La trentaine élégante,elle se présente pour visiter le studio à louer. Joli brin de femme,style légèrement désabusée…
Elle visite donc ce studio meublé en cette fin de journée d’hiver. Elle minaude à tout moment, s’extasie. Sur tout, le bon goût de la déco, la qualité des mobiliers, de l’équipement… etc, etc, etc. Elle accompagne son bavardage d’attitudes équivoques à tout moment, s’assied sur le fauteuil, le lit, bref tout porte à penser qu’elle est intéressée, mais par quoi, la piaule ou le mec?
Quand j’annonce le loyer, elle ne peut retenir:
– Impossible, trop cher je n’arriverais jamais doomage!
Et ceci avec une moue à me faire pleurer. Donc, pas de doute il est urgent de la consoler, et je suis spécialisé pour ça.
Justement, elle est debout appuyée contre l’arcade qui sépare la cuisine du salon et balaie d’un regard éteint les mobiliers. Donc, l’épaule appuyée contre la cloison, les jambes légèrement écartées. Je la vois de dos, je deviens gourmand, me laisse aller à de bas instincts. Je me colle à elle, mes deux bras l’enserrent au niveau de sa taille et je superpose mes mains sur son bas ventre, au niveau approximatif de son sexe. Elle ne réagit quasiment pas.
– Je compatis, murmurais-je auprès de son oreille en remontant une main vers sa poitrine. J’ai réussi à glisser sous son manteau et commence à malaxer doucement ma prise, qui me paraît être une excellente. Prise, dodue et ferme à la fois.
– Compatissant et sur tout rapide !
Elle tourne un peu la tête vers moi, je suis prêt à recevoir un baiser, mais telle une anguille se tortille, m’échappe, se rajuste un minimum.
– J’ai pas le temps, au revoir.
Pas le temps de réagir, partie, je suis éberlué, con.
« Salope » est ma seule pensée.
Popol déjà au garde à vous passe au repos.
Je me pose dans le fauteuil, regarde ma montre, pas encore sept heure. Par convention je reste jusqu’à huit heures pour faire visiter les lieux. Il y a du whisky, des glaçons, j’ai le temps de songer au fantasme absolu des gens de l’immobilier, profiter des largesses d’une jolie cliente…
Bientôt huit heures, je rassemble mes petites affaires et au moment de passer mon manteau, le téléphone sonne, non pas maintenant pensais-je, ras le bol, je rentre. Cependant, je décroche.
-Que penseriez-vous d’une petite folie dans un parking de supermarché, il fait un léger brouillard, ce serait un peu fou non?
-Où, j’arrive.
J’arrive sans traîner, je repère le grand mât qui porte le numéro neuf, la voiture blanche isolée, fais l’appel de phare convenu, stoppe en regard de sa porte. La créature change de véhicule en un instant et je démarre fort vite.
– Etes vous toujours aussi rapide?
– En général, oui, mais avec les dames j’aime traîner, réviser l’anatomie…
Elle bricole déjà mon pantalon, ma braguette et fait connaissance avec coquette, qui est guillerette! Moi je surveille le rétro, sors du parking, y reviens par l’arrière, par l’entrée fournisseur. Tout ça car j’avais envisagé une arnaque avec d’éventuels complice. Tout à l’air calme.
A nous deux petite salope pensais-je. Je vais venger mon honneur bafoué!
En réalité elle est de taille moyenne petite et sa position fait que j’arrive facile à ses fesses, entre ses fesses, n’y trouve ni culotte ni string, y trouve une fente humide, peu ou pas de poils, un trou, sympa, humide, accueillant, où j’engage un doigt, deux doigts, je farfouille, je sens un relâchement côté coquette, une sorte de cri, petit cri, à chaque incursion, un petit cri. Dieu que c’est incommode. Un effort et je chope le clitounet que j’écrase, ponce. Elle crie et relâche ma bistouquette, j’ouvre la portière, me jette dehors et montrant l’objet de sa convoitise:
– Att****, viens, allez att****…
Étonnée, elle sort, regarde à droite, à gauche. J’en profite pour lui prendre une main, la guider, l’appuyer contre l’aile avant, face à moi et, déjà j’ai glissé mes paluches sous sa chemise et, tiens, pas de soutien gorge, et je te lui pétri les nichons, les suces, les bouffe, les aspire, les avale…voilà qu’elle touche mon appendice toujours érigé. Je la soulève à deux mains, l’assied sur l’aile et la pénètre comme un hussard de la grande Armée! Je te lui coupe le souffle, et je bourre, je bourre, et elle commence à couiner, comme une petite souris à qui tu marches sur la queue. Je ralentis, les « cui-cui » aussi, si j’accélère, elle aussi. Je m’en reprends aux seins qui me regardent mamelons écarquillés.
