en train de baiser avec un jeune soldat. Elle était dans l’une des chambres de cet étage comme je le soupçonnais, probablement celle qu’elle prenait habituellement quand elle me rendait visite. Sentant la pierre humide sous mes pieds et mes gros seins qui se balançait mollement, je me sentais trop bien a me balader a poil comme ça dans ces couloirs sombres et poussiéreux et j’étais surexcité, car j’allais assouvir mon vice préférer, le voyeurisme. Rien ne me faisait mouiller plus que de regarder les autres baisers si ce n’est d’être à mon tour observer. J’avais découvert ça en espionnant mes parents à la ferme avec ma sœur, plus jeune, qui aimait se rincer l’œil tout autant que moi. Un vice de famille, j’imagine.

Il faisait chaud et humide depuis près d’une semaine, mais ce soir c’était pire que tout parce qu’un orage violent venait d’éclater. J’avais l’impression de respirer de la vapeur en essuyant sans cesse de la sueur perlant sur mon corps et quand le tonnerre grondait faisant trembler les pierres du château il couvrait les gémissements de plus en plus aigus de Jeanne.

J’arrivai enfin dans le couloir de brique qui longeait les chambres d’amis du deuxième. Mais avant d’aller reluquer ma sœur, je stopper devant le premier petit panneau de bois qui se trouvait juste à hauteur de mes yeux. Un panneau de 6 pouces par 6 pouces avec deux pentures et une poignée. Il y en avait plusieurs à égale distance sur ce mur. Je l’ouvris, il cachait une ouverture dans la brique avec un trou au centre boucher par un bouchon de liège que l’enlever pour y placer un œil. Je voulais m’assurer que ma nièce était bien couchée comme je l’avais ordonné et seule. Le trou me donna une vue en plongée de son lit à travers une tapisserie. Je ne fus pas vraiment surprise de la trouver allonger sur le dos avec sa chemise de nuit remonter sous le menton, dévoilant ses petits seins et son corps maigrichon d’adolescente, jambes écarter, a ce donner du plaisir avec un cierge étroit au bout arrondit a la lueur d’une lampe de chevet. Et à la voir grimacer et à voir ses petits orteils tout croche, elle devait être sur le point de jouir. C’était mignon comme tout.

« La petite vicieuse, » me dis-je en souriant.

De la voir faire me rappelait qu’a son âge, juste avant de me marier, je faisais la même chose dans mon lit pendant que ma sœur dormait contre moi, soit avec une bougie moi aussi, soit avec une courge volé a la cuisine, ou tout ce que je pouvais trouver en fait qui avait la bonne forme, que de plaisir cela m’avait procuré. A force de me voir faire parce que mes gémissements la réveillaient parfois, Jeanne avait vite voulu essayer a son tour, puis on c’était mis a le faire tout le deux, en ce caressant, se frottant l’une contre l’autre sous les draps, se masturbant l’une et l’autre en se donnant de petits baisers. Nous étions des adolescentes maigres avec de tout petits seins à l’époque, tout comme ma nièce. Souvent on le faisait en parlant du gros vit de notre père et de ces couilles que l’on voyait valser souvent quand il sautait notre mère dans la maison, la grange ou les champs sans savoir qu’on les espionnait en souriant. On avait tellement hâte d’être de connaître ça avec de beaux garçons. Malheureusement les seuls beaux garçons du coin étaient deux de nos cousins a l’époque, de sacré vicieux boutonneux ceux-là qui nous avait fait perdre notre virginité dans un champ moi et ma sœur en même temps, épaule contre épaule a essayer en vain d’avoir du plaisir. Elle et moi on partageait tout depuis ce temps, amour et amant et nos secrets les plus intimes.

A voir comment ça fille maintenant ce l’enfonçait profond et rapidement en se caressant les tétons de l’autre main, je compris que ma nièce avait peut-être perdu elle aussi sa virginité comme pour bien des filles de son âge. Au moins, elle était seule dans son lit, si ma sœur l’avait surprise avec un garçon, quel savon elle m’avait passé, car ma nièce était déjà promise à un jeune marchand ? Un grand mariage était prévu, ici au château, pour l’an prochain.

Elle tenait le cierge juste avec le pouce et l’index en le faisait aller et venir rapidement, mais aussi en le tournant et la cire jaunâtre reluisait de déjection vaginale a la lueur de la lampe poser sur un coffre près du lit. J’en déduis que ce n’était pas une première pour elle, elle semblait même devenue très habile à se passer quelque chose dans la fente. Je savais trop bien ce qu’elle devait ressentir à ce moment. Mais a quoi ou a qui pensait-elle ? Qu’est-ce qui l’avait poussé à se masturber et se passer une chandelle dans le con ce soir ? A moi et aux soubrettes nues qui nous avaient lavés tout à l’heure dans le bain, a l’orgasme qu’elles m’avaient vue avoir en me faisant frotter le con avec une éponge, a sa mère en train de baiser avec un jeune soldat ou a un amoureux de son âge qui l’avait tripoté ou même baiser ? Elle se tortillait maintenant en se lamentant de plus en plus en se lâchant les seins pour se branler habilement en faisant des cercles sur son pubis à peine poilu sans cesser de se pistonner avec le cierge. Je me demandais si c’était sa mère ou une amie qui lui avait montré comment se donner du plaisir, ou si, comme moi et Jeanne, elle aimait espionner.

J’eus la chair de poule malgré la chaleur en regardant Maria jouir finalement, le souffle couper, son jeune et beau visage déformer par le plaisir, les cuisses refermer. Trop mignon de la voir comme ça, bouche ouverte a se plaindre comme si elle souffrait terriblement la pauvre, les orteils encore plus croche que toute a l’heure. Mais soudain elle se redressa et s’agrippa le gros orteil du pied gauche à deux mains qui était resté toutes replier en disant ;

-Outch ! Ayoye ! Maudit orteil de maudit !

Je dus plaquer une main sur ma bouche pour ne pas qu’elle m’entende rire, tandis qu’elle se laissait tomber dur le dos, le pied ramener sur son ventre pour se masser l’orteil vigoureusement avec toujours le cierge dans le con qui c’était casé en deux quand elle c’était redressé. Je deviner qu’elle avait une crampe. Cela arrivait souvent à ça mère en baisant.

Je remis le bouchon en place en riant toujours et refermer le panneau doucement en me doutait bien qu’elle allait recommencer dès la petite crampe passée, avec un nouveau cierge. C’est l’un des rares avantages à être une fille, on peut jouir plusieurs fois de suite. Je passer à l’autre chambre, celle où ma sœur avait emmené son jeune amant. J’adorais voir ma sœur baiser, car, malgré quelques années de différence, nous étions pratiquement jumelles, identiques en tout point. Ça me donnait l’impression de me regarder baiser et ça m’excitait drôlement, même plus que lorsque nous baisions des hommes ou des femmes ensemble quand elle venait assister au festival. Comme je le disais, regarder a toujours été mon plus grand vice et ici, dans ces couloirs sombres et poussiéreux, je pouvais l’assouvir à volonté. Malheureusement, il y avait des tas de toile d’araignée et je déteste ces satanées bestioles. Chaque fois qu’une goûte de sueur perlait sur mon corps je paniquais a l’idée que ce soit une araignée.

J’ ouvris l’autre panneau et enlever un autre bouchon en éloignant la lampe du trou pour ne pas que la lumière me trahisse et… personne. J’entendais bien ma sœur gémir pourtant et je compris qu’elle était dans la chambre suivante. J’allais remettre le bouchon quand la porte de la chambre s’ouvrit. Je vis le capitaine de ma garde personnel entré en tenant un bougeoir qu’il déposa sur une table, Rutack. Il était déjà nu et en érection et se branlait dans la pénombre en attendant visiblement quelqu’un. Je ne pus empêcher ma main de descendre sur mon sexe en l’admirant sentant ma toison me chatouiller les doigts. Un bel homme dans la quarantaine solidement charpenter grand et mince avec de longs cheveux noirs toujours attacher en queue de cheval, avec un bouc grisonnant au menton. Il avait un long vit recourbé vers le haut et une grosse paire de couilles pendante que j’avais gobée si souvent. Un amant vigoureux, avec une belle musculature qui baisait vraiment bien, mais trop brutal parfois quand il avait bu.

L’œil river au trou dans le mur, j’attendis, fébrile, pour voir qui allait rejoindre mon capitaine en me masturbant lentement, un doigt en avant, touchant mes grandes lèvres humides, le regard river sur sa main qui allait et venait sur son beau sexe veiner avec un long prépuce. C’est toujours excitant de voir un bel homme se branler en se palpant les couilles alors je profiter du spectacle en agaçant mon clitoris ou en me passant un doigt dans le vagin bien mouiller en retenant déjà mes gémissements, mais ça, j’en avais l’habitude dans ces couloirs sombres.

Puis, quelqu’un entra, je ne vis qu’une hombre féminine, puis la porte fut refermée et une femme apparut, en chemise de nuit, que je reconnus aussitôt. La femme d’un riche marchand venu pour le carnaval, plus très jeune elle aussi, mais encore fort belle avec qui j’avais baisé pas plus tard qu’hier. Elle regarda la bite en se débarrassant de ça chemise de nuit et je put admirer a nouveau son corps magnifique aux courbes parfaites ; de longs cheveux bruns tresser, de beaux gros seins pendant très bas aux gros mamelons tendus, une toison noire et fournie s’étendant jusqu’au cul et jolie de visage. Mon capitaine lâcha on sexe en la dévorant des yeux et, sans rien dire, lui pesa sur l’épaule. Elle ce mit alors à genoux et attrapa la verge pour l’agacer du bout de la langue, la lécher tout du long, puis les couilles qu’elle mangea avant de remonter au gland qu’elle goba sans détour et commença a donner de la tête, bouche arrondit, en palpant les grosses couilles d’une main. Regarder ça me mit l’eau à la bouche et me fit mouiller encore plus.

Rutach semblait apprécier drôlement, pas étonnant, elle savait y faire la gueuse. Il soupirait en la tenant solidement par la chevelure, la forçant à l’avaler plus. Les seins magnifiques se balançaient et se frappaient mollement tandis qu’elle suçait la verge en salivant. Elle avait vraiment une belle paire de fesses que j’avais caresser et embrasser avec passion avant de lui lécher le petit trou hier et de m’attaquer a son sexe détremper. Tout concentrer sur ce beau spectacle et mes souvenirs en me masturbant, je faillis hurler quand quelque chose me toucha la hanche. Paniquer, certaine que c’était une grosse araignée je taper dessus, mais je sentis plutôt un doigt. Le cœur battant, je tourner la tête pour apercevoir ma nièce, un doigt tendu, qui rigolait l’autre main plaqué sur ça bouche, tout heureuse de m’avoir surprise. Je n’en revenais pas de la voir la, je venais à peine de l’espionner dans ça chambre. Seigneur ! Je soupirer longuement encore tremblante et les genoux tout mous.

