Préambule :
Nous sommes en week-end « amoureux » en Occitanie. Après un après-midi occupée à visiter et a flâner dans la cité médiévale de Carcassonne, nous avons dîné au restaurant, et avant de rentrer à notre hôtel, nous avons achevées notre soirée dans un ciné-club qui proposait « La lectrice ». Film que nous voulions voir toutes les deux car au collège, et j’en reste encore toute étonnée quand j’y repense, nous avions eu cet ouvrage en lecture obligatoire. Ce film, de plus, fut un des plus grands succès cinématographiques de l’année 1988. Du réalisateur Michel Deville, il met en scène Miou-Miou dans le rôle de la lectrice et Patrick Chesnais (entre autres) dans celui « d’ un client » … Ils finiront pas êtres amants…
Quand nous avons retrouvé notre chambre d’hôtel, excitées par quelques baisers et caresses mutuelles sous notre robe, à travers nos culottes pendant les scènes un peu osées. Nous avons décidé de pigmenter et d’érotiser notre coucher en jouant à la lectrice. Ce soir, c’est moi qui m’y suis collée…
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« … Tes gémissements s’amplifient quand mes doigts caressent ta fente humide de ton envie. Tu écartes un peu plus ton compas et laisse voir cette chatte mouillée que j’aime tant… »
Sur notre lit, nue, comme Flora couchée à coté de moi, le dos bien calé contre la tête de lit par un oreiller, je lis sur ma tablette, d’une voix sensuelle un récit érotique. Une histoire lesbienne trouvé sur xHamster notre site favori d’histoires de sexes.
« … Je sépare tes lèvres intimes. J’insère doucement l’index dans ton vagin. Je le fais glisser en exerçant une pression sous ton mont du pubis, à la recherche d’un certain point… »
Au fur et à mesure que je rentre dans la partie la plus chaude de l’histoire, que les phrases s’enchaînent, sous l’effet érotique de ma lecture, Flora vient se coller contre moi. Je sens son souffle chaud au creux de mon cou qui en dit long sur l’excitation qui monte en elle. Moi-même, je ne reste pas insensible aux mots que je lis ni aux prémices des caresses qui s’annoncent et font dresser mes tétons et monter dans mon bas-ventre une chaleur humide.
« … J’agite mon doigt dans cette chatte affriolante. Aux gémissements qui s’amplifient, je sens que tu vas venir rapidement. Mais je ne veux pas te faire jouir tout de suite…»
La tête sur mon épaule, les yeux fermés, elle s’imprègne des mots qui coulent de ma bouche. Sa main caresse tantôt mes seins, tantôt mes cuisses, tantôt mon ventre, frôle mon pubis. Sa respiration se fait plus intense. Sous ses caresses furtives, je frissonne de plaisir. D’humide que j’étais, je me sens mouillée dans mon entrejambe. Ma concentration sur la lecture commence à faiblir.
« … Le bout de ma langue se pose sur ton clitoris gonflé provoquant des vagues de plaisir à travers tout ton corps. Moi, je me régale de ton jus de chatte… »
Plus les mots se font sexuels. Plus le récit devient cochon. Plus ma voix perd de sa sensualité, car je veux visualiser, pour m’exciter et en jouir, les saynètes qui se forment dans ma tête au fur et à mesure que je lis.
« … Pendant que ma langue et ma bouche s’activent dans ta vulve, de l’index et du majeur réunis, je te baise en de profonds et puissants va-et-vient… »
Prise elle aussi par l’érotisme du récit, tout en me caressant, elle a passé son entrejambe sur ma cuisse et se frotte dessus en haletant. Je dois me faire v******e pour continuer à lire.
« … Sous l’effet conjugué de ma bouche et de mes doigts, tu montes vers la délivrance avec de longs feulements qui viennent du plus profond de toi… »
Flora écarte mes cuisses, remonte lentement sa main vers ma chatte. Quand elle la pose sur ma fente et que la pulpe de ses doigts trace des arabesques, je m’arrête de lire et laisse échapper un gémissement. La chaleur de son corps contre le mien. L’humidité de sa chatte sur ma cuisse me fait tressaillir d’envie. J’ai des difficultés énormes à rester concentrer sur le texte.
« … Juste avant de plonger dans l’abîme ouaté que va provoquer cette jouissance fastueuse, tu te cambres. Tes mains crochètent les draps. Tes jambes se tendent… »
Je ne sais plus où donner de la tête : je me représente les deux femmes en train de se gouiner, au bord de l’orgasme, tout en frémissant sous les caresses de ma chérie. Je me cambre et ouvre ma fourche au maximum en repliant ma jambe libre vers l’extérieur. Je fonds, lentement, mais sûrement. Si je parviens malgré tout à continuer à lire, ma diction est saccadée par ma respiration et mon cœur qui s’affole.
« … Tes doigts de pied se recroquevillent, les muscles de tes cuisses tremblent. Tes gémissements deviennent frénétiques. Et quand l’orgasme… »
Ses doigts se font plus pressants, écarte mes lèvres intimes fouillent mes nymphes qui sont trempées. Je perds le fil des mots. Je lis, mais sans plus savoir ce que je lis… Et puis je ne lis plus du tout, je suis à elle !
Je ferme et pose ma tablette, puis je m’abandonne à sa délicieuse torture…
Flora à écarter mes cuisses et s’est glissée entre. Ses doigts ont tout de suite trouvé sa cible. Elle insère l’index et le majeur réunit dans ma vulve qui pleure d’envie et quand je comprends ce qu’elle cherche, je pousse un « Ho, oui ! » de satisfaction.
Seule, il m’est souvent difficile d’atteindre mon point G, alors quand elle le trouve et que par des mouvements lents et réguliers elle masse cette « pastille », une sensation unique dont seules les femmes ont le privilège m’envahit et me fait crier et couler de plaisir. Mon bassin ondule, mes hanches se soulèvent et poussent contre ses doigts.
C’est le moment que choisit Flora pour me parler « sale »
– Tu aimes ça, hein, Petite cochonne
– Oh oui Flora… J’aime ! Tu… Tu vas me faire gicler… Je vais jouir !
– Regardez-moi cette souillon d’Elise, elle va me pisser sur la main et tacher les draps de l’hôtel, tu n’as pas honte Marie-salope !
Elle me connaît si bien !
Flora savait qu’en me parlant de la sorte, elle alimentait en même temps le feu qui brûlait en moi, et que ma jouissance sera décuplée par les mots crus dont elle m’abreuve, tout en continuant de me fourrer.
Le va-et-vient de ses doigts. Sa paume qui tape contre mon clito chaque fois qu’elle s’enfonce, mon ventre qui vient à sa rencontre, sa bouche qui mange la mienne quand elle ne me parle pas. Sa main libre qui triture mes tétons chacun leur tour.
Tout cela conjugués aux sons humides que font ses doigts dans mon vagin, m’arrache des plaintes de plaisir de plus en plus intense et je sens mon jus de chatte lui couler dans la main.
J’ai de plus en plus de mal de retenir comme une envie de pisser, en même temps qu’une boule se construit dans mon ventre. Putain que c’est bon !…
Puis mon corps devient très chaud. Je sens cette merveilleuse vague orgasmique partir du bout de mes orteils, parcourir rapidement tout mon corps, avant d’exploser dans mon ventre et de me faire partir en transes… L’extase !
Je ne gémis plus… Je glapis ! Quand un jaillissement chaud et odorant sort d’entre mes jambes.… Je suis en train de lui gicler dessus !… Un, deux, trois jets successifs, d’habitude, c’est moins abondant, alors de surprise, nous restons toutes les deux à nous regarder bouches-bées !
