J’avais 18 ans quand j’ai connu le plaisir anal. Cette année-là, mon cousin était venu passer ses vacances chez nos grands-parents avec mon oncle et ma tante. Tous les deux ans, ils débarquaient d’Europe. Mon oncle cumulait les congés pour un séjour plus long.
Par manque de place dans la maison, j’ai dû partager ma chambre et mon lit avec ce cousin plus âgé que moi. Il était sympa et nous faisions des promenades à vélos et des parties de pêche dans le ruisseau tout proche.
Quelle ne fut pas ma surprise quand, un soir que nous avions éteint la lumière, mon Rachid prit ma main et la posa sur son zob en érection. J’étais gêné et ne savais quoi lui dire. Puis, il m’a demandé de le caresser.
— Caresse-moi.
— -Mais je ne sais pas.
— Tu ne t’es jamais branlé ?
— Si, mais…
J’ai retiré ma main et me suis retourné.
— Dors, lui dis-je.
— J’ai envie de toi depuis mon arrivée. Tu es une fille toi. T’as pas de poils ni aux jambes ni à la figure ni au bras.
— Calme-toi et dors !
Mais au lieu de se tourner, le voilà qui se colle contre moi et je sens son sexe dur dans mes reins.
— Rachid, sois gentil, qu’est-ce qui te prend ?
— Tes jambes, tes fesses me font bander ! Ta bouche aussi. Est-ce qu’on peut avoir des lèvres aussi rouges que les tiennes ?
C’est vrai que mes lèvres étaient colorées.
Il commence à glisses sa main dans mon dos, mes fesses, ma cuisse, passe son bras par-dessus ma hanche et saisit mon petit sexe.
— Tu bandes mon cochon ! T’as envie, hein ! Tu ne réponds pas mais je sais que tu voudrais un baiser, non ?
— Non, j’ai sommeil.
Le voilà qui fait glisser petit à petit mon caleçon.
— Enlève ça, tu ne peux pas dormir nu !
Et je le laisse faire et même me soulève légèrement pour qu’il enlève cet objet inutile à vrai dire. Me voilà nu comme lui, à sa merci et je sais bien à partir de cet instant que je vais me laisser faire et me donner à lui comme une femme amoureuse.
Il passe son bras sous mon cou et m’attire vers lui. Je me retrouve face à un homme qui me désire. C’est à ce moment-là que je me suis laissé faire car j’éprouvais une vraie pulsion charnelle. Je me suis senti femme subitement et n’ai opposé aucune résistance quand sa bouche est venue se coller à mes lèvres. Sa langue cherchait la mienne. J’ai perdu pied et ma main a saisi sa queue que j’ai aussitôt caressée. Nos baisers s’enchaînaient, ses bras me serraient fort contre lui, je lui appartenais.
Il a repoussé le drap puis il est venu au-dessus de moi :
— On va faire un 69
C’était nouveau pour moi. Mais je n’ai rien dit.
— Ouvre la bouche !
Il m’a introduit sa verge.
— Suce-moi comme si ma queue était un esquimau. Suce, lèche, aspire ! Moi je vais lécher ta chatte.
Je l’ai sucé du mieux que je pouvais tandis que sa langue léchait mon petit trou. Il m’a rentré un doigt, puis deux, puis trois.
Ça m’a fait drôle de le sentir fouiller mon intimité.
— Viens, lève les jambes en l’air. Je vais te baiser !
Il est venu sur moi, j‘ai posé mes mollets sur ses épaules et il a commencé à vouloir me pénétrer…Mais son gland glissait.
— Plus haut. Encore. Là, vas-y, enfonce-toi ! Lui dis-je.
J’ai senti la tête de la queue m’ouvrir l’anus. Puis son membre dur a continué à forcer le passage. J’ai serré les dents sous la douleur et comme j’avais envie de crier, il a enfoncé sa langue dans ma bouche pour stopper mon reflexe de panique.
— Doucement, chéri, j’ai mal !
— T’es une femme ou pas ?
— Oui, je suis une femme !
— Alors, laisse-toi prendre comme une vraie pucelle !
Il s’est retiré quelques secondes avant de remettre ça. Là, sa queue toute entière s’est fichée dans mon cul.
Il a commencé un va et viens dans mon rectum, douloureux au début, puis le plaisir a suivi. J’ai failli, là encore, hurler de bonheur !
Il m’a monté pendant quelques minutes puis il s’est raidi, m’a embrassé et j’ai senti quelque chose de chaud dans mes entrailles.
— Chérie, j’ai joui. Tout mon foutre est en toi. Vite, suce le sperme et nettoie ma bite !
J’ai pris son gros zob en bouche, je l’ai sucé, c’était bon ! Ma première expérience sexuelle était positive. Même sa semence avait un goût agréable. Puis j’ai nettoyé ce pénis qui m’avait enculé et donné tant de plaisir. Je me suis levé pour aller aux toilettes, mon cul dégoulinait le jute de mon cousin adoré.
J’étais heureux même plus : heureuse !
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