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Ma 1ère sodomie avec mon amant

Ma 1ère sodomie avec mon amant



Etudiant mais avec si peu de sous, j’ai dû accepter de partager un gite avec un collègue maçon, Ali, un marocain émigré. Sa baraque est composée d’une pièce, un coin cuisine et un cagibi toilettes.
Nous travaillons dans un chantier de construction où j’étais pointeur. Ali était grand et costaud, poilu, très brun de peau et maitrisant très mal le français, mais bosseur et porté sur le sexe.

Comme il était nettement mieux payé que moi et plus âgé, j’avais 19 ans et lui 40, c’était lui qui faisait les dépenses et moi les travaux : préparation des repas, nettoyage du local, draps, couvertures et même vêtements et bien sûr la vaisselle. Comme il n’y avait qu’un lit, on se couchait côte à côte et même souvent, serrés l’un dans les bras de l’autre.

C’était gênant pour moi mais Ali trouvait que nous nous connaissions mieux ainsi pour nous aider. Il aimait le contact et ça nous réchauffait. « Ma poitrine contre la tienne ou contre ton dos, ça fait fuir le froid », m’a-t-il souvent dit, en se collant à moi. J’étais trop timide pour refuser et ça me réchauffait réellement le corps.

Il avait une nana qu’il ramenait chaque soir, sans faute, vers 17h, lui faisait l’amour pendant une ou deux heures, puis la renvoyait. Moi, j’attendais dehors qu’ils finissent, et je continuais mon travail de cuisine après. Il m’a proposé de m’amener une fille mais j’ai refusé, sans lui avouer que j’étais puceau et que je n’étais amateur que de masturbations solitaires.
Quand nous nous couchions, je sentais l’odeur du sperme de mon ami et le parfum de la fille et cela m’excitait.

Tout marchait bien pendant deux mois. Mais un soir, la fille n’est pas venue et Ali était en rogne. Il ne faisait que se masser la bite à travers sa braguette et il tournait en rond.
« La pute n’est pas venue et mon zob est gonflé ! Je dois baiser pour le calmer ! ». Mais la fille ne venait pas et Ali devenait enragé. Dans son coin de lit, il a même sorti sa bite et il la frottait pour la calmer. Je la voyais du coin de la cuisine mais en douce car Ali commençait à me faire peur. Il répétait : « Il me faut une vulve échaudée ou une terma (un cul) ! ».

Après notre diner vers 21h, en silence, on est allé se coucher comme d’habitude car on doit se lever tôt pour le travail. Face à lui, je voyais qu’il souffrait, alors je lui ai tourné le dos.
Après un moment, j’ai senti sa bite gonflée qui me piquait le derrière. Je me suis écarté et nous étions gênés. Ali s’agitait trop dans le lit et m’empêchait de dormir, alors je le lui ai dit. Il m’a répondu que sa bite a besoin de se soulager. Je lui ai proposé de se branler tout simplement. Il s’est redressé sur le lit, a ressorti sa bite, déjà très gonflée, et a commencé à se masturber devant moi en soufflant : « je baise la chatte et la terma (le cul) ».

Je n’étais pas si bête ou innocent que ça. J’avais saisi que mon ami, à défaut de sa nana, voulait me baiser la terma puisqu’il a répété ce mot plusieurs fois devant moi. Mais je ne voulais pas et j’avais peur car je n’ai jamais fait cela. De plus, je ne pouvais pas protester puisque c’est moi qui lui ai proposé de se branler. Et je dois avouer que la vue de sa grosse queue commençait à m’exciter. C’était la première fois que j’en voyais une en chair et en muscles et non pas en images à la télé ou sur livres pornos.

Il haletait aussi avec passion et cela ajoutait à mon excitation. J’avais envie de lui saisir sa bite et la branler à sa place. Il a dû remarquer mon regard d’envie, alors il m’a proposé de le toucher. « Mon fils ? mon zob te plait ? Regarde comme il est gros, épais et chaud ! Tu veux le toucher ? N’aies pas peur ! ».

Ses paroles dites dans un souffle haletant m’ont affolé ; alors, sans hésiter, j’ai sauté sur l’occasion. J’ai empoigné cette belle bite et j’ai commencé à la branler. Elle était dure et douce à la fois, grosse et terriblement excitante ! Je fantasmais déjà sur sa puissance et ses plaisirs. J’imaginais ce zob si gros et si dur dans le vagin de la fille et dans son cul quand je l’entendais hurler de plaisir, alors qu’ils baisaient et moi dehors, à attendre qu’ils finissent.

Ali me proposa de la mettre dans ma bouche et de la sucer comme une glace, cela lui ferait plaisir. « Fiston, mon zob te plait ? Mets-le dans ta bouche ! Mange-le, tu verras qu’il est succulent ! ».

Et je l’ai fait, non seulement pour lui, mais parce que j’en avais envie depuis un moment car, de désir, ma salive dégoulinait de ma bouche entrouverte. Alors j’ai englouti ce gros zob gonflé avec plaisir et son volume et sa douceur m’ont affolé. Je commençais à perdre le sens de la situation, mais c’était si agréable que j’en frissonnais. !

Ali gémissait : « Continue, continue fiston ! Suce bien mon zob ! Ta bouche est chaude ! Elle affole mon zob ! ».

Je continuais de plus belle et j’étais content et heureux de ce plaisir que je donnais à mon ami. Il ajouta : « Caresse mes couilles ! Lèches mes couilles ! Augmente notre jouissance ! ».
Comme j’étais penché sur son zob et ses couilles, Ali, qui était collé à moi, en profita pour envoyer sa main farfouiller du côté de mon derrière.
J’ai juste eu l’impression du glissement de sa main sur mon dos et vers le bas.
Puis, profitant que je n’avais qu’un pantalon de pyjama à la ceinture élastique, il glissa sa main sous mon vêtement et toucha la chair de mes fesses. Je me suis bloqué un bref instant mais il m’a encouragé en disant que le plaisir allait surgir. « Ne t’arrête pas, suce, suce ! Moi aussi, je vais donner du plaisir à ton cul ! Continue ! ».

Alors, j’ai continué à le sucer et à le branler, pendant que sa main se plaquait sur mes fesses. Puis il me caressa la terma sans que je réagisse et glissa ses doigts dans le sillon de mes fesses. « Ah mon zob ! Ton cul est si doux, blanc et sans poil, large et chaude ! ».
J’ai eu un frisson de tout le corps et, sans presque le faire exprès, j’ai arrondi le derrière et gonflé mes fesses. Alors il glissa ses doigts sur mon anus et me le frotta doucement.

Mon attention était maintenant totalement sur mon anus auquel je faisais des mouvements d’ouverture-fermeture sans volonté car ça me démangeait. Ali poussa un doigt et il réussit, avec mon aide, à traverser l’anus. Puis, il continua à me frotter à l’intérieur. J’avais cessé de lui sucer la bite car j’étais entièrement occupé par ces nouvelles sensations de mon cul.

Ali m’a chuchoté « ô fiston, fiston, mon zob devient fou de ton cul ! Laisse- moi te niquer ! Vite ! vite ! Je ne peux plus attendre ! ».
Il me demanda de me coucher sur le ventre et de soulever le derrière. Je savais ce qu’il voulait faire mais je n’avais pas la force psychique de refuser. Je me suis couché et j’ai soulevé les fesses et Ali m’a totalement enlevé mon pantalon.

Puis, il m’a léché les fesses et l’anus et a introduit encore son doigt dans mon cul. « Ton cul est doux, rouge comme la chatte de ma pute ! Oh mon zob, il est à toi ce cul ! ».

Malgré mon affolement, j’ai réussi à lui avouer doucement que j’étais vierge et que j’avais peur. « Ton cul t vierge ? N’aies pas peur ! Mon zob te l’ouvrira avec facilité ! ».

