J’étais rongé par les doutes et le remords. Cela faisait trois jours que Sandrine était maintenue prisonnière dans la panic room. Je n’étais pas encore allé la voir. Il y avait le minimum vital à sa disposition à l’interieur. J’étais sorti avec son téléphone portable juste après l’avoir enfermée, qui se trouvait dans son sac à main, et j’avais jeté la carte SIM en pleine ville. Mon père ne m’avait pas contacté. Je me demande si elle lui avait dit qu’elle venait chez moi.
Je reçus un appel de la police dans la matinée. Ils me demandèrent si j’avais vu recemment Sandrine, et quelle était la nature des paiements que je lui avais fait. J’avais retrouvé le contrat de travail dans son sac à main. Je racontais donc que j’avais voulu l’aider financièrement, car elle avait des problèmes avec des huissiers. J’ajoutais qu’elle avait également un mal de vivre, et qu’elle parlait souvent de quitter la ville.
Je savais que ce qui était en train de se passer était grave. Qu’au moindre écart, à la moindre trahison dans mes propos, je risquais gros. J’en voulais terriblement à Sandrine de s’être à ce point incrustée dans ma vie.
Je fermais la porte de mon bureau à clé, je déplaçais la bibliothèque, et appuya sur le bouton de la porte de la panic room. La lourde porte métalique glissa sur le coté, et je vis Sandrine, en train de se dresser doucement sur le matelas. Elle était décoiffée, et avait le regard hagard.
– Ne bouge pas, dis-je doucement.
Elle continua de se lever pour venir vers moi. Je rappuyais sur le bouton. La porte glissa sur le coté pour se refermer. Sandrine fit une grimace, me regarda avec effroi :
– Je reviendrai dans 3 jours. J’espère que tu m’écouteras cette fois là.
Une fois la porte fermée, je remis la bibliothèque en place. Il n’y avait pas de camera dans la panic room, je ne pouvais donc pas du tout la surveiller. La seule chose qui était certain, c’est qu’elle ne pouvait pas en sortir, et qu’elle y avait un minimum de confort, avec un matelas, des toilettes, et quelques denrées alimentaires.
Le soir venu, je reçu quelques mails de ma soeur. Je n’avais pas la tête à lui répondre, la nouvelle situation n’était pas sereine. Je n’arrêtais pas de penser à Sandrine, coincée dans cette pièce de 4m sur 4. Je réfléchissais sans cesse à comment appréhender au mieux la situation.
Vers minuit, je vis, par le biais de mes cameras, ma mère rentrer à la maison, après une soirée passée au cinéma avec un ami. Je la regardais se mettre à l’aise, ouvrir son lit, puis entrer dans la salle de bain pour se déshabiller. Je me masturbais en la regardant retirer sa culotte et son soutien-gorge. J’étais frustré de ne voir sa chatte qu’une minute, elle s’enfila presque aussitôt une chemise de nuit. Du coup, je consultais les fichiers vidéos que j’avais enregistré, du passage de différents compagnons dans sa chambre. Je me masturbais fort en regardant ma mère sucer Christophe, qui était à la base un ancien collaborateur de mon père quand il avait son entreprise. Je prenais la vidéo un peu plus loin dans le temps, Christophe était en train d’enculer ma mère avec vigueur. Il était endurant. Ma mère se montrait complètement soumise, le laissait faire en se tournant vers lui de temps en temps pour le regarder.
J’étais en colère contre Sandrine. Cette tension ne retombait pas. Tout allait si bien avant son intrusion dans ma vie. Le lendemain, mon père me passa un coup de fil. C’était inédit. Il était vraiment inquiet par rapport à la disparition de sa compagne, il me demanda de lui répèter ce que j’avais dit à la police. Il me dit que la fille de Sandrine était chez lui, qu’elle était également très inquiète. Il fut très surpris en apprenant que je lui avais donné de l’argent.
– C’était pour vous aider… Elle était venu me voir vraiment désespérée.
