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Le dressage de ma mère 6

Le dressage de ma mère 6



J’avais une semaine pour parfaire mon projet.
Dès le lendemain, car il faut battre le fer pendant qu’il est chaud, j’appelais Christine à son magasin.

– Allo, suceuse ?
– Oui, puis chuchotant, il y a du monde au magasin, je ne peux pas te parler
– Je ne veux pas le savoir, tu t’isoles et tu réponds comme il faut

J’entendis des bruits de porte puis

– Oui, écoute, il faut arrêter ça
– Tu ne me tutoies pas, tu t’excuses ou je t’envoie Laurence au magasin
– Non monsieur, d’accord.
– Ce soir, chez moi, 18h, je laisse la porte ouverte, tu rentres et tu te fous à poil. J’ai besoin d’une boniche pour le repas.

Je raccrochais. C’était quitte ou double et en cas de défaillance, elle allait manger. Gros cul serait intraitable.

J’en profitai pour rebrancher le serveur.
Je la vis entrer dans la cabine de soin, se diriger vers la caméra et l’extirper de sa cachette et la débrancher. Elle ne savait pas qu’une autre caméra espion était toujours branchée.
Elle était prostrée sur la table de soins, assise, pendant de longues minutes. Puis, lentement, elle commença à relever sa blouse blanche et à se toucher doucement.
Il ne m’en fallait pas plus. Elle était tiraillée entre la honte et le désir. J’avais gagné.

À 18h pile, je vis par la fenêtre du bureau la voiture de Christine arriver. Je terminais de travailler et j’appelais :
– Gros cul ?
– Ma mère entra.
– Voilà la boniche de service qui arrive. Tu vas te mettre en tenue, hmmmm laisse-moi réfléchir… Nous allons dîner et nous aurons une domestique à punir, tu t’habilles avec bas, jupe en cuir et surtout : chignon et très maquillée.
– Bien monsieur.
– Va te laver et te préparer. Tu indiqueras à mon nouveau jouet ce qu’elle doit faire. Attention, en cas de manquement, tu seras punie avec elle. Tu l’habilles comme tu veux. Ce soir, vous servirez ma queue.
– Bien monsieur, nous servirons votre queue avec attention.
– Tiens, et ramasse-moi ça !
Je jetais la cravache qu’elle avait achetée par terre. Elle se tourna, remonta sa jupe au milieu des fesses et se pencha en avant, les jambes un peu écartées, sans plier les genoux.
Elle ramena la cravache entre les dents et après me l’avoir déposée sur le bureau, je lui en assénais un bon coup sur le cul.
– Aïe, Merci monsieur, je vais préparer la pouffiasse, il s’agit de faire honneur à votre bite. Que désirez-vous manger ?
– Ce que tu veux, mais digeste. Ah, et prépare un concombre pour la pouffiasse.

Je terminais de travailler et j’entrai dans le salon.
Christine était juste vêtue d’un petit tablier rose et d’une coiffe de servante.
Ma mère était en train de préparer la table, sa jupe en cuir laissant apparaître les bas et le porte jarretelles. Elle avait coincé la cravache dans sa ceinture.

À mon arrivée, ma mère sortit la cravache et intima à Christine :
– Au pied, pouffiasse !
– Bien madame.
– Il paraît que tu es végétarienne ?
– Oui madame
– Bien, tu vas commencer par ton plat préféré. A quatre pattes, vite, et le cul en l’air.
– Voici madame.

Ma mère sortit le concombre. Je riais car elle avait pris au pied de la lettre ce que je lui avais dit.

– Tourne-toi que je te rentre ça dans le cul.
– Oui madame, aaaaahh, c’est froid, aaaah, c’est gros, Aïe, Aîe
– Allons, ne fais pas la douillette. Maintenant qu’il est enfoncé à moitié, tu vas faire le tour de la pièce avec ton gode végan dans le cul. Allez, on te regarde. Et ne t’avise pas de le laisser tomber.

Christine fit le tour de la pièce, la moitié du concombre introduit dans le cul, docilement et lentement, pour ne pas laisser tomber le légume.
Elle revint vers Laurence qui le retira.

