Gérald, mon amant couleur ébène, venait de déverser en moi un flot de sperme, me faisant encore une fois hurler de bonheur.
« Tu sais, lui dis-je en me rhabillant, il y a longtemps que je ne suis pas allée chez le gynécologue, il faudrait que je prenne un rendez-vous… Mais le mien vient de cesser ses consultations, et pour avoir un rendez-vous chez un autre, c’est la galère… les délais sont interminables.
– Hé, j’en connais un… c’est mon vieil oncle… il vient juste de prendre sa retraite, il était très renommé, c’est lui qui m’a initié à la sexualité… il a gardé son cabinet… si tu veux, je peux lui demander de t’examiner…!! »
Je me doutais que cela cachait quelque chose, mais il était urgent que je fasse un examen, je ne puis qu’accepter…
« Tu vas voir, il va te plaire… »
Me dit-il avec un clin d’œil !
Le lendemain, il me fit part de ses démarches.
« Ça y est, j’ai téléphoné, il peut nous recevoir samedi prochain, il est très content… de pouvoir te rendre service…
– J’espère qu’il est sérieux ! »
Le samedi matin il passa me prendre chez moi. Il avait l’air tout excité, il souriait en me regardant m’habiller…
« Tu sais que j’aime te voir faire bander les hommes, alors tu ne mets pas de soutien gorge, ton chemisier transparent en soie noire. Le porte-jarretelles, les bas… très bien… je me demande si je te fais mettre un string… oui…
– Dis donc Gérald… tu veux que ton oncle soit ébloui par ta petite blonde !! Car vois-tu dans ce genre d’examen on se déshabille entièrement !
– Et oui je sais, mais lorsqu’on a un trésor, on l’exhibe dans un écrin !! Et comme je te l’ai déjà dit mon oncle devrait te plaire… en plus c’est un très bon médecin… les parties génitales féminines n’ont aucun secret pour lui.»
Le cabinet du docteur était en ville dans un immeuble cossu, c’est sûrement pour cela qu’il l’avait gardé, car il jouxtait son appartement. Un domestique vint nous ouvrir et nous conduisit dans une salle d’attente luxueuse. La porte de la salle d’examen s’ouvrit, un petit homme noir, bedonnant, les cheveux blancs crépus, vêtu d’une blouse verte qui s’arrêtait à mi cuisse sur ses jambes nues, vint vers nous. Je me demandais s’il avait vraiment un lien de parenté avec Gérald car morphologiquement il en était l’opposé.
« Encore un excentrique, pensais-je, il reçoit ses clients en short !! Ah c’est vrai il est à la retraite et on a du le déranger ! »
Un large sourire illuminait sa face. Gérald dut voir que je faisais une drôle de tête. En effet il était noir, et mon copain savait que j’adorais me faire baiser par un noir bien membré. Mais celui-là ne me branchait pas tout…
« Attends un peu avant de juger, me chuchota-t-il »
Le Docteur donna une accolade à Gérald, apparemment heureux de le revoir. Ils prirent respectivement des nouvelles de l’un et de l’autre, mais tout en parlant ses yeux m’étudiaient. Ils se fixèrent sur les petites excroissances que faisaient mes tétons qu’on pouvait deviner grâce à la transparence du chemisier. Ils s’approcha me tendit la main, je faisais presque une tête de plus que lui. Lorsqu’il s’avança, il me sembla percevoir un mouvement de balancier sur le devant de ses cuisses sous sa blouse. En secouant ma main, le vêtement remonta légèrement, un morceau de peau noire qui ressemblait au bout d’un prépuce, dépassa furtivement. J’écarquillais les yeux pensant avoir rêvé.
« Alors vous êtes Trixie, la petite amie de Gérald. Dis donc, il en a de la chance de baiser, pardonnez-moi l’expression, une aussi jolie blonde aux yeux verts, aux courbes et aux jambes parfaites. Vous êtes délicieusement exquise. »
Ses yeux ne quittaient pas les bosses que faisaient les attaches de mon porte-jarretelles sous ma jupe collante.