– Vraiment ? fit mon père. Mais pourquoi ? Elle a remboursé presque toutes mes dettes. Elle m’avait juste dit qu’elle avait eu une opportunité financière. J’ignorai que c’était toi.
– Je lui avais confié une belle somme d’argent. J’ai peut etre eu tord. J’ai le sentiment qu’elle cherchait à quitter la ville…
– Mais pourquoi elle ne contacte pas sa fille ?
– Elle a peut etre honte. Elle va sans doute ressurgir dans quelques temps pour s’expliquer.
– Elle aurait pris le large alors ?, fit une voix féminine au loin. Mon père lui répondit qu’il ne savait pas, qu’il ne comprenait pas.
Le sixième jour de son enfermement, je décidais d’ouvrir à nouveau la lourde porte métalique. Il n’y avait aucune horloge ni repère temporel à l’interieur de l’abri. Sandrine était allongée sur le matelas, en train de dormir. Il y avait quelques déchets sur le sol, que j’enlevais doucement, et je lui posais de nouvelles denrées alimentaires (quelques fruits, des tranches de jambon, du fromage essentiellement). Sandrine ouvrit les yeux et me regarda. Je pus voir de la haine, ainsi que de la crainte, dans son regard. Tandis qu’elle commençait à se lever, je fis un pas en arrière et posais mon doigt sur le bouton de fermeture. Elle se stoppa net.
– Si tu ne fais pas précisemment ce que je te demande, si tu n’es pas sage, si tu tentes quoi que ce soit, je referme cette porte pour trois jours.
Sandrine ne bougea pas. Elle ne dit rien. Elle hocha simplement la tête, tout doucement.
– Je t’ai apporté à manger et à boire. Tu veux te laver ?
Sandrine hocha à nouveau la tête.
– Deshabille toi.
Lentement, docilement, Sandrine retira son chemisier, le déboutonnant en tremblant un peu, puis retira son pantalon. Elle me fit face, en soutien gorge et en culotte.
– Enlève tout, je vais te laver tes affaires.
Elle retira ses sous-vêtements sous mon regard contemplateur. Je lui demandais de mettre ses vetements en boule et de les jeter dans mon bureau. Elle s’executa. Le linge tomba au sol à mes pieds. Je ramassais sa culotte blanche en dentelles. Elle l’avait gardé six jours, elle était maculée de traces diverses, et avait une forte odeur de chatte. Je regardais Sandrine en mettant sa culotte au niveau des mes narines.
– Ta chatte…
Elle ne bougea pas, me regardant sentir l’interieur de sa culotte, et la regarder sous différents angles.
– Touche toi la chatte…
Doucement, Sandrine approcha sa main de sa touffe, et passa son doigt dedans, jusqu’à sa fente.
– Glisse le dedans…
Sandrine fit entrer son doigt dans sa fente, attendit un peu, puis me regarda et le ressortit.
– Agite le dedans…
Sandrine replongea son doigt à l’interieur, et le fit aller et venir. Je la regardais obéir docilement avec délice.
– Encore… Applique toi… Je veux entendre le son de ta mouille.
Sandrine continuait de faire glisser son doigt en elle. Il fallut quelques instants pour commencer à entendre un petit bruit mouillé à chaque fois qu’elle glissait dans sa fente. Je la regardais dans les yeux. Génée, elle regarda ailleurs.
– Approche.
Sandrine fit quelques pas, sortit de la panic room, et se retrouva dans le bureau, juste en face de moi. Elle regarda un peu autour d’elle.
– Ne pense pas un instant à partir. Toutes les portes sont fermées. Et si tu envisages quoi que ce soit, ce n’est pas trois jours, mais un mois, que je te laisse dans la pièce sans sortir. Tu as compris ?
Sandrine semblait hagard. Le temps passé dans la panic room l’avait vraiment désorientée. Elle put voir qu’il faisait jour. Elle remarqua que j’avais installé de nouveaux verrous, et que j’avais fait poser un capitonnage d’insonorisation dans la pièce.
– Nous sommes quel jour ? demanda t-elle.
