Hervé, très anxieux, arpente le salon en sirotant un whisky, quand la porte de la chambre s’ouvre.
Apparait Alyson, sa magnifique épouse, dans une tenue hyper sexy. Jupe à mi-cuisses, qui met en valeur ses longues jambes. Le tout monté sur des escarpins de huit centimètres, qui font jaillir sa superbe poitrine, prête à perforer le chemisier blanc. Elle se pend au cou de son mari, lui donne un sulfureux baiser.
Soudain, des pneus crissent sur le gravier, suivi d’un coup de klaxon.
-Tu es prête mon amour. Tu as fait ce qu’il t’a dit. Pas de culotte et la chatte bien rasée.
-Oui, répond tristement Alyson, regarde…tu sais, on peut encore tout arrêter.
-Non, ma chérie, répond Hervé, on en a trop besoin d’argent. Vas-y. j’attendrai que tu rentres.
Hervé regarde son épouse rejoindre la limousine. Un chauffeur tient la portière ouverte. Il quitte un gant, et glisse une main entre les cuisses d’Alyson, qui écarte les jambes.
« Le salaud, se dit Hervé, il contrôle si elle n’a pas mis de culotte, et si sa chatte est épilée ».
Le chauffeur remet son gant, et invite Alyson à prendre place à l’arrière de la voiture.
C’est avec regret qu’Hervé voit s’éloigner la limousine.
Après cinq ou six whiskys, il rejoint sa chambre, s’écroule sur le lit. Pendant ce temps, Alyson…
Pendant ce temps, Alyson se fait baiser par Elias. Et elle prend énormément de plaisir. A tel point, qu’elle en oublie qu’elle est venue pour offrir son corps. Toujours est-il qu’elle ne pense plus à l’argent, ni à son mari, mais au plaisir que cet homme lui donne.
Elle en est à son deuxième orgasme, quand Elias lui propose de faire intervenir son cousin Rony, pour pimenter leurs ébats…moyennant finance bien sur.
Alyson est très chaude, et une partie à trois n’est pas pour lui déplaire. Les deux libanais font tout pour la satisfaire. La jeune femme connait d’autres plaisirs, d’autres bites, et quelles bites.
La jeune femme en redemande, est de plus en plus gourmande. Elle se fait prendre dans toutes les positions, taille des pipes, avale la semence de ses amants d’une nuit. Elias et Rony, prennent plaisir à la faire jouir, l’entendre crier. En plus, ils sont vicieux. Ils font intervenir Maya, leur jeune servante âgée de vingt deux ans. Ils la regardent jouer avec la chatte d’Alyson. Celle-ci prend plaisir à se faire gouiner. Quant aux mâles, ils éclatent de rire quand elle atteint l’orgasme. Puis les deux libanais, reprennent les débats là ou ils les avaient laissés.
La nuit s’achève, elle a été torride. Epuisée, Alyson git sur la moquette.
Vers six heures du matin, Elias décide de la faire ramener….
« En fait, l’histoire remonte à quelques mois.
En effet, Hervé et Alyson, vingt huit ans, mariés depuis cinq ans, traversent une crise financière, depuis que leur société a déposé le bilan…et la banque ne veut plus les aider.
Un soir, ils sont invités à une réception à la mairie, en honneur à une multinationale libanaise, qui veut investir dans la région. Etant cadre, on ne sait jamais. Ils y rencontrent leur banquier, avec qui ils ont une grande discussion. Mais ce dernier ne veut rien savoir de leurs affaires.
Tout ça arrive aux oreilles du principal investisseur, un libanais d’une cinquantaine d’années, prénommé Elias.
-Bonsoir, dit-il en s’adressant à Hervé.
-Bonsoir, répond poliment Hervé, mon épouse Alyson.
-Bonsoir Madame. J’ai cru comprendre que vous aviez des problèmes d’argent, poursuit le libanais. Je peux vous vous aider si vous le désirait, j’ai beaucoup d’argent.
-Et nous aider comment, dit Hervé, et comment vous rembourser.
-Ne jugeait pas la proposition indécente, poursuit Elias, mais vous avez une épouse ravissante, et passer une nuit dans mon hôtel particulier, arrangeait beaucoup de chose. Cinq cent euros la nuit.
-Quoi, bondit Alyson, mais vous n’y pensez pas, quel goujat. Me prostituer, faire la pute. Allons-y mon chéri, j’en ai assez entendu.
Au passage, l’industriel libanais glisse une carte dans la main d‘Hervé.
Sur le chemin du retour, le couple revient sur cette proposition. Alyson est contre. Quant à Hervé, il serait plutôt tenté. Il essaie de résonner son épouse, lui faisant remarqué que ça peut être une solution pour régler leur problèmes, et sortir de la crise.