Il m’a dit de rester ainsi un moment, puis il s’est levé, a couru vers le coin cuisine pour apporter un peu de beurre, je l’ai su plus tard. Quand il revenait vers moi, j’ai vu son zob gonflé, droit et qui, dans sa course, se balançait dans un mouvement affolant. C’était une image plus érotique que j’avais vu dans les vidéos et qui a amplifié les frissons de mon corps. J’avais peur mais j’étais impatient de gouter ce gros zob. Ensuite, j’ai senti le beurre qui me lubrifiait l’anus et l’intérieur du cul.

Puis, Ali plaça sa bite sur mon anus et doucement, après plusieurs essais d’entrée-sortie, son gland pénétra mon cul. Bien sûr, j’ai eu mal et plusieurs fois, j’ai essayé de me libérer mais Ali était plus fort et déterminé. Il m’a même donné des claques sur les fesses et m’a engueulé. Je lui ai dit : « Doucement oncle Ali ! Mon anus est serré ! Tu m’as fait mal ! ».
Il m’a appelé salope et pute qui aguiche les hommes et qu’il allait me niquer coute que coute, et qu’après, c’est moi qui en redemanderais.

« Putain, restes tranquille ! Je te niquerai ! Ta terma (ton cul) est pour mon zob cette nuit ! Je te la défoncerai et te rassasierai avec mon zob ! Je t’arroserai avec mes couilles ! ».

Enfin, sa bite glissa dans mon cul jusqu’aux couilles. J’ai senti leur claquement sur mes fesses. D’un air triomphal, il me dit : « ça y est, mon zob a pénétré ta terma ! Fiston, maintenant on va la frotter pour la lisser à mon zob !».

Il continua encore quelques essais pour m’élargir l’anus et faciliter les glissements de sa queue. Quand ce mouvement devint facile et même sans douleur pour moi, il accéléra : « Alors fiston, la baise commence à te plaire dans ta terma ? ».
Comme je ne répondais pas car j’étais totalement sous le charme de mes nouvelles sensations agréables, il me claqua les fesses :
« Dis-moi, tu sens mon zob ? ».
Et moi, dans un souffle rauque, affolé : « oui, je le sens ! Je le sens ! ».

« Qu’est-ce que tu sens ? Dis ! ».
Et moi : « Ton zob m’a ouvert et éclaté la terma ! Epais et doux ! continue ! ».
Ses coups de reins et ses « han…han… » à chaque enfoncement me donnaient autant de plaisir que ses frottements à l’intérieur. Je l’imaginais, ce gros zob qui m’ouvrait l’anus et l’élargissait puis me défonçait les entrailles jusqu’à buter au fin fond.

Puis j’ai pris conscience que c’était mon dépucelage, ma première sodomie, ma première saillie, le premier homme qui montait sur mon derrière, pénétrait mon cul avec sa grosse bite, goutait ma terma et que c’étaient mes premières jouissances sexuelles.

Après un long moment de vas et viens vigoureux et sonores de mon ami et des grognements de plaisirs de ma part, Ali hurla : « Elle arrive ! Elle arrive ! » et éjacula dans mes entrailles. C’était humide, chaud et puissant !

Puis il se souleva et sur le côté, il continua à se branler pour se vider de tout son sperme. Je restais couché sur le ventre. Le sperme sortait de mon cul et coulait sur mes cuisses. Le plaisir continuait à frissonner dans tout mon corps et le fait de savoir mon derrière nu et le cul de ma terma en l’air augmentait mon plaisir et mes fantasmes. Je trouvais bizarre d’avoir si facilement accepté les désirs de Ali et d’y avoir trouvé du plaisir. Je voulais même recommencer sans essayer de comprendre ou d’expliquer.

J’ai touché mon derrière pour le caresser à la main car ça commençait à me donner du plaisir et j’ai enfoncé un doigt dans mon cul encore plein de sperme. J’ai constaté qu’il était assez souple pour s’ouvrir à mes doigts et je me suis fait quelques mouvements de vas et viens. J’en avais envie.
Ali l’a remarqué et m’a demandé si j’en voulais encore. « Alors putain, ça t’a plu la sodomie ? ça y est, dès qu’elle a gouté mon zob, ta terma le demandera encore et encore ! ».

