Histoires de sexe soeur Histoires gays Premières histoires de sexe

Le club libertin

Le club libertin



Au mois d’Août, j’ai voulu tester un club très spécial de ma région. J’ai voulu y aller seule. Allez savoir pourquoi.,J’avais lu sur internet que c’était un club sur trois niveaux, dans un ancien manoir. Habillée sexy pour l’occasion, dés l’entrée passée, j’ai commencé à regretté d’être venue seule.
Au bar des hommes discutent sans prendre attention attention à moi. L’ambiance n’a rien de transcendant à part peut être l’aspect médiéval des lieux. Enfin des couples arrivent et rigolent ensembles. Vers vingt deux heures, une sorte de major-d’homme nous invite à descendre au sous-sol. La pièce est vaste. Au centre se trouve une piste de danse et sur les côtés des alcôves pour ceux qui veulent faire des coquinerie discrètement. L’ambiance est plus détendue qu’à mon arrivée et deux hommes m’ont remarqués et bavardent avec moi. Ils me draguent avec finesse. Ca change des gros lourdeaux. Je remarque un groupe de filles en tenue légères et portant un loup pour ne pas être reconnues.
Quand l’un d’eux ma pris par la taille, j’ai sursauté mais je ne me suis pas esquivé. Il m’a entraîné sur la piste de danse, m’a serré contre lui en plaquant ses hanches contre mes fesses. Je peut sentir sa virilité qui durcit au rythme lancinant de la musique. qui tressautaient au rythme de la musique. Des fourmillements parcourent mon ventre et je me met à mouiller. Ne voulant pas perdre mon contrôle et voyant des couples s’agiter dans des alcôves, je lui demande :
« J’aimerais bien aller mater les couples qui s’acoquinent dans les coins câlins. »
Il m’a sourit et accompagné de son copain il m’a suivi.
Alors que j’observe un couple en pleine action. Mes deux accompagnateurs me pelote les seins et les fesses. Trop excité, je suis entrée dans l’alcôve et je me suis mise à participer. Le couple, sur le coup est surpris mais semble ravis. Après un court temps d’arrêt, la femme reprend sa fellation. Mes deux hommes eux aussi sont content de me voir aussi disponible et l’un d’eux veut m’ôter ma robe. Je lui fait signe que je n’en ai pas envie et pendant que je commence à bouffer la chatte de la fellatrice, il en profite pour m’enlever le string et il m’a pénétré sans autre formule. Son ami, en attendant son tour se masturbe L’érotisme est à son comble. Je suis si excité que je ne me rends même pas compte qu’ils ont réussi à virer ma robe et je suis à poil entrain de déguster une chatte d’inconnus tout en me faisant mettre en levrette. Une partouze s’engage dans l’alcôve et ce n’est que gémissement alors que les trois hommes nous échangent avec bonheur.
Je ne sais plus qui me baise, qui je suce, qui me bouffe la chatte. A ce régime, j’ai vite fait d’atteindre l’orgasme et les mecs commence aussi à jouir sur nous. Couverte de sperme, les trois hommes nous congratulent et la femme dont je ne connaîtrais jamais le nom échange avec moi le précieux liquide masculin.
Nous passons aux douches ensembles et quand nous revenons au sous-sol, c’est une vraie orgie. Ca baise dans tous les coins. Mon œil est attiré par un homme qui prend une femme en levrette avec force et maîtrise, à la vue de tous sur une banquette. Un couple d’anglais s’approche, appréciant le spectacle. L’homme embrasse langoureusement sa compagne, tout en commençant à la déshabiller. Des hommes seuls forment un cercle autour de la scène. Une fois nue, ils se rapprochent du type qui besogne toujours la femme qui se pâme, et l’Anglaise met alors un doigt dans l’anus de la femme. Elle continue de gémir sous les coups de boutoir de son amant d’un soir et se met à sucer l’anglais qui lui présente son engin.
Puis, l’Anglaise l’accroupie et commence à sucer les hommes qui forment un cercle autour d’eux. La fille suce et branle toutes les queues qui passent à sa portée. Les hommes éjaculaient sur elle. D’autres, plus brutaux, lui claquent les fesses. C’est un spectacle si troublant, infâme et excitant à la fois que je reste à admirer en me masturbant.
Waouh, j’ai jamais connu un truc pareil. L’effervescence de la situation, fait que, sans le remarquer, subjuguée par les scènes qui se déroulent sous mes yeux, des hommes se sont approchés de moi et de multiples mains se mettent à se balader sur mon corps. Je suis très excitée, tellement excitée que je ne me pose pas plus de questions que cela et me laisse tripoter. On m’allonge sur le dos et une femme m’embrasse à pleine bouche. Des mains fouillent mon intimité. La femme me donne ses seins à téter puis suce les miens. Entre mes cuisses, un homme me lèche avec délice, je suis comme une folle. L’un des hommes de tout à l’heure s’approche de moi et voyant sa queue bien raide, je la prend dans ma bouche comme une gourmande. Je me mets à quatre pattes. Les mains qui me fouillent sont rapidement remplacées par des bites bien dure qui me pénètrent à tour de rôle. Un autre sexe tente de me sodomiser. Cette queue force l’étroit passage et parvient à ses fins. Je suis prise de tous les côtés. Là, dans cette ambiance de stupre, je hurle mon orgasme.
Le mec que je suces se retire brusquement de ma bouche. Il me prend par le bras et m’entraîne sans ménagement à travers la salle, sur la piste de danse. Il me tourne assez brutalement face à lui et dit sèchement, haut et fort pour que tout le monde malgré leur attractivité sexuelles :
« A genoux ! Comme la chienne que tu es, Tu vas faire tout ce je te demanderai ! »
Alors que les regards se retournent sur moi et que je reste plutôt surprise de ce changement de ton, le major-d’homme s’approche de moi et me glisse d’un ton plein d’emphase :
«  Madame ne savait peut-être pas que cette deuxième parti de soirée était consacré au BDSM. »
Désorienté, mais excitée par la situation, je me plie aux ordres et me met à genoux. En fait, dans ce tumulte orgiaque, j’ai très envie que cet homme me domine et fasse de moi ce qu’il veut.
« Retire mes chaussures et lèche mes pieds ! »
Je m’exécute immédiatement. Ma position pour lui lécher les pieds met en valeur mes fesses et offre aux spectateurs occasionnel un spectacle sans pareil sur mon intimité luisante de mouille. Je remarque que certaines personne ont abandonné leurs occupation pour mieux profite du nouveau spectacle qui leur est offert. Je sursaute sous l’ordre sec du bonhomme :
« Ça suffit salope ! Suces ma bite ! »
Depuis le début de cette soiré, le langage avait été plutôt courtois. Cet ordre claque comme un coup de fouet. Je prend en main le membre aux dimensions respectables. J’ouvre la bouche et je gobe le gland gorgé de sang. J’adore sucer une belle bite et là je suis servi. Son phallus triomphant, envahit ma bouche jusqu’au fond. Je m’applique à bien le pomper et évite de faire sentir mes dents. Il pourrait en profiter pour juger que c’est une faute impardonnable. 
Les gémissements du garçon me confirment le plaisir que je lui procure. Alors que je m’apprête à me prendre ses giclées de sperme dans la bouche, il m’att**** par les cheveux et me relève en disant :
«  Debout chienne ! Appelle moi MAITRE putain !!! T’es juste là pour servir de vide couilles ! »
Je suis tellement excitée de ce que je suis en train de vivre que mes tétons sont dardés comme deux petit sexe. Une chaleur bien connue brûle dans mon ventre. Ma chatte dégouline d’un mélange de sperme et de mouille qui coule sur mes cuisse. Sa matraque, longue et d’un diamètre respectable, trône fièrement. Ses grosses couilles présage de la quantité de sperme qu’elle doivent contenir. Il me lance :
«  A genoux sur le fauteuil chienne ! Je vais t’défoncer la chatte et l’cul ! Mais, si tje t’entend…. ! »
A genoux sur l’assise du fauteuil, je me cambre pour accueillir son sexe. Dans cette position mes seins belotent doucement et je deviens l’attraction à ne pas manquer. P Presque tout le monde se regroupe en cercle autour de nous. Il commence par me rougir les fesses à grands renforts de claques. Je me mords les lèvres pour ne pas crier.. Puis soudain, je sens son gland à l’entrée de mon vagin. D’une poussée violente, il me pénètre. J’ai envie de hurler mais j’étouffe mon cri. Heureusement que je suis excitée et trempée de mouille car je l’aurais sentie passer.
Une femme qui n’est vêtue que d’une guêpière de dentelle noire, s’approche de nous. Elle tient en main une sorte de martinet et me dit, alors que je me fait secouer par le Maître :
« Alors salope ! Tu te fais bien défonce l’con ? J’vais t’faire passer le plaisir de t’faire sauter en public comme un a****l ! »

