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DÉPUCELÉ PAR MON ONCLE

DÉPUCELÉ PAR MON ONCLE



Voyant que je tournais autour de sa voiture sur le parking, il est venu vers moi, et sans rien dire, il m’a tendu les clés puis est rentré dans l’hôtel. J’étais fou de joie ; je suis entré dans la voiture, j’ai fait tourner le moteur et j’ai même roulé quelques mètres sur le parking. En rentrant, je lui ai sauté au cou ce qui a eu l’air de fort l’étonner et il m’a serré dans ses bras.

Le soir, au moment d’aller se coucher, on a constaté qu’il y avait un grand et un petit lit dans la chambre et que mon cousin germain qui avait été se coucher plus tôt s’était installé dans le petit lit. Jacques m’a dit qu’on allait donc devoir dormir ensemble.

Je me suis lavé les dents et mis en pyjama et j’ai vu que Jacques se déshabillait et se couchait tout nu, ce qui m’a d’abord un peu choqué il faut le reconnaître. Je lui ai demandé s’il dormait toujours tout nu et il m’a répondu que c’était bien plus agréable et que je devrais essayer aussi. J’ai hésité puis je me suis déshabillé et je me suis couché à côté de lui. C’était bizarre comme sensation mais pas désagréable, et je trouvais cela même un peu excitant.

On a parlé un peu à voix basse, de sa voiture entre autres, et je l’ai senti bouger dans le lit ; je ne sais pas trop pourquoi mais j’ai commencé à avoir une érection en sentant mon oncle dans le lit tout près de moi. Cette situation me troublait sérieusement et mon sexe grandissait progressivement. Un moment donné il m’a touché le flanc et j’ai sursauté ; il m’a demandé si j’étais chatouilleux et comme je lui ai répondu affirmativement, il a commencé à me chatouiller. Je me suis tortillé pour lui échapper et dans un mouvement soudain, sa main à touché mon sexe.

« Ma parole, mais tu bandes » m’a-t-il dit ? J’étais horriblement honteux et je n’ai pas su quoi lui répondre. Sa main est revenue vers mon sexe et ses doigts m’ont palpé doucement, presque tendrement, puis il a touché mes testicules qui se sont rétractés sous la caresse et je n’ai pu retenir un faible gémissement de plaisir et d’inquiétude à la fois.

Il a soudainement rejeté les draps au pied du lit et m’a dit : « regarde, je bande aussi ! ». J’ai tourné ma tête vers lui et j’ai vu qu’effectivement son sexe était bien dressé au milieu d’un buisson touffu de poils ; Jacques était assez poilu et de stature puissante. Tout en continuant à me caresser de la main gauche, il s’est touché également puis m’a dit : « tu peux me toucher aussi ». Comme je n’osais pas réagir, il a pris ma main droite et l’a posée sur son sexe et, malgré moi, mes doigts se sont refermés sur sa queue, veineuse, épaisse et chaude.

Il a mis sa main autour de la mienne et a commencé doucement à se masturber avec ma main. Il m’a demandé si je le voyais bien, et comme je ne répondais pas, il m’a dit de m’approcher de lui. Je suis venu contre lui et j’ai senti son flanc chaud et velu contre ma peau. Il a accéléré un peu son mouvement puis s’est décalotté à fond et a posé mes doigts sur son gland bouillant et, me semblait-il, déjà légèrement humide.

Il s’est soudain tourné vers moi, et en me prenant à bras le corps, m’a attiré sur lui en me disant de me mettre à quatre pattes au-dessus de lui. Je me suis trouvé, à ma grande surprise, sur lui, à quatre pattes, mon visage juste au-dessus de son sexe et mes fesses au-dessus de sa tête. J’ai de ma propre initiative repris son sexe dans ma main droite et je l’ai masturbé lentement, en le décalottant chaque fois bien à fond. J’ai senti tout à coup qu’il me prenait le sexe et qu’il l’enfonçait dans sa bouche. J’ai failli hurler tant cette sensation chaude et humide, presque soyeuse, était délicieuse. En même temps son sexe a encore durci dans ma main.

Il m’a sucé et léché un temps qui m’a paru infini puis m’a léché les couilles une par une, en les gobant et en les pressant entre ses lèvres. Timidement je me suis penché sur lui, je l’ai décalotté au maximum, puis j’ai posé la pointe de ma langue sur le bout de son gland. Il a donné un coup de reins qui m’a enfoncé son sexe légèrement en bouche et je me suis penché davantage pour le gober au maximum. Son sexe était incroyablement chaud, doux et épais, et j’ai eu l’impression qu’il remplissait entièrement ma bouche et qu’il aurait pu pénétrer le fond de ma gorge.

Il a continué ses petits coups de reins qui m’enfonçaient chaque fois son sexe au fond de ma gorge et j’ai senti ses doigts qui se crispaient sur mes fesses. Il les a écartées et j’ai presque fait un bond que j’ai senti sa langue chaude et un peu râpeuse qui commençait à me lécher l’anus. Il m’a léché l’anus et a enfoncé un peu sa langue. Je me suis relâché, ce qui lui a permis de l’enfoncer encore plus. J’ai arrêté de le masturber tant j’étais concentré sur mes sensations et il m’a renfoncé la tête sur son sexe. J’ai dégagé sa queue de ma bouche et je lui ai léché les testicules ce qu’il a fortement apprécié aussi. Il a basculé son bassin au maximum, les jambes bien écartées pour que je puisse lui lécher la base des couilles, puis ma langue est descendue dans ses poils et a fini par trouver sa rosace qui s’est contractée sous la caresse.