Comme j’opinais de la tête, il se souleva et se coucha de nouveau sur mon dos. Sa bite ayant un peu fléchi, il se frotta sur mes fesses et sur le sillon de mon anus. Ses poils du ventre chatouillaient ma terma et amplifiaient mes désirs. Je me frottais moi aussi à lui par plaisir et pour gonfler son zob. Il ricana et me souffla : « Frotte ! Frotte ton cul sur mon zob ! Fais-le gonfler sur ta terma ! Ouvre-la pour qu’il hume son odeur de l’intérieur ! Frotte putain !».

Il me caressa en même temps les hanches, même parfois brutalement, et fit plusieurs mouvements de balancements à mon derrière pour exciter sa queue et cela réussit à la faire bander de nouveau.
Alors, avec passion, il enfonça son zob dans mon anus et dès qu’il se trouva dans la chaleur et la douceur interne de mon cul, il se gonfla encore plus.
Moi aussi, j’ai bien senti d’abord cette brutale pénétration et elle m’a donné de la jouissance à tel point que j’ai hurlé mon plaisir. « Ô zob de mon ami, tu m’as fait mal ! Mais comme tu es doux et dur ! Continue ! Défonce-moi jusqu’aux couilles ! ».

Dans ma terma, je ressentais ce gros zob qui augmentait de volume et de puissance. Ensuite, Ali recommença ses vas et viens sans tenir compte des restes de sperme de mon cul. D’abord, ce ne fut que des glissements agréables, puis les frottements devinrent secs et plus rugueux. Alors, le plaisir s’amplifia dans mon cul et les frissons envahirent tout mon corps.

Ma terma s’ouvrais au maximum et je criais et même hurlais parfois de jouissances. « C’est une baise puissante ! Ton zob, ô ami Ali, m’a chatouillé la terma ! Il lui a fait tellement de plaisir que même mon zob à moi s’est gonflé de joie ! ».

En effet, cette seconde sodomie a été beaucoup plus agréable que la première. Lui aussi grognait et haletait et ses « han …han… » de plus en plus puissants traduisaient sa jouissance et le plaisir qui montait de ses couilles.
Je suis incapable de saisir le temps de cette sodomie mais pour moi, elle a duré une éternité, de plaisir et de jouissance. Et lorsqu’Ali déversa ses jets de sperme dans mon cul, j’étais dans l’abandon total au plaisir sexuel.

A l’apogée de son plaisir, Ali hurla : « Verse ! Verse, ô mon zob, dans la terma de ma pute ! Arrose-la avec le sperme de tes couilles ! Engloutis le lait de mon zob, ô blanche terma ! ».

Bien rempli par le muscle palpitant de son gros et puissant zob et noyé par le jus chaud et visqueux de ses couilles, ma terma et moi-même étions au firmament de la jouissance. Ensemencés, remplis, presque fécondés par cet homme, nous étions devenus quelqu’un d’autre après avoir gouté les plaisirs de cette merveilleuse et grosse queue d’homme !

Il y a deux heures, on était deux collègues, Ali et moi, maintenant il est devenu mon amant, mon donneur de plaisir sexuel et moi, sa kahba (sa putain).
Après nous être nettoyés, on s’est recouchés, blottis lui contre mon derrière et mon cul, mais habillés de nos sous-vêtements. On a du travail demain de bonheur.
Je luis ai toutefois demandé : « Et si demain ta nana revient ? Qu’est-ce que nous allons faire ? ». Sans hésiter et en me serrant contre lui, il me répondit : « je baiserais sa chatte une heure puis je la renverrai ! Ensuite, on dinera et après, je niquerais ta terma une à deux heures ! Elle est nouvelle et douce ! ».
Cinq minutes plus tard, il ronflait doucement, fatigué mais rassasié sexuel.

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