– Ton doigt… Mets le dans ma bouche maintenant.
Sandrine leva sa main doucement. Elle amena son doigt vers ma bouche. Il glissa entre mes lèvres, et mes papilles furent envahies par un gout fort et apre, mélange de sécrétions, d’urine, et de manque d’hygiène.
– Tu devrais gouter…
Sandrine amena doucement son doigt vers sa bouche. Elle le suça, et ne montra aucune réaction particulière.
– Dis moi ce que tu vois sur la table.
Elle jeta un oeil. Elle put voir un masque de sommeil ainsi qu’une boite de boules Kyes. Elle énumera les objets. Durant ce temps, je m’étais penché, et lui avait attaché une menotte aux chevilles, suffisament longue pour marcher, mais rendant la course impossible.
– Si tu te montres sage, je te laisserai sortir de la pièce tous les jours. Tu me serviras. En fonction de ce que tu auras à faire, je te dirai de mettre le masque, ou les boules Kyes. Parfois tu auras les deux. Mais dans tous les cas, dès que tu sortiras de la pièce, un de tes sens sera inactif. Tous n’auras tes cinq sens que dans la pièce.
– Pourquoi ? demanda t-elle.
J’attrapais doucement son mamelon droit, et me mit à pincer fort. Quand elle grimaça, je me mis à serrer de toutes mes forces, elle poussa un long cri. Je lachais son mamelon, et donna trois giffles sur son sein.
– Ca tu vois, ce n’est vraiment pas la question à poser. Tu as compris ?
Sandrine haletait, la douleur toujours présente, et se redressait doucement.
– Peut etre que trois jours de reflexion dans la pièce te feraient du bien ?
– Non, non, fit-elle. J’ai compris.
Je fis signe à Sandrine de mettre les boules Kyes. Elle ouvrit la boite, en saisit deux, dont elle se servit pour se boucher les conduits auditif.
Je lui fis signe de se mettre dans un coin de la pièce et de ne pas bouger. Je pris un plateau, sur lequel étaient posés les ingrédients de mon petit déjeuner (pain, pate à tartiner, confiture, cereales, jus de fruit), et lui indiquait de le tenir.
Je retournais à mes écrans et regarda ce qu’il se passait dans la maison. Je regardais un moment ma mère, qui était sur son lit, en pantalon et soutien-gorge. Après presque une heure, je fis signe à Sandrine d’approcher. Elle vint vers moi avec le plateau. Je pris un bout de pain, et étala de la confiture dessus. Je vis qu’elle tremblait un peu, le plateau était lourd et elle devait commencer à tétaniser un peu, à force de le tenir sans pouvoir bouger. Assis, je regardais sa chatte sous le plateau, et tendit la main pour la toucher. Elle me laissa faire sans rien dire ni bouger. Je lui enfonçais deux doigts au fond de la fente, les fit entrer et sortir rapidement pendant quelques instants, jusqu’à avoir les doigts luisant de mouille. Je lui fis signe de retourner où elle était. Je me demandais si dans sa tête, elle imaginait des plans pour lacher le plateau et partir en courant. Où si elle se résignait, pour le moment.
Je pris mon téléphone et appela mon père. Il fut un peu surpris.
– Je t’appelle juste pour savoir si tu as du nouveau…
– Non. Manon et moi sommes de plus en plus inquiets. Je pense qu’elle est partie, effectivement… Mais pour sa fille, c’est dur.
– Elle est encore avec toi ?
– Oui, elle continue les recherches… Si ca ne donne rien d’ici la fin de la semaine, elle sera obligée de rentrer chez elle…
– Est ce que c’est possible de lui parler ?
– Oui, attends… Manon ? Mon fils aimerait te parler.
J’entendis des bruits de pas, de mouvements, et une voix féminine, assez douce, se fit entendre.
– Oui, bonjour, fit-elle d’une voix chaude.
– Bonjour, je voulais simplement vous apporter mon soutien. Si je peux vous aider d’une façon ou d’une autre.