Pendant que dans les bras de Flora, je reprends mes esprits, je vois dans ses yeux toute sa satisfaction de m’avoir amené a un tel degré de jouissance. Je l’embrasse amoureusement tout en caressant son corps. Nos jambes s’entremêlent et je sens sur ma cuisse le plaisir qu’elle a eu à m’en donner.
Sans la prévenir, je la retourne brusquement pour la coucher sur le dos, au milieu des draps souillés par mon plaisir, tout en l’obligeant de mettre et laisser ses bras au-dessus de sa tête.
Ma réaction semble la satisfaire, car elle laisse sourdre un gémissement de plaisir tout en entrouvrant ses lèvres pour une embrassade langoureuse.
Mes baisers s’attardent dans son cou. Flora tourne la tête sur le côté pour en profiter pleinement. Je mordille le lobe de son oreille, je sais qu’elle adore !… Elle halète de désir.
Je descends progressivement, en m’attardant avec ma bouche, mes lèvres, mes dents sur ses nichons, mamelons, tétons.
Je continue ma descente en déposant de doux baisers le long de son ventre, sur son nombril, dans l’aine, puis l’intérieur des cuisses. Elle couine de plaisir sous mes léchouilles et ses mains fourragent dans mes cheveux.
Mais je veux qu’elle soit « ma chose » alors je me redresse pour replacer ses mains sur l’oreiller tout en la regardant avec espièglerie. À mon regard, elle a compris que je veux jouer avec elle. Alors Flora se mord la lèvre inférieure et tout en me souriant se laisse faire.
Je reprends mes caresses buccales, insistant dans l’aine, car je sais que quand ma bouche est à cet endroit, elle est impatiente que ma langue vienne parcourir son sexe glabre. Mais justement, comme je le sais, je la fais languir.
Mes ongles crissent délicatement sur ses jambes, trace des arabesques érotiques depuis ses pieds jusque sur son pubis, puis redescendent. Quand je remonte Flora écarte ses cuisses un maximum tout en pliant ses jambes.
Mes doigts s’attardent dans le creux des genoux puis glissent derrière ses cuisses, écartent ses fesses, chatouillent son petit trou avant de faire le chemin jusqu’à sa chatte imberbe. Ses gémissements qui accompagnent mes caresses m’excitent, je me remets à couler… J’adore !
Ma langue qui joue avec délice pendant que de deux doigts je baise son puits à plaisir, gluant, chaud, dégoulinant de cyprine font monter très vite sa jouissance. Quand je sens qu’elle est au bord de la délivrance, je m’amuse à suspendre mes mouvements. Rien que pour l’entendre me supplier… Et ça ne manque pas !:
-Elise… Ne t’arrête pas !… S’il te plaît, je suis à bout !.. D’abord, ta jouissance, puis maintenant ton petit jeu, je ne peux plus attendre !… Fais moi venir ma chérie !… Finis-moi… S’il te plaît !
Je ne peux pas résister à sa supplique, car en me parlant elle crochète ses doigts dans ma chevelure pour m’empêcher de reculer pendant qu’elle écrase et frotte son berlingot gonflé de désir sur ma bouche, mes doigts toujours plantés en elle…
Son bassin s’agite pour donner une amplitude aux mouvements qu’elle fait pour essayer de se faire venir encore plus vite. Ses gémissements deviennent des cris et m’encouragent à intensifier encore plus mes caresses. Je ne reste pas insensible à cette envie de jouissance et je sens que les draps une fois de plus se mouille sous moi !
Ma main libre glisse dans mon entre-jambe pour me masturber le clitoris avec brusquerie et quand dans un hurlement, elle laisse éclater son orgasme, sa jouissance déclenche le mien… .
Quelques instants après, revenu de notre nirvana, nous nous câlinons tendrement avant de finir par nous endormir dans les bras l’une de l’autre…
… Demain se sera au tour de Flora de me lire une histoire de sexe…
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