Chap XX
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Crise de nerf et baise sur un parking..
Après l’intermède des routiers sur la station d’autoroute, nous avons repris notre voyage avec Viviane. On devisait sur l’aventure avec les routiers.. Viviane s’ouvrit à moi de certains désirs qu’elle avait et dont elle ne m’avait pas encore parlé.
« J’ai vraiment adoré que tu me livre aux gars.. c’était géant.. Et tu me regardais c’était çà qui était excitant.. savoir que tu ne perdais pas une miette de tout çà.. Tu sais cela me donne encore des frissons rien que d’en parler » dit elle
« Je mentirais si je disais que j’ai pas aimé.. tu est vraiment une salope.. mais je t’aime!! » dis-je
« Tu sais j’aimerais bien avec encore plus de mecs. » me dit Viviane.
« Ah oui.. 5 enfin 6 avec moi c’était pas suffisant? » demandais-je
« Si… enfin non.. tu vois j’aimerais être livrée à une foule.. que tout le monde m’utilise.. tu sais des fois j’y pense en boîte.. J’aimerais que tout le monde se jette sur moi pour me baiser.. » dit-elle
« Ou alors.. tu sais.. être envoyée dans un chantier de construction.. et que tous les ouvriers viennent me passer dessus tu ferais payer.. Mon chéri j’aimerais être prostituée.. » dit elle les yeux baissés..
« Tu est franchement dingue!! Tu te rends compte? T’es folle!! » dis-je sans penser à mal.
Instantanément.. Viviane se mit à fondre en larmes.. à s’agiter sur son siège.. à se donner des coups des gifles des coups de poing. Elle se mit a se cogner la tête contre la vitre de tableau de bord.. en disant des choses incohérentes et souvent impossible à décoder..
« conne.. suis une pute.. ferais mieux de crever.. j’en ai assez.. assez. Non suis pas folle.. conne putain saloperie.. mourir.. » hurlait -elle..
J’étais désemparé.. elle était en train de me faire une crise de nerf.. et terrible. Je vis heureusement un parking.. je m’engouffrais dedans.. en coupant la route à un autre conducteur qui dut me maudire.
J’étais à peine arrêté que Viviane bondit de la voiture.. et partit comme une furie courant vers l’autoroute.. Mais elle ne vit pas la bordure de ciment se prit les pieds dedans et s’étala de tout son long dans l’herbe.. Je sautais sur elle.. la ceinturant puis la retournait sur le dos.. Je réussit à coincer ses bras sous mes genoux.. et m’assit sur son ventre. Un papy et une mammy qui étaient arrêtés sortirent de leur voiture.. ils avaient vu la scène..
« On peut vous aider? Qu’est qui se passe.. ma petite dame.. » dit la grand mère.
« Elle fait une crise de nerf ça va aller » dis-je
Rien n’était moins sur.. Viviane avait les yeux hagards.. elle se débattait toujours et m’invectivait.. me crachait dessus.. Ne sachant que faire je lui mit une gifle, puis une autre.. Elle se débattait toujours essayant de me faire tomber..
« Tenez essayez avec çà.. » dit le monsieur me tendant une bouteille d’eau..
Je pris la bouteille et aspergeais le visage de Viviane toujours en furie. Cela fit de l’effet.. elle sembla se détendre, son visage n’était plus crispé comme quelques secondes avant et son regard redevint moins fou.. Elle soufflait chassant l’eau qui s’était insinué dans ses narines.
Je n’osais pas lâcher ma prise de peur de la voir repartir en courant vers le bitume ou passaient des tonnes de voitures et de camions. Quand elle avait couru vers la route mon cœur avait jailli de ma poitrine, je m’attendais à la voir se lancer dans la circulation, être happée par un camion.. j’en ai encore le cœur qui bat maintenant..
Viviane s’était vraiment calmée, elle ne tentait plus de s’échapper, elle avait une respiration courte hachée, mais sans doute pour une grande part du à mon poids.
« Je suis pas folle … je suis pas folle chéri.. Oh pardon!! » dit elle avant de détourner son regard du mien.
Je m’agenouillais à côté d’elle, elle se redressa.. repliant ses genoux sous son menton elle les entoura de ses bras et appuya sa tête, inclinée vers moi.. me regardant. Sa jupe remontée dévoilait son sexe mais on s’en moquait.
« Excuses moi.. » dit elle à nouveau
« Tu m’a foutu une frousse j’en tremble encore » dis-je lui montrant mes mains qui ne cessaient de frémir.
Le couple âgé s’approcha et la dame demanda
« Ça va mieux? Allez c’est rien.. vous êtes jeunes. Ça arrive de se chipoter.. Après un câlin ça ira mieux… Au revoir les enfants » puis il regagnèrent leur auto.
Le parking était étrangement désert.. question d’horaire.. Mais j’étais content de ne pas avoir un monde fou.. car sans doute on nous aurait posé des questions.. ajoutons les traces de coups que portait Viviane.. je ne crois pas que ce serait bien passé avec les gendarmes par exemple.
Je n’osais pas parler.. Viviane se taisait me regardant. J’étais prêt à bondir si jamais elle tentait à nouveau de partir. J’étais mal très mal.. inquiet je ne savait pas ce qui se passait.. le pourquoi je pensais le savoir.. je lui avait dit qu’elle était folle, dingue ça avait tout déclenché.
Je me rendais compte que Viviane était mystérieuse.. déjà la crise qu’elle m’avait fait quand j’étais arrivé en retard et qu’elle s’inquiétait. Et puis là.
« A va mieux? » dis-je enfin
Elle hocha la tête et me sourit.. un petit sourire palot mais un sourire quand même. Elle tapota l’herbe me demandant de m’asseoir a ses côté. Quand je fus près d’elle, sa tête vin se poser contre mon épaule, j’entourais sa taille de mon bras. Je sentis qu’elle tremblait.
« Je te demande pardon, c’est les nerfs ça m’arrive de piquer une crise comme çà.. » dit elle doucement
« Mais pourquoi? Pourquoi? D’un seule coup.. j’ai dit une bêtise je pense.. » demandais-je
Elle hocha la tête pour dire oui.. mais démentit en paroles
« Enfin non.. c’est que tu m’a dit que j’étais folle que j’étais dingue.. tu ne peux pas savoir.. » dit elle en détournant la tête
« Dis moi.. dans ce cas.. expliques moi.. sinon ça sert à quoi qu’on soit tous les deux? » dis je en la serrant contre moi..
Viviane éclata en sanglots.. le genre de crise de larmes qui dure mais qui permet de décompresser.
« C’est maman… elle est en hôpital, internée c’est sans espoir.. elle à une horrible pathologie. en plus il y a de fortes chances que ce soit héréditaire….j’ai peur..peur tu comprend.. » dit Viviane..
Cet aveu.. me glaça le sang..Je la serrait contre moi.. lui caressant le dos, la nuque.. Je berçais Viviane comme un bébé.. Oh pas de raison de le cacher.. j’avais aussi de grosse larmes qui coulaient.. Elle pleura sans rien dire longtemps dans mes bras.. Je sentais que mes bras la réconfortaient, elle s’y blottissait.. enfouissant son visage dans mon cou.. Moment terrible mais aussi moment magique qui vous marque à vie.. presque 30 ans plus tard.. je pourrais détailler la scène avec une acuité presque surnaturelle.. Je vois encore ce minuscule grain de poussière qui voletait dans le soleil pour venir se poser dans ses cheveux.. plus incongru.. cet emballage de sandwich qui traînait sur l ‘herbe derrière nous.. des détails.. des mots des phrases imprimés dans ma mémoire.. à jamais.
Viviane releva la tête cherchant mon regard.. sa main caressa ma joue..
