Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe soeur

Quand Margot devient chienne 16

Quand Margot devient chienne 16



C’est vraiment maintenant que tout commence.

– Vous voyez mon cher Laurent, je ne m’étais pas trompé, ni sur vous, ni sur Margot. Ou plutôt si, sur une chose. Je ne pensais sincèrement pas qu’elle y viendrait aussi vite. En quelques jours la carapace s’est fissurée et en quelques semaines elle est devenue accroc. Et pas qu’un peu. De plus, avec de sacrés clients si je puis dire. N’êtes-vous pas étonné ?
– Oui et non. Bien sur un peu quant à la rapidité. Je suis de votre avis, je ne m’attendais pas à ce que cela soit si « facile ». Je reconnais qu’elle a plongé là-dedans avec délice bien plus vite que je l’imaginais et même plus vite que peut-être je le souhaitais, je l’avoue. Sans doute une pointe de jalousie pour l’incorrigible macho que je dois être. Mais en même temps pas vraiment surpris non plus. Comme je vous l’avais dit, elle n’a jamais eu peur de se montrer nue. Elle n’a jamais fait la fière quand on la matait dans la rue ou ailleurs. Avec moi, même si on n’a jamais fait la moitié du quart de ce qu’elle a fait avec vous, elle n’a jamais rechigné à faire l’amour et elle n’a jamais craint de parler de ses fantasmes. Vous aviez aussi sans doute raison lorsque vous disiez que j’avais peut-être inconsciemment deviné ses aptitudes et que c’est ça qui nourrissait mes propres fantasmes. En tous cas je vous remercie beaucoup pour ce que vous avez réussi à faire avec elle. Elle est devenue la salope dont je rêvais en secret.
– Oh mais mon cher Laurent, ne me remerciez pas déjà. Certes c’est un premier cap de franchi, mais en fait, c’est maintenant que tout commence.
– Comment ça tout commence ??! N’avez-vous pas réussi à faire d’elle la salope affamée de sexe dont nous avions convenu ?
– Pardonnez-moi mon cher Laurent mais si vous relisez votre contrat vous constaterez que nous avions convenu d’en faire une « chienne ». Hors je suis tout à fait d’accord avec vous, pour l’instant elle n’est qu’une salope aimant le sexe. L’exemplaire du contrat que vous possédez porte également ma signature et tout comme vous je suppose, je tiens mes engagements. J’en ai fait une salope je vous l’accorde, mais maintenant je vais en faire une chienne comme d’ailleurs vous me l’avez demandé.
– Bon, bon, très bien, je suppose que vous avez raison, je ne discuterai pas le sujet. Mais devenir chienne, dans votre langage, cela implique quoi exactement ?
– Mais justement Laurent, c’est pour cela que nous sommes réunis tous les deux aujourd’hui. Nous devons fixer les limites. Hier c’était pour le folklore. Pour que Margot se sente importante, qu’elle ait l’impression d’être vraiment actrice de sa destinée. Il s’agissait aussi que vous la voyiez en action afin de conclure votre accord définitivement. Il fallait qu’elle voit que vous aviez compris et accepté que je sois son Maître. Ainsi elle a confiance en nous deux et même si elle ne connaît pas notre relation ni bien entendu nos accords, elle pense désormais que nous sommes conscients de la situation et que chacun accepte l’autre.