– Oh c’est gentil, répondit-elle. J’ai fait le tour de tous les endroits qu’elle avait l’habitude de fréquenter, plus personne ne l’a vu, depuis environ 6 jours.
Je fis signe à Sandrine d’approcher et de poser le plateau. Je sortis mon sexe gonflé, et fit signe à Sandrine de venir s’empaler sur moi. Elle s’approcha, me chevaucha en me faisant face, et descendit doucement. Je plaçais ma queue contre sa chatte, et elle vint s’assoir dessus. Ma queue se retrouva au chaud, au fond de sa chatte toute sale.
– Je devrais rentrer chez moi la semaine prochaine malheureusement, j’ai un emploi et ne peux me permettre de manquer davantage.
– Si je peux vous aider financièrement, je ne sais pas, afin que vous puissiez continuer les recherches encore quelques temps. Je suis certain que vous allez trouver des pistes.
– Ohh vous feriez ça ?
Lentement, Sandrine allait et venait sur ma queue.
– Evidemment. Je pensais également engager un detective privé pour vous épauler. Il faut mettre tous les moyens en oeuvre. J’ai l’impression que la police n’avance vraiment pas sur le dossier.
– Vous n’allez pas me croire, mais l’inspecteur chargé de l’enquête a du remettre le dossier à un de ses collègues, il est parti en vacances…
– Non…
– Ca m’a désespérée… Il a du tout reprendre depuis le début…
– Ecoutez, je vais vous aider de mon mieux. Serait-il possible de se rencontrer ? Laissez moi vous inviter au restaurant, ça vous changera les idées.
– C’est vraiment volontiers !
Je fis signe à Sandrine de se lever et de venir me sucer. Elle se mit à genou devant moi et mit ma queue dans sa bouche.
– Demain soir si ça vous convient ? Je passerai vous chercher chez mon père, vers 19h. Au fait, je n’ai pas bien entendu, vous pouvez me rappeller votre prénom ?
– Je m’appelle Manon, fit elle d’une voix douce.
A ces mots, j’éjaculais dans la bouche de sa mère, et fit sortir mon sexe pour finir de lui éjaculer sur le visage.
– J’ai hate de vous rencontrer Manon, et on va tout faire pour retrouver votre mère rapidement.
Je raccrochai. Je me levais, et fit mettre le bandeau de sommeil à Sandrine. On marcha un moment ensemble. Lorsque je lui enlevis, elle se trouvait dans ma salle de bain. Je lui fis signe de se prendre une douche, et lui montrait divers savons et shampooings à sa disposition. Elle vit différents ensembles de lingeries, à sa taille, que j’avais acheté durant la semaine. C’était de la lingerie fine, de marque. Les ensembles étaient de différentes couleurs, mais tous avaient le point commun d’etre très transparents.
Lorsque je revis Sandrine vingt minutes plus tard, elle était transformée et semblait beaucoup plus détendue. Je lui remis le masque, et l’aida à marcher (ses menottes aux chevilles la génait vraiment).
Je la liberais de son masque et des boules Kyes. Elle vit qu’elle était à nouveau dans la panic room.
– Non… marmonna t-elle.
– Je reviens vite.
– Dans combien de temps ?
– Tu n’as pas à savoir. Mais en attendant, tu vas faire un devoir. Ca va t’occuper. J’ai mis un papier et un crayon par terre.
– Oui ?
– Tu vas me décrire le corps de ta fille. Je veux tout savoir. Comment est sa chatte. Comment sont ses seins. Si elle a des grains de beauté. Quel parfum elle aime porter. Son style de lingerie. Quand je reviens, je veux que tu m’ais écrit tout ça sur la feuille.
Je vis que Sandrine était un peu perdue.
– Par contre, si tu n’obéis pas, je pense que tu vas rester un long moment dans cette pièce. Que penses tu d’un mois ? Le pire… c’est que je risque de t’oublier ici… A toi de voir.
J’appuyais sur le bouton. La lourde porte de métal se referma sur elle.
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