Le bruit du tracteur quittant la ferme tira Jérémy de son sommeil. Ouvrant péniblement les yeux, le souvenir du souper de la veille lui revint en mémoire : lors de ce repas, son grand-père avait annoncé que la Mairie l’avait sollicité pour élaguer quelques arbres sur une route secondaire, et que vu le travail qu’il aurait à effectuer il en aurait certainement pour la journée. Louise lui avait promis de lui préparer un repas froid. Maurice s’était empressé de lui rappeler de ne pas oublier la topette de rouge…
Entièrement réveillé, Jérémy s’étira longuement, appréciant cet instant où tous les muscles de son corps retrouvaient leurs élasticités. Machinalement, sa main droite se glissa à l’intérieur de son pantalon de pyjama : depuis quelque temps, cela était devenu une habitude. Chaque matin, ses réveils s’accompagnaient systématiquement d’une érection. Cela avait commencé chez lui, à Lyon. Un matin, en se réveillant, il avait découvert sa verge étonnamment dure ; un véritable bâton se dressait au bas de son ventre. Or depuis qu’il se trouvait chez ses grands-parents, cela se produisait avec plus d’intensité ; son membre, lui semblait-il, avait acquis une raideur encore plus ferme. Cette transformation de sa virilité, Jérémy en devinait la cause, même s’il s’en défendait. Depuis qu’il avait découvert combien sa grand-mère pouvait être encore très sexy lorsqu’elle s’habillait normalement, sa libido d’adolescent en avait été brusquement perturbée. Un désir charnel, inconvenant vis-à-vis de sa grand-mère s’était emparé de ses jeunes sens, sans qu’il ne puisse l’en empêcher.
Depuis qu’elle lui était apparue le dimanche précédent, lors du déjeuner dominical, vêtue d’atours autrement sexy que son éternelle blouse inesthétique, Jérémy avait découvert combien sa grand-mère pouvait être encore aguichante. Les vêtements qu’elle avait choisi de porter ce jour-là avaient particulièrement mis en valeur ses formes généreuses : depuis sa lourde poitrine, ses larges hanches évasées, et surtout sa croupe large et agréablement rebondie.
Un pernicieux désir né de la découverte de ces généreux appas ne cessait de hanter Jérémy ; et cela à n’importe quels moments de la journée. Il suffisait que son regard accroche les sensuelles oscillations des seins opulents, sous la blouse qui les cachait, pour que ses sens se rappellent à lui.
Chaque soir, songeant aux aguichants appas de sa grand-mère, après une journée passée auprès de cette dernière, Jérémy devait se masturber afin de calmer ses désirs i****tueux. Et chaque matin à son réveil, il découvrait son sexe de nouveau orgueilleusement dressé au bas de son ventre. Ce mercredi matin, c’est presque machinalement que ses doigts se refermèrent autour de sa queue en érection. Les yeux clos sur des songes érotiques, Jérémy activa sa main le long de son pal de chair, se branlant lentement. Les images qui défilaient derrière ses paupières closes évoquaient des scènes terriblement suggestives, dont sa grand-mère, en sous-vêtements affriolants était l’héroïne. Imaginant un scénario où il était le metteur en scène, Jérémy agita sa main le long de sa verge dressée, bien décidé à se faire jouir avant de descendre prendre son petit-déjeuner. Mais une pensée lui traversa soudain l’esprit : puisque son grand-père était parti pour la journée, il allait se trouver seul avec sa grand-mère ! Une immense joie mêlée à une forte excitation l’envahit. Relâchant aussitôt son membre pourtant toujours aussi raide, il s’empressa de s’éjecter du lit afin de se rendre à la cuisine où il savait retrouver son inspiratrice sexuelle.
— Bonjour Mamie !
— Ho ? Jérémy !… Déjà debout mon chéri ?
— Oui, j’étais réveillé !
Comme sa grand-mère, d’un geste naturel, mais plein d’amour l’attirait à elle pour l’embrasser, Jérémy sentit avec émoi les lourdes mamelles s’écraser contre son torse nu ; n’ayant pour tout vêtement que son pantalon de pyjama.
— Papi est parti tailler les arbres de la commune, annonça Louise en repoussant doucement son petit-fils.
— Oui, j’ai entendu le tracteur, informa-t-il, ému par ce contact, hélas trop bref.
— Bien sûr, c’est lui qui t’a réveillé !… Bon ! Installe-toi, je te donne ton déjeuner…
Prenant place à table, Jérémy surveilla, intéressé, les allées et venues de sa grand-mère. Il remarqua immédiatement que la blouse dont celle-ci était vêtue était plus ajustée que d’habitude, et nettement plus courte également ; lui arrivant bien au-dessus des genoux ! Sans manches, elle comportait un large décolleté en arrondi ; ce qui étonna Jérémy, Louise l’ayant habituée à des tenues plus strictes. Victime de sa libido toujours en émoi, il ne put s’empêcher de lorgner discrètement les doubles protubérances qui saillaient au niveau de la poitrine. La blouse étroite se plaquait contre la lourde poitrine, dessinant particulièrement les deux masses jumelles des seins. Il sembla à Jérémy que les troublants appas mammaires oscillaient étrangement à chaque mouvement que sa grand-mère effectuait. Un étrange détail attira son attention : les imposantes protubérances, qui habituellement gonflaient outrageusement le devant de la blouse, semblaient nettement moins arrogantes. Mais si elles avaient perdu de leurs superbes, elles oscillaient curieusement. Le pourquoi de cette particularité apparut soudainement à Jérémy, lui procurant un émoi sexuel qui lui empourpra les joues. Il était certain que sa grand-mère avait omis d’enfermer sa poitrine dans un quelconque soutien-gorge ; et c’était la raison pour laquelle les rondeurs mammaires se balançaient aussi mollement sous le tissu. Excité à la pensée que Louise ne portait pas de soutien-gorge, Jérémy, tout en tartinant ses biscottes de confiture, suivit d’un œil discret chaque mouvement de sa grand-mère, lorgnant plus particulièrement le doux ballottement des seins volumineux, libre de toute entrave.
A un moment, Louise pivota pour retirer la cafetière fumante de son socle. Jérémy eut alors le spectacle de l’évasement sensuel des hanches et la rondeur attrayante de la croupe, que la blouse ajustée ne pouvait vraiment atténuer. Bouleversé par ce qu’il découvrait, Jérémy sentit son membre viril se redresser inexorablement à l’abri de son pantalon de pyjama.
— Tiens mon chéri, mange !… Sers-toi bien en tartines, conseilla Louise en versant le café fumant.
Quand sa grand-mère se pencha pour le servir, Jérémy ne put empêcher son regard de plonger dans l’échancrure de la blouse. Saisi d’un trouble incontrôlable, il lui sembla avoir aperçu le temps d’un éclair, le dôme de chair blanc d’un des seins. Si rapide fut la vision, Jérémy avait pu quand même constater que son impression première était vraie : le sein laiteux était bien libre de tout soutien. Sous le coup de l’émotion, il sentit une intense chaleur lui envahir le visage. Cette vision, même furtive, du sein qui lui était apparu, affolait sa libido toujours prête à s’enflammer.
Inconsciente du trouble sexuel qu’elle créait chez son petit-fils, Louise s’en retourna à ses tâches ménagères. Or tout en s’activant à ces différentes besognes, elle ne pouvait empêcher ses pensées de vagabonder, imaginant avec émotion les heures à venir. En cette journée, le destin s’était montré particulièrement bienveillant. Maurice se trouvait absent de la ferme, le jour où Julien le fromager et amant depuis deux mois, venait s’approvisionner. Elle échafaudait ce qui allait être les moments où ils se retrouveraient Julien et elle. D’habitude, elle s’arrangeait pour entrainer le jeune homme dans un endroit discret, loin de la présence de Maurice.