-C’est pas drôle Maria, murmurai-je pencher vers elle en sentant mes énormes seins s’étirer et se frapper mollement, que fait tu la, qui ta montrer comment entrer ici ?
-Maman. Répondit-elle tout bas les yeux à demi fermer et luisant en fixant ma poitrine. Il y a un panneau secret dans le couloir tout près de ma chambre, tu dois le savoir. Elle dit qu’un jour je serai reine et que je dois tout connaître du château, surtout ses secrets.
-Évidemment. Et tu te promènes en dehors de ta chambre avec juste une chemisette quasiment les fesses à l’air, vilaine fille ? Et regarde-moi dans les yeux.
-Et toi, tu te balades toujours nue ou presque et M’man aussi et les servantes et les invitées et les soldats, répondit-elle moqueuse en enlevant sa chemise en la faisant passé par dessus sa tête en rajoutant : il fait si chaud ma tante.

Elle accrocha le vêtement à un clou sortant d’une grosse poutre tandis que j’admirais son corps splendide et pâle comme de la craie. Elle était si blanche que l’on aurait juré que ses petits mamelons roses avaient été peints tout comme sa légère toison pubienne.

-Chaud mon œil, petite vicieuse. Si tu croises un homme en sortant d’ici, il risque de perdre la tête et de te sauter dessus, tu te rhabilleras pour retourner a ta chambre. T’as mère ne me le pardonnerait jamais, surtout a la veille de ton mariage.
-La veille, c’est dans un an, une longue, longue, très longue année ma tante. Tout le monde s’amuse ici sauf moi, c’est à mourir d’ennui.

Je souris tandis qu’elle ramenait ses longs cheveux noirs sur son dos.

-Pauvre toi. Une ceinture de chasteté, ça t’irait bien tu ne trouves pas ?

C’est joli yeux devinrent tout rond d’étonnement.

-Jamais au grand jamais, j’en mourrais de honte.
-Bon, alors ne te balade plus comme ça dans les couloirs du château, pas tout seul en tout cas.
-Promis ! Mais ici, ça va ?
-Oui, ça va coquine.

J’eus droit à un merveilleux sourire.

– Y parais que l’on peut espionner n’importe qui dans ces couloirs, me dit-elle a l’oreille, c’est ça que tu fais en te touchant la noune, je peux voir qui tu regardes ? Ça, c’est permis, m’a dit maman.

Je réaliser que j’avais toujours un doigt dans le vagin. J’ôter ma main de mon sexe en lui faisant la grimace et m’écarter pour qu’elle puisse regarder.

-J’espère pour toi que c’est la vérité Maria, sinon… Tes jolies petites fesses vont rougir.

Elle dut se mettre sur la pointe des pieds pour coller son œil au trou en s’appuyant a deux main sur le mur et je put, a la lueur de la lampe admirer son jeune corps maigre et magnifique ; ses belles cuisses musclées, ses petits mollets fuselés, ses jolies petites fesses blanches serrées et ses seins, encore que deux minuscules petits renflements si mignons. Difficile d’imaginer que j’avais un corps comme le sien lors de ma nuit de noces.

Elle me jeta un regard amusé en écarquillant les yeux et regarda encore et je lui murmurer a l’oreille :

-Ne te prive jamais de regarder ma belle, c’est un des plus grands plaisirs en ce bas monde. Vu que ta mère est d’accord semble t-il, je vais te montrer tous les passages secrets que je connais cette semaine, enfin, le plus possible. T’as crampe d’orteils vas bien ?

Elle se contenta de hocher la tête fasciner par ce qu’elle voyait, puis réalisa se que je venais de dire et me regarda horrifier bouche ouverte les yeux tout ronds et la je rit, mains sur les hanches. Elle se recula et je reboucher le trou.

-Tu… Tu m’as vue, tu m’as regardé tout à l’heure ?
-Hum hum, c’était mignon comme tout. Tu as grimacé autant que moi dans le bain, vicieuse. T’as pas honte de te passer un cierge ?

Voir son expression de gène et de petite colère, c’était vraiment trop drôle.

-T’as pas le droit ma tante. Murmura t-elle offusquer en tapant du pied sur le sol de pierre comme elle le faisait quand elle n’était encore qu’une gamine et qu’elle n’avait pas ce qu’elle voulait.
-Mais oui, je suis la reine, j’ai tous les droits. Et tu sais quoi ?
-Je veux pas le savoir, fit-elle boudeuse en croisant les bras sous ses petits seins.
-Moi et ta mère on faisait la même chose dans notre lit a ton âge et pas juste avec des chandelles, je te jure.

Elle sourit timidement, je venais de piquer sa curiosité. Puis son sourire s’élargit.

-Avec quoi d’autre ma tante ?
-Des courgettes, des salamis, nos manches de brosses a cheveux, nos doigts, nos langues…

A mesure que j’énumérais les choix, sa bouche s’ouvrait et ses yeux s’agrandissaient d’étonnement.

-… Des manches de bêche ou de râteau, ou ce la frotter sur le rebord du bain, d’une cuve, ou contre un petit arbre a l’écorce très douce, etc. t’a le choix ma belle.

Elle resta un moment silencieuse, on entendait plus que les grognements de mon capitaine et les gémissements continuels de sa mère. Puis, elle dit :

-Et bien, toi et maman vous étiez de…
-Prend garde a ce que tu vas dire, miss je passe un cierge dans la noune…

Elle me tira la langue.

-Et là-bas, c’est M’an qui se plaint comme ça, j’imagine, avec le beau garçon ?
-Absolument, tu veux voir ?

