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Le petit Olivier et sa maman chérie

Le petit Olivier et sa maman chérie



Tout commença une nuit d’été. Le petit Olivier était dans son lit d’adolescent, dans sa propre chambre tandis que sa maman dormait dans la chambre d’à côté. Il faisait extrêmement chaud. Le petit Olivier n’arrivait pas à dormir et ses pensées vagabondaient. Puis, elles devinrent plus précises. Elles se rapprochaient d’un certain type d’idées. Et une idée s’imposa à lui. Une idée choquante, tabou.
Une idée, cependant, qui se précisa de plus en plus. Et plus elle se précisait, moins le petit Olivier pensait à dormir.
Il se sentait bloqué dans son lit, face à cette idée qui s’imposait à lui.
Dans le noir, ses pupilles se dilataient de crainte et d’attraction en même temps.
Soudain, l’idée commanda une action! Il souleva sa couette et se leva de son lit. Il portait un t-shirt et seulement un boxer de couleur noir, sa couleur préférée. Il se rendit compte alors qu’il bandait.
Tel le feu vert à une intersection, il ne réfléchit pas et ouvrit la porte de sa chambre lentement. Le couloir était plongé dans la pénombre. Il sentait ses pieds nus sur la moquette, électrisant ses sensations jusqu’à son sexe, de plus en plus dur.
Il commença alors à avancer un pas après l’autre, dans la direction de la chambre de sa maman.
Sa porte était complètement ouverte. Elle avait gardé cette habitude après les quelques années où il venait se blottir contre elle quand il faisait des cauchemars ou qu’il avait mal à la tête. A ce moment, elle lui lui massait lentement la tête et il s’endormait contre elle.
Mais à présent, c’était un besoin d’un tout autre ordre dont il dépendait. La chambre de sa maman était plongée dans l’obscurité. Il l’entendait respirer calmement. Elle devait être profondément assoupie.
Il avança de deux pas, timidement, et le coeur battant à tout rompre. Jusqu’à maintenant, il n’était pas tout à fait conscient des raisons qui l’avait amené jusqu’ici en pleine nuit. Mais à présent, il savait. Il avait compris qu’il ne pourrait pas l’empêcher.
Alors, lentement, il prit son boxer à deux mains et le baissa précautionneusement.
Sa gaule tendait le boxer et il dût la contourner légèrement pour le descendre.
Ses petites fesses serrées étaient bien tendues, et la gentille brise qui vint lui caresser l’anus le fit bander encore plus fort.
Il prit un malin plaisir à ralentir le geste en se baissant progressivement pour amener le boxer à ses pieds, en silence. En se baissant, il aurait presque pû se donner un petit coup de langue sur le gland, qui était à présent complètement décallotté.
Mais ce genre de plaisir était pour un autre type de soirée, et il savait que cela ne le satisferait pas ce soir là.
Arrivé tout en bas, il souleva ses pieds l’un après l’autre pour laisser le boxer reposer sur la moquette. Une odeur forte de testicules chaudes et d’anus se faisait sentir à présent.
Il se releva lentement, le torse gonflé, l’abdomen tendu, presque tremblant. Et il regarda la forme blanche qui dormait paisiblement dans son lit. Tel un conquérant face à une nouvelle terre, il se sentait fier à présent d’aborder cette étape. Il respirait de manière saccadée, malgré tout, rempli de cette excitation qui voulait se répandre dans tout les sens mais qu’il essayait de canaliser.
Comme en se levant de son lit, il sût à nouveau qu’il était temps de passer à la prochaine étape.
Le silence bourdonnait dans ses oreilles. Il entendait le sang y battre comme dans tout son corps, se dirigeant irrémédiablement vers sa bite.
Et là, le mot qui allait déclencher tout ce qui allait suivre, sortit de sa bouche, timidement, doucement, tremblotant. Un appel tendre et demandant un grand besoin de réconfort.

«Maman?»

Dans la lumière de la lune qui venait de la porte du salon, on pouvait distinguer une larme s’attardant au bout de son gland. Un court silence, puis sa maman bougea sous la couverture, se retournant vers l’entrée de la chambre.