– Allez debout, espèce de truie, c’est bien, tu es une bonne petite pouffiasse.
– Merci madame.
– Dis-moi, la boniche, est-ce que Fatou t’avais déjà enculée avec son gode ?
– Non monsieur, vous être le premier à être entrer.. par là ?
– Par là où ?
– Eh bien dans mon anus, monsieur…

Un silence et elle reprit

– Vous êtes le premier à m’avoir enculée comme une pute.
– Bien, dis-je, tu rebrancheras la caméra dans ta boutique, et la prochaine fois qu’elle vient, tu lui demanderas de t’enculer fermement, c’est compris ?
– Oui monsieur, bien monsieur.
– Allez à table ! Dis-moi, gros cul qu’est-ce que tu m’as préparé ?
– J’ai fait léger, monsieur, comme vous me l’aviez demandé. En entrée, une mousseline de courgette aux lardons et en dessert, une forêt noire à la confiture et à la chantilly. J’ai pensé que cela vous plairait de ne pas avoir d’assiette et de déguster ces plat directement sur une chatte bien épilée.
– Excellent, gros cul tu t’améliores.
– Oh merci monsieur, dit-elle en rougissant.

Je m’installai à table et elle s’assit devant moi, les cuisses écartées.

– Viens servir, salope, monsieur n’aime pas attendre.

Christine, le plat à la main étala la mousse de courgette sur la chatte de ma mère, qui poussa un petit soupir à cause de la chaleur.

– Voilà madame, monsieur est servi, dit-elle.

Elle se posta à coté de moi afin que je puisse profiter de son cul pendant que je commençai à lécher et avaler. Plus je léchais, plus Gros cul se tortillait de plaisir.

– Dis donc pouffiasse, dit-elle, tu vas passer sous la table et sucer pendant que ton maître mange. N’oublie pas de bien lécher les couilles et de passer ta langue partout, y compris sous les couilles.
– Oui madame, bien sous les couilles, c’est compris.

Une fois l’entrée servie, Gros cul fit mettre Christine à plat ventre sur la table, les jambes écartées et servit le dessert sur son cul. La crème coulait un peu de son anus à sa chatte et je mangeais d’un bon appétit cet excellent dessert jusqu’à ce que la raie de mon nouveau jouet soit brillante et encore grasse de chantilly.
Pendant ce temps Gros Cul avait pris son poste sous la table et s’affairait sur ma queue qu’elle pompait avec délectation.

– Très bien, les putes, et maintenant, votre récompense, dis-je en giflant avec force le cul de Christine. Allez, pouffiasse, Gros cul, en position, je vais vous enculer l’une après l’autre. Vous viendrez vous positionner devant moi quand je vous le dirai. On va commencer par toi, pouffiasse, tu n’as pas encore assez pris coups de bite. Place à la pucelle du fion ! hahaha
– Bien monsieur, dit-elle, allez-y, je suis prête. Joignant le geste à la parole, elle se pencha en avant en écartant bien et en prenant soin de se caresser l’orifice pour vérifier qu’il était assez lubrifié.

Je l’enculais sans ménagement, pendant que ma mère me regardait en écartant les fesses de Christine.
– Maman, dis-je ironiquement, viens remplacer la bonne et montre-lui comment une grosse pute se fait mettre.
– Oui monsieur, ne me ménagez pas non plus. De bons coups de queue, bien fort, s’il vous plaît, et ne lésinez pas sur les claques, je suis là pour recevoir. Allez-y, enculez-moi, j’espère être plus convaincante que cette pouffiasse encore trop timide
J’enculais ma mère et Christine me malaxait les couilles.

Une fois les deux salopes bien enculées, je les forçais à me faire une démonstration de soixante-neuf. Elles couinaient comme des truies, mais je leur interdisais de jouir.

– Bien, maintenant, ma petite Christine, tu vas te mettre à quatre pattes devant moi. Gros cul, tu vas t’asseoir sur elle, comme on grimpe sur une jument et vous allez écouter attentivement.

Ma mère se mit à califourchon sur la mère d’Eric. Elle lui tira les cheveux en arrière et dit :
– Ecoute bien, petite chienne, monsieur va te donner des ordres que tu vas respecter à la lettre. Regarde monsieur quand il te parle.
claaaaack !
Elle lui gifla l’arrière train comme pour la faire avancer.
– Et cambre bien ! Alleeeeez, claaaack ! mieux que ça !