Il a cessé de me lécher et j’ai senti qu’il m’enfonçait un doigt doucement dans le cul. Il l’a ensuite retiré, est venu avec sa main vers mon visage, a cherché ma bouche et a enfoncé le même doigt dans ma bouche. Je l’ai sucé avec délectation et j’ai apprécié le goût un peu amer et salé de son doigt. Il m’a ensuite mis un deuxième doigt en bouche, et j’ai compris qu’il voulait m’enfoncer deux doigts dans le derrière. J’ai eu un peu peur, aussi je les ai léchés du mieux que je pouvais pour bien les lubrifier. Il a ensuite remis sa main derrière moi et j’ai senti qu’il appuyait ses deux doigts contre mon anus. Je me suis un peu contracté et je lui ai dit qu’il me faisait mal. Il m’a alors chuchoté que si je lui laissais faire tout ce qu’il voulait je pourrais conduire sa voiture sur route le lendemain. J’ai soufflé ok et il m’a dit de pousser comme pour aller à la toilette pour faciliter la pénétration. J’ai eu une forte mais courte douleur puis la sensation indescriptible de ses deux doigts me fouillant les entrailles s’est peu à peu transformé en plaisir de plus en plus intense.

On s’est tout à coup rendu compte que mon cousin germain Bertrand s’était levé, et qu’il était venu silencieusement à côté de nous. Son pantalon de pyjama faisait une bosse et sa main y était enfoncée. Jacques lui a dit de se déshabiller et Bertrand s’est retrouvé nu à côté de nous avec une fort belle érection. Jacques s’est remis à me ramoner le derrière pendant que Bertrand se masturbait en nous regardant. Jacques m’a dit d’embrasser Bertrand, il s’est approché de ma figure et pendant que ma tête allait d’avant en arrière au gré des coups de reins d’oncle Jacques, nos langues se sont mêlées.

Jacques a ensuite retiré mon pied de la chaise, m’a dit de mettre les deux mains dessus et ainsi penché en avant, j’ai du ouvrir ma bouche pour le sexe de Bertrand. Il ne ressemblait pas du tout à celui de Jacques, il était beaucoup plus fin et par comparaison semblait en fait plus long. Il l’a enfoncé dans ma bouche et j’ai failli étouffer. Son goût était plus prononcé et j’ai compris qu’il ne s’était sans doute pas lavé avant de se coucher, mais cette pensée a rapidement fait place à une sorte d’état second dû aux deux queues me pénétrant la bouche et le cul. Jacques a encore accéléré ses mouvements et a commencé à gémir de plus en plus fort. Il était devenu frénétique et j’ai compris qu’il allait jouir quand tout à coup, dans un dernier coup de reins, il s’est complètement enfoncé en moi j’ai senti une incroyable vague de chaleur qui me remplissait le ventre. A plusieurs reprises, cette vague s’est enfoncée en moi et son sperme a mis le feu à mes entrailles. Bertrand n’avait rien laissé paraître de son état, mais je compris qu’il jouit aussi quand je senti le liquide chaud envahir ma bouche par saccade.

Jacques m’a alors dit que c’était à mon tour et il m’a demandé ce que je voulais. J’avais mal au derrière et j’en voulais un peu à Bertrand d’avoir éjaculé dans ma bouche sans que je le veuille vraiment. J’ai donc dit que je voulais que Bertrand me lèche l’anus ce qui eu le don de réveiller les envies de Jacques. Il a ordonné à Bertrand de se coucher par terre et m’a dit de me mettre à califourchon au-dessus de sa bouche, les jambes bien écartées. Il a allumé la lumière pour mieux profiter du spectacle et j’ai senti quelques gouttes de sperme qui coulait de mon anus et faisaient un petit « floc » en tombant dans la bouche de Bertrand. Puis Jacques lui a dit de me lécher le cul ce qu’il a fait de bon coeur et j’ai adoré cette douce langue qui me nettoyait l’anus. Jacques avait encore une belle semi érection et il m’enfonça à nouveau sa queue dans la bouche pour lui redonner force et vigueur. Dès qu’il fut à nouveau prêt, il me releva, me coucha sur le lit les jambes écartées et enfonça à nouveau son sexe dans mon trou encore humide de la salive de Bertrand et de son sperme. Au bout de quelques minutes de ramonage intensif de mon cul que j’imaginais béant après le passage répété de son sexe bien épais, mon oncle se retira rapidement, me fourra sa queue au bord de l’explosion dans la bouche. Cette fois-ci, je pris plaisir à avaler à pleines gorgées ce foutre au goût délicieux. Je n’en perdis pas une goutte et je m’appliqua à bien nettoyer le sexe de mon oncle recouvert de semence.

Nous avons remis ça presque toute la nuit. Avec Bertrand, c’était à celui qui prendrait le plus de doses de sperme que ce soit dans le cul ou dans la bouche. Je l’ai battu en en prenant 3 dans le cul et 5 dans la bouche. Depuis, un peu comme un championnat, on remet ça tous les ans 😉

FIN.

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