«Olivier?»

Le petit Olivier ne sût quoi répondre, ne voulant pas révéler tout d’un coup. Un silence long qui, il le sentait devenait de plus en plus chargé de l’odeur qui émanait de sa bite et de son boxer.
Sa maman alluma la lampe de chevet. Eblouie par la lumière, elle cligna des yeux.
Pendant ce temps, le petit Olivier avait tout loisir d’observer les cheveux blonds de sa maman, ses lourds et ronds seins blancs, laiteux qui forçaient un chemin hors de sa chemise en soie. Il bandait à fond.
Ses yeux s’acclimatèrent à la lumière. Elle ne comprit pas ce qu’elle vit au début.
Son fils se tenait, nu, à quelques mètres d’elle, les poings serrés contre lui, tremblant; et avec une érection digne de seulement 1 ou 2 hommes qu’elle avait connu dans sa vie.
Elle discerna même que le gland de son fils était complètement décalloté et qu’un jus épais commençait à en couler.
Elle était bouche bée. Hypnotisée par ce spectacle, rougissante comme jamais.
Le petit Olivier la trouva encore plus belle.
Le sang battait de plus en plus fort dans tout son corps.
Il prit conscience de ce qu’il devait accomplir dorénavant. Il savait que rien ne serait plus jamais pareil après cela. ça lui faisait peur, mais ça le faisait surtout bander à fond.
Donc, lentement, il approcha sa main droite de son gland et serra fermement. Sa mère regardait toujours. Tout cela semblait se passer au ralenti, comme dans un film, sauf que c’était bien réel. Puis il décalotta son gland mouillé à fond et commença à se masturber, lentement de bas en haut sans s’arrêter.
Sa maman dit alors:
«Mais….qu’est-ce que tu fais, Olivier, mon chéri??»

Après un court silence, il répondit:
«Désolé, maman. Mais je t’aime trop. J’ai besoin de le faire.»

«Oh, mon bébé!» dit-elle d’un ton désolé.

Le petit Olivier se branlait plus vite, à présent, s’abandonnant à l’état de détresse dans lequel il se trouvait. Son visage trahissait à la fois un grand chagrin et un intense plaisir.

«Maman!» lacha t-il à nouveau dans un soupir de luxure.

Sa maman se redressa alors, comme répondant à cet appel de son fils. Elle posa lentement ses pieds sur la moquette. Olivier pouvait ent****rcevoir une toison pubienne fournie, cachée au fond, sous la nuisette de sa maman. Il se branla plus fort, et plus profondément.
Sa maman, même si elle était choquée, n’avait maintenant qu’une idée en tête: l’aider.
Il était visiblement dans une frustration intense qui devait trouver un chemin. Elle n’avait pas eu d’hommes dans son lit depuis des années, et elle s’était résolu à une solitude comfortable, même si parfois dans le secret de son lit, elle s’aidait à s’endormir avec un gant en laine entre ses cuisses. Alors, toutes sortes d’idées lui traversaient la tête.

Le spectacle de son fils se masturbant devant elle, ralluma des désirs qu’elle n’avait que refouler dans des séances de masturbation solitaires et coupables.
Elle sut alors qu’une logique, si extrême qu’elle soit, se proposait à elle.
Ses tétons commencèrent à gonfler sous sa nuisette et sa chatte à mouiller et à s’ouvrir, s’ouvrir pour son fils.

Elle lui dit alors, dans un souffle:
«Viens, mon bébé»
Le petit Olivier, fier que sa maman, l’aide à avancer et à passer à une étape suivante, quelle qu’elle soit, s’approcha et brandit sa grosse bite face au visage de sa maman chérie.
Sous la lumière douce de la lampe de chevet, la bite d’Olivier semblait dorée et brillait.
Sa maman chérie approcha alors ses lèvres de son gland mouillé, et déposa un long baiser sur le bout de sa grosse bite.
Le petit Olivier banda alors encore plus fort, car il savait que sa maman allait lui suçer la bite. Et ce n’était que le début d’une longue et savoureuse histoire…

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