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Le gène du latex

Le gène du latex



Harold K. était riche. Très riche. Il avait beaucoup d’ambition, ce qu’il l’avait aidé à faire fortune dans le pétrole.
C’était aussi un homme à femmes. Il n’en avait jamais assez de conquêtes. Mais il n’avait pas encore réussi à trouver la femme de ses rêves. Il faut dire qu’il avait une affection toute particulière pour une matière : le latex. Il adorait voir des femmes habillées de latex. Sa propre « garde robe » était très fournie en divers habits en latex.

Il fréquentait à ce moment là une jeune fille d’une vingtaine d’années. Peut-être aurait-il bientôt ce qu’il avait recherché toute sa vie… Harold avait investit dans des laboratoires bien particuliers, axés sur la recherche génétique. Un très bon investissement : mais tout restait à faire dans la recherche et le dépôt de brevets…

Noélie, la petite amie de Harold, avait tout juste vingt et un ans. Elle était très amoureuse de Harold, qui était très galant et gentil avec elle. Il la traitait comme une princesse Par contre, au lit, il était d’une toute autre nature. Mais ses tendances sado-maso ne déplaisaient pas à Noélie. Il lui avait aussi fait découvrir le latex : en sa présence, elle en portait souvent car elle savait que ça lui faisait plaisir. Petit à petit, il l’amena à aimer puis à adorer le latex. Bientôt, elle n’eut plus que des habits en latex. Des sous-vêtements aux tailleurs et autres robes de soirée en passant par des combinaisons. En acceptant et en participant aux fantasmes d’Harold, Noéli avait réussi à le rendre fidèle. Mais elle était devenue complètement soumise à ces désirs qui allaient crescendo…

Un soir, Harold et Noélie soupaient dans le grand salon, devant la cheminée dans laquelle une énorme bûche brûlait vivement. Noélie, qui portait une combinaison intégrale transparente et une robe-fourreau très longue et très moulante, transpirait sous le latex. Mais elle ne disait rien. Au dessert, Harold ouvrit une bouteille de Cordon Rouge et servit deux coupes. Il en apporta une à Noélie.

– Noélie, j’ai quelque chose à te demander. Voilà, depuis un an, tu vis chez moi. Je te l’ai demandé et tu étais d’accord. Tu as été d’accord aussi quand je t’ai demandé de quitter ton travail et de t’occuper de la maison, vu que je gagne suffisamment d’argent pour subvenir à nos besoins. Regrettes-tu où es-tu toujours d’accord avec ça ?
– Non, je ne regrette rien. Tu m’as fait découvrir plein de choses et tu m’as emmenée dans des endroits magnifiques, comme par exemple sur cette île qui t’appartient dans le Pacifique. C’est juste le fait de dépendre de toi qui me fait sentir un peu coupable…
– Mais tu n’as pas à te sentir coupable ou gênée, car on a fait ça en se mettant d’accord. As-tu envie d’arrêter?
– Arrêter de te voir? Je ne peux même pas l’imaginer !! Tu veux me quitter c’est ça?
– Oh non, pas du tout ! Au contraire même ! Voilà, en fait, je vais vendre toutes mes parts dans le pétrole et me consacrer à mes laboratoires. Je serais beaucoup plus présent à la maison. Et je voudrais qu’on aille plus loin tous les deux. J’ai besoin de toi, et je voudrais que tu sois à moi.
– Tu veux qu’on se marie ???
– Pas vraiment un mariage pour l’instant. Plutôt une sorte de contrat, de pacte.
– Comment ça ?
Harold se leva et alla chercher une mallette de laquelle il sortit un document qu’il tendit à Noélie. Elle commença à le feuilleter. Dans l’une des première ligne, il était mentionné que Harold devrait prendre soin d’elle. Mais le champagne et la chaleur faisant l’effet souhaité par Harold, elle ne lut pas le reste du document. Harold lui tendit un stylo. Elle se sentait vaseuse.
– J’ai besoin que tu signes ce document.
– Tout ce que tu voudras.
Elle signa sur chacune des pages et ensuite elle sombra dans un sommeil profond…