« Mais passons dans mon cabinet, si vous voulez bien. Et toi Gérald, petit galopin, je suis sûr que tu veux assister à l’examen, comme dans le passé… dit-il en riant. Ce petit garnement se cachait pour assister mes auscultations. »
Il se tourna pour se diriger vers la porte, je n’avais pas rêvé… sa blouse se fermait derrière par deux rubans, il était nu dessous, elle baillait sur ses fesses noires et dodues.
Un frisson me parcouru, sa bite au repos lui arrivait plus bas qu’ à mi-cuisses, Gérald avait-il raison, allait-il me plaire ? Ce Docteur attisait de plus en plus ma curiosité.
Il positionna Gérald face à la table d’examen, et me fit asseoir dessus les jambes pendantes.
«Nous allons procéder à une auscultation plus que complète. Je vais commencer par examiner vos seins… qui ont l’air parfaits d’ailleurs. »
Il commença à déboutonner un à un, sans se presser les boutons de mon chemisier, puis il l’écarta lentement, mes seins jaillirent sous la lumière blafarde de la puissante lampe.
« Magnifique… très érotique… ! Ils sont vraiment splendides ! »
Il s’était rapproché, je sentais son phallus frotter contre ma jambe. Délicatement, il ôta entièrement mon chemisier. Pour sa petite taille, il avait des mains assez conséquentes et de longs doigts. Il passa derrière moi et engloba mes seins, il commença à les malaxer doucement, les palpant lentement, puis avec ses pouces et ses index, il fit rouler mes mamelons entre ses doigts. Mes nichons s’étaient raffermis et avaient enflés sous la caresse.
« Très bien, très bien… aucune anomalie… ils sont parfaits… »
Je sentais ses ongles griffer, la chair tendre de mes tétons qui se gonflaient de sang, et durcissaient. Ses attouchements me tirèrent un gémissement. Mes seins étaient une zone très érogène.
« Très bien, oui parfait… les mamelons réagissent parfaitement… dit-il en se replaçant sur le côté, tu suis bien le déroulement Gérald ? Trixie a des mamelons très érectiles, nous allons voir si nous pouvons les allonger encore… Mais permettez moi, jeune fille, de me mettre à l’aise…! Je me met tout nu car cela permet de libérer la libido de mes patientes… et me facilite l’examen ! Vous allez comprendre ! »
Joignant le geste à la parole, il dénoua dans son dos les deux attaches de sa blouse et la fit tomber au sol. Mes yeux se portèrent et s’écarquillèrent aussitôt sur le plus gros sexe qu’il m’eut été donné de voir. Il était encore plus volumineux que celui de Gérald. Pour l’instant il ne bandait pas et pendait mollement entre ses cuisses. L’acteur porno noir américain Mandingo qui avec sa bite de 29 cm me faisait fantasmer, était battu, pas de beaucoup mais battu. Surtout au niveau du diamètre, celle qui était devant moi, devait lorsqu’elle était en érection, avoisiner les 8 cm de diamètre. Elle était entourée d’une toison blanche et crépue, deux testicules énormes semblaient faire contrepoids. Le prépuce était légèrement rétracté sur un gland brun foncé, une grosse veine la parcourait.
« Oui, n’est-ce pas… elle est impressionnante… C’est congénital… n’est ce pas Gérald, tous les mâles de chez nous ont un appareil reproducteur démesuré ! Mais je suis plus à l’aise ainsi pour travailler… et cela permet à mes patientes de fantasmer pendant l’auscultation… »
Me dit-il en voyant mon regard ébahi. En effet Gérald ne s’était pas trompé… cet examen gynécologique commençait à me plaire au plus haut point.
Une fois nu, sa bouche se plaqua sur l’un de mes tétons et aspira le petit cône de chair. Ses dents entrèrent dans la danse, me mordillant de l’aréole au bout du mamelon, sa langue faisait le tour, puis les lèvres lippues prenaient la relève pour aspirer… je tendais les seins en avant, espérant que cette caresse ne s’arrête pas… Il alterna avec l’autre… ma respiration s’accélérait… Il rapprocha la grosse lampe.