Mais du fait du risque d’être surpris, leur rapports sexuels ne durait guère plus de quelques minutes ; suffisamment pour que Julien se vide les couilles de son trop-plein de sperme. Mais Louise s’en trouvait toujours un peu lésée, même si à sentir la verge cracher sa semence dans son vagin lui procurait un réel plaisir : elle n’en ressentait pas cette jouissance qu’elle en espérait. Or ce matin, profitant de l’absence de Maurice, elle avait bien l’intention de forcer son jeune amant à la faire jouir un maximum ; l’obliger à ratt****r les nombreuses fois où il l’avait laissé sur sa faim. Et pour cette raison elle avait choisi de se vêtir de cette blouse particulièrement étroite, qui mettait en valeur ses généreux appas. Ce ne pouvait qu’exciter le jeune homme, surtout lorsqu’il découvrirait que sous cette blouse elle était entièrement nue ; qu’aucun sous-vêtement ne protégeait, ni ses seins volumineux, ni sa chatte poilue…
Seule ombre à cet idyllique projet, s’il en existait une : la présence de Jérémy. Mais là aussi Louise avait un plan pour tenir éloigné son petit-fils.
— Monsieur Louvin vient ce matin pour m’acheter son lot de fromages, annonça-t-elle à l’adolescent… Cela risque de durer un certain temps… Tu vas être seul une bonne partie de la matinée puisque ton grand-père n’est pas là…
— Ce n’est pas grave Mamie, je regarderai la télé ou je lirai…
— C’est bien mon chéri, mais finis ton déjeuner, puis tu iras faire ta toilette… Je risque de ne pas être là quand tu auras fini…
Quelque peu déçu de ne pas passer les heures suivantes avec sa grand-mère, Jérémy n’en continua pas moins son petit déjeuner, sans pour autant cesser de lorgner en catimini les déplacements de cette dernière. A chaque pas qu’elle effectuait, ses fesses dodues ondulaient de droite à gauche, dans un ballet particulièrement affolant pour sa libido en alerte. Le spectacle de la croupe se balançant sensuellement ne fit qu’accroitre le désir de l’adolescent. Tant et si bien que, son petit déjeuner terminé, Jérémy se trouva en proie à une formidable érection qui déforma outrageusement le devant de son pantalon de pyjama. Terriblement gêné vis-à-vis de sa grand-mère, l’adolescent n’osait se lever de sa chaise.
— Tu as eu assez mon chéri ? Veux-tu que je te fasse une autre tartine, demanda Louise, aux petits soins, ne se doutant pas du malaise érotique de son petit-fils ?
— Heu, non, merci mamie… Je n’ai plus faim.
— C’est bien vrai ?… Alors, va faire ta toilette pendant que je range la cuisine…
De plus en plus perturbé à l’idée que sa grand-mère risquait de découvrir son érection, Jérémy prit alors la décision de se lever de sa chaise et de quitter précipitamment la pièce.
Malgré la promptitude avec laquelle Jérémy avait quitté la table, Louise avait eu le temps d’apercevoir furtivement l’inconvenante bosse qui déformait le devant de son pantalon de pyjama. Si cette découverte la déconcerta quelque peu, elle la força néanmoins à s’interroger sur la raison de cette excitation sexuelle, qu’elle venait de découvrir chez son petit-fils. L’intuition qu’elle en était la responsable lui vint naturellement à l’esprit ; aussi ahurissant que cela pouvait lui paraître, elle avait provoqué un désir sexuel chez Jérémy !
Or déjà le dimanche précédent, se souvint Louise, elle avait cru percevoir cette lueur de concupiscence dans le regard de Jérémy. Et cela l’avait déjà étrangement troublé, mais elle avait mis ça sur la tenue sexy qu’elle avait adoptée ce jour-là. Mais ce matin, la blouse qui l’habillait n’avait rien d’aguichant ; même si dessous elle était nue, Jérémy ne pouvait s’en douter. Cependant la vision de cette excroissance déformant le devant du pyjama de l’adolescent, lui confirmait sa première impression : Jérémy n’était plus ce gamin qu’elle aimait cajoler. Il avait atteint son stade d’adolescent, et avec lui ses premières pulsions lubriques.
Qu’elle soit l’initiatrice des convoitises sexuelles de l’adolescent, qu’était son petit-fils, laissa Louise songeuse. Le fait qu’elle puisse à son âge, procurer, ce genre d’émoi érotique chez un garçon de quinze ans, la déconcertait. Mais en même temps, elle en ressentait un trouble étrange. Le désir qui lui échauffait le bas-ventre depuis le matin et qui la faisait mouiller s’en trouva accru.
Dès la porte de la salle d’eau refermée et verrouillée, Jérémy s’empressa de se libérer de son pantalon de pyjama, libérant son jeune membre viril bandé. Déterminé à calmer cet impétueux désir qui le travaillait, il referma sa main autour de sa queue raidie pour se branler. Dans un mouvement mis au point lors de ses nombreuses masturbations matinales, il s’appliqua à masser la collerette du gland à l’aide de la peau mobile du prépuce. Cette caresse, du fait de la sensibilité de la base du bourgeon de chair, avait le don de l’amener rapidement à la jouissance. Debout, les jambes largement écartées pour s’assurer un bon équilibre, tout en s’astiquant sensuellement la queue, Jérémy ferma les yeux sur ses fantasmes sexuels. Sous ses paupières closes, les images où les affolantes rondeurs mammaires de sa grand-mère avaient l’exclusivité défilèrent en boucles. Cette imposante poitrine qui ballotait étrangement sous la légère blouse l’excitait particulièrement. A ces yeux, sa grand-mère représentait ce modèle de femme aux appas généreux, qu’il aimait contempler sur le net le soir seul dans sa chambre : ces femmes qui offraient dans leurs mains en coupe leurs seins lourds et pansus aux larges aréoles. Que d’éjaculations, ces femelles aux énormes nichons, avaient provoqué chez l’adolescent.
Le plaisir prenant possession lentement de ses entrailles, Jérémy, pris d’une idée subite, cessa sa masturbation. Se penchant au-dessus du lavabo, il se savonna copieusement la main à l’aide du shampoing aux œufs de sa grand-mère. Lorsqu’il jugea sa main suffisamment enveloppée d’une abondante mousse blanche, il referma de nouveau ses doigts autour de sa verge toujours aussi tendue, afin de reprendre sa masturbation. Le va-et-vient de sa main savonneuse le long de sa queue se fit aussitôt plus moelleux, plus suave ; sans s’en douter, Jérémy venait de créer autour de son membre la friction qu’il aurait ressentie à l’intérieur d’une chatte trempée par le désir…
Envahi par le délectable plaisir que l’onctuosité de la mousse savonneuse procurait à sa masturbation, l’adolescent reprit le cours de ses fantasmes. Mais cette fois-ci, sa grand-mère ne portait plus de sous-vêtements. Louise lui apparaissait entièrement nue. Ces gros seins blancs se balançaient d’une manière terriblement sensuelle, affolant sa libido embrasée. Comme il aurait aimé saisir ces opulentes mamelles dans ses mains, pour les presser, les malaxer. Pouvoir sentir cette chair à l’aspect si malléable se modeler sous ses doigts. Si le sexe des femmes interpellait Jérémy, comme tout adolescent, c’était surtout leurs poitrines qui le faisaient le plus fantasmer. Et, plus les seins étaient volumineux, plus ses désirs pour cette partie de l’anatomie féminine devenaient intenses.