Elle se met à jouer avec mes seins et à pincer mes tétons. Puis tout en continuant maltraiter mes seins elle commence à me fouetter les reins. Le mec me pistonne à grands coups de boutoirs sortant parfois de ma chatte pour mieux y rentrer en force. Je me mords les lèvres pour ne pas exprimer la jouissance que je sens monter en moi. Que c’est bon d’être soumise ainsi en public. Soudain, il se colle contre mes fesses et je sens un flot de sperme envahir mon vagin. J’ai une envie folle de hurler ma jouissance. Je serre les dents et me crispe sur les bras du fauteuil pour ne pas exprimer l’orgasme qui me submerge. Le Maître reste reste quelques instant en moi. Il se retire et et me dit :
« Nettoie ma bite chienne ! »
« Bien Maître… Je suis à votre service. »
Sans me faire prier, je lèche son sexe gluant de nos sécrétions. L’excès de foutre coule de ma chatte.
A ce moment la fouetteuse, son petit martinet à la main, accompagnée de plusieurs couples lance :
«  Attendez un instant Messieurs ! J’ai des choses à récupérer avant que vous puissiez vous occuper d’elle. »
Elle colle alors sa bouche sur mon intimité et boit l’excédent de sécrétions qui coule de ma chatte. Je tends mes fesses pour lui laisser tout le loisir de me brouter le minou.
La bite du mâle nettoyée, je sors de ma torpeur quand je l’entends dire aux mâles présent, passablement excités par le spectacle saphique que la dominatrice leurs a offert :
« Vous pouvez y aller Messieurs, elle est propre maintenant. Elle est toute à vous ! »
Les gaillards quittent précipitamment leurs vêtements et comme des gamins pressés de se servir du jouet qu’on leur offre, il se mettent à me tripoter de tout côtés. Sans me faire prier, je saisis les sexes tendus. j’en attire à ma bouche et je me retrouve la mâchoire écartelée avec deux gros engins.
Ils gémissent de plaisir. Même si j’aime sucer, deux trucs comme ça dans ma bouche est plus une torture qu’un plaisir. Mon cul n’est pas en reste car un autre bonhomme sous les encouragement de son épouse, me perfore la rosette. Mes cris étouffés doivent être comiques pour le public présent car je les entends rigoler. Je comprend mieux la punition que cette salope voulait me faire subir. J’avais imaginée être fouetté, et bien non. J’allais me faire défoncer en public par de multiples bites. J’allais leurs servir de jouet, de vide couilles. Sans se soucier de mon plaisir ou de mon accord. Après tout, j’étais là pour ça quelque part. Mon tempérament de soumise prenait là tout son sens.
Mon cul, ma chatte, ma bouche son harcelés par leurs mâts qui entreprennent des vas et vient rapides et violents. Ceux qui ne me bourre pas me malaxe les seins durement, jouant avec mes tétons ou leurs donnant des claques. Le spectacle que j’offre doit être extraordinaire car sous mes gémissement de douleur et de plaisir mêlés, étouffée par les queues qui obstruent ma bouche, les conversations vont bon train pour commenter mon humiliation. Engluée dans mon plaisir douloureux, je ne comprends pas ce qu’ils disent. Un des homme qui utilise ma bouche décide qu’il est temps de changer de place et en accord avec ses compères qui s’occupent de ma chatte et de mon cul, Il présente son dard à côté de celui qui me fourre la chatte et tente de s’introduire lui aussi dans mon vagin distendu. La terrible pénétration se fait sous les « hourra » du public. S’engage alors une triple pénétration sauvage. Les trois hommes m’écrasant contre leurs corps perlant de sueur. Je hurle d’être ainsi possédée.

