Je suis directrice des finances dans un grand groupe et je suis arrivée à ce poste assez vite, dans la trentaine, après de brillantes études. Je suis issue d’un milieu modeste, sans envergure. Moi j’ai une volonté féroce de réussir et je m’en donne les moyens en étant toujours plus performante que ceux qui m’entourent. Je suis foncièrement dominatrice, très travailleuse et persuadée de ma supériorité.
Je suis plutôt belle femme, brune, taille moyenne, mince, petite poitrine et bassin large. J’ai un corps entretenu par de la gym quotidienne, que j’habille élégamment avec des vêtements classiques convenant bien à ma haute fonction. Tailleurs de marque, jupes au genou, chemisiers de soie et foulards de grands couturiers. J’en impose plus que je ne plais. Dans mon travail je suis réputée pour ma vision rapide, pertinente et sans concession qui a souvent fait des ravages pour la progression de carrière des collègues. Comme ils doivent dire entre eux « je suis une vraie et redoutable salope ».
Côté vie privée j’ai beaucoup sacrifié à mon ambition et je suis incapable de faire confiance. Je n’ai eu que quelques aventures sans lendemain, pour connaître la chose, quand j’étais étudiante. Je n’ai jamais été attirée par les femmes et les quelques garçons que j’ai essayé m’ont considérablement ennuyée. J’ai coupé court rapidement avant qu’ils ne m’encombrent. Je m’aime et pour combler ma forte libido je me masturbe tous les jours.
J’ai de gros besoins sexuels sans doute dus à la tension permanente de ma vie intense et cela me calme de les satisfaire sans délais. J’aime me faire jouir en me masturbant et en me pénétrant tant dans le vagin que dans l’anus.
Dès la fac je profitais de la pause de midi pour m’isoler dans les toilettes pas toujours propres. Je me caressais debout sans quitter mes vêtements, en écartant juste ma culotte pour laisser passer mes doigts une main devant et l’autre derrière. J’allais assez vite et mon orgasme était déclenché par une pénétration anale alors que je m’occupais devant de ma vulve avec vigueur. Mes orgasmes se voulaient discrets mais je n’arrivais pas toujours à rester silencieuse. Je me souviens d’un jour où un groupe d’étudiants qui parlaient dans le couloir avait dit un peu après mon passage près d’eux « t’as entendu cette salope, dommage qu’elle n’aime pas les hommes ».
Dans mon premier emploi où j’étais au service comptable j’allais en cours de journée dans la cabine de toilettes pour handicapés car elle était plus vaste et propre. J’avais acheté un pénis en silicone dans un sexshop et je l’avais toujours au fond de mon sac dans un étui banalisé. Je quittais ma jupe et ma culotte en gardant le reste de mes vêtements et je me baisais assise sur la cuvette dont j’avais abaissé le couvercle. J’écartais largement les cuisses, je me caressais les lèvres et l’entrée du vagin avec les doigts. Dès que j’avais assez mouillé, j’introduisais le god dans mon vagin et je me branlais le clito tout en me godant. Le god était trop gros pour mon cul mais j’y mettais mes doigts pour finir de déclencher mon orgasme quotidien qui était tellement fort parfois que je tombais à genou sur le carrelage en étant secouée de toutes parts. J’avais appris à jouir en silence.
Dans ma situation actuelle je dispose d’un grand bureau de direction. Ma secrétaire filtre et n’autorise que les entrées que j’ai acceptées par l’interphone. J’ai investi dans un god double qui vibre. Il fonctionne sur pile et est dans le tiroir de mon bureau fermé à clé. Je ne porte plus de culotte depuis longtemps et je me fais jouir assise à mon bureau entre deux rendez-vous quand j’en ai besoin. Je remonte ma jupe, écarte bien les cuisses en poussant les fesses au bord du siège et je me branle avec ce god qui est remarquablement conçu pour une jouissance intense. Aux périodes de fort stress il m’arrive de le faire deux fois par jour. Ma secrétaire qui m’admire me demande parfois comment je fais pour rester si sereine alors que tout le staff de l’entreprise en au bord du burnout.
Mais un jour j’ai reçu par un courrier à mon nom une clé USB. Elle contenait une courte vidéo où on me voyait dans les toilettes des femmes de mon emploi précédent. L’image était assez bonne. J’étais reconnaissable et bien sûr dans une situation inavouable. La vidéo avait visiblement été prise avec une petite caméra cachée au ras du sol. Je blêmis et réfléchit intensément en dressant la liste des auteurs possibles. C’était probablement une femme à qui j’avais porté tort. Je demandais au meilleur cabinet d’enquête de la ville de m’identifier l’auteur. Trois jours après j’avais un nom garanti sûr. C’était une collègue qui avait été mise à l’écart du service après que j’eu dénoncé son incompétence à optimiser les niches fiscales utilisables pour augmenter les profits. Elle avait fini par démissionner.
Je demandais à mon avocat qui est un fin négociateur de prendre langue avec la belle pour convenir d’un accord pour qu’elle reconnaisse être l’auteur et qu’elle s’engage à ne rien diffuser. Le prix à payer ne fut pas si élevé car elle pouvait être poursuivie pour viol de la vie privée. Un accord fut signé en échange d’une somme en liquide que je pris sur le compte de réserves pour aléas de l’entreprise.
Je me suis arrangé dans les mois suivants pour lui nuire vraiment. Je suis une vraie teigne. D’abord son nouvel employeur fut discrètement informé de ses ennuis dans son emploi précédent. Ensuite un soir tard en rentrant du cinéma elle a fait une mauvaise rencontre avec un groupe d’hommes non identifiables qui lui ont fait subir de forts outrages tout en filmant la scène. Elle reçut elle aussi une clé USB. Ça m’a couté cher mais j’avais eu comme d’habitude de dernier mot. Parfois le weekend je me mets nue dans mon canapé et je me fais l’amour longuement en regardant cette vidéo en boucle et là mes orgasmes sont bruyants.
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