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Mes aventures 2 l’esclave

Mes aventures 2 l’esclave



Le temps passe. J’essayais d’oublier ce fâcheux événement et n’allais plus faire mon footing. Mais un matin, alors qu’Alain montait dans sa voiture pour se rendre au travail, un homme d’une trentaine d’années frappât à sa vitre.
« Vous êtes bien Alain ? Le mari de Michèle ? »
« Heu oui que voulez-vous ? »
« J’ai des photos à vous montrer. »
L’inconnu fouillât dans sa poche et lui présentât une photo où, stupeur, il me voyait entrain de faire sodomiser par un mec.

«  Mais qu’est-ce que….. »
L’inconnu ne lui laisse pas finir sa phrase et lui balançait une autre photo ou je suçais le mec.

Choqué, Alain lui répondit :
«  Mais ce n’est pas possible ! C’est quoi ces conneries ! »
Très en colère, il sortit de la voiture pour lui casser la gueule. Mais l’inconnu l’arrêtât net montrant une autre photo et lui disant :
« He ! Doucement mon gars ! Si ta meuf est une pute j’y peu rien ! »

Alain était abasourdi. L’inconnu reprît calmement :
«  Il faut que je vous explique. Votre femme fait soit disant son footing mais c’est pour mieux se faire troncher. Donc, si vous ne voulez pas que tout le quartier voit ces photos et qu’elles soient diffusées sur le net, il va falloir payer. »
Sous le choc et en attendant de pouvoir s’expliquer avec moi, Alain lui dit :
« Ok connard ! J’vais payer ! »
L’inconnu rigole en lui disant :
« Vous êtes sûr de pouvoir réunir 5000 balles ? »
«  Mais vous êtes taré ? »
L’homme alors s’éloignât en disant à mon mari :
« C’est toi qui vois ! Présentes-toi demain à l’adresse au dos des photos, avec l’argent avant midi. Et pas un mot à la police ! »
Alain restât comme deux ronds de flan en regardant bêtement les trois photos et l’adresse. Il se demandait comment avais-je pu faire ça et que signifiait ce rendez-vous ? Le lendemain, Alain quittât son travail plus tôt pour se rendre à l’adresse indiquée. L’inconnu de la veille lui demandât :
« T’as le flouse cocu ? »
Alain ne l’avait pas et lui dit :
« Votre chantage ne marche pas Monsieur ! Vous pouvez les diffuser vos photos je n’en ai rien à faire ! »
Le mec sourit et lui dit :
« Suis-moi ! »
Il l’amenât dans une pièce où il y avait un black d’une cinquantaine d’années qui lui dit :
« Alors comme ça le cocu ne veut pas payer ? »
« Non ! Allez vous faire mettre ! »
Le black rigolât sûr de lui en rétorquant :
« Faut rester poli mon gars ! Pour l’instant c’est pas nous qui allons nous faire mettre mais ta pouf ! Regarde là !»
Il lui désignât un miroir sans tain qui donnait sur une pièce curieusement aménagée.
Soudain, la porte de cette pièce s’ouvrit et je fis mon apparition. Alain restait stupéfait et se retournant vers les deux inconnus il leurs lance :
« Mais…Mais c’est ma femme ? Que fait-elle là ? »
« On se doutait bien que t’allais pas payer. Alors on a fait chanter ta salope entre lui imposant de se soumettre comme une pute ! »
Comme je ne pouvais payer, il m’avaient proposé d’être leur esclave sexuelle. Je ne savais pas que mon homme était derrière ce miroir. Il m’avait mis un collier de chien et me firent entre dans cette salle à quatre pattes, tenue en laisse dans la tenue d’Eve.

Un des hommes me demandât alors :
«  Alors, Michèle, tu dire qui tu es, petite pute ? »
Je ne bronchais pas à l’insulte et lui répondis :
« Je suis une chienne Maître et vous pouvez faire de moi ce que bon vous semble ! »
«  Dis le moi mieux. Je veux être sûr que tu as bien compris chienne ! ».
« Oui, Maître. J’ai mis le collier de chien pour que vous puissiez m’attacher la laisse et m’utiliser comme une chienne Maître ! »

Alain était au trente-sixième dessous. Sa douce et tendre femme qui parlait comme une pouf de ses « nichons », de « sa touffe », qui avouait être allée dans un sex-shop et s’exhibait devant des inconnus. Non, décidément, il ne comprenait plus rien. Un homme me demandât :
«  Et là, est-ce-que tu vas m’obéir et me montrer ton trou à bite ? »
«  Oui, Maître, regardez ! »
En me retournant, j’ouvrais mes fesses pour qu’il ai tout le loisir de voir mon intimité et découvrir ma chatte trempée de cyprine.

«  C’est bien. Continue, Michèle !  Bon ! Maintenant comme d’habitude ! »
Alain stupéfait me voyait déambuler à quatre pattes dans la pièce, les seins balotant sous moi et émettant des jappements de chienne.

Alain devait être atterré de me voir ainsi, pourtant je suis certaine qu’il devait bander. Après cette exhibition forcée, cinq mâles se servirent de moi comme d’un jouet pour se vider.

Quand je rentrais enfin chez moi, vidée mais aussi très rempli, Je ne savais pas encore qu’Alain avait assisté à toute la scène. Je ressentais encore les monstrueuses pénétrations de ces mecs et l’insoutenable humiliation que je subissais. J’avais encore dans la bouche, le goût de leurs sperme. Pour la première fois, j’avais été prise par tout les trous en même temps et servi de vide couilles.

J’avais conscience que je m’enfonçais dans une situation inextricable et que je risquais la pérennité de notre couple. D’ores et déjà, je savais que j’irais ce soir au sex-shop, comme l’avait exigé le black. Je savais que j’y serais encore humiliée, qu’on me traitera comme une pute et que j’accepterais tout. La gentille petite bourgeoise devenait l’esclave sexuelle d’Ali.

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