Cependant à imaginer ainsi les appas mammaires de sa grand-mère, tout en se branlant d’une main déterminée, Jérémy ne résista pas longtemps au plaisir que sa masturbation engendrait dans son bas-ventre. Comme statufié sur place, l’ado s’abandonna à l’orgasme libérateur. Dans un dernier réflexe, il referma vivement sa main autour de son gland qui crachait les premières salves de sperme. Le liquide séminal se mélangea alors à la mousse abondante que la masturbation avait encore accrue.
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Lorsque Jérémy, vêtu d’une chemisette et d’un short, se présenta dans la salle à manger de la ferme, Louise, sa grand-mère, comme elle le lui avait annoncé était absente. Après avoir longuement réfléchi à ce qu’il allait faire de son temps, il décida d’aller rejoindre ce refuge qu’il s’était approprié depuis son arrivée. Il se saisit d’une revue que sa grand-mère recevait par la poste avant de se rendre dans son abri. Traversant la cour de la ferme, il jeta un regard en direction du laboratoire où s’affinaient les fromages de chèvre. La camionnette du fromager s’y trouvait garée : ce dernier devait se trouver à l’intérieur en compagnie de sa grand-mère pour récupérer sa commande.
Jérémy eut tôt fait d’atteindre l’escalier extérieur de la grange, qu’il emprunta pour atteindre le premier étage du bâtiment où son grand-père stockait le foin pour les chèvres. S’allongeant dans l’herbe aux senteurs si particulières, il se plongea dans la lecture de la revue qu’il avait amenée.
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Amorçant la dernière ligne droite avant ferme où il devait prendre sa commande, Julien songeait avec émotion aux instants qu’il allait vivre une fois arrivé. Louise, la fermière qui lui réservait une partie de sa fabrication à un prix extrêmement avantageux, était devenue sa maîtresse depuis deux mois.
Dès sa première rencontre avec la productrice de fromages, Julien avait ressenti une forte attirance pour cette dernière. Bien que plus âgée que lui ; il lui avait à l’époque donnée plus de cinquante ans, alors que lui n’en avait que trente-deux, il avait été fasciné par la sensualité qui se dégageait de cette femme. D’abord son visage rond qu’aucune ne ride ne venait altérer, reflétait une extrême douceur, douceur qui était encore accentuée par d’immenses yeux d’un bleu clair. Sous un nez aux narines dilatées, la bouche s’ornait de deux lèvres pulpeuses : « Une bouche à faire des pipes, avait immédiatement songé Julien » rêveur. Lorsqu’elle souriait, la fermière laissait échapper l’extrémité de sa langue entre ses dents, ce qui lui donnait, sans qu’elle ne s’en doute, une expression terriblement lubrique.
Mais ce qui avait surtout attiré le regard de Julien ce jour-là, avait été les hanches rondes et larges, que la blouse qui les recouvrait ne parvenait pas à en dissimuler les formes généreuses. Lorsque la fermière lui avait tourné le dos afin de lui présenter sa marchandise, Julien avait été ébahi par la vision de la croupe de cette dernière, ample et agréablement rebondie, elle tendait le tissu de la blouse qui se plaquait avec une précision extrême sur les rotondités fessières. « Putain, quel cul ! », avait été la pensée de Julien. Lorsque la femme s’était plié en avant pour prendre une cagette pleine de fromage, sa blouse se plaqua encore plus étroitement sur son affolant derrière. Les contours de la culotte apparurent en relief aux yeux extasiés de Julien. L’esprit, toujours à l’affut de scènes grivoises, le jeune homme s’était immédiatement imaginé la sensuelle fermière à quatre pattes, s’offrant pour une pénétration dite en levrette… Ou même pour une sodomie !… Quel spectacle cela devait être, avait-il fantasmé.
Excité par les généreux appas que la fermière lui offrait à son insu, Julien avait alors décidé de tenter sa chance. Il l’avait dragué avec beaucoup de patience et de sourires complices, ne ménageant pas les compliments pour la moindre des choses. Or à sa surprise, Louise, puisque c’est ainsi qu’elle s’était présentée, Non seulement accepta ses avances avec bienveillance, mais au bout de la deuxième semaine elle y avait répondu en s’offrant à lui, dans le laboratoire même où elle préparait ses fromages.
A sa grande surprise, Julien avait découvert que la femme à l’allure si douce et si réservée se transformait en véritable obsédée sexuelle lors de leurs ébats sexuels. A peine se trouvait-elle empalée sur son membre, qu’elle se déchainait, s’agitant et se cambrant, véritable femelle en transe érotique. Mais ce qui l’avait également stupéfié avait été le langage d’une étonnante obscénité, qu’elle avait employé pendant tout le temps de leurs ébats. Pendant tout le temps qu’avait duré leur accouplement, Louise avait égrené des encouragements d’une rare trivialité.
A l’évocation des moments de luxure qu’il escomptait passer en compagnie de sa volcanique maîtresse, Julien, alors qu’il stoppait sa camionnette dans la cour de la ferme, se rendit compte qu’il bandait comme un âne. Apercevant Louise qui l’attendait à la porte du laboratoire, il s’empressa d’aller la rejoindre, jetant quand même un regard interrogateur aux alentours cherchant à déceler la présence du mari.
Voyant la voiture de Julien pénétrer dans la cour de la ferme, Louise sentit son cœur s’emballer. Enfin, il était là ! Elle n’avait pu s’empêcher de craindre qu’il ne vienne pas, suite à un impondérable, ce qui aurait été une catastrophe pour ses sens en ébullitions. Lorsque Julien s’éjecta de sa fourgonnette pour se diriger dans sa direction, Louise sentit un embrasement soudain de ses entrailles. Dans un réflexe féminin, elle resserra ses cuisses, comprimant sa vulve d’où suintait une source venue du fond de son vagin en émoi. A peine le jeune homme l’eut-il rejoint, que Louise dans un élan plein d’une fougue érotique se jeta à son cou :
— Enfin te voilà, mon bel étalon !… J’ai tellement eu peur que tu ne viennes pas !… Embrasse-moi !…
Mais avant que Julien ne s’exécute, rendue impatiente par l’attente, Louise avait déjà posé ses lèvres contre celles de son jeune amant. Et c’est elle qui prenant l’initiative, força la bouche du jeune homme d’une langue vive et experte. Dans un océan de salive parfumée, les langues des deux amants entamèrent un ballet minutieusement réglé ; se cherchant pour aussitôt se repousser, pour de nouveau se retrouver et s’accrocher l’une à l’autre.
Tentant de répondre à la fougue passionnée de sa sensuelle partenaire, Julien empauma la croupe de cette dernière, qu’il pressa fiévreusement, éprouvant une montée de désir. Tout en malaxant ces rotondités fastueuses dont le volume enflammait ses sens, il attira son amante contre lui, lui plaquant le bas-ventre contre la rigidité de son sexe bandé.
Percevant contre son pubis la dureté du désir de son jeune partenaire, Louise sentit le brasier qui lui consumait les entrailles se répandre dans la totalité de son corps. Ronronnant telle une chatte en chaleur, elle ondula des hanches d’une manière lubrique, effectuant une véritable danse du ventre que n’aurait pas désavoué une houri orientale. Longuement, elle frotta son bas-ventre contre le ferme gourdin qu’elle décelait dans le pantalon de son jeune amant, ne faisant qu’accroître le désir qui lui échauffait le sexe. Incapable de résister davantage à ce brasier qui lui ravageait le vagin, elle décolla légèrement son pubis de celui de Julien ; juste suffisamment pour pouvoir glisser une main curieuse entre leurs deux corps. Refermant ses doigts sur l’énorme protubérance qui déformait la braguette, elle poussa un gémissement où se mêlaient désir et impatience…
— Ho !