Je repris :

– J’ai un ami dont c’est bientôt l’anniversaire. J’attends de vous deux une parfaite obéissance pour que ce soit une fête. Il va falloir que vous obéissiez au doigt et à l’oeil. Mon ami est plutôt timide et il va falloir lui montrer à quel point vous êtes deux grosses putes bien soumises. Je ne tolérerai aucun écart. Compris gros cul ?
– Oui monsieur, vous pourrez évidemment faire de votre gros cul ce qu’il vous plaira
– Et toi, pouffiasse, c’est compris ?
– Oui monsieur, c’est compris.
– En particulier, pour toi, Christine, tu seras le cadeau d’anniversaire de mon ami. Il pourra te faire faire ce qu’il veut
– Bien monsieur
– Il pourra t’enculer à loisir, te traiter comme une chienne et te faire avaler son foutre. Tu ne broncheras pas.
– Ou.. ou… oui monsieur.
– Et cet ami, tu le connais
– Hein ? Mais qui est-ce ?

Claaaaack !

– On ne répond pas comme ça à son maître, pouffiasse, sois plus cochonne !
– Oui madame. Monsieur, puis-je savoir qui est cet ami qui va me traiter comme la dernière des salopes et m’enculer à loisir ?
– Je vais te le dire, mais tu vas venir me sucer. Gros cul, lèche la bien, je lui dirai au moment où elle va jouir.

Christine, vint vers moi, à quatre pattes et commença à me travailler la queue. Elle faisait des progrès, prenant ma bite et la claquant sur ses joues, puis passant sa langue de mon cul jusqu’au gland. Elle pompait en aspirant ce qui faisait creuser ses joues et faisait entendre un bruit d’aspiration.
Ma mère s’était allongée et Christine frottait sa chatte sur sa bouche.

– Ahhh, ouiii, c’est booon… oui, la bonne langue de madame… je vais jouiiir.

Au moment où elle ne pouvait plus revenir en arrière, je lui envoyait tout mon foutre sur le visage.

– C’est booon, salooope ! Prends tout, comme tu prendras la queue de ton fils !

Je lui plaquait la bouche sur ma queue. Elle poussa un cri, mêlé de honte et de plaisir. Elle savait maintenant à qui elle allait servir de cadeau d’anniversaire.

– Nooon, je vous en supplie, monsieur, ne me faites pas faire ça, c’est honteux.
– Ah parce que tu trouves ça honteux que gros cul soit mon esclave ?
– Non, je ne voulais pas dire ça, mais c’est trop humiliant

Claaaack, claaaack !
Laurence la fessait avec force, et, lui rentrant un doigt dans le cul, dit :

– Ta gueule, salope, tu vas la fermer. Tu vas connaître comme moi, l’humiliation de se faire mettre par son fils. Tu seras une pute bien obéissante et tu lui suceras la queue ! Tu lui montreras qu’une bonne mère de famille sait aussi être une bonne truie bien soumise. Et tu verras, tu aimeras ça ! Tu as déjà vu la queue de ton fils en érection ?
– Non, madame, non, je ne l’ai jamais vue.
– Eh bien, il y a un début à tout.

Je fis revenir Christine plusieurs fois dans la semaine pour parfaire sa soumission. Gros cul était très excitée et j’étais souvent obligé de la remettre à sa place d’esclave de queue.
Pour ce faire, j’avais autorisé Christine à s’en servir comme de son jouet, les rôles étaient inversés et cette petite bourge de Christine ne s’était pas privée d’être assez dominatrice avec ma mère. Elle avait apporté un gode ceinture et l’avait enculée devant moi, lui maltraitant l’orifice et l’obligeant à se faire punir.
J’avais pris pour habitude, à la fin de nos rendez-vous de les prendre devant la télé et les obliger à commenter des vidéos sur lesquelles elles subissaient ma bite.

Puis, vint le jour J.

– Allo Eric, tu viens chez moi ce soir ?
– Oh salut Serge, volontiers.
– C’est ton anniversaire, j’ai une surprise pour toi.
– Oh comme c’est gentil.
– Allez, à tout à l’heure.

Eric arriva vers 20h. J’avais convoqué Christine qui avait ordre de rester dans le bureau jusqu’à ce qu’on l’appelle.
Ma mère s’était faite belle et habillée très sexy.
Elle nous servit le repas sans manquer de mettre ses gros nichons sous le nez d’Eric dès qu’elle le pouvait.
Après le repas, j’étais dans le salon, face à Eric bien installés sur les canapés. Laurence était sortie, pour « préparer » Christine. Quelques verres de punch nous laissaient aller à des discussions plus débridées.
J’avoue avoir eu, à ce moment quelques papillons dans le ventre. Le frisson du trapéziste qui va s’élancer.