La veille, j’étais venu avec Margot au château. Elle portait une petite robe sans manche très moulante, un peu comme certains tee-shirts, qui ne lui cachait en vérité pas grand chose. Le moindre geste laissait apparaître le bas des fesses et par conséquent sa chatte lisse comme un œuf depuis quelques jours. « BHV » l’avais exigé. Donc plus de ticket de métro. Dans la voiture, en position assise je ne vous raconte même pas. J’imagine que les routiers qu’on a doublés lentement dans les embouteillages devaient conduire avec un second levier de vitesse.
Bref, comme à l’accoutumé, c’est le larbin à l’air de croque-mort qui est venu nous ouvrir dès le premier coup de sonnette. Il nous a conduit dans le bureau de « BHV » et a refermé la porte en sortant.
« BHV » était installé dans un fauteuil du petit salon qu’il avait dans son bureau. Il a aussitôt fait venir Margot près de lui et a passé sa main entre ses cuisses. Sans doute pour vérifier en « Maître » et devant moi qu’elle n’avait pas mis de culotte. Il a dû faire un peu plus puisqu’il lui a tendu ses doigts pour qu’elle les suce. Ce qu’elle a d’ailleurs fait sans broncher avec toutefois un petit coup d’œil vers moi, sans doute pour voir quelle tête je devais faire. Satisfait du résultat, il la fit asseoir à ses pieds et me proposa l’autre fauteuil.
– Mon cher Laurent, si vous êtes là c’est que votre femme, Margot, vous a expliqué le changement de situation qui est intervenu dans sa vie.
– Oui, en effet. Elle m’a dit que c’est vous qui lui dictez sa conduite sexuelle, du moins en dehors de notre vie conjugale si j’ai bien compris.
– C’est à peu près ça en effet. Mais pour que les choses soient bien claires je dois vous dire qu’en fait, je décide quand elle baise, qui la baise, par où on la baise, avec combien elle baise. Je décide également quand elle m’accompagne à des soirées chez mes amis ou si elle reste ici lorsque je reçois. Est-ce que c’est bien clair pour vous car Margot a accepté et signé un contrat pour ça ?
– Oui, absolument, c’est très clair. Je ne veux pas la perdre et je lui ai dit que j’acceptais sa nouvelle condition sans restriction d’aucune sorte.
– Alors parfait ! Nous allons fêter ça dignement.
A ce moment là, « BHV » saisit une petite clochette qui était posée sur la table basse à côté de lui et l’agita. A peine trente secondes après la porte du bureau s’ouvrit. Je m’attendais à voir surgir le larbin chargé d’une bouteille de champagne et de trois flutes, mais c’est Karim qui entra et qu’il me présenta. Le marocain était déjà à poil en semi érection. Il vint s’asseoir sur le bord du bureau, face à nous, les bras en appui de chaque côté sur le bois. « BHV » dit à Margot de se lever et d’aller le sucer. Sans un mot, sans un regard pour moi, elle se leva et en deux pas fut devant Karim. Elle s’agenouilla devant lui mais « BHV » la reprit aussitôt en lui disant : « Non, pas comme ça ! ». Elle se releva donc et cette fois-ci se courba seulement et emboucha le membre qui déjà relevait la tête. Elle se mit à sucer l’engin tout en triturant les couilles de son partenaire. C’est le moment que choisit Romain pour faire son entrée. Même si je m’attendais à quelque chose dans ce goût là, j’avoue avoir été surpris par l’entrée de notre deuxième protagoniste. D’autant plus surpris qu’il est entré aussi nu que Karim mais lui, avec son braquemard en plein développement. Putain ! Quel gourdin. « BHV » m’en avait parlé et j’avais vu les photos, mais en vrai c’est quelque chose. J’avais les yeux comme des soucoupes. Je me disais que c’était impossible qu’un truc pareil entre dans un des orifices de ma si petite Margot, si fragile, si étroite, si … Nom de dieu ! Où va-t-il lui enfiler ça ? J’avais mal pour elle. Instinctivement je serrais les fesses. Comme si ce machin m’était destiné. Pourtant il avançait vers ce cul offert que la position rendait presque obscène. Il se positionna derrière elle, lui saisit les fesses et de ses énormes pouces les écarta. Son trou du cul devint apparent, grotesque, étiré par ces doigts d’ébène. Il relâcha une fesse et attrapa le tube de gel qui trônait sur le bureau à côté de Karim. Il dégagea le bouchon d’un coup d’ongle et cracha une giclée du produit sur la rondelle de ma chérie, de mon amour, de ma douce épouse, de ma salope de femme oui !!!