— Ho ! Comme tu es dur !… C’est pour moi ce gros bout que je sens-là ?… Huummm, je sens que tu vas me régaler…
Puis, glissant sa main entre les cuisses de son amant, elle la referma autour des couilles qu’elle pressa avec avidité.
— Mon mari est absent pour la journée, murmura-t-elle… J’espère que tu as des réserves, car j’ai bien l’intention d’en profiter… Je vais te vider les couilles !…
A la nouvelle que la journée leur appartenait à Louise et à lui ; qu’ils ne risquaient pas d’être surpris dans leurs ébats amoureux, Julien sentit une joie intense l’envahir. Il allait enfin pouvoir assouvir tous ses fantasmes. Depuis les deux mois que durait leur aventure sexuelle, Louise lui avait démontré qu’elle était prête à tout acceptée, tout essayée, pourvu qu’elle en éprouve du plaisir. Aussi, fort de cette certitude, Julien avait bien l’intention d’en profiter, de contraindre sa sensuelle maîtresse à accepter les plus pervers de ses désirs.
Soudain impatient, Julien agrippa le tissu de la blouse qu’il retroussa, désireux de sentir sous ses paumes la fermeté de la vaste croupe. Mais sentant sous ses doigts la chair nue des fesses de son amante, son cœur s’accéléra soudainement.
— Tu… Tu n’as pas de culotte, réussit-il à prononcer la gorge nouée par la surprise et par un désir soudainement décuplé ?
— J’ai pensé que ça t’exciterait, approuva Louise, heureuse de son effet… Regarde !
Se reculant, échappant aux mains baladeuses qui lui malaxaient le derrière, Louise retroussa largement sa blouse, dénudant son ventre nu où moussait son abondante toison noire.
— Elle te plait ma forêt, minauda-t-elle, ébouriffant de ses doigts la fourrure de son sexe ?… Tu n’as pas envie de l’explorer ?…
Les sens embrasés par le comportement pervers de sa maîtresse, Julien l’attira à lui et lui encercla la taille de son bras gauche, l’immobilisant. Le cœur en émoi, il lança sa main droite entre ses cuisses écartées de sa volcanique partenaire. Ses doigts glissèrent le long de la vulve abondamment humidifiée avant de s’enfoncer, comme aspirés à l’intérieur des chairs brûlantes du vagin, imprégné d’un suc poisseux.
— Oh oui !…
Sous cette pénétration qu’elle espérait, Louise laissa échapper un râle de plaisir.
Agitant son majeur et son index accolés à l’intérieur du cratère intime de son ardente maîtresse, Julien demeura confondu devant cet océan de lave brûlante qui sourdait des profondeurs du sexe féminin. Dire que Louise mouillait était un euphémisme, elle se liquéfiait littéralement : comme si au tréfonds de ses entrailles un barrage avait cédé, libérant son accumulation de cyprine…
Le frottement répété des phalanges de son amant contre le haut de sa vulve, à cet endroit magique, épicentre de ses félicités, déclenchèrent immédiatement des ondes de volupté dans le corps de Louise. Submergée par un début de plaisir qui insidieusement se propageait dans son bas-ventre et dans le creux de ses reins, elle tenta cependant d’y résister.
— Nonnn… Arrête, réussit-elle à gémir à l’attention de son jeune amant surpris… Pas ici !…
— Pourquoi ? S’étonna Julien… Tu m’as dit que ton mari n’était pas là !
Dans un effort de tout son être, Louise réussit à échapper à cet attouchement intime qui mettait le feu à sa sensualité :
— Mon mari n’est pas là, mais mon petit fils est à la maison, haleta-t-elle encore sous l’effet du plaisir ressenti… Charge ta camionnette, puis nous irons dans la remise… Mon petit-fils doit être scotché devant la télé… Il ne viendra pas nous déranger là-bas…
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Couché dans le foin aux suaves senteurs, Jérémy feuilletait distraitement la revue qu’il avait empruntée à sa grand-mère. Soudain, il tomba sur une page où il était question des soins à apporter aux seins. Si la lecture de l’article ne l’intéressa pas, il n’en fut pas de même pour les photos accompagnant la rubrique : deux jeunes femmes, vêtues uniquement d’un mini slip, offraient leurs seins aux regards des lecteurs. Etonnamment pointu pour l’une, les seins de la seconde, lourds et rebondis, représentaient exactement ce qui sur internet le faisait tellement fantasmer.
Négligeant la fille à la poitrine menue, Jérémy fixa plus particulièrement la seconde aux gros seins. Comme tout adolescent, les seins des femmes exacerbaient sa libido, surtout lorsque ceux-ci présentaient un certain volume. Ce genre de grosses mamelles lui procuraient toujours une intense excitation. Aussi à fixer la photo où s’étalait cette poitrine qui le faisait rêver, l’adolescent sentit une étrange sensation envahir son bas-ventre. Presque machinalement il posa sa main droite sur l’excroissance qui commençait à déformer le devant de son short.
Cependant, peu à peu, l’image statique des deux femmes dévoilant leurs seins s’anima dans l’imagination de Jérémy. Comme pris de somnolence, l’adolescent laissa ses fantasmes échafauder des scènes érotiques, dont les deux jeunes modèles étaient les actrices. La main refermée autour de la bosse qui déformait le devant de son short, les yeux clos sur des images créées par son cerveau enfiévré, Jérémy imagina des ébats amoureux entre les deux filles de la revue. Se faisant face, celles-ci se caressaient mutuellement les seins, les pressants dans leurs paumes, tout en se bécotant tendrement les lèvres. Mais pour l’ado cette scène, bien que follement excitante, ne correspondait pas à ses attentes sexuelles, aussi décida-t-il d’enrichir érotiquement son scénario. Abandonnant ses baisers, la plus mince des jeunes filles se pencha sur l’un des volumineux seins de sa partenaire, dont elle aspira le mamelon entre ses lèvres. Aussitôt, cette dernière, comme si elle n’attendait que cet attouchement, se cambra comme pour mieux offrir sa généreuse poitrine aux succions de sa complice.
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Impatients de satisfaire ce désir qui leur éperonnait les entrailles, Julien et Louise s’étaient empressés de ranger les fromages à l’intérieur de la fourgonnette, non sans quelques attouchements libertins de temps à autre. Une fois sa commande placée dans le véhicule, ne pouvant résister au désir que lui procurait la présence à ses côtés de la sensuelle fermière, Julien attira celle-ci à lui, à l’abri de la camionnette. La plaquant contre lui, il agita langoureusement ses hanches afin de lui faire sentir la dureté de son désir :
— J’ai envie de toi, lui murmura-t-il.
— Moi-aussi, gémit Louise, que le contact du membre durci contre son bas-ventre rendait hystérique… J’ai envie de ton gros bout… Je veux le sentir au fond de ma chatte…
Mais comme son jeune amant tentait de retrousser sa blouse, Louise tenta de le modérer, malgré l’intense envie qu’elle avait de le laisser finir son geste :
— Non, pas là, réussit-elle à murmurer, la voix enrouée par l’impatience sexuelle… Viens !… Suis-moi !…
Laissant l’initiative à son amante, Julien les sens en émoi, le membre au garde-à-vous dans son slip, se laissa guider. Comme il tentait de lui entourer la taille, prétexte à refermer sa main sur le sein qui déformait étrangement la blouse, Louise le repoussa gentiment :
— Sois sage, mon petit-fils pourrait nous voir… Tu auras tout le temps de me peloter les nichons quand nous serons à l’intérieur, prévint-elle en désignant le bâtiment qui se dressait devant eux.