« J’ai peur.. tu sais.. des fois je craque.. J’ai encore plus peur depuis que je t’ai!! Trop peur de perdre tout çà.. de te perdre toi.. de devenir comme ma mère.. ohhhh » dit elle puis elle retomba dans une crise de larmes..
« Jamais je ne t’abandonnerais.. quoi qu’il arrive.. jamais.. je t’aime.. tu est tout pour moi.. tu le sais non? » dis-je totalement sincère.
Viviane enlaça mon cou et posa ses lèvres sr les miennes.. son visage était baigné de larmes.. ses yeux rougis.. mais qu’elle était belle.. jamais ne n’avais eu de sentiments aussi fort. Même aujourd’hui je pense que c’est elle qui restera mon grand amour, ce n’est pas dire que les autres furent mineurs.. mais avec Viviane il y avait quelque chose au delà du sentiment amoureux quelque chose de viscéral.
Viviane se rassérénait lentement, elle me gratifiât d’un pâle sourire, mais ses yeux pourtant toujours embrumés commençaient à reprendre vie. Elle m’expliqua que sa mère était atteinte de la maladie de huntington. Cette maladie n’avait qu’une issue, la mort.. pas de traitement véritable.. le cerveau se détruisait, ça commençais par des tremblement des troubles moteurs ou du comportement pour finir par la démence totale. Le pire c’était que cette maladie est transmissible aux enfants surtout par la mère avec un risque de 25%… 1 sur 4.. c’est énorme!!.
Quand Viviane m’expliqua cela je ne put m’empêcher de frémir.. et d’avoir les larmes aux yeux.. j’aurais voulu être plus fort.. mais quand celle qu’on aime vous annonce çà.. c’est quand même terrible.
« Maintenant tu sais.. pardon d’avoir réagi comme çà.. mais depuis que tu est entré dans ma vie.. je ne savais pas quoi te dire.. tu vois ça peut m’arriver.. en général ça se déclenche pas avant 40 ans.. mais c’est peut être en train de me ronger.. je sais pas.. j’ai trop peur.. je ne veux pas savoir.. » dit elle en s’accrochant à moi.. « Je veux pas çà.. je préfère mourir avant.. Tu me comprend? » dit elle suppliante.
Je hochais la tête.. et la pressait contre mon cœur..
« Chut… mon ange.. on ne peut rien.. il faut profiter de la vie.. profiter ne pas penser à ce que sera demain.. c’est facile à dire je sais.. mais je n’ai pas d’autre solution.. Mais je te jure.. je ne te laisserais jamais tomber » dis-je
« Je suis honteuse.. je gâche nos premières vacances.. je suis … » elle ne put finir..
Viviane fut secoué d’un spasme et ne put que se détourner.. pour vomir sur la pelouse.. Je la soutenais. Elle passa quelques minutes pliée en deux l’estomac en folie.. Puis tout çà se calma..
Décidément.. elle était dans un état..
On fini par reprendre la route.. Viviane s’était un peu endormie.. le soleil baissait sur l’horizon.. J’étais seul devant tout çà.. douche froide.. glacée même.. Mais petit a petit.. le moral revenait.. Certes elle avait peur.. qui n’aurait pas peur à sa place. Mais elle avait plus de chance de passer au travers que de succomber. Et comme je l’avais dit.. il fallait vivre au présent.. ne pas toujours se projeter dans l’avenir.. on ne sait jamais de quoi il est fait.. je le sais que trop à mon âge.
Il commençait à faire sombre quand Viviane s’éveilla.. elle avait l’air bine mieux.. son somme l’avait remise d’aplomb. Je sentis sa main sur ma nuque.. c’était une habitude quand je conduisait elle aimait mettre sa main sur mon cou et me le caresser doucement.. J’adorais çà.. j’étais plus détendu.
Je posais ma main sur sa cuisse douce.. Je sentis un petit frisson qui la parcourait. Je sentais sous mes doigts une des marques que je lui avais infligée le matin même.
« A fait mal.. encore.. » dis-je..
« Oui… mais c’est ce que j’aime tu le sait.. » dit-elle puis ajouta « C’est mieux.. parlons de nos cochonneries.. çà au moins.. c’est bon.. je dois arrêter de me torture l’esprit.. je préfère que tu torture mon corps.. mon maître… »
« Je te préfère comme çà.. que mal dans ta peau.. ma chérie.. » lui dis-je.
Ma main avait glissé le long de sa cuisse et je sentais sa chatte sous mes doigts.. ses petites lèvres recroquevillées, je jouais avec ses longues crêtes de chair.. que Viviane n’aimait pas du tout.. elle trouvait son sexe vilain.. et son clitoris bien trop gros.. Il est vrai que de toutes les femmes que j’ai connues c’est elle qui avait le plus gros à 2 exceptions près.
Ma voiture étant une automatique, je pouvais sans risque lutiner Viviane en roulant.. mais l’attention au bout d’un moment n’y est plus. Surtout qu’au bout de 5 minutes d’agaceries.. Viviane dégrafa sa ceinture, et posant sa main sur ma braguette fit glisser la fermeture, puis ses doigts trouvèrent mon sexe qui se dressait avant de l’extirper.. Puis s’allongeant sur la console entre les sièges. elle entreprit de me sucer..
« Je dois me faire pardonner pour tout à l’heure » dit elle
Et ses lèvres gobèrent mon gland.. faisant naître un frisson qui me parcourait la colonne vertébrale. Viviane mettait une application et une ardeur particulière à me pomper.. Et c’était réussi.. L’appréciais la douceur de sa langue, ses lèvres se serraient sur ma tige.. On arrivait à un péage.. je le dit à Viviane.. qui pour autant ne cessa aucunement son activité.. et alors que je payais mon écho.. ma belle me faisait une pipe.. mémorable.. Ce que la dame dans la cabine ne put que remarquer.. mais elle ne fit aucune remarque.. par contre l’inquiétude naquit en moi.. quand depuis la droite je vis venir nonchalamment un bleu.. lorgnant les véhicules.. Mais heureusement.. on me rendit ma monnaie.. et je démarrais avant qu’il ne puisse voir..
Viviane cessa ne me sucer.. pour porter ses doigts sur mes lèvres.. je léchais et je reconnu le goût de sa chatte.. elle me pompait et se caressait en même temps..
« Petite salope!!! Donne en encore j’adore.. » elle se renversa dos contre la portière écarta largement ses cuisses.. pour me montrer sa chatte humide.. elle écartela les lèvres.. elle était déjà toute mouillée.. Glissant ses doigts au fond de son con elle les agita.. et les ressortis pleins de mouille grasse.. avant de me les donner à sucer..
Je n’avais plus qu’a trouver un coin pour m’arrêter.. je ne tiendrais pas.. et elle non plus..
« On va s’arrêter.. j’ai trop envie de te prendre.. » dis-je..
« Oh ouii.. j’ai envie de toi.. envie de te sentir .. en moi.. » dit Viviane.
Quelques kilomètres plus loin un parking.. pas trop encombré .. je me met à l’écart.. la nuit tombe maintenant nous sommes dans l’ombre des arbustes bordant le parking la première voiture est presque a 100m..
Je dégrafe ma ceinture.. recule mon siège.. Viviane m’enjambe face à moi.. et elle guide ma queue dans sont antre glissant. Je pousse un gémissement de plaisir.. qui surprend Viviane..
« Humm chéri j’ai cru que tu jouissais… tu avais si envie que çà? » dit elle
« Oui envie d’être en toi.. de te posséder.. te sentir toute brûlante. » dis-je.
Elle ouvrit sa chemise et m’enfouis le visage entre ses seins.. ses tétons gonflés et sensibles.. a porté de ma bouche..
