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une histoire folle chap 5

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Plusieurs semaines se sont écoulées depuis notre nuit d’osmose avec mon père et Vanessa. Nous continuons régulièrement nos parties a 3 dans la plus grande jouissance, et quand Vanessa n’est pas présente, je m’occupe de mon père pour notre plus grand plaisir mutuel a lui et a moi. Vanessa dût rester chez ses parents pour toute une semaine, famille oblige, et nous ne voulons pas attirer les soupçons, mais elle sait qu’elle peut nous joindre ou même venir a la maison a n’importe quel moment. Je profite alors de cette période pour chérir mon père, qui me le rend bien. Nous étions un Samedi soir, je voulais diner avec l’homme que j’aime, j’avais mis les petits plats dans les grands. J’ai cuisiné pour cette occasion, avec du champagne, des bougies, de la musique douce pour accompagner, bref, la soirée romantique par excellence, et moi, un tout petit peu de maquillage, et j’ai enfilé une robe longue bustier bleu nuit que mon père m’avait offert, avec des chaussures a talon. Tout était prêt, j’ouvris la bouteille de champagne et en versa dans les flûtes, il ne manquait plus que mon père.
Lorsqu’il sortit de sa chambre, habillé avec un smoking, je ne vous explique pas l’effet qu’il m’a fait, il était super beau, la dedans. Il s’avança vers moi, et lui tendis une des deux flûtes, je pris la seconde, et nous trinquions.

-T’es magnifique, ma chérie, me dit il avec un grand sourire.
-Merci, je dois dire que tu es très beau, toi aussi, répondais je.
-Merci, me dit il en me souriant.

Nous nous sommes mis a table, et commencions à diner. Nous discutions de choses diverses et variées lorsque, vers la fin du diner, il me parla de Vanessa. Je ne pus m’empêcher de lui poser la question qui me brûlait les lèvres depuis un moment.

-Tu l’aimes ? Lui demandais je en souriant tendrement.
-Je te mentirais si je te disais que non, ma chérie, affirma t il. En fait, je vous aime toutes les deux.

Je lui pris la main tendrement en lui souriant. Ce moment était tout simplement parfait, la musique jouait, les flammes des bougies projetaient une petite lumière tamisée.

-Moi aussi je vous aime tous les deux, tu sais. Dis je après une courte inspiration. Nous avons discuté de ça avec Vanessa, et nous sommes tombées d’accord sur le fait que nous voulons continuer a t’aimer et à te partager. Sauf si tu n’es plus d’accord.
-Comment ne pas être d’accord ? J’ai les femmes les plus vicieuses de la terre, vous me comblez, je suis fou de vous, que demander de plus ?

Je pris une gorgée de champagne.

-Je t’en ressers ? Me demanda t il.
-Volontiers !

Mon père nous servit avec sa main libre, c’était fabuleux, j’aurais voulu que le temps s’arrête.

-On va ailleurs ? Dis je en désignant le canapé du salon du menton. J’ai quelque chose a te demander.
-Très bien, allons y, me dit il doucement.

Nous prenions nos flûtes respectives et la bouteille de champagne presque vide, que nous déposons sur la table basse face a nous, et nous nous installons alors sur le canapé.

-Qu’as tu a me demander ma puce ?
-Eh bien voila, c’est assez délicat et je ne sais pas si tu vas accepter, mais bon…

Je pris une profonde inspiration et prit une gorgée de champagne, je reposais ensuite mon verre. Je lui prit les mains en le regardant le plus possible dans les yeux, pour lui montrer ma sincerité.

-Voila, depuis notre première fois a tous les deux, je ne te vois plus comme un père, mais comme un amant.
-Et donc ? M’interrogea t il.
-Eh bien, je voulais te faire une demande un peu particulière qui est de t’appeler par ton prénom, a savoir Patrick, mais uniquement dans l’intimité et en présence de Vanessa. A l’exterieur, je t’appelerais toujours papa, et nous aurons une relation classique père/fille. Et puis ça me tient a coeur depuis quelques jours de te demander ça, et je voulais savoir si tu accepterais.

Il soupira doucement en me regardant.
-Tu y tiens tant que ça ?
-Pas si tu refuses… Mon chéri.
-C’est d’accord !

J’explosais de joie ! Je l’embrassais tendrement. Quelque part, mon père est mort et il a laissé place a un autre homme, mon amant.

-Merci mon chéri. M’exclamais je.
-De rien, me dit il doucement.
-J’ai une suprise pour toi, lui dis je en souriant malicieusement.
-De quoi s’agit il ?

Pour toute réponse, je me levais du canapé, pris la télécommande de la chaine et passa au CD suivant. Une musique sensuelle se fit entendre, et je commencais a me déhancher langoureusement, face a lui, en le regardant. Je fis descendre la fermeture éclair du dos de la robe très lentement en continuant a me mouvoir. Il prit sa flûte qu’il sirota en me regardant faire mon petit spectacle. Je m’effeuillais lentement, sensuellement, comme le ferait une vraie strip teaseuse. Ma robe tomba au sol pour laisser apparaitre un magnifique body en dentelle noire, mon chéri n’en ratait pas une miette et était même ravi de cette surprise inatendue. A la fin de mon show, il m’applaudit et je voyais bien que je lui avais fait un grand effet, vu la bosse au niveau de son pantalon. Je m’agenouilla face a lui et ouvrit sa braguette. Sa queue sortit a l’air libre comme un diable de sa boite, je la prit dans ma main et commença a le branler délicatement.

-J’éspère que le spectacle t’a plu, lui demandais je en souriant.
-Tu ne peux pas savoir a quel point mon ange. La soirée est divine, me dit il.
-Attends de voir la suite. Maintenant détends toi, murmurais je en léchant son gland décalotté.

J’astiquais son gland avec ma langue, j’y mettais tout mon amour. Je passais ma langue sur toute la longueur de son membre dur et chaud, je ne laissais pas la moindre parcelle de sa queue sans y deposer un baiser, ou un coup de langue. Lentement, sa queue s’enfonçait dans ma bouche, lui faisant laisser echapper des soupirs de plaisir. Je le sucais avec délectation, mes va et viens furent tendres, lascifs. Il me caressait la nuque en gemissant, des fois, je le regardais et constatait qu’il fermait les yeux pour mieux savourer ses caresses buccales. Je faisais exprès de faire des gestes lents, je voulais qu’il savoure sa pipe, qu’il se régale, comme moi. Plus je le suçais, plus cela m’excitait, mais je voulais qu’il prenne son pied. Ca devait faire au moins une bonne demi heure que je lui procurais ce traitement. Je m’arretais afin de mettre un peu de champagne dans ma bouche, la flûte etait remplie a un peu plus de la moitié, et je remis sa queue dans ma bouche.

-Ooooooh, putain ce que c’est boooon ! Souffla t il.

Je savais que ça faisait son petit effet. J’avalais la boisson tout en le suçant délicatement. Je sortis sa queue pleine de bave avec un leger gout alccolisé de ma bouche et je le léchais en le branlant avec une infinie douceur. Ma langue constatat alors un peu de pré-sperme. Je m’attardais sur la partie sensible du gland.

-Préviens moi quand tu jouiras, mon amour, lui dis je amoureusement.
-Ca… Ca va pas tarder, begaya t il, en transe et les yeux fermés.

Rapidement, je saisis ma flûte, mis son gland dans le verre et le branla un peu plus energiquement, pas beaucoup, mais juste ce qu’il faut. Il se mit a trembler, il n’en pouvait plus, et dans un râle profond, il ejaculait de grandes quantités de sperme dans le champagne. Il devait être sacrément excité, parce que ca ne s’arretait pas. Des traces gluantes et blanchâtres flottaient a la surface du liquide alcoolisé, et certaines traces maquillaient le verre. Je suçcottais le gland qui perlait encore pour récuperer les dernières gourmandises. Peu après, mon père ouvrit les yeux et vit que tout ce qu’il a éjaculé a atteri dans ma flûte. je le regardais en souriant tendrement.

-A ta santé, mon chéri.
-Attends, tu ne vas pas…

Je ne lui laissais pas le temps de finir sa phrase que j’avalais d’un seul trait tout le contenu de ma flûte, devant ses yeux ébahis. Le goût était merveilleux, les liquides se mariaient superbement.

-Mmmmm, oh putain, quel régal ! M’exclamais-je en me pourléchant.

Je pris de mon index les dernières zèbrures de sperme et je les portais a ma bouche. Mon chéri commença a se remettre de ses émotions en finissant son verre.

-Oh mon dieu, c’était divin, ma puce ! Souffla t il, d’un air satisfait.
-On va manger le dessert ? Lui proposais je. J’ai fait une salade de fruits. Idéal pour te requinquer un peu.
-Avec plaisir, dit il en se levant.

Nous retournions a table, je remis une musique douce pour terminer notre soirée, et servit le dessert. Nous le dégustions en nous tenant la main, comme des vrais tourtereaux, nous souriant, nous embrassant, nous disant des petits mots doux. Et après le dessert, il me prit dans ses bras, m’embrassa délicatementet mon désir revenait au galop.

-Merci pour cette soirée, ma puce, me dit il.
-Mais la soirée ne fait que commencer, mon coeur, dis je en posant mes mains sur son torse musclé.
-Tu as raison, me dit il en m’embrassant langoureusement.

Il me prit par la main, et m’emmena dans la chambre a coucher.

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