Tels deux adolescents amoureux, les deux amants se précipitèrent à l’intérieur de la remise, prenant soin de refermer la porte derrière eux.
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Excité par les images érotiques que son imagination créait, Jérémy glissa une main à l’intérieur de son short pour se saisir de sa verge bandée. Se concentrant sur son évocation des deux jeunes filles se procurant du plaisir, il entreprit de se branler lentement… Eprouvant un suave plaisir, sous sa lente masturbation, il trouva cependant que les scènes qu’il imaginait ne lui apportaient pas suffisamment de félicité. Aussi il força son imagination à changer de scénario. La fille qui tétait le mamelon de sa compagne abandonna alors le sein qu’elle cajolait, pour se laisser tomber à genoux. Doucement, elle commença à embrasser le bas-ventre de sa partenaire. Celle-ci, les reins cambrés, se saisit de l’élastique de sa culotte qu’elle repoussa vivement le long de ses cuisses, offrant son intimité à sa compagne. Jérémy accéléra sa masturbation, en imaginant la découverte du sexe de la fille aux gros seins. Mais soudain, un bruit de voix le ramena brutalement à la réalité.
Perturbé par cette intrusion dans son univers alors qu’il se croyait à l’abri, Jérémy tendit une oreille attentive à ces voix qui venaient troubler ses fantasmes sexuels. Même s’il ne parvenait pas à distinguer correctement les murmures échangés, il reconnut le timbre particulier de sa grand-mère, auquel répondait une voix masculine. Etonné et curieux de connaître ce qui amenait sa grand-mère, accompagnée de son client, à l’intérieur du bâtiment qui servait d’entrepôt, Jérémy rampa dans le foin jusqu’à l’ouverture dans le plancher, qui permettait de déverser le foin pour les chèvres, l’hiver. Ce qu’il découvrit le déconcerta… A quelques mètres au-dessous de lui, Louise et le fromager se tenaient étroitement enlacés, leurs bouches collées l’une à l’autre, dans un baiser plein de passion. Abasourdi par ce qu’il voyait, Jérémy éprouva un vif sentiment fait de gêne et d’interrogation. Comment sa grand-mère pouvait embrasser ainsi un autre homme que son mari, alors que ce dernier était justement retenu à l’extérieur !
Malgré le trouble qu’il ressentait à la découverte de l’infidélité de sa chère mamie, Jérémy demeura scotché sur place à épier le couple illégitime.
A peine la porte refermée derrière lui, Julien poussé par la passion qu’il l’habitait, attira brusquement son amante à lui, la forçant de nouveau à plaquer son bas-ventre contre son membre en érection ! La maintenant solidement par les fesses, il lui viola la bouche de sa langue, dans un baiser plein de concupiscence, auquel Louise s’empressa de répondre avec autant de fougue amoureuse. Esclaves de leurs emballements érotiques communs, les deux amants demeurèrent un long moment immobile à s’enivrer de leurs salives pimentées par le désir.
Tout en maintenant son ardente maîtresse intimement plaquée à lui, Julien en profita pour lui malaxer les fesses avec enivrement. Sous la blouse qui les protégeait encore, les deux rondeurs jumelles se façonnaient voluptueusement sous ses doigts, lui apportant un bonheur intense accentué par la fait de savoir que sa partenaire ne portait pas de culotte.
Bien que fermement maintenue par son jeune partenaire, Louise dont le contact du membre viril contre son pubis rendait impatiente, entreprit d’onduler des hanches, massant vicieusement le gourdin sexuel à l’aide de son ventre. La dureté du sexe érigé contre son giron ne fit qu’accentuer encore son excitation ; seule la langue de Julien lui obstruant la bouche l’empêchait de proférer ces encouragements grivois dont elle avait le secret.
Cependant, à percevoir sous ses doigts les rondeurs élastiques des fesses de sa maîtresse, Julien décida d’en goûter la douceur. Saisissant le bas de la blouse, il la retroussa vivement, dénudant entièrement la croupe charnue. Refermant ses doigts sur les rotondités élastiques, il les écarta l’une de l’autre, avec un plaisir pervers. L’absence de culotte de la part de sa chaude partenaire lui procura une pensée salace :
— Bon Dieu, quelle salope songea-t-il !…
C’était la première fois que Louise se présentait à lui ainsi disponible : chaque fois qu’ils avaient fait l’amour, depuis qu’ils étaient amants, cela s’était toujours accompli rapidement du fait de la présence de son mari dans les environs. Dans ces moment-là, Louise se contentait de se courber en avant, lui laissant le soin de la trousser et de repousser l’entrejambe de la culotte. L’accès alors à la vulve ainsi dégagée, Julien pouvait y enfoncer sa queue tendue… Jamais encore il n’avait pu contempler ce derrière qui le faisait tant fantasmer, complètement dénudé. Cette constatation de l’absence de culotte de la part de sa maîtresse ne fit qu’accentuer encore le bouleversement passionné de Julien. Sans abandonner son baiser, il repoussa légèrement Louise, afin de s’attaquer aux boutons de la blouse, les faisant sauter un à un. Alors, le vêtement entièrement déboutonné, Julien s’écarta de la fermière, la maintenant aux épaules, bras tendus. Tel un artiste devant son modèle, il contempla d’un œil fiévreux le spectacle qui s’offrait à ses yeux. La blouse largement ouverte lui dévoilait pour la première fois le corps encore fort sensuel malgré l’âge de son amante.
Comme Julien la maintenait à bout de bras et semblait envoûté par le spectacle qu’il découvrait, Louise dans un souple mouvement des épaules se débarrassa de son vêtement, apparaissant dans sa plénitude nudité. Le jeune homme demeurait toujours immobile, et malgré le regard extasié avec lequel il la fixait, Louise craignit que la découverte de son corps aux formes pleines, mais quelque peu amollies ne le déçoive, lui qui ne l’avait jamais vue entièrement nue.
— Ça te plait, demanda-t-elle d’une voix anxieuse ?…
En fait Julien s’était figé à la vision de la lourde poitrine qu’il découvrait pour la première fois dans son épanouissement. A cinquante-trois ans, Louise possédait des seins lourds et raisonnablement ventrus, mais encore assez fermes : laiteux, zébrés de fines veines bleutées, ils s’ornaient de larges aréoles brunes au centre desquelles se dressaient des tétons d’une longueur étonnante. Excité par ces deux petites bites érigées, Julien pensa que vu la dilatation des mamelons Louise devait être particulièrement sensible aux attouchements mammaires.
Cependant, il n’était pas le seul spectateur à s’émouvoir devant les gros nichons dodus. Jérémy, depuis son poste d’observation n’avait rien perdu de la scène. La découverte de la poitrine de sa grand-mère du fait de sa position élevée lui apparut encore plus volumineuse qu’elle n’était en réalité. Ses fantasmes d’adolescent le reprirent. S’il avait été à la place du fromager, il savait bien ce qu’il aurait fait. Son désir ? Nicher son visage entre les deux mamelles à l’apparence si douce, percevoir leurs tiédeurs contre ses joues, sentir leurs effluves. Et surtout, aspirer les tétons entre ses lèvres pour les sucer ; ce qui d’après ses lectures érotiques, procurait un indéniable plaisir aux femmes.
Se plaçant sur le côté, Jérémy dégrafa entièrement son short afin de libérer sa verge gonflée. D’une main résolue, il entreprit de se masturber, sans toutefois cesser d’observer les agissements du couple formé par sa grand-mère et le fromager.