Elle acquiesça en silence surexcité et je lui donner la lampe en lui faisant signe de passé devant. Je voulais voir travailler ses jolies fesses si mignonnes, mais surtout qu’elle ne soit pas trop décourager par les miennes, un peu molle.

-Ma tante ? Demanda t-elle en arrachant une grosse toile d’araignée sans crainte tout en marchant, moi ça me fit frissonner de plus belle.
-Oui.
-T’aimes plus regarder ou le faire ?
-Les deux. Arrête ici.

Elle se retourna pour m’éclairer tandis que j’ouvrais encore un panneau pour ôter un autre bouchon et cette fois je vit ma sœur en train de chevaucher le jeune garde étendu sur le dos dans le lit juste sous le trou. Les deux étaient nus et couverts de sueur qui reluisait à la lueur des cierges. Ma sœur n’avait gardé que ses longs bas de laine noirs montant jusqu’aux cuisses. Son con aux grandes lèvres brunes et gonfler allait et venait sur le gros vit recouvert de déjection blanche. Comme à chaque fois, j’avais l’impression de me regarder baiser. Elle se donnait a fond ma petite sœur, bien assise sur lui, mains sur son torse sans poil en gémissant. Comme moi, sa voix montait d’un cran quant on prenait vraiment du plaisir a se faire mettre et la, elle en avait du plaisir, pas de doute là-dessus. Le vieux lit en était rudement secouer le pauvre, il craquait méchamment. Les gros seins de Jeanne, identique aux miens, sursautaient violemment en rebondissant et se frappant malgré les mains du jeune homme qui les pressait. Elle planait ma petite sœur et appréciait grandement, car son visage en était devenu vilain et rosé aux joues, elle montrait les dents comme moi quand je suis près de l’orgasme. Quand au jeune garde visiblement il se mourait de plaisir la face toute rouge, en fixant ma sœur. La seule chose qui nous différenciait en ce moment, ça était ses bas et un grain de beauté juste à côté du petit trou, car en plus, elle avait relevé ses cheveux épais en chignon comme moi. J’aurais pu prendre sa place sans que le garde ne s’aperçoive de rien. Un petit jeu a le quelle on s’adonnait souvent. Un doigt me toucha encore la hanche me faisant frissonner à nouveau. Maria me regardait, genre (je peux tu me rincer l’œil moi aussi.)

Je lui laisser la place en lui prenant la lampe. Comme tout à l’heure elle se hissa sur la pointe des pieds, mains au mur, regarda un instant puis me regarda les yeux tout ronds avant de rire et de regarder a nouveau, captiver de voir sa mère baiser avec un homme. « C’est comme ça qu’on apprend a son âge, » me dis-je et connaissant ma sœur, je me doutais bien que ce n’était pas la première fois que ça fille la voyait baiser avec un ou des hommes. C’est sans doute pour ça que Jeanne lui avait fait découvrir ses couloirs secrets cette année. Maria n’était plus une gamine et elle allait se marier l’an prochain, alors, il fallait bien qu’elle apprenne comme il se doit à faire plaisir à son futur époux.

Pendent ce temps, j’allai au panneau suivant et découvrit, comme je le savait l’une des nombreuses petites alcôves du château, conçut pour procurer de l’intimité au inviter, construit en rond avec une table basse et des bancs rembourrer en soie rouge couverte de nombreux coussins épais et moelleux. Un homme bedonnant y était assit, nu a boire du vin en regardant deux filles se peloter en face de lui en s’embrassant à pleine bouche. Deux de mes servantes, une brune et une rousse plantureuse, engager surtout pour se donner à l’invité et qui travaillait également dans mon bordel.

Celui-là, je ne l’avais jamais vue, mais sa bite me stupéfia. Jamais je n’en avais vu une aussi impressionnante, aussi épaisse, bien droite pas trop longue, mais énorme, aussi grosse que mon bras. Il se la branlait doucement, les yeux vicieux, en profitant du spectacle et c’est doigt boudiner n’en faisait même pas le tour. Elle était si grosse que je me demandais si elle m’entrerait dans le con. En se branlant, les yeux rivés sur les filles qui s’en donnaient à cœur joie, il décalottait son gland bien rond et luisant. J’en avais l’eau à la bouche surtout qu’elle semblait si dure cette bite, dure comme une bûche. J’en avais déjà vu de très grosses, le genre de bite impossible a sucé sauf le gland, et des si longues que les gars arrivaient à se sucer eux-mêmes, mais celle-là, en grosseur, elle les dépassait toutes. Je n’ai jamais put résister a l’envie de toucher une belle bite, alors celle-là, il fallait que j’aille la voir de prêt.

Je regardai Maria qui espionnait toujours sa mère. Elle se rinçait l’œil en se pelotant les seins distraitement et j’attirai son attention et lui faisant signe de venir. Elle replaça le bouchon et s’approcha rapidement et lui fit signe du menton de regarder. Elle colla l’œil au trou puis tourna la tête vers moi, bouche ouverte, les yeux tout ronds, comme si elle venait de voir un revenant.

-Impressionnant hum ? Lui dis-je a l’oreille.
-C’est pas croyable, murmura t-elle, il la presque aussi grosses que celle du cheval de maman, mais plus courte.
-Ça tu peux le dire, j’en ai vu de toute sorte, mais jamais une comme celle-là. Faut que je l’essaye.
-Impossible ma tante. Ça ne passera jamais dans ta fente. Il va te la déchirer.
-Si un enfant sort par là, alors, cette bite doit bien pouvoir y entrer, non ?