– Alors Eric, nous en étions restés l’autre fois à notre attrait pour les femmes mures.
– Eh ben, on peut dire que tu ne lâches pas l’affaire, toi.
– Je suis sûr que tu t’es branlé le soir même après avoir vu ma mère sous la douche.
– Arrête tes conneries. Et puis parle plus bas, ta mère est à côté.
– Alors ? Tu réponds ?
– Bon, oui, t’es chiant, mais oui, dit-il en souriant. Elle ferait bander un mort, non ?
– Bien sûr, mais pas besoin d’être mort. Je te confesse qu’elle me fait bander aussi. Tu as vu comment elle se sape, avec ses gros seins prêts à sortir de son soutif ?
– Euh, oui, mais ce n’est pas très correct de parler ainsi
– Correct ? Qu’est-ce qui est correct ? d’avoir du désir pour une femme mure ? de se conformer aux diktats sociaux ? Je m’en contrefous. On n’a qu’une vie, Eric, et je compte bien en profiter à 200%.
– Vu sous cet angle, ça peut se défendre. Mais je ne suis pas certain que ta mère l’entende de cette oreille.
– Ah ben attends, on va lui demander
– Non, non, arrête tes conneries, arrêêête, ça craint.
– Mamaaaan ?
– Oui mon chéri ?
– Tu peux venir ?
– Oui j’arrive.
– Assieds-toi, nous avons une question à te poser.
– Dis-moi, mon chéri
– Si tu devais choisir, tu préférerais le conformisme social ou le plaisir ?
– Le plaisir, mon chéri, sans hésiter
– Donc, si je te disais qu’Eric voudrait voir tes seins, tu ne t’offusquerais pas ?
– Bien sûr que non !
– Alors… montre lui !
Ma mère ouvrit son chemisier et fit sortir ses deux mamelles.
– Ah tu vois, Eric, elle est d’accord avec moi

Eric était rouge comme une pivoine, ses yeux ne pouvaient se détacher des énormes nichons de ma mère et il n’osait pas bouger de peur que son érection puisse se voir.

– Bien, Eric, je t’ai promis une surprise, mais ce n’est pas la vue sur les seins de ma mère. Non, ma surprise ce soir sera double. Le premier cadeau que je vais te faire, est de te confier un secret.
– Euh oui ? Quel secret, demanda-t-il en se doutant un peu.
– Eh bien voilà, j’ai transformé ma mère en esclave sexuelle !
– Haha, très drôle, dit-il.
– Non, je te jure, n’est-ce pas, maman ?
– Oui, c’est exact, Je suis exactement ce qu’il dit.
– Vas-y essaye, donne lui un ordre
– Non, je n’ose pas
– Attends, je vais commencer, tu vas voir, elle est très obéissante.
– Allez maman, tu vas te foutre à poil devant Eric et lui dire ce que je te fais faire le matin.

Elle se déshabilla prestement, ne gardant que son porte jarretelles et ses bas, Puis, s’adressant à Eric qui reluquait sa chatte elle dit:
– Tous les matin, je viens dans la chambre de Serge pour lui faire une bonne pipe. Il éjacule souvent dans ma bouche pendant qu’il me touche le cul.
– Allez maman, approche-toi d’Eric, c’est mon meilleur ami, ce serait dommage qu’il ne puisse pas toucher la marchandise.
Elle s’approcha d’Eric, tétanisé, lui prit la main et la mit sur son cul.
– Puisque Serge l’ordonne, Eric, je t’en pris, malaxe bien mes fesses, touche-les, fesse-les allez, n’aie pas honte.

Eric me surprit, moi qui le connaissais si timide, j’avais peur que la mise en condition prenne du temps. Il attrapa le cul de Laurence qu’il se mit à évaluer, passant sa main entre ses cuisses et lui reniflant la chatte.

– Alors, mon vieux Eric, elle n’est pas belle la vie ?
– Oh que si, on peut faire ce qu’on veut ?
– Oui, bien sûr, fais comme moi, enlève ton pantalon, tu seras plus à l’aise pour bander. Mais attention, ne jouis pas tout de suite !
– T’en as de bonnes, toi, dit-il en se déshabillant, tu as vu ce que j’ai sous le nez ?

Il prit la main de ma mère pour la diriger vers sa queue.
– Hmmm, tu as une très belle queue, dit ma mère. Si ton pote l’autorise, je vais te sucer.
– Attends !!! Il faut qu’il ait sa deuxième surprise. tu vas voir, Eric, c’est encore plus fou ! Mais pour ça, il faut une petite préparation.

Ma mère prit un bandeau qu’elle posa sur ses yeux. J’allai chercher Christine, qui avait vu la scène et tremblait un peu à l’idée de la suite à venir. Elle était nue et Laurence avait écrit au marqueur au dessus de ses fesses « Joyeux anniversaire »

J’installai une chaise en face d’Eric et Christine se mit à genoux, entamant une fellation, le cul ouvert face à son fils, de sorte qu’il ne pourrait pas la reconnaître.
Gros cul prit place face à Eric et commença à le lécher. Il poussa un gémissement d’aise et je lui dit :

– Vas-y Eric, enlève ton bandeau.

Il avait face à lui une paire de fesses, le trou du cul apparent avec écrit « Joyeux anniversaire » et voyait la propriétaire de ce cul monter et descendre sur ma bite.

– Ooh, dit-il comme c’est gentil, aaaah, ta mère suce divinement.
– Tu vois, Eric, ce que je t’offre ce soir, ce n’est pas seulement une partie de jambes en l’air, mais la propriété de cette pute qui est en train de me sucer. Tu pourras désormais en faire ce que tu veux. Elle obéira au moindre de tes ordres, et crois-moi, elle adore ça. Pas vrai ma salope ?

Christine anonna un hmmmmhmmm en levant le pouce.

– Bien, maintenant, taddaaaam, regarde-moi bien cette truie.

Je pris Christine par les cheveux et lui fit tourner la tête.
Eric se leva d’un bond.

– Maman ????? Mais qu’est-ce que tu fous là ????
– Assieds-toi Eric, je vais maintenant t’expliquer en détail la situation.

Il retomba dans la canapé. Il bandait comme un cerf et Laurence reprit son travail de bouche.

– Il se trouve que ta mère, tout comme la mienne, n’est pas la petite bourgeoise de quartier bien tranquille. Elle a une vie sexuelle pour le moins débridée. Il y a quelques jours, j’ai décidé de la reprendre en main. Ta mère est une soumise née. Tout comme la mienne, je l’ai dressée et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elles adorent ça.
– Mais… mais… maman…
– Ta mère est une salope qui adore se faire dominer. La mienne aussi. Et je vais t’en donner un exemple.

Je me levais et dit à Christine.
– Allez, ma grande, va aider Gros cul à faire son travail de bite.
– Bien monsieur.
– Qu’est-ce que ça te fait
– Ça m’excite monsieur.
– Qu’est-ce qui t’excite ?
– D’aller sucer mon fils.
– Dis-lui, et dans les formes !
– Monsieur, s’adressa-t-elle à Eric, j’aimerais beaucoup vous sucer pendant que je me fais prendre en levrette.
– Ah, tu vois, Eric, dis-je, ça ne se refuse pas.

Eric ne bougeait plus, il était spectateur de son plus profond fantasme. Da mère s’approcha de lui et attendais mon ordre. Elle se mit entre ses jambes, face à sa queue. Laurence lui tenait la bite, sourire aux lèvres, prête à enfourner la queue d’Eric dans la bouche de sa mère.

Je luis pris les deux fesses bien écartées et dit.

– Voilà mon pote, je vais enfiler ta mère pendant qu’elle te suce, tu vas voir, c’est une experte !

Et j’introduisis ma queue dans la chatte de Christine.

– Allez, pouffiasse, fais ton travail ! Vide bien les couilles de ton nouveau maître. Eric, tu peux en faire ce que tu veux, elle est à toi. Tiens, regarde plutôt ce qu’on peut lui faire faire !

Je claquai fort les fesses de Christine et lui ordonnai :

– Alleeeez ma salope, montre bien à ton fils que tu es une bonne pute. Le cul en l’air et supplie de te faire enculer.
– Ouii monsieur merciii, Puis-je prendre quelques bons coups de queue dans le cul ? Allez, enfoncez-vous bien jusqu’aux couilles. Tu vois Eric, je suis une bonne grosse chienne, ton pote m’encule et j’adore ça. Ne te gêne pas, donne moi des ordres.