« Regarde Gérald, la petite salope, si je peux me permettre, aime ça… regarde ses tétons comme ils sont longs, et durs, en général on peut les étirer de 1 cm, les siens en ont atteint au moins 2 cm. Regarde ses aréoles elles sont violettes et couvertes de chair de poule… Je n’ai jamais vu une patiente avec des seins aussi parfaits… et aussi réactifs.»
Il continuait à me les masser doucement…
– Oui, oui, encore, encore, encore…gémissais-je.
– Mais bien sûr jeune fille, tu aimes ça ! Ce n’est qu’un avant goût… quand nous en aurons fini avec tes glandes mammaires, et que nous serons surs qu’elles répondent parfaitement au stimuli érotique, nous poursuivrons l’examen… »
Je sentais sa bite se presser sur ma cuisse, il me semblait qu’elle prenait de la consistance. Il continuait à me caresser les seins avec lenteur, me tirant des soupirs de contentement. Au bout de ce qui me parut une éternité, il dut penser que ma poitrine s’était assez raffermie, que mes tétons étaient arrivés au terme de leur étirement, donc que ce côté là tout allait bien. Et surtout que mes seins répondaient au delà de ses espérances en tant que zones érogènes. N’était ce pas le boulot d’un gynéco que de le vérifier ? Et ce n’était pas pour me déplaire…
« Bon, c’est parfait de ce côté là, nous allons continuer…si vous voulez bien… »
Il me fit asseoir sur le fauteuil gynécologique, et avant de me faire mettre les jambes sur les reposes cuisses et les pieds dans les étriers, il défit la fermeture éclair de ma jupe, et me demandant de soulever mes fesses il me l’ôta, la faisant glisser doucement le long de mes jambes. Sa queue était sans atteindre son apogée, d’une bonne longueur et d’une grosseur conséquente maintenant. Sa peau noire luisait sous la lumière crue de la grosse lampe.
« Ah, vous avez un string ! Nous garderons le porte-jarretelles et les bas, j’adore les filles avec cette lingerie. Ça va mon Gérald ? Tu peux te mettre à l’aise toi aussi… »
Me regardant dans les yeux, avec un étrange sourire, il arracha d’un coup sec mon string. Il le porta a ses narines et le huma longuement. Il fit basculer le dossier vers l’arrière me fit poser les jambes sur les reposes cuisses et mettre les pieds dans les étriers. Puis il les écarta avec lenteur.
« Écartez bien les jambes, s’il vous plaît… Oh, mais petite coquine… on dirait que votre chatte est humide, des perles de rosée suintent de vos lèvres… on va s’en assurer… »
Il insinua son majeur et le promena le long de la fente de ma chatte.
« Mais oui Gérald, Trixie a vraiment aimé les caresses buccales du vieux noir sur ses seins… Elle mouille… »
Je senti le doigt s’enfoncer un peu plus, puis il le ressortit trempé de foutre. Il le porta sa bouche et le suça longuement, sa queue continuait à enfler.
« Délicieux… Tu veux voir Gérald ? Écartez un peu plus mademoiselle Trixie…»
Je sentis ses deux pouces ouvrir mon orifice vaginal en grand… Cela m’excita…
«Parfait ce conduit vaginal… Mais c’est qu’elle mouille beaucoup… la petite salope… c’est dommage de laisser se perdre ce délicieux nectar… »
Il se mit à genoux, sa langue se faufila entre mes lèvres, força l’entrée de ma vulve, je cambrais les fesses. Son appendice buccal s’activait à l’intérieur de ma chatte, puis les lèvres du vieux médecin se mirent à aspirer mon clitoris, je criais d’extase. Ses attouchements sensuels perduraient, il avait joint son majeur au tréfonds de ma chatte. Il suçait et aspirait sans discontinuer mon petit bouton rose… Je cru que j’allais jouir. Je mouillais comme une folle… Il me semblait que les deux longs doigts exploraient chaque recoin de mon conduit vaginal, me faisant hoqueter de plaisir. Il lubrifia mon anus…
« Au niveau vagin, rien à signaler… je vais vérifier l’anus… regarde Gérald, la petite garce est prête a jouir, elle est vraiment super cette fille. Attendez ma petite, ce n’est que le début de l’examen.»
Doucement son index noir entra dans mon orifice anal, puis il commença une lente série de va et vient, avec deux doigts, l’un dans ma chatte l’autre dans mon anus, c’était merveilleux… je gémissais sans discontinuer, ma tête dodelinant de droite à gauche.
« Putain ce qu’elle mouille Gérald, tout va vraiment bien chez elle, au fait ça te plaît cet examen ?
Moi ça commence à me donner des idées… Approche, je crois qu’elle aimerait que tu malaxes ses seins »
Il accéléra ses va et vient, du majeur de sa main libre il se mit à me titiller le clitoris, je ne pus résister à cette nouvelle caresse, surtout que Gérald avait commencé à me masser les seins. Je sentis mon corps se raidir, un spasme de jouissance me traversa, et je me laissais, avec un grand cris, aller à un orgasme violent.
« Très, bien, très bien, de mieux en mieux tout est parfait…tout fonctionne à merveille, elle vient de jouir. Nous allons passer a un examen plus poussé. Vous voulez bien continuer avec le vieux docteur mademoiselle ?
– Oui, oui répondis-je… dans un hoquet… »
En reprenant mon souffle, j’admirai la queue noire qui maintenant se dressait fièrement, elle était vraiment énorme. J’étais toujours allongée jambes grandes ouvertes, sa bite noire oscillait devant mes yeux Je tendis la main, pour la saisir.
« Profitons de ce que votre vagin soit bien lubrifié, pour voir ce qu’il peut recevoir comme attribut mâle…Nous allons essayer tout d’abord ce Godemiché blanc à prépuce. C’est la réplique fidèle d’un sexe, comme vous voyez ce gode, offre une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prépuce est telle qu’on a l’impression qu’il s’agit d’une vraie peau. Les veines ajoutent du piquant. Vous pouvez le toucher. Il fait 23 cm de long et 5 cm de diamètre. Puis ensuite si c’est concluant nous passerons à la taille supérieure, si vous êtes d’accord ! Regardez, ce gode noir est ultra souple, il me semble que vu votre regard il vous fait fantasmer. Il est long, fort comme un bras, arqué et saillant au possible, il vous promet la jouissance comme avec la bite d’un noir. Sa longueur totale est de 35cm, son diamètre 8,5cm. Êtes vous prête ?
– Oui, oui…. »
Tandis qu’il me parlait, j’avais enfourné son gland décalotté dans ma bouche. Ma langue faisait le tour de sa bande striée noire, j’en titillais les terminaisons nerveuses qui sont des récepteurs sensoriels extrêmement sensibles. Puis j’aspirais doucement le gland. Je sentais qu’il se raidissait.
« Très bien, oui, oui, j’apprécie…mais nous avons encore du travail ! »
Ses mains remontèrent doucement le long des lanières de mon porte-jarretelles, passèrent à l’intérieur de mes cuisses et arrivèrent sur ma chatte. Il enfourna trois doigts dans mon vagin pour s’assurer de que la lubrification naturelle était encore là. Puis tenant les lèvres écartées, il approcha le gland du plus petit des godemichés, il est vrai que l’on aurait dit une vraie bite. Il l’enfonça régulièrement, s’arrêtant puis la ressortant, pour mieux la faire glisser, les 25 cm et les 5 cm de diamètre entrèrent sans coup férir. Satisfait, il ne fit qu’ une dizaine d’aller et retour me faisant grogner de plaisir. Je n’avais pas lâché sa bite et le branlais doucement. Calottant et décalottant son énorme gland.