Elle regarda encore un instant et rajouta :

-Moi, ça me ferait peur, j’en ai la chair de poule. J’espère que mon futur Marie n’en aura pas une comme ça.
-Reste ici, regarde tant que tu veux, mais ne vas pas te coucher trop tard. Ne vas surtout pas plus loin tu te perdrais. Tu te rappelles comment retourner à ta chambre ?
-Hum hum ! J’ai hâte de te voir grimacer quant tu vas essayer de t’enfiler ça, chuchota t-elle moqueuse. En tout cas, maman grimace en maudit, le gars vient de lui mettre au cul jusqu’aux couilles. Ça ne fait pas mal ? C’est difficile a dire en regardant la face de moi man parce qu’elle grimace autant que quand un gars lui rentre la bite dans la fente. Je m’y suis mis juste le bout d’un doigt une fois dans le cul et ses s’y serrer.

Je ris un instant avant de répondre.

-Ça ne fait pas mal si c’est fait doucement et si on te graisse bien le petit trou ou qu’on y glisse beaucoup de salive. C’est même agréable et ses une bonne solution si tu ne veux pas tomber en enceinte. La plupart des gars préfèrent le cul, justement parque c’est plus serré. Essais avec des cierges, un dans le con et un dans le cul, mais prudemment, hum ? Tu vas venir les yeux tout croches ma belle et quand ce sera un beau garçon qui voudra te la mettre la, calme ces ardeurs, dit lui d’y aller lentement, doucement, et tu vas te mettre a gémir et a lâché des : oui, oh oui…
-Ma tante, franchement. Fit-elle en prenant un faut air de jeune fille offusquer. Je suis pas sûr de vouloir essayer ça.
-Il faut toujours goûter avant de pouvoir dire que l’on aime pas quelque chose ma nièce. Mais, dis-moi Maria, es-tu encore vierge ?

Elle hésita avant de répondre en rougissant :

-Non, mais ne le dit pas a M’man. J’ai un amoureux secret ma tante.
-Oh ! Fi-je amuser. Un amoureux secret, c’est bien ça. Promis, ce sera notre secret.
-On le fait qu’une fois, j’avais justement trop peur d’avoir un enfant.
-Fait très attention ma belle, mais maintenant tu sais quoi faire, le cul ou la bouche, ça le calmera et un bon coup de langue pour toi.

Elle rit embarrasser, puis se recula pour regarder mes gros seins en rajoutant :

-J’ai trop hâte d’en avoir des comme ça.
-Je ne te le souhaite pas, ses lourds et parfois on a mal au dos moi et ta mère. Bon, j’y vais, n’oublie pas, ne te couche pas trop tard et ne vas pas plus loin, les rats pourraient te manger toute crue. On ne retrouverait que de petit os au matin. Pourquoi j’ai l’impression que ton cierge va te servir encore toi ce soir ? Ah non, c’est vrai, il est cassé.

Elle me fit une grimace avant de recoller son œil au trou.

Je ris a nouveau avant de lui baiser la joue en déposant la lampe sur le sol après m’être allumé un cierge, il y en avait partout qui traînait ici, car j’avais une peur bleue de me retrouver dans le noir avec ses maudites araignées. Je continuer plus loin jusqu’a une porte dérober en cachant la flamme avec une main pour ne pas qu’elle s’éteigne tout heureuse de partager le secret des ses couloirs avec la nouvelle génération de voyeuse de la famille. Je tirer un grand panneau de bois pour me retrouver derrière une grande tapisserie dans l’un des couloirs attenants a l’alcôve et aux chambres et le refermer derrière moi après avoir éteint la chandelle pour la laisser par terre. J’en sortis après avoir vérifié qu’il n’y avait personne et prit à droite.

Je marchais tête basse en me débarrassant de maudite toile d’araignée coller sur mes bras quand, en tournant le coin, je tomber face à face avec Marie qui amenait un plateau de victuailles avec un pichet de vin. Elle faillit l’échapper en sursautant, lâchant un petit crie. Je dus l’aider à le ratt****r. Ma petite Marie, un beau brin de fille de 26 ans avec un visage superbe, mais unique. Unique parce que ses yeux bruns étaient un peut rond, le bout de son nez également et quelle avait des lèvres charnues lui donnait un petit air coquin des plus charmant. Un visage rare, mais d’une grande beauté entourer d’épais cheveux noirs et bouclés. Mon amante préférer comme je le disais, même que j’en étais amoureuse, sans oser le lui avouer, je ne sais trop pourquoi. En fait si, mon âge, la peur du refus, ou qu’elle éclate de rire, même si je me doutais bien qu’elle partageait mon sentiment. Avec elle, tout était possible, car elle était d’une franchise désarmante. Mais Marie était plus qu’une simple bonne et mon amante préférer, c’est elle qui organisait les grandes fêtes au château et les orgies. Elle avait un talent fou pour ça, et surtout, une imagination débordante pour le sexe.

-Seigneur, fit-elle une main sur la gorge, vous sortez encore de vos maudits souterrains poussiéreux Margo ?
-Qui te dit que je ne suis pas Jeanne ?

Elle ouvrit la bouche songeuse en me fixant intensément avant de la refermer et de me regarder des pieds à la tête, visiblement intriguer.