Eric attrapa Christine par les cheveux la regarda et la gifla.
– Tien salope, tu vas lécher et mieux que ça. Serge, encule-moi ça comme la dernière des chienne. Vas-y maman, prends bien tes coups de bite. Allez, d’ailleurs, il n’y a pas de raison je m’y mette pas aussi, tu vas y passer et prendre ma queue dans la cul.
Puis d’un air solennel, i ajouta.
– Maman, je vais t’enculer comme la dernière des putes et crois-moi, je ne vais pas te ménager.

Il se leva et je lui laissai ma place.
Il l’encula directement. Il s’en donnait à coeur joie et elle criait de plus en plus fort.

Je repris. Et maintenant que tu l’as dans le cul, salope, tu vas souhaiter un bon anniversaire à ton fils. Chante !!!
Elle commença à murmurer… N’aie pas honte, chante.
En rythme avec les coups de queue elle chantait « Joyeux anniversaire, Joyeux anniversaire »

Je l’interrompis :

– Allez gros cul, à toi. En position que je fasse comme Eric. Une mère bien soumise est une mère bien enculée.

Nous étions face à face, en train de baiser nos mère par l’anus. Elles couinaient et s’embrassaient, toutes langues sorties, entre deux coups de queue.
Le rythme devint plus régulier et pendant qu’elles se prenaient nos bites je dis :

– J’ai dressé ta pute de mère à obéir et à vouvoyer son maître. Elle t’appellera monsieur et tu pourras la traiter comme bon te semble. Moi, j’ai appelé ma salope « Gros cul », je trouve que ça lui va bien. Pour la chienne que tu encules, j’avais pensé à pouffiasse ou suceuse.
– Vide couilles, c’est vide couilles qui lui va le mieux.
– Pas mal, comment t’appelles-tu Christine, quand tu es l’esclave d’Eric ?
– Vide couilles, monsieur Serge, aaaah, ouiii, la bonne queue…. Videz-vous les couilles dans mon cul, s’il vous plaît, maître.
– Je serais toi, je ne céderais pas, Eric, cette pute ne doit pas décider, c’est toi son maître.
– Non, dit-il en lui attrapant les seins qui dansaient, tu attendras pour jouir, vide-couilles

J’attrapais gros cul par les cheveux et la traînait à quatre pattes jusqu’au canapé.
– Allez, suce, cochonne que je regarde Eric prendre possession de son nouveau jouet. Elle est très agréable à enculer, tu ne trouves pas ?
– Oui, et bien serrée, on voit qu’elle a été dépucelée il y a peu. Et ta mère, je peux lui mettre un coup ?
– Ecoute, normalement, son anus m’est réservé, mais comme tu es un ami et que, quand même, cela fait plusieurs jours que je défonce le cul de ta salope de mère, je t’en prie. Encule-là comme bon te semble. J’en profiterai pour voir si elle suce mieux avec une bite dans le cul. Tiens, vide couille va te montrer comment elle fait. Elle est imbattable au léchage de cul. Vide couilles, tu seras gentille de préparer le cul de Laurence pour ton fils.
– A votre service monsieur Serge. Et en tapant sur le cul de Laurence. Et toi, t’as intérêt à cambrer, tu vas prendre la bite de mon nouveau maître dans le cul.
Ma mère n’en pouvait plus. Elle ne pouvait plus parler et Eric l’enculait avec force. A un moment, je sentis qu’elle allait jouir.
– Allez ma pute, autorisation de jouir, par le cul, avec la queue d’Eric. Je vais tout te décharger dans la bouche.

Les spasmes de son anus firent jouir aussi Eric qui se vida au plus profond de son fessier. Je lui dis :

– C’est bien, tu l’as bien défoncée, elle l’a bien mérité. Tu peux te faire nettoyer la queue par ta pute de mère.

Il l’attrapa, par les cheveux, et lui intima :
– Tu as entendu Serge, allez, nettoie grosse pute, vide moi bien les couilles.
– Tiens, dis-je, la pauvre petite Christine n’a pas joui, Eric, je compte sur toi pour t’occuper d’elle à ton retour à la maison. Je te la conseille aussi en léchage de cul, elle est très prometteuse.
– Merci pour ce cadeau, Serge, on se revoit bientôt ?
– Quand tu veux, mon pote, j’ai bien envie d’aller les faire tourner dans une soirée libertine, histoire qu’elles prennent un maximum de queues à la chaîne.
– Pas con,
– à Bientôt.

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