« Oui lèches moi les pointes.. mords moi.. j’ai mal .. mais j’ai envie que tu me les mange.. »
La lumière faible faisait de ma belle une ombre chinoise.. que la lumière d’un phare éclairait de temps en temps. Ses hanches bougeaient lentement.. son ventre oscillais me faisait aller et venir dans sa chatte trempée.. Elle glissait ses mains sous ma chemise.. caressant mon torse puis ses doigts s’attardèrent sur mes tétons durs.. et aussi sensible que ceux d’une femme.
Viviane c’était rendue compte rapidement que j’aimais cette caresse.. Quand elle prit mes pointes dans ses doigts.. je crus défaillir.. ma queue palpitait..
« Ouuuhhh mon amour.. que tu est sensible.. quand je te pince les bouts je sent ta queue remuer en moi » susurra Viviane
Je sentais s’évanouir toute la tension accumulée.. Elle aussi.. ne pensais maintenant qu’au plaisir qu’on se donnait.. et c’était bien ainsi.. Nous étions concentré sur les sensations que nous nous donnions mutuellement.. J’avais pris la natte de Viviane et lui tirait en arrière.. j’adore quand une femme à la tête ainsi renversée.. je trouve cette posture excitante.. Mon autre main.. lui caressais la poitrine, remontais vers le cou.. je serrait sa gorge.. l’étranglait petit a petit.. Sa chatte s’affolait se contractait broyant mon sexe. Elle se relâchait quand je lui laissait reprendre son souffle. Des phares éclairèrent brièvement nos ébats… une voiture se stationnait pas trop loin.. Mais la lumière disparu..
« hum c’est bon mon chéri.. je te sent bien.. tu est dur.. j’ai envie de te sentir gicler en moi.. » me dit doucement Viviane..
Je gémissais doucement.. son souffle était court.. moi aussi je commençais à sentir monter en moi le plaisir.. Il faisait chaud.. maintenant la sueur faisait briller nos peaux. Je léchais la sueur entre les seins de Viviane.. j’ humais l’odeur de sa peau.. les senteurs piquantes de nos sexes en rut. Je suis très sensibles aux odeurs.. même celles que certains trouveraient désagréable.. . Je léchais et enfouissait mon nez dans ses aisselles.. trempées.
Viviane donnait des petits coups de reins.. plus rapprochés à chaque instant.. son ventre se creusais. Alors que son clito frottait contre mon sexe.. voir mon pubis. Elle dodelinait.. ses mains passées derrière mon cou.. elle pressa ses seins contre mon visage.. Elle me chevauchait de plus en plus rapidement.
« C’est bon.. c’est bon.. tu aimes que je te baise comme çà.. dis moi.. je suis ta pute.. »quémandais Viviane.
« Ouii c’est bon.. ma petite pute.. ma salope.. ma chienne.. tu me baise bien.. je vais te gicler dans ta chatte.. t’inonder.. esclave… » dis-je..
Les yeux de Viviane brillaient dans la pénombre.. accrochant une lumière venue de je ne sais ou.. ses grands yeux.. gris.. me subjuguaient.
Je m’associais au rythme imposé par Viviane.. donnant des coups de reins.. tentant de la pénètre plus loin .. c’est dans ces moments que des fois je me dit que j’aimerais quelques centimètres de plus. J’ai glissé ma main entre nos deux corps.. et mon pouce trouve le clito.. gonflé de ma chérie. Elle pousse un cri quand je le touche.. il est humide.. il glisse sous mon doigt.. mais je lui fait mal.. Je vais retirer ma main .. quand Viviane me dit..
« Non.. reste.. caresse le .. fais moi crier.. »
Je caresse cette bille d’amour.. Viviane rapidement est parcourue de long frissons.. l’humidité entre nos deux corps est de plus en plus intense.. Ses mains sur mes épaules.. enfoncent ses ongles dans ma chair..
« Oui!! Oui!! vas y. encore.. Oui!! plus fort!! » crie t-elle.
Son sexe est palpitant.. il serre se relâche me presse la tige.. j’ai l’impression que c’est une main.. Viviane ne contrôle plus son sexe.. c’est le plaisir qui dirige.. Elle mouille .. tant que je sens couler son jus gras le long de mes couilles..