-Eh, en fait, rien. Mais, ce n’est pas elle qu’on entant hurler le bas dans une chambre ?
-Peut-être. Dis-je malicieuse.
-De toute façon, décida t-elle tout sourire, c’est du pareil au même une fois au lit. Les deux ce val pour le coup de langue et les belles rondeurs.
-Vicieuse vas ! J’ai pas d’araignées sur moi ? Demandai-je en tournant.
-Non, juste de la poussière, un beau cul et des grosses boules.
-Marie, sais-tu si le gros bonhomme là-dedans me connaît ? Chuchotai-je en désignant du pouce la porte de l’alcôve juste a côté.
-Connaît qui ? Margo ou sa sœur ?
-T’es une petite futée toi.
-Et oui, fit-elle narquoise et les yeux rieurs, mignonne comme tout.
-S’il connaît la reine, s’il l’a déjà vue ?
-Non, murmura -telle, il ne cesse de demander a lui être présenté, on lui a tellement vanté sa grande beauté et ses prouesses au lit paraît-il qu’il se meure d’envie de la connaître.
-Et ce plateau, c’est pour lui ?
-Hum, hum ! Quel plan diabolique avez-vous encore en tête, Margo ? C’est vous hein ?

Pour toute réponse je, me contenter d’un grand sourire, ce qui la fit soupirer d’exaspération. J’avais envie de me faire passée pour quel’un d’autre. Parfois, les hommes sont intimidés par une reine.

-Bien, présente-moi comme étant eh…
-La belle Yulia de Russie mettons, envoyer par la reine pour ce faire pardonnée de ne pas avoir eu le temps de s’être présenté a lui depuis son arrivé. L’une des préférés des clients du meilleur bordel de la ville et de la reine, car très cochonne peut-être ? La reine des pipes a ce qu’on dit. Celle dont on dit également qu’avec sa langue elle peut défaire les nœuds d’un corsage et même les refaire. La plus belle catin de toute la Russie. Celle qui…

Je lever la main pour l’arrêter car elle aurait pu continuer comme ça pendant des heures. Je rester tout de même abasourdi par son imagination fertile, puis lui fit la grimace en riant tout bas tout en voyant que sont mamelon droit pointaient sous sa chemise, toujours celui-là. Je ne pus m’empêcher de lui pincer en disant :

-Toi, t’as trop d’imagination, ma coquine a la forte poitrine.

Elle me tapa la main en jouant les offusquer.

-Madame, un peut de retenue voyons, on pourrait nous voir.
-Je suis toute nue je te rappelle, et puis, as tu quelque chose de prévu pour cette nuit miss cervelle ? Lui demandai-je en me caressant les mamelons tout sourire, juste pour l’agacer.
-Oui, de passé la nuit avec une jolie Russe très cochonne qui a un drôle d’accent et des toiles d’araignées plein les cheveux. Y paraît que son coup de langue est imbattable, enfin pour son âge et autant dans un con que dans un cul. Mais je ne sais pas encore dans qu’elle chambre je dois me rendre, celle de la reine ou celle de sa sœur ?

Elle me fixa, les yeux tout ronds, certains maintenant d’avoir une réponse sur mon identité.

-Tien dont ! Elle est vraiment drôle la petite Marie ce soir. Enlève-moi les maudites toiles et tu me rejoindras dans le lit de la reine, car il est plus confortable.

Elle s’exécuta tout sourire avec sa main libre tandis qu’en j’enlevais de la poussière de mes seins et de mes fesses.

-Bon, je suis présentable ?
-J’ai vue mieux, mais bon. Ça peut aller, Jeanne.

Je lui fis un sourire pincé.

-Pas convaincue que je suis Margo ?
-Je vous l’ai dit, c’est du pareil au même au lit.

On se fixa un moment, amuser.

-Allez, ouvre ma belle, et ordonne aux filles qui sont la de sortir et explique leur mes petits jeux. Elles ne se plaindront sûrement pas de fuir ce gros bonhomme, ensuite prend un bain et file dans ma chambre que je puisse te punir comme il se doit pour vouloir passé la nuit avec une autre que moi, ta reine. Vilaine fille !
-Oui ma reine, mettons, dit-elle tout sourire avant de rajouter a mon oreille ; mais je risque plutôt du passé cette nuit a recoudre votre con supposé royal vu la grosseur incroyable de la bite du monsieur le dedans. Moi, je ne m’y risquerais pas. Jamais vue une bite pareil. Son engin est comme le nez de ses gros animaux d’un lointain pays que l’on a vus l’an dernier dans un cirque de gitan au carnaval. Vous savez les gros gris avec de longues défenses recourbées. Pas longue mais… ouf !

Je ne pus m’empêcher de rire un moment avant de rajouter :

-T’inquiètes pas pour ma chatte couronnée, ouvre.

Elle soupira en soulevant les épaules comme pour dire ; tant pis, je vous aurai prévenue et alla ouvrir.

Le gros me dévora des yeux dès mon entré en oubliant les filles illico, celle-ci se caressait toujours sans vergogne indifférente a notre présence. Il regarda ensuite le cul de Marie qui déposait son plateau sur la table basse sans plier les genoux la petite agasse. Ses jupes se soulevèrent jusqu’aux genoux dévoilant ses beaux mollets musclés. Elle se redressa et me présenta comme prévu tandis que moi je regardais le tableau sur le mur au fond de l’alcôve, dans l’ombre, et que j’avais complètement oublié ; un buste de la reine, donc de moi, souriant bêtement sur un fond de campagne dans le plus pur style italien. Est-ce que le gros bonhomme allait remarquer mon étrange ressemblance avec la femme sur ce tableau ?

Oups !

Et, J’avais un œil croche sur cette peinture et qui remuait. Celui de ma nièce. Je faillis éclater de rire tout en me disant que le gars avait quelque chose de bien plus beau à regarder qu’une toile qui servait de décoration. Moi, en vrai.

Tournant le dos au bonhomme je fis un clin d’œil complice aux filles qui se lâchèrent finalement tandis que Maria leur demandait de sortir en les entraînant avec elle. Elles sourirent sans se plaindre comme je le pensais. Une fois seul dans l’alcôve a peine éclairer par deux petites lampes roses sur pieds, je regarder le gars en prenant une pose provocante, une jambe en avant, pointant le pied, mains sur les hanches. Il avait les cheveux grisonnants très courts, des yeux de poissons, un nez rouge et veiner de gros buveurs, un double menton, un gros ventre avec presque des seins appuyer dessus et il fixant toujours les miens en branlant sa verge monstrueuse toujours dure. Je dois avouer que de la voir d’aussi près me donna froid dans le dos et presque le goût de sortir de cette pièce en courant. Je venais de réaliser que c’était peut-être un peut présomptueux de ma par d’avoir pensé que cette chose m’entrerait dans le con. Mais maintenant que les filles étaient parties, je me sentis obligé d’essayer de lui procurer tout de même un peu de plaisir au pauvre gars et puis j’avais vraiment envie de toucher son membre démesuré. Quant a me faire mettre, ça, j’allais voir. Je pris alors un épouvantable accent russe pour dire :

-Moi, cadeaux, mon beau monsieur.

Il prit le temps de me regarder des pieds à la tête en prenant du vin avant de répondre visiblement très exciter parce qu’il voyait, car son membre semblait encore plus gros et sursautait au rythme de son cœur de bœuf.

-Quels cadeaux sublimes madame Yulia, vous êtes si…
-Oh… mes dieux, m’exclamai-je soudainement lui coupant la parole tout en fixant son sexe les mains sur les joues. Puis je pointer ça bite du doigt en rajoutant : Ça, trop gros, beaucoup trop gros monsieur, faire mal a moi… me fendre en deux ou pas pouvoir entré dans vagin, pas pouvoir sucer, pas…

Je me tue tout à coup en écarquillant les yeux, car je venais d’entendre rire une jeune fille sur ma droite, ma nièce derrière le mur, mais très faiblement et je crue même entendre un autre rire, mais de femme celui-là, sur ma gauche. Probablement Marie qui écoutait derrière la porte. Mais le gars lui sembla n’avoir rien entendu, trop fasciner par mes formes généreuses sans doute. En fait, il s’en bavait dessus en fixant toujours mes seins ballon, mais semblait quelque peu dérouter par le fait que je sois devenue muette soudainement. Je me racler la gorge et continuer :

-Bite vraiment énorme, beaucoup trop grosse. Désoler, moi partir.

Je feins de m’en aller, par jeux, mais il m’agrippa solidement par le poignet sans me faire mal. Je bloquer net et faillit même en tomber sur le dos en lâchant un petit cri puis il me ramena devant lui.

-Mais non, mais non, pas du tout fit-il avec beaucoup de conviction, ne vous inquiétez pas ma belle Yulia. Rester, ma bite vous combleras au de la de vos espérances et sans douleur, je vous le promets. Je sais être prévenant lors de la pénétration, ce sera fait tout en douceur. Il ne faut pas vous en inquiéter. Jamais mon membre, un peu gros je l’avoue, n’a blessé une jolie dame.
-Moi pas certaine ! Fente pas si grande, moi jamais eu d’enfant.

Pauvre gars, me dis-je en le voyant inquiet et malheureux tout à coup a l’idée de ne pas pouvoir me baiser. Il en suait à grosses gouttes et s’essuyait le front avec son bras gauche.

-Je vous l’assure ma jolie, vous en crierez de plaisir. Jamais une femme ne s’est plainte de mon vit.
-Je ne sais pas, dis-je pour l’agacer en me regardant les ongles. Moi vraiment peur.
-Toucher la alors… vous verrez comment elle est douce et chaude.

Il se leva difficilement en déposant son vin sur la table basse, il était si gros que je du me reculer. Il prit ensuite ma main pour la poser sur son membre palpitant sous son gros ventre avant de me caresser les seins fous de désir de la main droite tout en me frottant habilement le sexe de l’autre. Seigneur ! Je frémis de toucher son engin démesuré en le masturbant du mieux que je le pouvais en faisant remuer son ventre flasque. Elle était effectivement très douce, sans veine apparente avec un prépuce très court, mais elle était si grosse que j’avais l’impression d’avoir une main de petite fille tout à coup. Imaginez que vous essayez de branler une bûche de bois, mais un peu molle.

Tout de même, toucher cette bite démentielle et sentir ses gros doigts me frotter le sexe finit par me faire mouiller et me faire frissonner des pieds à la tête. Je le masturber doucement du mieux que je pouvais, l’autre main sur son épaule en le fixant tandis qu’il amenait mes tétons a ça bouche pour me les manger goulûment. Sa langue et ses lèvres me chatouillèrent terriblement jusqu’à me soutirer de petit gémissement, surtout quand il glissa doucement un gros doigt boudiné dans mon vagin pour le faire aller et venir son pouce heurtant mon clitoris. Ça me fit devenir toute molle et rougir quelque peu. J’appréciais ses caresses tout en me disant que j’avais peut-être fait une bêtise en venant ici. Qu’effectivement, Marie allait peut t’être devoir me recoudre le con à moins que je réussisse a le faire jouir avant. L’idée me parut bonne, surtout en sentant sa bite sous mes doigts certaine maintenant qu’un engin pareil n’entrerait jamais dans mon vagin. Puis, lâchant mon sexe, il pesa sur mon épaule avec sa grosse patte pour que je m’agenouille pour lui faire une pipe. Mission impossible me dis-je une fois son gland tout rond sous mon nez. On aurait dit une grosse balle rose avec une fente au milieu. Même en prenant cette chose a deux mains, mes doigts se touchaient à peine. Seigneur ! Je décalotter le gland de la même taille que la hampe et sortit la langue pour l’agacer, mais c’est a ce moment que la porte s’ouvrit. Éberluer, je vis ma sœur entrer tout sourire, toujours nue avec ses bas de laine noirs qu’elle portait toujours glissant sur ses cuisses blanches comme du lait quelle remonta avant de refermer la porte. Je figer de surprise, la croyant toujours dans la chambre a baiser son beau jeune soldat en me disant que mes petits jeux du cadeau russe venaient de tomber a l’eau.

Oups !

Le gars en l’apercevant, la prit évidemment pour ma jumelle comme tout le monde, car il figea lui aussi les yeux tout ronds de surprise. Il était visiblement très heureux de ce double cadeau aux formes si généreuses. Les yeux tout petits et vicieux a présent il la détailla en la saluant tandis que Jeanne remontait à nouveau ses bas, plier en deux, avec ses gros seins se frappant ensemble mollement. Son jeune amant n’avait pas du pouvoir se retenir bien longtemps et il devait dormir a présent et je le comprenait le pauvre. Jeanne, comme moi, avait la peau blanche comme de la neige avec de petits mamelons bruns et une touffe bien fournie. Nos rondeurs rendaient fou la plus par des hommes, surtout quand nous étions ensemble. Je souris bêtement a ma sœur en penchant la tête comme pour lui demander : mais qu’est-ce que tu fais la ? Elle me sourit a son tour avant de dire avec un épouvantable accent russe en s’agenouillant à côté de moi, épaule contre épaule, seins contre seins :

-Petite sœur, moi venir a ton aide, toi pas pouvoir gober cette chose énorme toute seule.

Je faillis éclater de rire, puis, revenu de ma surprise, je répondis en entendant rire encore sa fille, mais à peine, comme un rire de petite souris dans le mur :

-Merci petite sœur. Moi, vraiment besoin d’aide. Ça gros comme… comme tour du Palais royal de Moscou.
-Alors les filles, vous êtes jumelle ?
-Oui monsieur, répondit Jeanne en se pointant du doigt, moi Holga, elle Yulia. Nous être ancienne putain préférer, Tzar de Russie, nous sauver, car hommes le bas boire beaucoup vodka, devenir fou et enculer trop raide, hein Yulia ?

Je dus pencher la tête pour cacher mon rire en faisant : Hum, hum !

-Ne vous inquiétez pas mes jolies, le cul, c’est un plaisir que je ne peux pas me permettre, hélas. Aller, sucer moi la bite et les couilles. Quel cadeau merveilleux vous êtes ! Cette reine Margo sait vraiment bien recevoir. J’ai si hâte de pouvoir lui montrer ma bite.
-OH ! Fit Jeanne, en le branlant avec moi, elle pas aimer ça trop gros monsieur. Hein Yulia ?
-Non, elle pas aimer, elle ferait venir vous avec bouche et main sans doute, hein Holga ? Dis-je en lui donnant un coup de coude dans les côtes en espérant qu’elle est capter le massage pendant que le gros révulsait les yeux de plaisir.

Jeanne me fit un clin d’œil discret. Ouf ! Finalement je ne souhaitais plus du tout avoir ce membre dans le con après l’avoir vue d’aussi prêt et Jeanne également, j’en étais certaine. Restait qu’a le faire jouir au plus vite. On commença à branler cette bite avec ardeur en souriant au gros pour l’exciter au possible puis on décalotta le gland en tirant toutes les deux. C’était très doux de sentir la peau mince glisser sur les muscles de la hampe, mais tellement bizarres. Puis de l’autre main on lui palpa les couilles, énormes elles aussi, bien enserrer dans un gros scrotum rose.

– Hummm… Fit Jeanne en commençant a lécher le gland.
– Hummm… Fis-je en l’imitant tout en essayant de ne pas éclater de rire nos mains allant et venant sur la hampe et nos bouches se touchant sur le gland. Tout en agitant la langue, je me dis que c’était Marie sûrement qui avait mis Jeanne au courant pour mes petits jeux avec le marchand.

Nous étions épaule contre épaule, nos seins se touchant et on se jetait des regards amuser en léchant, mordillant et croquant le bout de la bite pour le plus grand plaisir du gros qui rougissait à vue d’œil les yeux river sur nos bouches a présent. On avait toujours trouvé ça très excitant de sucer un homme ensemble, mais là… c’était vraiment quelque chose.

Nos langues pointues continuaient à lécher le gland en se touchant, tandis qu’on le masturbait ou jouait avec ses couilles. Il appréciait drôlement le bougre. Je me demandais si allait résister longtemps ou nous jouir en plein visage, car du liquide salé goûtait déjà de son urètre. En tout cas, cela ferait encore un souvenir en commun avec ma sœur, l’un de ceux qui allaient nous faire rire très longtemps et sa fille aussi. Car l’œil croche était toujours là et bougeait de bas en haut ou de gauche à droite.

Tout en ouvrant la bouche pour essayer de sucer cette bite, moi et Jeanne on se jeta soudain un regard qui semblait dire : faisons-le jouir au plus vite avec une bonne branlette à deux et sauvons-nous. Mais le gros bonhomme dit :

-Ne vous inquiétez pas les filles, je sais me retenir for longtemps, vous serez comblé avec moi.

Un coup de tonnerre fracassant suivit cette belle affirmation, qui nous fit sursauter moi et Jeanne. A moins que ce ne fut de l’entendre.

Seigneur !

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