HISTOIRE RÉELLE
Je me presente Marc ( pseudo ) d’origine réunionnaise, 1.95m, métisse et bien bâti, dans la force de l’age. Je vais vous racontez mes peripeties sexuelles arrivées durant toutes ses années.
Le sexe comme beaucoup de garçon m’a pris très tôt vers 13-14 ans, en commençant par la masturbation et les caresses. Mais jusqu’à mes 19 ans j’étais toujours puceau.
C’est peut être du au fait qu’à 17 ans je me suis engagé dans l’armée et j’étais très concerné par mon travail que je n’accordais pas de temps au sexe opposé ou que je ne me trouver pas forcément attirant . Originaire de la Reunion je suis rentré de mission et fît la connaissance d’Aurélia.
Aurélia était une créole blanche, 1.60m brune un corps parfait et des seins énormes à tomber. Après avoir flirter avec elle je décide de perdre mon pucelage avec elle. Cela n’allait pas être une affaire facile, Aurelia vis chez ses parents et est vierge aussi. Néanmoins j’arrive à la persuader de passer à l’action une fois ses parents en week-end.
Me voilà arrivé chez elle le samedi après midi ses parents viennent de partir et sa mère me jette un regard inquisiteur. Enfin seul je lui lança, elle timide ne répondît pas s’installa dans le canapé et lança un dvd. Ne perdant pas mon objectif de vue j’entreprends de la chauffer avec baisers et caresses subtiles. Sous mes assauts soutenues elle m’apporta toute son attention, je parviens a glisser ma main dans sa culotte sous son jean, je découvre du bout des doigts une toison sauvage, je descends et atteint enfin son antre du plaisir. Humide et chaud à la fois j’entreprends un massage de son clitoris en douceur, je sens son corps se raidir sous mes caresses, de mon autre main j’ai libéré sa poitrine de son haut plongeant des seins magnifiques du 95D ronds fermes et prêt à être teter ce que j’entreprends.
Écoutant mes pulsions je la déshabille, la libère de son jean et commence à embrasser son ventre en gardant une main sur sa poitrine et l’autre sur son clito. Je vois la chair de poule parcourir son ventre plat et musclé, je me délecte de faire cet effet à une femme. Je continue mes baisers en descendant vers sa toison, enlève mon doigt et commence un cunilingus sur son bouton tout enflé, elle soupire, se tort, se raidit et tout d’un coup m’enlève à mon oeuvre. Elle a peur n’a jamais connu d’orgasme et me demande d’arrêter. Pensant devoir rester sur ma faim, je me résigne et remonte vers son visage pour l’embrasser, c’est alors qu’elle m’enleva mon jean, mon boxer et pris mon pénis en main commençant à me masturber avec tendresse. J’étais dur par ses gémissements qu’elle n’attenda pas plus longtemps pour me prendre en bouche, c’est la première fois qu’elle suce une bite et pour une première elle se retrouve face à mon phallus de 20cm la nature a été clémente avec moi. Elle a du mal mais s’efforce de bien faire maintenant ainsi mon érection à son paroxisme. Je me sens comme envoûter, tout autour de nous a disparu, je n’entends que sa respiration forte et ses bruits de langue. Je ne vais pas tenir longtemps, je décide donc de la pénétrer, mon oeuvre sur sa chatte ayant fais son effet j’arrive doucement à rentrer en elle. Je la vois grimacer, je pousse centimètres par centimètres jusqu’à mi queue, c’est alors que je commence mes vas et viens je sens sa petite chatte s’ouvrir à chaque mouvement de hanche. Ma queue sérrée entre ses lèvres pulpeuses ne tiendra pas longtemps ses gémissements font monter la pression de mon sperme. J’accélére alors le rythme quitte à cracher aurant qu’elle jouisse aussi. Dans un dernier effort je sens mon sperme remplir sa chatte. Nos râles de plaisirs sont à l’unisson. Je m’allonge près d’elle en sueur et suffoquant, elle me lance alors un regard satisfait. Ce que je ne savais pas c’est que ce regard voulait dire autre chose, j’avais éveillé une bête insatiable et je m’en rendrais compte assez rapidement.
Après cet après-midi Aurélia s’était totalement libéré niveau sexe, durant mes trois dernières semaines de vacances. On enchaîna session de baise sur session de baise. Son père partait 20 minutes, à peine parti elle se trouvait a califourchon sur ma bite toute raide à sa dehancer comme un diable chose qu’elle maîtrisait totalement. Malheuresement j’ai dû rejoindre mon unité mais cela ne mit pas un terme a mon histoire avec Aurélia.
La suite au prochain récit 😉
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