Après plusieurs jours de réflexion, Alyson cède. Il ne manque plus qu’à contacter Elias »
Hervé est réveillé vers six heures trente du matin par le bruit de l’eau. C’est sa femme qui est en train de prendre une douche. Il se précipite au salon, est trouve une enveloppe sur la table basse. Il l’ouvre et tombe assis sur le fauteuil. L’enveloppe contient mille deux cents euros. C’est à ce moment qu’Alysson sort de la salle de bain, rayonnante, enroulée dans une serviette.
-Mais c’est quoi cette somme, demande Hervé.
-Si tu savais, répond Alyson. Quels vicieux, ils m’ont prise à deux. Ils m’ont trouvée super bonne au lit. C’est pour ça qu’ils m’ont donné plus. C’est bien mon chéri, qu’est-ce que t’en penses.
-Et comment ça s’est passé. Ont-ils été correct…as-tu pris du plaisir. Je veux tout savoir.
-Oh putain, si j’ai pris du plaisir…comme ils sont montés…ils m’ont faite crier toute la nuit…j’ai du jouir sept ou huit fois. Ils m’ont baisée dans toutes les positions, m’ont prise en double, un devant, un derrière…pendant qu’un me bouffait la chatte, je tailler une pipe à l’autre, à chaque fois, j’avalais tout. C’est pour ça qu’ils m’ont donné plus d’argent. A un moment, ils ont fait une pause, l’histoire de boire un coup. Et ben tu sais quoi, ils ont appelé leur servante Maya, une jeune libanaise. Elle s’est amusé avec moi, m’a gouinée, m’a branlé les deux trous. J’ai eu un orgasme terrible. Puis les deux sont revenus, m’ont niquée encore et encore…une tuerie…
Hervé se prend la tête à deux mains. Alyson s’approche, s’assied sur l’accoudoir, passe une main autour de son épaule.
-Mon chéri, ne le prend pas comme ça, c’est toi qui tenais à ce que je couche avec lui. Ils m’ont proposée une autre soirée, la semaine prochaine. Mais si tu n’es pas d’accord, je n’irai pas.
-Non, il est hors de question que tu y retournes.
Un soir ou Hervé et Alyson étaient installés sur le canapé, le portable de celle-ci sonne.
-Oui, allo…ce soir…ben non, je n’ai rien de prévu, pourquoi ? A bon, je ne sais pas…
-C’est qui, demande Hervé surpris.
-C’est Elias et son copain, répond Alyson en mettant la main devant le haut parleur de son téléphone, ils aimeraient bien que je les rejoigne ce soir. Qu’est-ce t’en pense.
-On en a déjà discuté, répond Hervé, tu sais bien que c’est non.
-Ok, finit par dire Alyson, j’accepte. Passez me prendre dans une heure.
-Quoi, mais qu’est-ce qu’il te prend, gronde Hervé.
-Désolé mon chéri, mais j’ai envie de me faire enfiler par tous les trous, ce que tu n’es pas capable de faire. Je veux qu’ils me baisent toute la nuit, qu’ils m’enculent, qu’ils me prennent en double, qu’ils me fassent jouir à hurler de plaisir. Je veux leur tailler des pipes, avaler leur sperme, il a tellement bon gout. Qu’ils me fassent gouiner par leur servante. Je veux prendre du plaisir, m’épanouir sexuellement, ce que tu ne m’apportes pas, tu comprends ça. Et je ne parle même pas de ce qu’ils ont entre leurs jambes. Tu en pleurerais si voir comme ils sont montés…
Comme la dernière fois, Hervé regarde son épouse s’approcher de la limousine. Cette foi, elle est prise en charge par la servante. Comme l’homme l’autre soir, elle glisse une main entre les cuisses d’Alyson, certainement pour savoir si sa chatte est conforme à leurs attentes. Les deux femmes se prennent tendrement les lèvres, puis à l’arrière de la limousine.
Hervé passe une mauvaise nuit, imaginant à sa ravissante épouse couiner sous les coups de l’énorme queue des deux libanais. Quand il se réveille, vers neuf heures, il trouve Alyson dans la chambre d’ami, enlacée avec la jeune libanaise. Elles sont entièrement nues.
-Ma pauvre chérie, ces salauds t’ont mis le compte cette nuit, tes lèvres sont enflées et ton clito tout gonflé. Tu vas te reposer un peu, après je te ferai un bon massage. Ta petite chatte et ton petit bouton en ont grand besoin.
-Hum….roucoule Alyson…il me tarde d’y être.
Complètement abattu, Hervé préfère disparaitre de la matinée.
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