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Ma fille,ma baiseuse.

Ma fille,ma baiseuse.



Ce matin la, je m’étais levé de bonne heure,depuis quelque temps j’avais des difficultés à dormir et j’étais éveillé très tôt.

Je me rendis sans trop faire de bruit, Fabienne ma fille de 18 ans dormait encore; j’étais divorcé et lorsqu’elle avait eu ses 18 ans elle était venue vivre avec moi, à la salle de bain afin de procéder à mes ablutions.
Ma fille est une jolie métisse sa mère est d’origine Indienne.Elle a de longs cheveux noirs,de grands yeux de braise étirés en amande,légèrement bridés.Elle est assez grande,menue avec de longues jambes,un joli petit cul bien bombé,des petits seins qui pointent sous ses pulls et je dois avouer que depuis déjà quelque temps je fantasme sur elle.Il m’est même arrivé de me masturber en pensant à son sexe que je devine bien étroit sous sa petite culotte.
Un soir j’ai même fait l’amour à une prostituée que j’avais choisit à cause de sa ressemblance avec Fabienne et j’ai joui en m’imaginant que c’était ma fille que j’honorais.

Lorsque j’entrai dans la salle de bain mon regard tomba immédiatement sur la petite culotte de ma fille que celle-ci avait déposée dans le panier à linge sale.Je ne pus résister.Je m’emparai du slip féminin et le portai à mes narines.Les odeurs intimes émanant du divin sous-vêtement emplirent mes poumons.
« Quel fumet » ne puis -je m’empêcher de dire à voix haute.Cela sentait l’urine,la mouille et d’autre senteurs encore venant du vagin de mon enfant.

Je bandais violemment.M’enfermant dans la salle de bain je commençais à me branler en reniflant longuement les dessous de Fabienne.Je l’imaginai nue devant moi et je la baisais, sa jolie et douce petite chatte de tendre salope enserrait ma pine.Je sentais la chaleur, la moiteur de sa moule.Je ne pus me retenir,sentant que j’allais éjaculer je me recouvris la bite du slip de ma fille et je jouis plusieurs longues giclées de sperme dans la culotte de la belle.Après m’être bien essuyé la queue dans le sous-vêtement je remis celui-ci, désormais souillé par mon foutre, dans le panier de linge sale.

Ayant terminé ma toilette, je sortis et me rendis à la cuisine afin de me préparer un café.Quelques minutes plus tard ma fille vint me rejoindre.Nous prîmes notre petit-déjeuner ensemble puis elle alla à son tour faire sa toilette et se vêtir.Nous avions prévu ce matin la,après avoir fait quelques emplettes,de déjeuner le midi dans un restaurant du centre-ville.

Lorsqu’elle me rejoignit sa toilette terminée,elle était resplendissante.Vêtue d’une mini-jupe noire qui moulait admirablement ses formes,d’un très joli chemisier aux couleurs chatoyantes,ses jambes étaient gainées dans des bas de soie noire.Je la vis se chausser d’une paire d’escarpins à talons aiguilles.Je la trouvais incroyablement belle et j’étais fier de pouvoir me promener avec une telle beauté à mes bras.

Nous passâmes une fort agréable journée.Le temps était magnifique.Il faisait chaud.L’après-midi nous flânâmes dans les rues Rouennaise.L’aître Saint-Maclou,ce lieu empreint de silence,à l’écart de la vaine agitation humaine et où même le temps se recueille nous offrit une halte agréable de fraîcheur et de méditation.Nous allâmes,un peu plus tard,prendre un verre chez Paul sur la place de la cathédrale.La tête me tournait quelque peu et ce n’était pas dû qu’au vin jaune que je dégustais à la terrasse de cette institution Rouennaise,la chaleur de cette journéee d’été naissant,l’animation des rues de la métropole seinomarine et la beauté diaphane de ma fille me grisait.J’étais heureux.Nous rentrâmes à mon appartement vers 19 heure.Nous dînames puis nous nous installâmes sur le divan face à la télévision.Ma belle Fabienne vint se blottir près de moi, je la serrais dans mes bras et lui déposais un fragile baîser sur sa joue à la couleur et au goût de miel.Le charme continuait d’agir.

Le film que nous regardions n’était guère passionnant.A un certain moment mon portable se mit à sonner,c’était un ami qui m’appelait pour me demander des nouvelles,je me levais et partit dans ma chambre afin de lui répondre tranquillement.Lorsque je revins une quinzaine de minutes plus tard, je trouvais ma fille en train de regarder un film pornographique, je m’étais en effet abonné à une chaîne cablée spécialisée dans ce genre de programmes et en jouant avec la télécommande ma douce enfant était tombée,par le plus pur des hasards,du moins j’aime à le penser,sur ce spectacle classé x.Je revins prendre ma place près de ma petite chérie et à nouveau l’enlaçait tendrement.Elle posa sa tête sur mon épaule.Sur l’écran,un vieux monsieur,septuagénaire peut être,se faisait avec application et talent sucer le sexe par une ravissante jeune asiatique.