« Parfait, parfait j’en étais sûr… Tu as des mains expertes… mais passons à l’autre… »
Cette pénétration m’avait encore un peu plus excitée, mon foutre ruisselait… Il ouvrit de nouveau mes lèvres approcha la tête de l’énorme bite noire factice, le gland s’insinua, le vieux docteur appuya, le godemiché glissa écartant mon orifice vaginal, le gynéco procédait par petites pressions successives. Ressortait un petit peu du cylindre démesuré, pour mieux l’enfoncer à nouveau…
Je me trémoussais pour faciliter la pénétration, écartant puis resserrant mes muscles vaginaux pour absorber le monstrueux rouleau… qui lentement disparaissait dans mes entrailles. Il me besognait très délicatement, le plaisir montait… le gode s’enfonçait, s’enfonçait… j’adorais, il me semblait immensément long, il ne resta bientôt plus que 5 cm hors de ma chatte.
« Je savais que tu allais arriver a tout prendre… mais c’est mon boulot ! Tu aimes ?
– Ouiiii, ouiiiiii… j’adore… c’est bon…»
Le vieux noir se pencha alors sur moi, sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue força mes lèvres, je lui rendis passionnément son baiser, serrant fortement sa bite. Il commença alors à entrer et sortir l’impressionnant tube, doucement d’abord puis de plus en plus vite, je crus que j’allais exploser de volupté. Mais il cessa avant que je puisse atteindre ma jouissance.
« Non criais-je, continue fais moi jouir… encore, encore… je…je t’en supplie… ne t’arrête pas !
– C’est ce que je vais faire, petite salope, mais c’est moi qui vais te faire jouir, je voulais avec les godes savoir si tu étais capable d’accueillir ma queue, mais là aussi tu es parfaite, je vais pouvoir te baiser… Nous ferons le test de hühner, aussi appelé test post-coïtal. Cet examen consiste à prélever de la glaire cervicale, après un rapport sexuel. Cela nous permettra de voir comment se comportent mes spermatozoïdes dans ta glaire cervicale. Tu es d’accord ?»
En disant cela il s’était mis entre mes jambes, et d’une main ferme avait commencé à entrer son volumineux gland marron dans ma chatte ruisselante. Ayant vu la grosseur que j’acceptais, il enfilait son sexe à grand coups de reins… je hoquetais de plaisir sous ses coups de boutoirs, j’écartais au maximum les jambes pour faciliter cette monstrueuse pénétration. Chaque fois que son pénis pénétrait dans mon vagin, le prépuce frottait avec délice contre mes parois vaginales puis il était repoussé et encapuchonnait le gland à nouveau. Cette stimulation nous faisait hoqueter de plaisir à l’unisson… le plaisir montait dans nos entrailles. Il m’attrapa fermement aux hanches… Ses poils blancs et rêches allaient bientôt frotter ma fente ruisselante. Je tremblais littéralement d’extase, de longs frissons me parcouraient…
«C’est bon, c’est bon…ça vient… Tu as vu Gérald, je lui ai enfilé entièrement ma queue… et elle aime ça cette petite salope… je n’ai jamais eu une telle patiente… putain que c’est bon… Il y a longtemps que je n’avais pas fait un tel examen… Putain ouaaaahhh… que c’est bon… je jouis… tiens, tiens, tiens ma semence… on fera un prélèvement pour voir comment se comportent mes spermatozoïdes ainsi l’examen sera complet.
-Oooooouuuiiii, éjacule… éjacule dans ma chatte… c’est bon je veux sentir ton sperme emplir ma chatte… »
Le sperme chaud du vieillard gicla en jets puissants et coula au fond de mon vagin, avec un dernier cri, il se cambra et enfonça entièrement sa monstrueuse bite, son dernier spasme fit éclater ma jouissance, je criais à mon tour mon plaisir, enserrais sa taille de mes deux jambes et sentis mon vagin se resserrer avec une force inouïe autour de l’énorme bite noire, tandis qu’une lumière éclatante passait derrière mes paupières closes pour envahir avec fulgurance mon cerveau.
« Euh demanda Gérald, qui se masturbait doucement, pour l’instant les résultats de l’examen sont donc parfaits…
– Oui… plus que parfait… répondit son vieil oncle haletant… mais j’aimerai que Trixie me dise si mon sperme de vieux n’a pas trop le goût de rance ! »
Il était toujours en moi, rapidement il me présenta son exorbitante bite noire, me la mit dans la bouche, eut un dernier spasme qu’il accompagna d’une pression sur la base de son énorme rouleau noir et éjacula un filet chaud et poisseux qui se répandit sur ma langue.
