jeune femme de 38 ans, j ai pour habitude les apres midis de beau temps de me rendre sur une plage isolée (?) du Loiret, ou mon corps nu profite des rayons d été. En general, je me retire derriere un bosquet pour eviter d etre vue.Allongée, nue sous le soleil, je profite de ces instants de liberté, et me laisse aller a des caresses ,, entre mes cuisses,perduadée que l on ne me voit pas.Jusqu a ce jour, ou sans les voir, je m etais installée pres d un autre bosquet, d ou j entendais de petits bruits de voix masculines. Is devaient etre a cinq metres au plus, mais ne les voyais pas.D abord anxieuse j evitais de promnener mes mains sur mon corps, j etais trop tendue, et ne faisait pas de bruit.Parfois on entendait des sons, pluis plus rien.
Doucement, je me levai pour contourner ce bosquet, sans faire de bruit, je passai bien au large, evitant de faire des clapotis dans l eau, et devinant qu ils ne devaient plus etre bien loin, j avancais a tatons vers le bruit plus perceptible. Je m agenouillai derriere un bosquet plus imposant et risquai un oeil ;deux jeunes hommes, la vingtaine etaient allongée, nus, sur une seule couveture, s embrassant tendrement. Leurs mains glissaient sur le membre de l autre, leurs corps parcourus de frissons.Le plus petit se degagea pour s agenouiller entre les cuisses de son ami, portant sa verge a sa bouche. Voulant plus en voir, j ecartai les branches, et ce bruit les fit sursauter. Ils me virent, penaude et genéé. A part m excuser, je ne sais que dire.Ils me fixerent et le plus grand me demanda : »comme ca, on mate les garcons? » J etais sans voix, mais continuais de les regarder, comme tetanisée. Le meme poursuivit « Vous pouvez rester avec nous, si vous désirez.Qu est ce qu il m a pris de dire oui, alors que je voualis dire non. La suite demain
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