Après avoir reposé le flacon Romain repris possession des deux lobes laiteux et les écarta de plus belle. Ses deux pouces pénétraient le trou du cul afin d’y faire entrer un peu de lubrifiant. Il malaxait l’anneau en faisant des arcs de cercle. Sous l’effet du massage, les muscles se détendaient et il en profita pour présenter son gland à l’entrée de la béance naissante. Son pieu était raide comme la justice. La tête fut avalée en une seconde. Je n’en revenais pas. Je m’aperçus que j’avais la bouche ouverte comme un gosse devant un sapin de noël. Je reprenais mes esprits et refermais mes mâchoires. Romain était immobile. Sachant l’effet que produisait son dard il attendait un instant afin que l’étroit passage s’habitue. Puis petit à petit je vis son énorme pieu s’enfoncer centimètre par centimètre et disparaître complètement dans le cul dilaté de ma salope.
Oui de ma salope ! J’avoue que je ne savais plus trop comment l’appeler désormais. De ça j’en avais rêvé. Et maintenant c’était devant moi. Alors p’tit gars, qu’est-ce que t’en dis, hein ? Tu la vois bien ta grosse truie se faire démonter la rondelle par cette bite énorme de black ? Et cette queue de marocain qui lui chatouille les amygdales, tu la vois bien s’enfoncer ?
Et oui, ça y était. Elle était finalement devenue ce que j’avais fantasmé durant des mois. Et alors t’en penses quoi ? J’en pense quoi, j’en pense quoi, je pense que c’est bandant et malgré tout je sens bien qu’une pointe de jalousie me titille la poitrine. Mais ma perversité doit être la plus forte parce que je bande vraiment devant ce spectacle orgiaque.
Maintenant Romain fait des vas et viens d’anthologie. Parfois il sort complètement sa queue et un gros trou béant, rougit par le frottement reste en place un bon moment avant de commencer à se refermer légèrement. Mais il remet son pieu aussitôt et reprend son défonçage de cul à vive allure.
Sur un signale de « BHV », Karim retire sa queue de la bouche de Margot et s’allonge sur la moquette. Romain se retire aussi et att**** Margot par les hanches, la soulève et vient l’empaler sur la bite dressée du marocain. Puis à son tour il se met à genou derrière elle et l’encule de nouveau. A tour de rôle les deux queues s’enfoncent dans les orifices dilatés. De part et d’autre les gémissements deviennent ahanements, puis grognements. Romain le premier décharge dans le caoutchouc que chacun avait bien entendu enfilé auparavant. Il est suivi de Karim et de Margot qui explose dans un cri presque inhumain. Elle jouit comme jamais je ne l’avais vu jouir et s’effondre sur le torse de Karim avec toujours les deux bites en elle.

– Oui mon cher Bernard je pense que vous avez raison. Désormais Margot est convaincue que les choses sont acceptées en l’état par chacun de nous. Maintenant il reste en effet à déterminer jusqu’où nous pouvons tenter de la faire aller.
– Mais oui, c’est ce que je vous dis. La question que vous devez vous poser c’est : « qu’est-ce qui est supportable pour elle et pour moi ? ». Si vous trouvez la réponse à cette question, nous trouverons alors comment y parvenir. Et soyez gentil, ne me donnez pas carte blanche. Vous devez absolument être impliqué. D’autant plus que tôt ou tard c’est vous qui aurez les rênes. Alors réfléchissez et tenez moi au courant.
– OK. J’ai déjà ma petite idée mais je vais peaufiner tout ça à tête reposée et je reviens vers vous. Cela dit quand je vois ce qu’elle a pris hier dans la chatte et dans le trou du cul, ça ouvre des horizons si je puis dire.
– Oui comme vous dites. Honnêtement, je crois qu’on peut faire de très belles choses avec elle. Elle est costaud physiquement et moralement. C’est plus à vous que je pense Laurent. Saurez-vous être à la hauteur de votre femme ?
A suivre…. Et merci pour les commentaires, c’est encourageant.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire