Il fait beau et chaud sur la plage, pas loin de Rabat. La mer est bleue, l’endroit est idyllique. Et c’est le cœur battant que ma femme Nadia et moi, nous nous sommes engagés sur le petit chemin, qui au travers la végétation dense mène à la petite crique à l’abri des regards indiscrets. Qu’allons-nous y découvrir. Nous avons profité de cette journée de semaine pour venir ici. Nous avons envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela va nous faire de se montrer à d’autres.
Manque de chance pour l’excitation, l’endroit est désert, mais il peut encore arriver d’autres baigneurs.
Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus. Allongés l’un à côté de l’autre, nous ne tardons pas à nous embrasser. Cet endroit même désert nous échauffe, agit sur notre libido, je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses. L’invite est sans équivoque.
– Karim Viens, prends-moi, fais-le moi !
– t’es folle et si on vient
– Il n’y a personne, mon chéri j’ai trop envie !
– Coquine l’endroit t’excite ?
– Oui, il doit y avoir plein de gens qui avant nous l’ont fait ici.
C’est trop tentant. Allongé sur ma petite femme, je la baise lentement. Nadia sous moi ferme les yeux. Moi aussi cela m’excite de faire çà ici.
Tout en limant, je regarde autour de nous. Merde, là, à quelques dizaines de mètres, à demi caché dans les rochers, un homme, un pêcheur nous observe. Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l’œil. Voyant que je ne réagis pas à sa présence, il en profite.
Sous moi, Nadia geint doucement à mes poussées. Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour. Elle bouge sous moi, remue son petit cul et l’autre se régale. La situation m’excite. Le cochon doit bander, sans doute se branler.
– Ma puce !
– Quoi ?
– un type est là bas dans les rochers et nous regarde.
– Il nous voit ?
– Oui !
– On fait quoi ?
– Rien ma puce, il mâte et alors. Cela m’excite, pas toi, il nous regarde baiser?
– Cochon….
– Ça ne t’excite pas ?
– Euh….. !!
– Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ?
– Oui……mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ?
– Oui, ma chérie, tu es belle ma petite femme, il en profite. Je crois qu’il se branle.
– T’es sûr. Il se caresse en me regardant.
– Oui….
Sous moi, ma petite femme s’anime de plus en plus. Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.
– Dis, il doit avoir une grosse queue noire.
– Oui ma chérie, il bande et s’imagine au fond de toi en se caressant son zob. Il te baise en rêve le cochon.
– Il s’imagine qu’il me baise !
– Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, il a envie de te baiser, de te mettre sa grosse queue dans ta petite chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre en toi….Tu aimes qu’il te voit, qu’il voit ton petit cul, ta chatte!
– oh Ouiiiiii ; Oh ouiiiii ! Sa bite, sa grosse bite noire !!!!!
– Tu as envie de sa queue, qu’il te la mettre et te baise devant moi, j’ai envie moi !
– T’es fou !
– Non ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une grosse queue?
– Je ne sais pas. Et toi tu veux. Tu ne vas pas être jaloux s’il vient me le faire?
– Oui, un peu mais c’est tellement excitant. Tu te souviens avec Omar quand nous étions gamins.
– Oui il voulait me baiser devant toi. Il en avait une bien plus grosse, mais il ne savait pas comment me la mettre. Il n’a pas pu l’entrer
– Lui il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous.
– OUI, je sais, je dis çà. Dis, il nous regarde encore? Je ne le vois pas.
– Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu’on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ?
– T’es fou!
– C’est l’occasion ma puce, on se connait pas, après on le reverra plus. J’ai envie de te voir avec un autre.
– Oui, oui vas y, après tout tu as raison, personne ne nous connait ici. Rien qu’une fois pour voir comment c’est. Je veux bien mon amour puisque que tu en as envie.
– Toi aussi?
– Quoi?
– Tu as envie qu’il te baisse?
– Oui….mais tu ne seras pas jaloux après?
– Non, promis ma chérie, promis, ça va être si bon de le voir sur toi. De te voir jouir sous lui.
– Bon, dis lui…..
De la tête tout en besognant ma petite femme, je fais signe au pêcheur. Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation sort de derrière ses rochers. C’est un homme de moyenne corpulence, assez petit. Nadia l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.
– Chéri c’est fou ! J’ai peur !
– Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.
L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif. Je lui souris tourné vers lui, Nadia aussi mais timidement. Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa petite chatte.
– Bonjour.
Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gène. Si nous ne disons rien, il va repartir. Alors je me lance.
– Elle te plait?
– Oui!
– Tu nous regardais baiser?
– Euh…Oui! J’ai vu que tu voulais bien, tu ne m’as pas fait signe de partir.
– Elle est belle ma femme, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans
Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short. Ma femme aussi le voit et a les yeux fixés dessus. Cela encourage notre nouvel ami.
– Oui ! Oh oui elle est belle. C’est ta femme ?
– Oui. Elle a envie de …………, enfin tu comprends…….avec toi.
– baiser avec moi ?
– Oui ! Tu veux ?
– Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une aussi belle femme !
– Viens ! Mets-toi sur elle, prends-la, elle a envie de ta grosse queue !
Je me suis relevé, lui laissant la place. Nadia consentante a gardé les cuisses ouvertes, lui explose sa chatte avec impudence.
– Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Nadia et toi ?
– Ali, t’es belle, tu as une belle chatte!
– Ton zob est gros, bien plus gros que celui de mon mari, mets-le moi doucement, viens !
Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses. Il baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie. J’espère qu’elle va bien jouir. Car avec moi c’est rare.
– Oh ! Elle est belle, bien grosse, mets la doucement mon chéri, ma petite chatte n’est pas habituée à une si belle.
Ma femme me regarde alors que l’homme se couche sur elle. D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qu’il se guide. Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Pour l’aider, Nadia ouvre largement ses jambes. Elle m’a tendu sa main et je la prends dans la mienne.
Elle me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente et se place devant l’entrée de son petit vagin. Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa main serre fort la mienne. D’une brève poussée, l’homme vient de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes. Puis le mâle pousse encore et la tige noueuse s’enfonce. Nadia pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer à la dimension de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros zob qui la prend, s’anime. Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche. Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle.
Ils baisent. Sont l’un à l’autre, moi je ne compte plus. Moi je regarde et je bande. Je bande comme jamais cela ne m’est arrivé.
Les grosses fesses noires, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Ma femme geint à chacune des poussées de l’homme. Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.
La tête nichée dans le creux de l’épaule de cet homme, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.
Nous sommes seuls sur la plage tous les trois. A part le bruit des vagues frappant le récif, je n’entends que le bruits des deux corps qui se frottent, se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la baise maintenant depuis plus de dix minutes.
Je vois le gros zob brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de ma petite épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.
Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés L’homme accélère ses pénétrations. Ils vont jouir.
Un long cri de femme comblée, le corps de Nadia s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou. Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son cri de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent dans le ventre de ma femme.
Sans me toucher, j’ai joui dans le sable chaud tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme.
Ils sont resté enlacés. Lui au fond elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes. Puis je les ai vus se regarder et ma petite femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long. J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce que nous avons fait ce jour là. Jamais nous n’avons osé recommencer.
Quand l’homme repu de ma petite femme, après l’avoir prise une seconde fois et un dernier baiser s’est relevé, il est parti sans se retourner.
Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et enlacés, avons regagné notre voiture. Chez nous, dans notre lit, nous avons fait l’amour.
Longtemps après, par la suite, quand ma femme abandonnée sous moi arquait son petit corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer « Oh Ali ! Ouiiii, Ouii ; encore mon chéri !!! »
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