Toujours en compagnie de Rachèle la baisant sur trois jours dont une fois au domicile de ma soeur absente, me laissant l’appartement à mon entière disponibilité pour une certaine durée. Vraiment un très très bon coup avant de revenir chez moi en gaspésie, les voisins qui devaient nous entendre espérant peut-être une relation courte entendant nos nombreux ébats jouissifs. Me laissant son numéro avant de partir très tôt le matin pour la station d’autobus. Rachèle m’avoua avoir grandement apprécié mon enthousiasme et ma ferveur au lit. La voisine d’à côté me croisant descendant l’escalier, me lançant un regard suggérant peut-être vouloir abuser de mon corps elle aussi. Une femme dans la mi-quarantaine paraissant bien, les cries de jouissances de mon aventure passagère l’ayant sûrement interpellée.
Rendu vers mon transport collectif en direction de la ville de Québec, quelques places étaient disponible m’assoyant tout près du jeune demoiselle dans la jeune mi-vingtaine avec une allure intellectuelle. Mince, cheveux bruns courts portant des lunettes noires. Ses yeux étaient de couleurs noirs aussi. Une jeune femme élégante avec de petits seins moyens. Elle étudiait en enseignement à l’université de Montréal pour devenir professeur d’éducation physique. Un peu surpris de cette confession la jugeant physiquement peu sportive, me disant apprécier la pédagogie d’enseignement de ce type d’enseignement dans son ensemble, la préférant aux autres matières appliquées.Lui demandant sa destination puis lui demandant sa motivation vis à vis l’endroit. me disant se diriger vers Québec pour y rencontrer une amie et y faire du parachutisme. Elle avait un logis là-bas aussi. Intrigué par l’activité, Noémie de son nom, me disant y aller d’une première expérience, accompagnant son amie déjà habituée à ce genre de truc.
Continuant la conversation, arrivant à la fin du trajet, lui demandant si les sauts en parachutes étaient dispendieux, prétextant peut-être l’accompagner dans son aventure. me disant en avoir aucune idée, ayant seulement voulu me tendre une perche métaphorique me signifiant vouloir s’envoyer en l’air avec moi. Un peu surpris de cette réponse lui demandant qu’elles étaient ses propositions à cet égard. Me demandant seulement de la suivre chez elle et d’en tirer les conclusions rendus à son domicile. J’avais toujours quelques jours de libre devant moi acceptant l’invitation. Une femme cordialement extraordinaire au lit, baisant durant près de trois jours avec elle aussi. Elle pouvait me chevaucher avec tant d’intensité et de passion, me permettant même de la prendre par la deuxième porte en levrette lors d’un de nos ébats. Elle aimait clairement se faire prendre par en arrière, son corps svelte et léger toujours prêt à entreprendre de l’action. Elle avait une belle petite chatte serrée dont la pénétration était super agréable et chaude. Elle me disait ne pas être une fille facile habituellement, mais que ma façon de lui parler dans l’autobus l’avait complètement séduite. La fourrant pour une troisième fois dans la position du missionnaire en soirée l’entendant gémir sous mes coups de pieux. Lui donnant quelques orgasmes bien dosés, sa belle petite vulve et sa bouche aussi demandante qu’au début. Lui passant deux doigts tout en lui léchant la fente rosée mouillée. Elle semblait apprécier extirpant quelques Hummmmmmm Ouiiiiiiiiiiiii chemin passant. Sa chatte mouillait sous mes coups de queues pénétrant, agrippant ses jambes autour de mes hanches m’incitant a aller de plus en plus fort. Aux troisième et dernier jours, je m’appliquait clairement à la défoncer ses deux jambes bien écartées sous ses nombreux gémissements, lui découvrant des allures de vrai sportive cette fois si.
Repartant pur la station d’autobus le lendemain matin, Noémie me laissant ses deux adresses puis son numéro de cellulaire si je voulais la recontacter.
Rendu à la station une heure à l’avance buvant un jus d’orange, remarquant tout en attendant une personne au visage connue, mais sans réelle certitude. Me remémorant une conseillère pédagogique durant mes études en sonorisation, l’ayant croisé à quelques occasions travaillant dans le même établissement. Engageant la conversation avec celle-ci, sans mentionner déjà la connaître de vue, discutant de tout et de rien durant l’heure d’attente. Une brunette de 45 ans de 5 pieds 4 aux cheveux et aux yeux bruns avec des allures d’Hilary Swank mais en plus grassette. Elle avait une jeune fille en bas âge ne l’ayant accompagnée durant son voyage, rendant visite à ses parents vivant à Matane chemin passant. L’autobus arrivé m’assoyant tout près mais pas à ses côtés, l’endroit donnant plusieurs espaces libres de choix. Le parcours durant 7 heures de Québec à Matane, Andrée de son nom, me suggérant venir s’asseoir en ma compagnie voulant continuer la conversation du début. Je crois qu’elle était en manque car elle me regardait toujours avec insistance. Me demandant ma destination lui disant Gaspé, trouvant dommage que nos deux destinations ne sois pas communes. La chaleur du lieu lui donnant des bouffés de chaleurs, changeant ses vêtements présents pour un choix plus léger aux premier arrêt de 15 minutes une ou deux heures plus tard. Revenant en jupe courte grise foncée et t-shirt blanc, orné d’un parfum subtile, son soutien gorge visiblement disparu la pointe de ses seins se dévoilant. Buvant une limonade rose lisant un livre qui m’apparaissait en être un d’histoire érotique sans en être trop sûre.
Durant sa lecture, une odeur familière semblait se dégager de ma compagne, la suspectant de mouiller sa petite culotte. Me faisant voir un passage du livre suggerant les phrases qui suit. Mon jeune homme assouvie se delectant de ma chatte pulpeuse, je ne savais que faire pour lui signifier ma gratitude. Lui demandant de venir me penetrer avec ardeur pour ensuite crier son nom plus d une fois. Mon premier jeune homme, mon seul et unique, baise moi dans la fleur de l age, baise moi dont. Declenchant une erection immediate de mon cote. Andree me suggerant a l oreille, au trois heures de route restant, vient avec moi et je vais t apprendre c est quoi de faire l amour a une vrai femme tout en me caressant la cuisse droite. Un dernier court arret avant l heure restante, Andree revenant du depanneur me passant sa petite culotte mouillee sous le nez avec discretion. Ses doigts avaient une odeur de cyprine, fort probable qu elle en avait profite du moment pour se masturber en meme temps.
Arrives avec enthousiasme, ses parents absents du domicile. J ai fourre Andree pendant pres de deux jours non-stop. La prenant dans le lit conjugale, le salon, la salle de lavage, le jardin, la cuisine etc etc etc. Cette femme etait un serieux manque de cul la baisant dans tout les recoins de la maison. Elle me disait que son copain du moment etait nul au pieu et pensait le quitter. Je la prenais en levrette avec fougue, elle me suggerant de continuer criant mon nom. Le lit craquait et frappait contre le mur, elle me sucait avec avidite me chevauchant par la suite comme une demone le corps en chaleur. Elle aimait se faire prendre contre mur et bureau, me delectant de sa poitrine chaude et douce avec mes mains et ma bouche. Sa chatte etait pulpeuse et poilue. De la mouille coulait en abondance de sa fente rosee, M allumant de plus en plus par des mots crus la defoncant sur la laveuse en action. Elle m embrassait pleine bouche comme pour etre sure de ne pas trop crier. J etais son premier petit jeune, voulant absolument me revoir vivant elle aussi dans la region Gaspe.
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