J’avais toujours eu un faible pour les femmes d’Asie,le vieux gémissait sous la tendre caresse buccale que lui prodiguait sa partenaire.La scène se déroulait dans une sorte de boxon à Chinoises.D’autres filles venues de l’empire du milieu satisfaisaient, moyennant rémunération,les pires turpitudes sexuelles de leurs clients.Je me rendis compte que j’avais une érection.Obnubilé par l’action qui se déroulait devant moi j’entendis soudain ma fille me dire:

« Papa,tu es un gros cochon je ne savais pas que tu regardais ce genre de films et puis tu as une sacré bosse dans ton pantalon. »

Gêné,je devins tout rouge et tentais de cacher la grosseur qui bosselait mon entrejambe aux regards de ma petite.Je pris la télécommande et voulus changer la chaîne.

« Oh papa,non.S’il te plait,tu sais je ne suis plus un bébé et des films porno j’en ai déjà vu et puis toi tu bandes et moi je mouille,alors je t’en prie laisse le film se dérouler. »

Tout en me disant cela,elle avait glissé sa main au niveau de mon sexe et me branlait à travers le pantalon.Je fermais les yeux et gémis quelque peu.C’était bon.Je rouvris les yeux lorsque je sentis que ma fille me débraguettais.Elle dégagea ma bite et mes grosses couilles velues et entreprit de me l’avaler consciencieusement.Ma fille me suçait la bite.

« Ah,oui,bouffe la bien,mange moi la quéquette,ah salope qu’est ce que c’est bon.Ah,oui,petite pute je vais te donner mon sperme,tu vas manger,tu vas boire le sperme qui t’a donné la vie.Suce fort petite salope,shampouine moi bien le gland,têtes moi bien le bout,oui je vais t’arroser petite putain. »

Mon attention fut à nouveau attirée par l’écran,le vieux gueulait plus fort maintenant et je compris qu’il allait cracher le morceau.Effectivement,se saisissant de son zob il déchargea plusieurs giclées de foutre sur la gueule de la pute Chinoise.Je sentis alors qu’a mon tour j’allais jouir.Je hurlais à ma fille:

« Oui, je vais jouir,fais moi jouir en même temps que ce vieux salaud sur l’écran,oui,oui,salope,ah,ça y est je jouis,c’est bon,c’est fort,avale tout,avale tout salope.Ah, je jouis,je jouis. »

Le plaisir était intense,je n’en revenais pas, je venais d’éjaculer dans la bouche de mon enfant et celle-ci avait avalé tout mon sperme.Elle me nettoyait maintenant la queue de ses douces lèvres.Je relevais ma fille et l’embrassais longuement,nos langues se mêlérent en un doux baiser.Je coupais la télé et entrainais ma fille dans sa chambre.Je voulais la fourrer désormais et elle le souhaitait aussi mais je voulais la prendre dans son lit à elle.

Nous nous déshabillâmes et je la rejoignis dans sa couche.Je lui têtais quelque peu sa petite paire de nichons,la faisant gémir à son tour,ma main s’égara alors au niveau de sa petite chatte que je découvris toute épilée et toute trempée.je la doigtais légèrement.Photos

« Je suis encore vierge. »l’entendis-je alors me murmurer.

Je me glissais entre ses cuisses et commençais à lui sucer le trou d’amour et le délicat petit clitoris qui bandait fort.Il n’était d’ailleurs pas le seul.L’odeur de la moule de ma fille me rendait fou.N’y tenant plus, j’entrepris de la pénétrer.Je frottais ma bite à l’entrée du vagin odoriférant et mouillé de la belle.Elle gémissait de plus belle.Je poussais alors ma pine à l’intérieur de la gaîne étroite qu’était le vagin de ma fille.Elle poussa un petit cri lorsque son pucelage sauta.Je la limai accroché à son cul.C’était bon,ma bite enserrée dans le con exigu de ma fille,trempant dans sa mouille,ma bite bien au chaud dans le ventre de ma fille.

« Papa,papa,c’est bon,elle est bonne ta bite,elle est grosse en moi.Ah oui, tu me ramones fort la moule.Papa, je vais jouir, je vais avoir un orgasme.C’est bon, papa, je t’aime. »

« Moi aussi, ma chérie je t’aime, je n’en peux plus, je vais jouir moi aussi. »
« Jouis en moi papa, je t’en prie jouis dans mon ventre,je veux ton sperme en moi, je veux que tu me fasses un enfant.Je veux être enceinte de toi,je veux porter mon fils et mon frère en même temps.je veux que tu puisses me sauter lorsque je serai grosse de toi.Papa,jouis en moi. »

« Oui, ma chérie je vais jouir dans ton sexe.je ne peux plus me retenir maintenant.Oh,mon dieu,Je jouis, ah je jouis.Tout,tout dans ma fille.Je t’arrose, j’arrose mon enfant.Ah, qu’est ce que c’est bon,ah ma chérie qu’est ce que je t’aime, tu es ma baiseuse,ma pute à moi,rien qu’à moi et moi je suis ton baiseur,ton maquereau,je vais faire de toi ma chose,mon objet sexuel.Tu vas voir je vais t’apprendre le cul.Tu baiseras avec des femmes mais aussi,c’est un fantasme très présent en moi,avec des animaux. »

Nous nous enlaçames et je l’embrassais à nouveau.Nous nous endormîmes serrés l’un contre l’autre berçés par des rêves érotiques dans lesquelles ma fille me servait de vide-couilles,à moi ainsi qu’à tous ceux à qui je voulais bien l’offrir.Elle songeait à ses futurs accouplements hétérosexuels mais aussi lesbiens et surtout,surtout aux grosses pines de chiens et autres étalons à couilles pleines qu’elle souhaitait vidanger en elle.

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