Quand Noélie se réveilla, elle était nue dans le grand lit aux draps en latex noirs et rouges. Elle était seule. Sur la table de chevet, il y avait un document. Julie se souvint en avoir signé un la veille au soir. Mais elle ne souvenait pas du contenu. Elle prit le document, et vit sa signature en bas de chaque page. Elle comprit qu’il s’agissait bien du même, mais ce n’était qu’une copie : il y avait en filigrane l’inscription « COPIE » sur chacune des pages. Elle commença à le lire.
Ses yeux s’écarquillaient au fur et à mesure qu’elle lisait. Il était écrit que Noélie acceptait de perdre son identité de Noélie M. de se faire appeler maintenant Bianca. Elle acceptait de s’occuper de l’entretien de la maison et de recevoir des sanctions si Harold K. jugeait que le travail n’est pas bien fait. Elle acceptait de servir Harold K. dans ses recherches, et d’autres choses moins importantes. En échange, il ferait tout pour lui donner un corps qu’il jugerait parfait et s’engageait à prendre soin d’elle. Enfin, Noélie s’engageait à ne jamais contester ce document, puisqu’elle l’avait signé, sous peine de sanctions. Noéli se sentit piégée mais elle avait accepté l’inacceptable…

Noélie enfila un peignoir en latex blanc et couru vers l’escalier qu’elle dévala. Elle couru à la cuisine où elle trouva Harold.
» Qu’est-ce que c’est que ces conneries ? C’est une blague ? » Dit-elle en claquant le document sur la table.
– Bonjour Bianca ! Calme-toi ! Non, ce n’est pas une blague, je t’ai laissé feuilleter le document et le signer, je ne t’ai pas obligée à le faire sous la menace. Mais ne t’inquiète pas, mes recherches aboutissent, tu signeras la prochaine fois un contrat de mariage écrit par nous deux. Je tiens à toi et j’ai besoin de toi. J’ai fait ça car je fais des recherches très importantes, qui pourraient changer la face du monde. Si tu m’aides, tu bénéficieras la première de mes découvertes, je te le garantis. Viens t’asseoir à côté de moi et prendre ton petit déjeuner.
– Mais pourquoi vouloir me faire perdre mon identité ?
– C’est pour ta sécurité, mes recherches suscitent l’intérêt de beaucoup de gens sans scrupules. S’ils ne savent pas qui tu es réellement, ils ne pourront pas menacer tes proches, tu comprends ? Et pour les travaux de la maison, il faut bien t’occuper un peu, et le côté punitions, c’est pour nos jeux Sado-Maso…

Noélie, ou plutôt Bianca, acquiesça, sans conviction. Une fois de plus, Harold l’enfermait dans son rôle de soumise. Elle savait qu’elle pouvait toujours rompre le contrat en quittant Harold. Mais cela lui semblait impossible.

– Mangeons, après tu mettras ton tailleur noir avec les rayures blanches et je t’emmènerais au labo. »

Après le petit déjeuner, elle alla se doucher et s’habiller. Bianca avait mis un string sous la jupe de son tailleur. Elle mis des chaussettes très basses en latex et enfila ses bottines à talons aiguilles. Elle descendit dans l’entré où l’attendait Harold.
» Tiens, mets ça, comme ça personne ne te reconnaîtra. Bientôt tu ne devrais plus en avoir besoin « .

il lui tendit une cagoule en latex assortie au tailleur. A l’arrière de la cagoule en haut de la nuque, il y avait un tube pour passer ses cheveux. Et au niveau de la bouche, il y avait un baillon boule. Harold l’aida à l’enfiler. Ils partirent ensuite au labo. Noéli comprit que la négation de son ancienne identité avait commencé. Néanmoins, le fait que son amant lui avait assuré dans le contrat qu’il s’occuperait d’elle et la promesse d’un futur mariage l’avait rassuré.