Il ne leurs faut que quelques minutes de cette frénésie pour déverser un flot de sperme dans chacun de mes orifices. Celui qui éjacule dans ma bouche m’oblige à avaler. Ce que je fais de bon gré. À peine repus, ils rejoignent qui les félicitent de leurs prestations. Je suis incapable de bouger. Saoulée de sensations à la fois douloureuses et délicieuses, je suis anéantie les trous béants et dégoulinant de sperme. Je pense à ce moment que mon divin supplice est terminé et pouvoir prendre une bonne douche et me reposer. Mais c’est sans compter sur cette salope de dominatrice. Accompagnée d’une des épouse de mes forniqueurs, les deux sylphides sautent sur la piste et telles des lionnes prêtes à dévorer leur proie. L’une m’écarte les jambes et se met à se délecter de la semence dégoulinant de mes deux orifices souillés. La dominatrice quant à elle, plaque son intimité contre ma bouche en m’ordonnant :
« Lèche-moi ! Fait moi jouir sac à foutre ! »
Je n’en peux plus et c’est au rythme des doigts et de la langue de l’une et de la chatte dégoulinante de cyprine de l’autre que, résignée, je prodige mes attentions sur la chatte dominatrice. Très vite, la dominatrice n’y tenant plus, m’arrose le visage dans son orgasme en me disant :
« T’es trop bonne salope ! Tu me fais jouir !!!!! »
Cette fois, terminé les agressions. Elles se lovent contre moi et nous nous câlinons alors que le public, excité par le spectacle que je leur ai offert, se met à faire l’amour dans leurs coins. La dominatrice avec une délicatesse que je ne lui connaissais pas m’entraîne vers les douche et me savonne amoureusement.

Totalement épuisée, Elle me commande un taxi pour que je rentre chez moi où je me jette sur le lit pour sommeil peuplé de rêves érotiques.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire