Ce soir là je me sentais seule. J’avais décidé de sortir dans un bar, pour au moins voir du monde, même si c’était de loin. Je m’étais apprêtée comme si je sortais avec des amis: petit haut court couleur lie de vin s’arrettant un peu au dessu du nombril, mini jupe noire à boutons, bas resilles et escarpins. Mon maquillage mettait mes yeux en valeur et juste du labelo rouge cerise sur ma bouche. Oui c’était sûrement étrange et inutile de me faire belle alors que j’étais seule, mais j’avais eu envie de le faire, pour moi et juste pour moi pour une fois.
Je m’étais dirigée vers un bar sympa dans une rue animée, je sentais le regard de certains hommes sur mes formes, et cela me faisais du bien, je retrouvais un peu de confiance en moi et cela me mettait du baume au cœur. J’entrais dans le bar et me dirigeait vers le comptoir. Immédiatement, je reperais un des barman, et je vis dans son regard que lui aussi m’avait repéré… Il avait les cheveux tondus a ras, des yeux marrons intenses, une barbe naissante et beaucoup de tatouages. Il en avait sur les bras, dans le cou, visiblement également sur le torse puisqu’on en voyait un depasser de son tee shirt. Musclé juste comme il fallait, il était incroyablement sexy.
Je tentais de reprendre mes esprits et me dirigeait vers lui. Il me demandai ce que je voulais, et je lui répondit de me surprendre, mais que j’aimais les saveurs fruitées. Il se mit alors à faire son cocktail comme un magicien, et me sortit un délicieux liquide alcoolisé aux saveurs de fruits rouges. Je payai en le remerciant, puis je m installai sur un tabouret non loin de lui. Ses yeux papillonnaient sur moi dès qu’ils le pouvaient, et je lui adressait le regard le plus chaud possible. Quand je croisais mes jambes, je sentit son regard brûlant sur celles ci. Je frottais mes cuisses entre elles, et passais ma main le long de ma jambe. Mon geste fut suivi avec assiduité par ses beaux yeux marron… Quand son regard fut de nouveau sur mon visage, je passai délicatement ma langue sur mes lèvres, comme pour y recueillir une dernière goutte. Quand je me mordillais la lèvre inférieure, il passa une main sur sa nuque, il semblait avoir chaud. Je le vis parler avec son collègue, qui acquiesça de la tête, et mon beau barman sortit de derrière son bar pour venir me rejoindre.
-Tu sais que tu me rends fou? Fais attention à ne pas libérer le fauve en moi…
-Je ne vois pas de quoi tu parles… Repondis je en me levant et me penchant sur le comptoir en attrapant une serviette, de manière à ce qu’il puisse mater mon cul.
-Je suis en pause, je peux m’installer à côté de toi ?
-Bien sûr ! Repondis-je avec un sourire coquin.
Il s’assit très proche de moi, sa cuisse collée à la mienne.
-Si tu continue à me provoquer tu vas me trouver…
-Ah oui? Prouve le…
Je glissais ma main sur sa cuisse et remontais le long de son entrejambe en passant une nouvelle fois ma langue sur mes lèvres.
-Il y a une salle avec un billard là haut, ce soir elle est fermée aux clients, mais pour toi je peux faire une exception… Tu viens faire une partie ? Demanda t il avec un regard lourd de sous entendu…
-J’adore le billard… Il parait que je tiens la queue à la perfection !
-Hum… Je n’en doute pas ! Suis moi alors…
Je suivit mon beau mâle qui me fit monter un escalier étroit en bois, pour arriver devant une porte fermée, qu’il ouvrit avec sa clé. Il étaient à présent dans une petite salle avec quelque banc, et deux billards. Immédiatement, je prit une queue de billard et me penchais outrancièrement pour taper la boule. Sans que je ne l’ai entendu s’approcher, je sentit soudain mon barman se coller à moi, je sentais son sexe déjà dur a travers son pantalon contre mes fesses. J’ondulais des fesses contre lui, et ses mains se posèrent sur mon ventre nu, pour remonter doucement vers mes seins, qu’il palpa au dessu des vêtements. Puis il les glissa sous mon haut, je ne portais pas de soutiens gorge et j’avais les tetons dressés, tetons qu’il pinça du bout des doigts, ce qui m’arracha un gémissement. Il me plaqua contre le billard, et glissa sa main sous ma jupe, remontant jusqu’à mon intimité déjà humide la titillant a travers le fin tissu de mon string. Soudain il retira sa main, pour ma plus grande frustration, me fit me redresser et me retourna face à lui. Ses yeux étaient fiévreux en parcourant mon corps. Il m’embrassa fougueusement, je sentais sa langue à la fois douce et tyrannique prendre possession de la mienne, je m’enflammais de l’intérieur. Il me fit lever les bras et retira mon haut, laissant ma poitrine nue, qu’il regarda avec des yeux brûlants de désir. Il pencha la tête vers mes seins et saisi un de mes téton dans sa bouche, jouant avec du bout de sa langue. Je ne pu retenir un gémissement. Puis il ouvrit ma jupe en tirant d’un coup sec sur les boutons à pressions, et la jeta au sol. Il me souleva par les fesses et m’allongea sur le billard, il retira mon string, ne me laissant ainsi plus que mes bas resilles et mes escarpins puis il fourra sa tête entre mes jambes. Sa langue experte se mit à jouer avec mon clitoris, pendant Qu’il introduisait plusieurs de ses doigts en moi. Je mouillais comme une chatte en chaleur, d’ailleurs j’étais une chatte en chaleur… J’aurais pensé que ce mec aurait simplement voulu me sauter pour satisfaire son plaisir puis basta, mais il était en train de me donner un plaisir fou, je sentais sa langue faire des cercles, tandis que ses doigts faisaient de rapides aller-retours dans mon vagin. Lentement, il me fit atteindre le septième ciel, si fort que j’en poussais un cri de plaisir. Alors que mes jambes avaient encore des soubresauts dû à l’orgasme, mon barman me faisait me redresser pour m’embrasser à pleine bouche. Je senti mon goût sur sa langue. Je passais ma main sur la bosse dur sous son pantalon, visiblement je lui faisais de l’effet… Je lui retirais prestament son tee shirt, m’attardai plus longtemps sur ses abdos et son torse bien dessiné que sur ses tatouages, deboutonnais son pantalon et fit tout descendre. Sa queue, elle, se dressa fièrement devant mon visage, je la mis alors dans ma bouche. Cette fois ce fut mon tour de m’amuser avec la langue, que j’usais sans modération pendant que je suçais sa belle verge, m’appliquant à la mettre au plus profond de ma gorge. Je l’entendais grogner, signe qu’il appréciait ce que je lui faisais. Je sortais alors sa queue de ma bouche, pour y mettre ses couilles, que je lechais et suçais comme une affamée. Pour ensuite recommencer à le pomper. Il accompagnais mes mouvements en me tenant les cheveux, ce qui me fit sucer avec plus d’ardeur encore. Soudain il m’ecarta en disant:
-Je n’en peux plus il faut que je te baise maintenant…
Il me retourna et me plaqua les seins contre le billard, sa main tenant toujours mes cheveux. Il me penetra alors violemment, me donnant de vigoureux coups de reins, m’arrachant de nouveaux cris de plaisirs. Je sentais son sexe si dur prendre possession de mon vagin, je voulais qu’il continue comme ça pendant des heures… Mais il se retira, me retourna, le souleva de nouveau par les fesses et m’assit sur le bord du billard. J’enroulais mes jambes autour de ses hanches et de nouveaux il me penetra avec ardeur. Je m’accrochais à son coup, griffant tour à tour son dos puis ses fesses, j’accompagnais ses coups de reins comme si je voulais m’empaller sur sa bite. J’embrassais à pleine bouche mon beau barman et senti une nouvelle fois le plaisir m’emporter. Puis, alors que tout mon corps n’en revenait toujours pas de ce déferlement de plaisir, il se retira, me mit à genoux et me fourra rapidement sa verge dans la bouche, où il déversa ses giclés de sperme. Son liquide chaud me coula dans la gorge lorsque j’avalais.
Nous nous sommes rhabillés et mon beau barman à repris son poste. Il m’arrive quelque fois, lorsque je me sens chienne, de retourner jouer au billard avec lui…
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