Arrivés au laboratoire, ils descendirent de voiture et entrèrent. Les gens n’osaient pas regarder Bianca devant leur patron Harold K. Mais dès qu’ils leur tournaient le dos, ils la regardaient tous. Elle sentait leurs regards à la limite de l’obscénité sur elle. Elle rougissait sous sa cagoule. « Après tout personne ne me connaît ou ne peut me reconnaître avec ça sur la tête… » pensa-t-elle. Elle avait appris à marcher avec ses bottines à tallons aiguilles de manière à accentuer son déhanché, ce qu’elle fit, histoire de faire baver un peu plus ces messieurs…

Harold entra dans une pièce, Bianca le suivi. C’était une sorte de salle de contrôle avec pleins d’écran reliés à des caméras. ils traversèrent la pièce et il ouvrit une autre porte. Ca débouchait dans une pièce qui ressemblait à une chambre d’hôpital psychiatrique. Il y avait un lit avec des sangles, les murs étaient capitonnés.

» Déshabille-toi complètement, ne garde que la cagoule. Tu vas m’aider dans une expérience, c’est sans danger, on contrôlera tout « .

Bianca se dénuda et s’allongea sur le lit et deux hommes entrèrent et l’attachèrent avec les sangles. Quand ils furent sortis, Harold s’adressa à elle.

– Te souviens-tu de Bianca Beauchamp ? On l’avait rencontrée dans une soirée fétichiste. Grâce à une amie, j’ai pu récupérer de son ADN. J’ai aussi récupéré le tien. J’ai confié à un de mes labos la mission de transformer le tien pour arriver à obtenir le sien. A un autre labo, j’ai demandé d’isolé, sur l’ADN de Bianca Beauchamp, le ou les gènes qui correspondent à la pilosité et aux cheveux. A priori, ils ont réussit leurs tâches et ici on a regroupé les deux. En fait, c’est une sorte de vaccin. On va essayer et voir ce que ça donne.

Un homme apporta une grosse seringue, il fit une injection dans le bras de Bianca. Ils lui appliquèrent ensuite une sorte de masque à gaz relié par un tuyau à un tube venant du mur. Elle s’endormit.

Harold se retourna vers l’homme qui venait de faire l’injection.
– Combien de temps cela devrait prendre ?
– Quelques jours, si tout va bien. Il vaut mieux la garder dans un sommeil artificiel, car la transformation risque de provoquer des douleurs insupportables.

Ils virent le corps de Bianca se transformer un peu plus chaque jour. Son corps était régulièrement pris de convulsions et de spasmes.

Au cinquième jour, tous les signes de transformation s’étaient arrêtés. Apparement, ça avait marché. Ils réveillèrent Bianca. Quand elle se réveilla pour de bon, elle découvrit son nouveau corps. On l’aida à se lever et on amena un grand miroir face à elle. Son corps ressemblait à celui de Bianca Beauchamp, tel qu’elle l’avait vu à la soirée fétichiste.

– J’ai fait apporter quelques modifications. J’ai fait en sorte que tes seins soient plus gros que les siens, sans silicone, et la taille plus fine. Tu es superbe !!! Maintenant, enlève donc ta cagoule.

Elle l’enleva, ça lui faisait du bien d’enlever ce baillon de sa bouche. Quand elle se regarda, elle ne se reconnu pas. Il y avait vraiment Bianca Beauchamp face à elle dans le reflet du miroir : son corps, son visage, sa chevelure, ses seins qui étaient énormes et sa taille de guêpe. Bianca se palpa son nouveau corps. Tout lui sembla normal. Elle passa sa main dans sa nouvelle et belle chevelure. Mais des cheveux restèrent accrochés entre ses doigts. Elle se retourna tout de suite vers Harold K. Il la rassura tout de suite

– Normalement, ils vont tous tomber, ça fait partie du test. Tu n’auras plus ni cheveux, ni poils.

Bianca voulu parler pour dire qu’elle ne voulait pas rester comme ça et qu’elle voulait retrouver ses cheveux. Mais aucun son ne sortit de sa bouche.