Soudain, j’en ai marre, y a un truc qui baigne pas, devrait commencer à grimper aux rideaux la greluche, alors qu’elle est en croisière.
A ce train y en a pour la nuit, donc, je la tire à fond contre moi, sens qu’elle est à fond, la chope par les épaules, la projette contre moi. Je suis donc debout, elle, deux bras autour de mon cou, j’ai fléchi les genoux et entame Cavalerie légère, puis Cavalerie rusticana, dieu que c’est bon. Cette conne vient de me mordre une oreille, je m’agite, secoue un peu plus, elle couine grave et moi j’en peu plus, j’ai les cuisses en feu.
Je lui demande de décroiser les jambes qui entourent ma taille et dès qu’elle a pris pieds, la retourne et la couche à nouveau sur l’aile avant, mais elle me tourne le dos.
Je connais le chemin et va que j’entre là dedans comme chez moi. C’est un endroit charmant, tout de douceur fait, tiède à point, huilé impec, y a plus qu’a et j’aime ça.
Elle a un vagin de rêve, de soie revêtu, se modulant parfaitement autour de mon sexe que je mobilise cool, un peu crevé d’avoir fait le porteur juste avant. Que je suis bien là dedans. C’est alors que la coquine passe une main sous elle, je laisse faire pensant qu’elle veut s’accompagner d’une masturbette du clito, bien me dis-je. Mais non elle me choppe les bijoux de famille et fait une torsion brutale. Putain, ça remet du cœur à l’ouvrage. Je démarre sur les chapeaux de roues, et je te l’a cloue sur l’aile, lui bouscule l’utérus et m’installe au fond, très au fond de la douce caverne, et je bouge plus. Clouée elle est pour un moment, et puis je redémarre à fond, et je lime, profond, rapide, elle beugle, elle ameute tous les chiens du coin.
J’entends aussi le bruit de la rencontre de sa chair contre la mienne, de ses fesses contre mon bas ventre, on dirait une fessée, ou tout comme et du coup j’en rajoute, une grande claque sur le cul, et une autre, et encore…elle griffe mon capot, s’en prend à un essuie glace et soudain, explose! A l’orgasme, historique à mon avis! Moi j’ai popol enflée, raide, prêt à…
Je dételle, récupère la délinquante par une aile, elle comprends illico, s’empare du manche, branle, suce, rechope les roubignoles, tord et j’explose, frôlé l’arrêt cardiaque au moment où je balance la giclée, les giclées qui n’en finissent pas…
Elle est belle, elle avale systématiquement goulûment chaque giclée.
Nous remontons dans ma voiture. Finalement, je suis resté très présentable, juste une braguette à refermer, la ceinture à boucler, un vrai gentleman.
De l’autre côté, il y a plus de pagaye dans la vêture et pendant qu’elle se rajuste j’en profite pour butiner une dernière fois les pointes de ses seins. Elle profite du miroir de courtoisie pour rafistoler la façade. Elle ouvre son sac pour chercher la trousse adéquate et en sort une petite culotte qu’elle remet avec grand naturel. Elle ratt**** le maquillage. C’est beau un visage de femme après l’orgasme! Une affaire d’hormones parait-il. Sont-ce celles que les dames génèrent en interne pendant le coîtus, ou celles que nous répandons généreusement? Demande à ton docteur de t’expliquer, et s’il est pas con, il fera des travaux pratiques.
Nous nous quittons sur le parking, je constate juste qu’elle seule à mon numéro de téléphone, moi pas le sien…on verra l’avenir. Je démarre, le réalise que nous ne savons même pas nos prénoms.
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