« Oui salope !! oui !! tu va me faire partir !! » criais-je
J’étais au bord de l’orgasme.. Viviane avait ralenti sa cadence.. montant et descendant au ralenti.. J’étais tendu vers la libération de mon plaisir.. mais Viviane contrôlait tout.. Elle fini par stopper ses mouvements.. Elle contractait juste son périnée, lentement pressant puis relâchant.. pressant a nouveau.. libérant ma queue durcie.. C’était un supplice !!
Elle prit ma tête entre ses mains.. plantant son regard.. dans le mien..
« Regardes moi chéri… tu sent.. je vais te faire gicler.. tu va m’inonder.. Craches dans ma bouche.. pince moi les bouts je vais jouir avec toi.. pince fort.. » dit elle d’une voix éraillée..
Mes mains trouvèrent ses tétons.. gonflés.. je les pris.. et les écrasais.. les tordais.. Chaque fois je sentais son corps tressaillir.. sa gorge lâchait de petits râles..
« Aie… aie.. ouiiii encore.. encore .. rrrrrrrrr.. fort !!! »
Soudain.. je ne pouvais plus tenir.. je sentais.. monter.. la jouissance.. mon sperme forçais le passage.. brisait les vannes.. je sentais distinctement monter la crue de mon plaisir.. C’est incroyable comme à certains moment.. je sens le parcours de ma jouissance.. dans mon ventre.. dans ma queue. Je ne sais pas si c’est moi qui est spécial.. mais je n’ai pas l’impression que tous les hommes le ressentent avec la même acuité.. ou alors ils ne savent pas le décrire.
La j’explosais.. je me vidais.. Viviane continuait la constriction de ma verge tandis que je jouissais..augmentant encore les sensations.. Puis elle perdit pied.. les mouvements de son vagins furent plus désordonnés.. elle se mit à crier.. agrippée à mes épaules.. A la façon dont elle me plongeait ses ongles dans la peau.. elle prenait son pied.. et moi de même..
Je n’en suis pas certain mais il y a fort à parier que nous avons ameuté un peu de monde.. avec nos cris.. Car moi même j’avais poussé un cri.. au moment de la jouissance.. encore une particularité.. et çà je le sais par expérience.. en général les mecs sont assez peu démonstratifs.. moi je me lâche et j’exprime mon plaisir.. Parfois certaines de mes compagnes ont été surprises.. parfois gênées.. par mon expansivité.. Et j’aime celles qui ne se taisent pas.. moi le cri de plaisir dans l’oreiller.. c’est pas mon truc..
Cambrée.. Viviane.. jouissait.. mon foutre lui avait empli le sexe.. Elle se laissa tomber sur mon épaule.. soufflant et soupirant.. elle me donnait plein de bisous dans le cou.. Nous étions toujours imbriqués.. et sommes resté comme çà.. longtemps. Les plus choqués furent mon jean et le siège de la voiture.. qui reçût.. au bout du compte.. tout ce qui s’écoulait de la chatte de Viviane.. Les sièges en cuir c’était pas un problème.. le jean.. j’allais avoir une tâche bien placée.. e toute façon on devrait se changer.. encore une fois.
« Oh.. c’était bon… bon bon.. et tu vois tu n’a pas eu besoin de me battre.. cette fois.. » dit tendrement Viviane.
Il est vrai qu’elle avait du mal à avoir du plaisir en faisant l’amour normalement.. sans soumission.. sans v******e.. souvent son plaisir était moindre.. Là elle avait eu un orgasme puissant.. qu’elle n’atteignais que rarement en faisant l’amour normalement. Au début je m’étais remis en question.. pensant que c’est moi qui ne savais pas y faire avec elle.. Non ces besoins étaient autres.. c’est tout.
Avec tout çà il était diablement tard.. et on avait encore de la route à faire.. Si le reste de nos vacances était aussi dense.. nous allions revenir.. lessivés..
Ce fut vrai.. mais on verra plus tard..
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