– Tu vas aller te prendre une bonne douche maintenant, ça ira mieux après…

Une femme habillée en infirmière l’emmena en fauteuil roulant jusqu’à une salle de douche. Elle l’aida à s’asseoir dans la cabine qui comportait une sorte de siège après avoir réglé la température de l’eau. Bianca resta un moment sous l’eau, les yeux fermés. Elle était encore à moitié endormie. L’eau chaude lui faisait du bien. Mais quand elle ouvrit les yeux, ce qu’elle vit l’effraya. Le sol de la douche était couvert de longs cheveux et de poils. Ils avaient bouché l’évacuation. Bianca passa sa main sur la tête et senti sa peau toute lisse. Au niveau de son pubis, il n’y avait plus de poils non plus. Et plus de cils ni de sourcils. Elle sortit d’un coup et se regarda dans la glace. Elle était complètement imberbe. L’infirmière entra, marqua un temps d’arrêt en la voyant. Elle regarda la douche et comprit.

Harold K. avait dû lui avait expliqué le cheminement thé****uthique. Elle aida Bianca à s’essuyer, l’enveloppa dans un drap en latex blanc et la réinstalla sur le fauteuil roulant. Elle la ramena dans la chambre capitonnée et Bianca fut de nouveau sanglé sur le lit.
Harold K. s’approcha d’elle et lui parla doucement à l’oreille.

– Maintenant, on va procéder à la dernière étape. C’est une petite surprise. Je suis sur que tu te feras à ton nouveau corps très vite. Ah, j’oubliais, je t’ai modifiée aussi pour que tu ne réfléchisses plus trop. En fait, tu seras simplement capable… de m’obéir. Tu auras conscience de tout ce qu’il t’arrivera, mais tu ne pourras rien faire. La dégénérescence a déjà commencé, puisque tu ne t’es pas du tout rebellée pour tout ce que tu as subit. Mais je te l’ai dit, tu vas vite aimer ton corps et ta condition après la dernière étape…

Elle reçut de nouveau une injection, puis eut droit au masque pour l’endormir.

Quand elle se réveilla, Bianca était détachée. Quand elle eut la force de se lever, elle alla se voir dans le miroir et se découvrit comme après la douche. Rien n’avait changé. Sauf… une petite tâche noire à l’intérieur de la cuisse droite. Elle n’y prêta pas attention. Sans doute un bleu après avoir été sanglé fortement. Elle se rallongea. Elle fut réveillée quand Harold et un groupe d’hommes et de femmes en blouse blanche entrèrent. Ils se mirent tout autour du lit. Bianca était impressionnée et inquiète. Ils se penchèrent sur sa cuisse, quelle regarda elle aussi. La tâche avait énormément grandit. Elle recouvrait la moitié de sa cuisse.

» Le processus a commencé… » commenta l’un d’eux.

Il y avait en fait des taches plus ou moins grandes un peu partout. Sur le crâne, derrière le bras, dans le dos, sur le pied… Bianca passa sa main sur la cuisse et senti que la texture était différente de sa peau. Cela paraissait plus épais, aussi. Ca lui rappelait quelque chose, mais elle ne se souvenait pas quoi… Extrêmement fatiguée, elle sombra dans un sommeil profond.

Le lendemain, Bianca se redécouvrit. Sa peau était d’un noir profond et luisant. Elle se regarda dans le miroir et elle savait maintenant ce que lui rappelait cette matière: du latex. Son reflet la montrait nue, mais comme si elle portait une combinaison en latex intégrale. On pouvait tout voir de son intimité.

Deux infirmières entrèrent et lui mirent une ceinture de chasteté métallique et en cuir. Un soutien-gorge triangle en latex noir lui fut mis aussi, mais il paraissait beaucoup trop petit, maintenant que ces seins étaient devenus énormes.
Bianca se plaisait, son image l’excitait. Elle avait envie de sexe, de sexe avec Harold, avec son Maître. Elle était prête à tout pour le satisfaire. Elle ne se souvenait plus du passé, mais elle ne voulait pas savoir. Tout ce qu’elle savait c’est qu’elle avait été créée pour donner du plaisir à son Maître et à le satisfaire.

Harold était aussi content : il avait réussi son projet. Il avait avec lui la femme dont il avait toujours revée. Maintenant, il allait pouvoir en créer d’autres, pour lui, et pour d’autres…

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