A la fixité du regard de son jeune amant en direction de son opulente poitrine, Louise se sentit rassurée sur le jugement que ce dernier pouvait porter sur son corps que l’âge avait quelque peu enveloppé. Comme fasciné par le spectacle de ses lourdes mamelles, Julien semblait statufié sur place, ce qui ne faisait pas les affaires de Louise, impatiente de passer à des activités plus sexuelles. Aussi elle décida de tirer le jeune homme de sa contemplation ; elle ne l’avait pas entrainé jusqu’ici pour qu’il joue les contemplatifs : elle avait d’autres projets. Saisissant ses seins dans ses mains, elle les pressa l’un contre l’autre, leur donnant encore plus de volume :
— Ils te plaisent mes doudounes ?… Tu aimes les gros nichons ?…
Mais comme Julien ne semblait pas émerger de son exaltation, elle continua :
— Tu peux les embrasser si tu les trouves à ton goût !…
Alors, comme sortant de sa léthargie, Julien relâcha subitement son étreinte. Heureuse, Louise gonfla sa poitrine, dans le désir d’offrir ses mamelons gercés aux lèvres de son amant. Mais à l’inverse de ce qu’elle espérait, ce n’est pas ses seins qui attirèrent la concupiscence de Julien.
Abandonnant la contemplation de l’opulente poitrine, partie de l’anatomie de Louise qui l’avait pourtant alléchée dès sa première rencontre, Julien laissa descendre son regard jusqu’au pubis recouvert d’une abondante toison noire. Cette exubérance de poils formait un épais triangle dont la pointe allait se perdre entre les deux cuisses grasses et pourtant étrangement fermes de son amante. Jamais Julien n’avait connu de femmes aussi poilues. N’y tenant plus, l’excitation devenant par trop intense, il se laissa tomber à genoux aux pieds de sa sensuelle maîtresse qu’il saisit de nouveau aux fesses, avant d’enfouir son visage dans la luxuriante fourrure crépue.
Comprenant les desseins de Julien, Louise, dont le corps sembla s’enflammer soudain, écarta vivement ses jambes, ouvrant à son partenaire l’accès à son sexe en ébullition.
« Il va lui bouffer la chatte ! » Réagit Jérémy depuis son poste d’observation, songeant à certaines de ses lectures. Dans sa main sa verge fut soudainement prise de palpitations.
Incrustant son visage dans la fourche des cuisses que son ardente maîtresse écartait largement, Julien lança sa langue en éclaireuse dans l’épaisse toison crépue, à l’intérieur de laquelle se dissimulait la faille sexuelle désirée. Sous son exploration linguale, les bouclettes de la fourrure intime s’écartèrent d’elle-même, dévoilant les replis vulvaires d’où émergeait une source odorante. Comprimant fermement les fesses de sa partenaire, afin de l’empêcher de bouger, Julien entreprit de lécher avec ivresse la longue fente sexuelle, se régalant du suc épicé qui s’en échappait. Sentant les mains de Louise lui agripper la nuque, le forçant à plaquer plus étroitement son visage à son entrecuisse, il comprit qu’il avait gagné la partie. Sa fougueuse complice ne tenterait pas d’échapper à la langue qui s’insinuait entre les grandes lèvres de sa vulve. Alors il lâcha les fesses dans lesquelles ses doigts s’étaient incrustés, pour glisser son majeur droit dans la longue raie séparant les deux globes fessiers, à la recherche de l’orifice secret qui s’y cachait. Trouvant immédiatement le cratère plissé, objet de sa convoitise vicieuse, il en força délicatement l’accès. Etonné de la facilité avec laquelle sa première phalange pénétra dans l’ouverture resserrée, il y enfonça la totalité de son doigt. Un long gémissement de plaisir l’encouragea à continuer son exploration anale.
— Oui ! Vas-y !… J’aime aussi de ce côté !…
Découvrant cette nouvelle particularité sexuelle de son amante, Julien songea que lorsqu’ils se retrouvaient en cachette du mari, ils avaient toujours fait l’amour de manière normale. En général, Louise se courbait en prenant appui sur un quelconque support, lui présentant son derrière. Il n’avait alors qu’à retrousser la blouse sur les reins de sa complice, dénudant la vaste croupe, objet de ses désirs. Alors, pris par le temps, il écartait simplement l’entrejambe de la culotte, découvrant la chatte velue dans laquelle il n’avait plus qu’à plonger sa queue raidie. Jamais songea-t-il, il n’avait osé emprunter le second passage intime que son amante lui offrait pourtant ingénument. Or devant le plaisir que Louise avouait ressentir à la pénétration anale qu’il avait osée, Julien songea que s’était le jour où jamais pour tenter de la prendre par cette voie. Il était certain qu’elle accepterait de lui ouvrir l’accès de ses reins.
Tout en activant son majeur dans le pertuis anal, Julien n’en continua pas moins de plonger profondément sa langue dans les replis gorgés de sèves, de la chatte de plus en plus ruisselante.
A son habitude, Louise l’encouragea avec son langage particulier :
— Salaud !… Pourquoi tu ne m’as jamais enculé ?… J’aime trop sentir une queue me défoncer le cul !… Aujourd’hui, on a le temps, je veux que tu me la mettes !… Je veux sentir ta bite entre mes fesses !…
La bouche collée à la vulve gorgée de suc, Julien bien trop occupé à lécher les grandes lèvres juteuses, ne put répondre qu’elle ne lui avait jamais demandé pareil intromission. Cependant, sans cesser de fouiller l’intérieur des intestins de sa partenaire, Julien décida de diversifier son baiser. Abandonnant le léchage des parois vaginales, il chercha le sensible clitoris qu’il flagella du bout de la langue. Aussitôt les encouragements obscènes, reprirent de plus belle :
— Oh oui !… Astique-moi le berlingot !… Oh putain, que c’est bon… Oh oui… Salaud, tu me fais mouiller… Vas-y, régale-toi !… Bois mon jus… Oohh, oouuiii…
Devant l’abondance des fuites vaginales qui lui souillaient le menton, Julien abandonna le clitoris suffisamment exacerbé, pour s’abreuver à cette source épicée. D’une langue gourmande il fouilla les chairs ruisselantes de cyprine brûlante.
Si Louise avait conduit son amant dans cette remise, loin de la ferme, avec l’espoir que son jeune amant lui fasse l’amour sans perdre de temps, elle n’en accepta pas moins les attouchements érotiques de ce dernier. Lorsque la langue indiscrète frôla les grandes lèvres de sa vulve en émoi, un long frisson, prenant naissance dans les profondeurs de son sexe, se propagea dans son corps à la vitesse de l’éclair. Ses reins se creusèrent convulsivement, tandis que ses seins gonflés, se durcissaient un peu plus et que ses mamelons se dilataient. Mais, lorsque la langue telle une vrille s’enfonça dans sa chatte pour y entamer un ballet diabolique, elle eut l’impression que toutes ses entrailles se liquéfiaient. C’est comme si une source d’un débit exceptionnel prenait naissance dans les tréfonds de son sexe pour jaillir hors de sa vulve, tel un torrent impétueux.
Certes, la langue qui lui fouillait le vagin n’avait pas la consistance, ni le volume d’un membre en érection, mais à frétiller avec une telle frénésie, lui apportait un plaisir extrême. Cela faisait des années que son mari ne s’était plus adonné à ce genre de baiser. Aussi c’est avec une émotion teintée de nostalgie qu’elle retrouva des sensations qu’elle avait cru à jamais oubliées. Le plaisir qu’elle en ressentit accrut soudainement le débit de la fontaine qui jaillissait d’entre ses lèvres sexuelles.
— Oh oui !… Je pars !… Grogna-t-elle à l’attention de son jeune amant… Oh, putain que c’est bon !…
Si lorsqu’elle avait attiré son amant dans la remise, son but était que Julien lui fasse l’amour, Louise dut reconnaître que ce que ce dernier lui faisait subir valait largement ce qu’elle avait espéré. Elle avait oublié combien une langue habilement utilisée pouvait apporter du plaisir ; et Julien semblait être un maître dans l’art du cunnilingus. Du plus profond de son vagin, des vagues successives émergeaient, jaillissant en une cascade impétueuse de sa chatte béante, tandis que des ondes de volupté lui parcouraient le corps.
— Oh, arrête, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !… Non, chéri !… Arrête, je t’en prie !… Ça vient… Oh, non, je vais jouir !…
Sous l’intense plaisir que lui procurait la langue de son jeune amant, Louise se cambra fébrilement afin de mieux offrir sa chatte ruisselante au sensuel baiser. Véritable femelle en rut, elle rejeta sa tête en arrière clamant son plaisir dans son langage imagé :
— C’est trop bon ta langue dans mon con !… Oh oui ! Avale mon foutre !… Régale-toi, mon salaud… Oh non ! Tu me fais pisser…
Mais alors que son visage transfiguré par la jouissance contemplait le plafond de la remise, Louise aperçut soudain le visage de Jérémy s’encadrant dans la trappe menant à la grange. La découverte de son petit-fils l’épiant, alors qu’elle exerçait une activité à laquelle l’adolescent n’aurait pas dû assister, la figea, sans pour autant mettre un terme au plaisir qui envahissait ses entrailles. Etonnamment, alors qu’elle aurait dû s’enfuir afin d’échapper aux regards de son petit-fils, Louise en éprouva au contraire une étonnante excitation perverse. Une lave incandescente se répercuta dans ses entrailles, la faisant littéralement rugir de plaisir.
— Rrrhhaaaaa… Ooohhhh Ooouuuiiii… Aaahhhh…
Le foutre mêlé à l’urine emplit soudainement la bouche de Julien. Précipitamment celui-ci avala la liqueur vaginale au goût acre, sans pour autant cesser de lécher les chairs juteuses de la vulve odorante. Louise, dont il sentait les cuisses flageoler, avait planté ses ongles dans sa nuque, comme pour garder son équilibre malmené par son fulgurant orgasme. La sentant chanceler sous la jouissance qui la faisait se cambrer dangereusement, il retira son doigt de cul imprégné de liquide vaginal, pour emprisonner les fesses durcies par le plaisir, dans ses mains.
Depuis son poste d’observation, Jérémy n’avait rien perdu du spectacle incongru, mais terriblement excitant que sa grand-mère lui offrait. Lorsque cette dernière avait repoussé sa blouse le long de ses épaules, dénudant son corps, il en avait éprouvé un choc émotionnel d’une intensité extrême. Son attention avait immédiatement été attirée par la lourde poitrine qui, libérée de tout soutien, s’écrasait mollement sur le torse de sa propriétaire. Chaque mouvement que sa grand-mère effectuait, les deux masses de chair se balançaient mollement d’une manière terriblement affriolante pour l’ado qu’il était. Il avait bien évidemment aperçu furtivement la tache sombre qui ornait le bas-ventre de Louise, mais son regard s’était vite reporté sur les opulents nichons, objets de ses fantasmes les plus fous. Tout en contemplant les charmes opulents de sa grand-mère, Jérémy n’avait cessé d’activer sa main le long de sa queue raidie, dans un va-et-vient constant.
Mais lorsque Louise, victime de la jouissance, se cambra convulsivement, et qu’elle porta son regard dans sa direction, Jérémy en ressentit un tel affolement que son membre réagit soudainement en laissant jaillir de longs jets blanchâtres. Resserrant convulsivement ses doigts autour de sa verge agitée de soubresauts, il réussit à étouffer les gémissements de plaisir que l’éjaculation soudaine lui arrachait.
Après un long moment à voguer dans un bien-être divin, où tout ce qui l’entourait avait cessé d’exister, Louise reprit peu à peu conscience. Retrouvant ses sensations, elle repoussa doucement le visage de son jeune amant d’entre ses cuisses, tout en jetant un coup d’œil à la trappe. Le visage de Jérémy avait disparu, mais Louise était certaine qu’elle n’avait pas rêvé : son petit-fils devait continuer à l’épier.
Les lèvres et le menton souillés par l’abondance de cyprine qui avait jailli du sexe de son amante, Julien se redressa. Saisissant la nuque de sa partenaire d’une main, il plaqua ses lèvres enduites de foutre et d’urine à sa bouche, éprouvant un ravissement vicieux à obliger son ardente maîtresse à goûter à sa liqueur intime.
Nullement rebutée par les saveurs épicées de ses sécrétions vaginales, Louise lécha avec une gourmandise salace les lèvres qui venaient de si bien la faire jouir ;
— Hum ! C’est salé, murmura-t-elle en se suspendant des deux bras au cou de son amant… C’était merveilleux, continua-t-elle sur le ton de la confidence… Il y avait si longtemps que je n’avais joui aussi fort…
— Comment ça !… Ton mari doit bien te bouffer la chatte de temps en temps, s’étonna Julien, adoptant le langage imagé de sa perverse amante ?
— Détrompe-toi, ça doit faire des années qu’il n’a pas fourré sa langue dans ma chatte… Même sa queue n’y vient que rarement, mentit-elle.
— Peut-être qu’il ne veut pas se noyer, tenta de plaisanter Julien… Je n’ai jamais vu de femme mouiller autant…
— Parce que tu as léché beaucoup de femmes, questionna Louise, soudainement victime d’un début de jalousie ?
Préférant ne pas répondre et peut-être envenimer leurs relations, alors que de son côté le désir était toujours aussi vivace, Julien empauma de nouveau les globes fessiers de sa volcanique partenaire. Pressant fermement les rondeurs jumelles, il souleva son ardente maitresse, tout en la plaquant contre lui.
Ne percevant plus le sol sous ses pieds, Louise, dans un réflexe, referma ses cuisses autour des hanches de son amant tout en consolidant l’étreinte de ses bras, écrasant ses seins contre le torse masculin. Mais dans ce mouvement, sa vulve encore frémissante vint s’écraser contre la protubérance qui déformait le pantalon de son jeune amant. Ce contact déclencha aussitôt dans son bas-ventre une nouvelle bouffée de chaleur. Sans se soucier des résidus de sa jouissance qui imprégnaient encore les grandes lèvres de sa vulve, elle agita lascivement ses hanches, frottant sa fente humide contre la dure excroissance, insouciante des taches qu’elle pouvait laisser sur le pantalon de son partenaire.
— Tu es toujours aussi raide, minauda-t-elle à l’oreille de Julien… Tu veux que je te fasse jouir dans ma bouche comme tu me l’as fait ?… Je peux te faire une pipe, si tu le désires…
Julien qui avait déjà prévu la façon dont il allait mener les ébats demeura un instant songeur, indécis. Depuis qu’ils étaient devenus amants, ils avaient toujours fait l’amour discrètement, en se cachant du mari, bien souvent occupé à certains travaux au sein même de la ferme. Jamais Louise ne lui avait proposé de le faire jouir autrement que dans son ventre. Même une fois qu’il avait copieusement déchargé en elle, jamais elle ne s’était offerte à lui nettoyer la queue à l’aide de sa bouche. Aussi, cette éventualité qu’elle lui proposait, le laissa hésitant sur la conduite à tenir. Mais songeant qu’il serait toujours temps une fois qu’il se serait vidé les couilles une première fois, de rappeler sa proposition à sa sensuelle partenaire, il décida de suivre sa première idée.