« Avale, avale… le sperme du vieux docteur noir… »
Je déglutis… avec délice.
« Eh bien dis donc, elle est parfaite ta copine Gérald, tu as vu, j’ai enfilé la totalité de ma queue dans sa chatte, les femmes qui en acceptent la totalité sont vraiment rares… mais tu as bien préparé le terrain… »
Dit-il en riant et en montrant du doigt l’énorme mandrin tendu que Gérald, caressait d’une main.
« Ben oui… tu as vu, mon oncle, elle adore les grosses bites noires bien dures… Et la mienne a bien envie de pénétrer dans sa douce chatte, maintenant…
– Ah non, mon neveu… pas question… dans deux heures il faut que je fasse un prélèvement… Mais si tu en as vraiment envie… pourquoi ne pas te servir de son autre orifice ? Je pense que ce ne sera pas la première fois ! »
Gérald s’approcha de moi, il me fit lever du fauteuil d’examen, il s’était mis nu. Il avait du être passablement excité de voir son oncle me baiser, car son énorme bite noire, était tendue en arc de cercle jusqu’à son nombril. Il la frotta le long de ma chatte et la fit passer sous mon porte-jarretelles.
Il m’enserra avec douceur, me caressa le dos, m’embrassa dans le cou en murmurant.
«Salope, il t’a vachement fait jouir mon oncle… tu as vu, il est laid, vieux, gros… tu n’as pas honte…
– Heu… non… tu as vu sa queue… elle est plus grosse que la tienne… et j’ai bien aimé sa façon de ma pénétrer… tu es jaloux ?
– Tu as vraiment pris ton pied… tu as aimé ?
– C’est toi qui me l’a présenté… tu as presque insisté pour que ce soit lui qui m’examine… et tu avais raison ça m’a plu énormément !
– Petite salope… tu es incorrigible… mais ça me plaît à moi aussi de te voir jouir… Mais attends, c’est mon tour maintenant. »
Il me fit grimper sue la table d’examen, il m’embrassa passionnément, ses mains se mirent à me caresser les seins, les pétrissant, faisant rouler mes tétons entre ses doigts. Elles descendirent lentement le long de mes flancs. Je basculais sur les coudes tandis que suivant les lanières du porte-jarretelles, elles glissaient à l’intérieur de mes cuisses et m’obligeaient à les ouvrir en grand.
Sa bouche quitta mes lèvres et descendit avec une lenteur calculée, le long de mon ventre pour se poser sur mon orifice vaginal.
« On ne pénètre pas ici ! Ordonna, le vieux médecin qui surveillait nos ébats… »
Elle descendit jusqu’à mon anus, et sa langue s’insinua dans mon petit trou ridé. De sa main droite, il frottait doucement mon clitoris, il le saisit entre son index et son majeur et le décapuchonna par pressions, ses doigts et sa langue me tiraient des petits cris d’extase.
Après cinq ou six minutes de sensations plus qu’exquises, je descendis de la table et me mis à genoux devant lui. J’enfournais son gland bistre dans ma bouche et commençais à le masturber et lui sucer la queue, elle était déjà grosse, mais je la voulais aussi énorme que celle du vieil homme qui venait de me faire jouir. Je m’appliquais presque avec rage a essayer de la faire enfler encore plus…
Mais Gérald, me releva et me poussa sur un fauteuil, il se mit à genoux et me fit écarter les jambes.
« Pas dans le vagin… on est bien d’accord ! »
Grommela d’un ton bourru son vieil oncle… en s’approchant pour mieux voir.
« Mais oui, regarde… j’enfonce ma bite dans son ampoule rectale… »
Il tenait fermement son mandrin de marbre noir, et son gland s’enfonça lentement dans mon orifice.
anal, je grognais de contentement. Il le ressortit presque aussitôt pour l’enfoncer à nouveau avec des petites saccades d’avant en arrière, je sentais les arrêtes de sa couronne frotter les bords de mon anus, c’était délicieux. Son pouce se mit à me masturber doucement le clitoris, et le long tuyau noir commença à coulisser dans mes entrailles, me tirant à chaque pénétration des gémissements d’extase. Le vieux gynéco l’encourageait de la voix, lui demandant d’enfoncer encore plus avant la grosse colonne noire qui m’envahissait.
« Porte la sur le canapé, et mettez vous en face de moi… j’en profiterai mieux… »
Gérald me porta sur le canapé, me fit mettre les pieds de chaque côté de ses cuisses, positionna sa bite à l’entrée distendue de mon anus et m’attrapant aux hanches à hauteur de mon porte-jarretelles me fit descendre lentement sur sa hampe turgescente. Le vieux docteur avait pris place en face de nous sur le fauteuil, il bandait à nouveau et se masturbait en souriant.
Gérald s’activait en moi, je gémissais sans discontinuer…
« Vas-y, plus vite… oui comme ça… enfile toute ta queue… oui…bien… jusqu’à tes couilles… défonce là…. ramollis lui bien son ampoule rectale… oui ta bite glisse bien… plus vite… Elle aime vraiment les énormes bites noires cette petite Salope !! Elle en demande encore…»
D’entendre ces mots crus, cela m’excitait… je regardais le vieux avec des yeux de velours, passant ma langue sur mes lèvres, tendant ma poitrine en avant et caressant mes seins comme pour les lui offrir… Je m’adressais à lui.
« Ouiii… je suis une salope… ouiii j’aime les énormes bites noires…. ouiii tu m’as fait jouir tout à l’heure… oui j’aime me faire sodomiser…
– Et tu en veux encore plus je parie, répondit le vieux.
– Ouiiiii… ouiiiii…. encore…
– Gérald couche la sur toi… »
Celui-ci obéit, il se mit à me pétrir les seins avec force… sa bite enfoncée jusqu’à la garde en moi.
« Ne bouge plus. »
Le vieux gynéco était debout entre les jambes de Gérald, une petite fiole à la main, il en versa sur mon anus, en enduit ses doigts et fit pénétrer son index et son majeur dans mon orifice anal.
« Tiens, petite Salope, puisque tu en veux encore… je vais te mettre ma queue… et je suis sûr que tu vas aimer ça…
– Non… non… vous êtes trop gros… nonnnn
– Allez détends toi… tu sens mon gland… Je pousse… laaaaa… ouiiiiii… il entre doucement… Gérald ne bouge pas encore, putain, c’est bon… regarde petite salope… la moitié de ma bite est entrée… »
J’essayais de m’ouvrir le plus possible, de détendre mes muscles… effectivement sa bite glissait en moi… Gérald avait repris doucement ses pénétrations… Il me mordillait le lobe d’une oreille en me murmurant :
« Salope, je t’avais vu faire une double pénétration vaginale avec les deux jeunes, mais une anale… avec deux bites comme les nôtres… ça m’excite drôlement… je… je crois que je vais éjaculer…
Ouuuiiiii…. tiens tiens mon sperme dans ton cul… »
Ayant vidé sa semence, il se retira, j’avais été moi aussi sur le point de jouir, mais l’intrusion du vieil homme, avait pendant un instant fait retomber ma libido. Je ne sais pas comment, mais le vieux se
retrouva couché derrière moi sur le canapé son énorme queue noire toujours enfoncée au fond de mes entrailles. Ses vieilles mains me caressaient le corps, sa langue léchait mon dos, il me murmurait toujours des insanités. Il me besogna assez longtemps, mon plaisir montait.
Je criais ma jouissance au moment ou je sentis son sperme chaud couler en moi.
Une fois que tout le monde eut récupéré, il me fit remonter sur le fauteuil gynécologique et me fit un prélèvement, il en mit une goutte sur une lamelle de microscope.
«Venez voir, observez, j’espère que vous avez bien pris votre pilule… car vous voyez comme les spermatozoïdes du vieux docteur sont coquins… on dirait de jeunes alevins… ils se plaisent dans votre glaire… J’espère qu’elle va s’épaissir, et que votre ovulation a été bloquée… sinon… ! »
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