Maintenant solidement Louise par les fesses, il s’avança doucement jusqu’à une planche, installée sur deux tréteaux, sur laquelle séchaient quelques têtes d’ail. Sans prendre la peine de repousser les gousses, il y déposa la fermière. Comme il dégrafait son pantalon afin de se mettre à l’aise pour faire l’amour, il vit Louise prendre appui sur ses coudes et replier ses jambes, en les écartant largement. Le spectacle terriblement obscène qui s’offrit alors à ses yeux ne fit qu’accentuer le désir qui le travaillait. Les yeux fixés sur la vulve aux lèvres corail, luisantes de mouille, Julien repoussa son slip sur ses cuisses.
Louise, qui suivait intéressée le strip-tease de son amant, sentit son cœur s’accélérer brusquement lorsque le sexe en érection, jaillit orgueilleusement. Elle avait tant désiré depuis le matin, ce moment où son amant lui ferait l’amour, ce moment où il enfoncerait sa queue au tréfonds de son vagin. Dès qu’elle avait su qu’elle allait se trouver seule à la ferme lors de la venue de son amant, un désir avide s’était installé dans ses entrailles. Et c’est ce désir insidieux qui l’avait incité à retirer ses sous-vêtements, afin de se présenter nue sous blouse. Un long frisson de désir impatient lui parcourut le corps lorsqu’elle vit Julien s’avancer en direction de son entrecuisse, la verge pointée tel un bélier prêt à forcer l’ouverture de son sexe.
— Oui !… Mets là moi !… Réussit-elle à bafouiller.
Enfin, elle allait sentir ce pal s’enfoncer en elle ; pénétrer sa grotte intime, repousser les chairs de sa vulve, pour venir l’embrocher. Se rejetant en arrière afin de s’étendre complètement, elle replia ses jambes sur son torse, ses genoux écrasant ses seins, et pour faciliter cette pénétration tant attendue, elle referma ses mains autour de ses cuisses qu’elle écarta le plus possible.
Avec une émotion qui la fit se cambrer convulsivement, elle sentit le bout arrondi de la verge frôler les grandes lèvres de sa chatte palpitante : enfin, le moment tant espéré était arrivé ! Mais alors qu’elle s’attendait à ce que sa vulve s’écartèle sous la poussée de la bitte gonflée, elle sentit le gland glisser le long de sa fente de bas en haut. Pour aussitôt accomplir le chemin inverse, dans une lente caresse, la faisant frémir d’impatience. Julien réitéra son manège plusieurs fois de suite. De nouveau, le gland frôla les grandes lèvres de sa vulve, s’y enfonçant de quelques millimètres, remontant jusqu’à son clitoris qu’il écrasa de sa masse, avant de retourner à sa position initiale.
Toute à son attente sexuelle, Louise eut soudain une pensée pour Jérémy, qui du haut de son observatoire devait les épier. Un sentiment de honte la submergea. Quel spectacle offrait-elle ainsi en s’offrant dans des poses obscènes à son petit-fils. Bien sûr qu’elle aurait dû mettre fin à cette exhibition des plus indécente. Mais l’excessif désir qui lui mordait le bas-ventre se montrait plus fort que sa volonté. Elle aurait une discussion avec Jérémy, songea-t-elle, pour se donner bonne conscience. Elle était sure que l’adolescent la comprendrait et l’absoudrait…
Julien, qui n’avait jamais jusqu’à ce jour eu la possibilité d’exprimer ses besoins érotiques, pensa que c’était le moment, du fait de l’absence du mari, pour tenter d’exciter au maximum sa sensuelle partenaire. Aussi, fixant avec ravissement le sexe féminin qui s’offrait à lui, et que le désir rendait particulièrement luisant, il se saisit de sa queue à sa base et l’utilisant comme un pinceau, il en badigeonna plusieurs fois la longue faille sexuelle de son gland enflé. A chaque remontée de sa verge sur le haut de la vulve, il en appuyait fortement l’extrémité contre l’abri où se nichait le magique bouton d’amour, arrachant un gémissement langoureux à Louise.
Ce va-et-vient lancinant le long de sa fente palpitante d’impatience, ne tarda pas à exacerber les sens en ébullition de Louise. Comprenant que le jeune homme s’ingéniait à l’exciter, se servant pour cela de son membre, elle l’incita à cesser ce supplice exaspérant :
— Non, arrête, gémit-elle d’une voix suppliante… Mets-le-moi !… Mets-moi ton gros bout !… J’en ai trop envie !… Viens !…Oh viens !… Baise-moi !…
A chaque reptation du gland au-devant de l’entrée de sa vulve, Louise, dans un sursaut désespéré tentait de capturer le bourgeon de chair entre ses grandes lèvres juteuses. Très vite le jeu érotique initié par Julien devint un véritable combat sexuel : Louise essayant à l’aide de vifs soubresauts de s’empaler sur la queue convoitée, alors que Julien, vicieusement laissait la femme affolée s’embrocher de quelques millimètres sur son gland, avant de retirer celui-ci de la chatte trop gourmande. Exaspérée par les taquineries que lui faisait subir Julien et qui mettaient ses sens en effervescence, Louise s’emporta soudainement dans son langage imagé :
— Arrête !… Enfonce ta queue dans ma chatte !… Baise-moi !… Maintenant !…
Prenant alors pitié de sa partenaire au comble de l’exaspération sexuelle, Julien cessa les mouvements de va-et-vient de son gland le long de la fente maintenant ruisselante de mouille. Plaçant son gland à l’entrée de la vulve béante, il agrippa sa partenaire par la taille, et d’un coup de reins puissants il la pénétra de toute la longueur de son membre :
— Oh, putain que c’est bon, s’exclama Louise, enfin comblée… Vas-y !… Bourre-moi !… Défonce-moi le con !…
N’ayant nul besoin d’encouragements, Julien agita alors ses hanches en une danse du ventre saccadée. Du fait de l’abondance de cyprine qui s’en écoulait, sa verge coulissa avec une étonnante facilité dans la grotte intime de son amante. Chaque coup de boutoir qu’il assénait au plus profond du vagin torride arrachait de longs râles de plaisir à la volcanique fermière :
— Oui !… Je sens ton gros bout au fond de mon ventre !… Oui !… Oui !… Oh ouuiii !… Encore !… Plus vite !… Oui, oui… Oh, c’est bon… Ramone moi la moule !… Fais-là pisser !… Ohhh… Oouuuiii !…
Abandonnant la taille à laquelle il s’accrochait, Julien s’empara des deux seins que le plaisir gonflait généreusement. Accélérant ses va-et-vient à l’intérieur de la chatte de plus en plus ruisselante, il pressa fougueusement les deux fruits de chair pinçant les deux petites bittes au centre de leurs aréoles foncées. Ce nouvel attouchement déclencha chez Louise une série de gémissements amoureux.
— Oh oui… C’est bon… Pince mes bouts !… Oui !… Oh oui !… je t’aime, mon chéri !…
Ne voulant surtout pas laisser croire à sa sensuelle amante qu’un sentiment plus intime puisse naitre entre eux, Julien s’empressa de s’inscrire en faux contre l’idée :
— C’est surtout ma queue que tu aimes !
—… Oui c’est vrai, répliqua Louise après un moment de silence, quelque peu déçue de la réponse que lui renvoya Julien.
Elle décida néanmoins de suivre Julien dans jeu :
— … Oui, j’aime ta grosse queue… Elle me remplit toute… Je sens ton gros bout au fond de mon ventre.
A suivre…..
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