Coucou mes chéri, désolé d’avoir était aussi long pour vous conter une aventure croustillante! Sachez pour ceux qui m’ont lu précédemment que je ne suis plus avec mon homme. Libre comme l’air je vais et viens aux guises de mes envies. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Lou, 22ans, gay passif et soumis depuis l’âge de 14ans ou j’ai découvert ma sexualité. Deux trois petits photos accompagne mon profil pour ceux qui aime voir à quoi je ressemble.
Maintenant reprenons l’histoire.
Il n’y a pas très longtemps de ça, j’étais parti dans Toulon pour faire un peu les boutiques. Je chercher un ensemble de lingerie complet avec les bas, porte jarretelle, string et soutien gorge. Je tournais donc de boutique en boutique, de sex-shop en sex-shop. Sans trouver vraiment mon bonheur. Quand finalement je passa devant un magasin spécialisé en lingerie, avec un ensemble à croquer. Des bas blanc satin ouvert sur toute la hauteur derrière la jambe, tenu par un va et vien de cordellette rose fini par un petit nœud juste sous la fesse du mannequin. Les jarretelles elles étaient rose avec un tout petit nœud blanc sur les côtés. Le string était idéalement fendu d’un blanc étincelant avec le soutien gorge de la même matière, tout deux avec des petites fioritures rose. Je cracqua complètement devant cet ensemble surtout que je suis très blanc de peau et blond au naturel. Un rêve! Je pénétra dans la boutique et alla voir la vendeuse au sujet de cet ensemble. Lui fit mine que cetais pour ma copine je donna quand même mes mensurations. La vendeuse me dit qu’elle devait avoir un jolie corps avec de tel mensurations. Je voyais donc que l’entretien que j’avais de celui ci portais vraiment ses fruits pour ma féminité. Je sorti donc tout content de moi et retourna au sex-shop acheter une cage de chasteté rose que j’avais vu histoire d’être assorti jusqu’au bout. La journée me coûta très chère mais j’étais heureux de mon petit cadeau.
Une foi arrivé chez moi, je fila sous la douche, enlevait toute odeur mâle préfèrent soins et crème à la coco. Le maquillage n’était pas compliqué avec moi. Le teint très blanc, le visage féminin par nature et complètement imberbe je n’avais juste qu’à me rosir un peu les pommettes, m’élancer le regard, et mettre mon petit gloss fétiche à la fraise bonbon. Pour mes cheveux j’avais juste à les détacher pour qu’ils recouvrent mes épaules de boucles blondes et soyeuse. J’attendais la fin de mon érection en examinant chaque recoin de mon corps à la recherche de poil. Je vais beaucoup chez l’esthéticienne mais on ne sais jamais. Une foi l’excitation tomber, j’enfila vite ma nouvelle cage. Un bijoux de plus sur moi avec mes bracelets, piercing au nombril, boucle d’oreille et mon petit collier avec comme pendentif la clef de ma petite cage. Je sorti ma nouvelle tenue de son emballage et commença par enfiler le string. Son ouverture laisser juste la place à mon petit pénis et à ses deux copines libre de tout mouvement. Mes portes jarretelle et soutient gorge mis, il ne me restait plus qu’à glisser mes jambes dans ces bas plus délicat que de la soit. Le contact sur ma peau me fit souffrir de bonheur. Une érection forçait et me tortillait un peu mais quesque je me sentais bien! J’enfile un petit jean trop moulant avec quelques trou par ci par la, avec un petit chemisier blanc transparent laissant voir ma poitrine et mon piercing. Je n’ai pas honte d’être plate. Et je ne transformerai jamais mon corps pour ça. Je choisi parmi la dizaine de talons que je possède, des escarpins à bout rond et fermer, un talons de 14cm et verni d’un rose presque pale. Me voilà prête, je peux donc vous parler de Julie!
Je tourner, m’occuper, me regarder dans la glace constamment, je fantasmer sur celui qui pouvait profiter de mon cul, rond ferme et cambré. Je sortais au balcon regarder les gens passer, le papy d’en face qui m’espionner dans ce qu’il croyait être la plus grande discrétion. Et au bout d’un certain moment la porte de chez moi fut frapper. Prise de paniques, car ne sachant pas qui pouvait bien venir je voulu me changer. Chose que je ressenti vite comme impossible car maquillage et parfum ne partent pas comme ça. J’ouvri donc la porte et me trouva face à un homme, la trentaine, d’une beauté… J’en était toute chose et il le vit bien. Ne se doutant pas de la supercherie, il me désigna comme mademoiselle et cherchait mon autre moi. Je lui dit que ce garçon qu’il chercher n’était autre que la demoiselle qu’il voyait. Surpris et gêné je lui dit que ce n’était pas lui le plus gêné des deux. Et il se présentât comme mon nouveau voisin et qu’il m’invitait, dans la tenue et personne que je préférais chez lui à prendre un verre. J’accepta sans hésiter et lui présentât à mon tour Julie, la fille qu’il verra chez lui.satisfait de ma réponse il me saluât en disant que je pouvais venir quand je voulais dans la journée. J’étais toute excité de cette rencontre que je puis m’empêcher de téléphoner à mon amie pour lui expliquer ce qu’il venait de m’arriver. Elle me disait de foncer, d’avoir confiance en mon corps qui la fesait jalouser, elle une vrai femme! Je l’écouta, pris mon courage à deux mains et alla chez ce beau voisin que l’on m’offrait.
Devant sa porte j’étais toute tremblante et je tocqua timidement à celle ci. J’entendis ça voi qui me dit de rentrer. Je poussa donc la porte pour me retrouver dans un appartement qui avait la même configuration que le mien, mais à l’envert, avec encore des cartons pas déballé et du fouilli un peu partout. Il était en plein rangement, bas de survêtement en coton et petit débardeur. Quel corps de rêve, il était d’un beau s’en était presque déconcertant. Il m’exprima ça joie de ma venue, me prénomma sans hésitation Julie, et nous commencions la conversation sur tout et rien. Il disait que c’était un homme discret, qu’il vivait seul avec son chat et son matériel de sport. Divorcé et sans enfant il venait juste d’arriver ici. Il était de Tours à la base et a voulu quitter toute ça vie passait pour une nouvelle. Vint ensuite le sujet inévitable de mon apparence et mon choix. Je lui expliqua que je vivais garçon tout les jours et que quelque foi chez moi je m’amusais à me travestir. Pour mon seul et unique plaisir, car j’étais seule. Et que le fait qu’il m’est surprise était la toute première foi que ça arriver. J’avais un peu honte. Il me demanda sur mes cheveux, ma cambrure si elle était exagéré ou naturelle. Tout était vrai lui dis-je sauf le prénom que je portais. Il m’avoua qu’il me trouvait très attirente et super féminine, et que ça lui semblait tout de même bizarre d’être attiré par un homme. Je lui fit savoir ma gratitude par une simple coloration du visage et un sourire timide, avant de lui retourner en balbutiant un peu la beauté de l’homme que j’avais en face de moi. Cela le fit sourire et il me posa une question que j’ai toujours rêver qu’on me demande. « Qu’est ce qui fait que je soit plus intéressant qu’une femme? » Et la je lui expliqua que j’étais toujours partante pour le plaisir de l’autre, jamais de refu, que j’étais une fille soumise aux désirs de ces messieurs, et que mon corps était tellement important pour mon bien être qu’il était toujours très bien entretenu et vêtu. Il resta silencieux et sembler hésiter à dire quelque chose mais ce tut. Quelques instant après il me raccompagna à la porte prétextant qu’il avait des cartons à déballer. Lui proposa mon aide mais il n’en fit rien. Je le précéda jusqu’à la porte pour qu’il voit bien mon meilleur profil. Il me doubla pour m’ouvrir et sentir son souffle chaud et puissant dans mon coup. Un frisson me vint, nos regards s’échangèrent et je m’en alla.
Une foie seule chez moi j’étais encore toute chose de cette rencontre. Je n’arrivait pas à ôter son visage, ses mains grandes et puissantes, le corps musclé dessiné derrière ses vêtement de mon esprit. Je me disais qu’il ne fallait pas que je me fasse de film, qu’il me trouvait très belle mais que c’était un hétéro pur et dur. Déçu par mon raisonnement je resta néanmoins Julie et me glissa sur le canapé devant la télé. J’en vint presque à m’endormir et je ne vit pas l’heure défiler. L’appétit me réveilla et je commençais tranquillement à me préparer à manger. Quand a ma porte quelqu’un re toqua encore. Deux fois dans la même journée c’était un peu trop pour ma discrétion et je décida de rien n’y faire et rester silencieuse jusqu’au départ de cette personne. Elle insista néanmoins et j’entendis la voix de cet apollon criant « Julie je sais que tu est la! » Quel sensation de bien être me pris le corps et me coupa le souffle, je me précipita lui ouvrir la porte. Il était la, petit jean, chaussure de ville et chemise ou les boutons semblaient vouloir venir me crever les yeux! Il avait à la main une bouteille de champagne et un petit bouquet de rose. Il me prétexta qu’il aurait bien voulu qu’on ce découvre un peu plus. Toute affolée je le tira par la main et l’accompagna chez moi. Il vit que même dans ma façons de vivre j’étais femme. Plante, beaucoup de couleur rose et rangement irréprochable. Il s’amusait à dire que ça lui ferait du bien une fille comme ça chez lui, qui n’était pas un pro du ménage. Je lui sorti ma tenue de soubrette et lui dit que cetais pour ça que j’aimais bien le ménage. Il en resta bouchebé. Je m’installais avec lui sur le canapé, il fit sauté le champagne et nous trinquèrent en ce regardant droit dans les yeux. Il était doux, poli, intelligent, intéressant et physiquement parfait.
Un peu plus tard après une bouteille de champagne il ouvra les premiers bouton de ça chemise. Il faisait chaud me disait il! Puis il eu une réflexion qui changea complètement le cour de la soirée. Il était curieux de voir ce qu’il y avait son mon jean. Je lui dit qu’il n’avait qu’à venir vérifier par soi même, et il se dressa, m’approcha avec un regard plutôt pervers. Il m’agrippa par mes poignée d’amour et me colla contre le mur. J’étais bloqué, yeux fermer, prete à assouvir tout ses désir. Il approcha ses lèvres des miennes et timidement me fut un petit bisous. Nous nous sommes regarder et la je décida de m’accrocher à son coup et de l’embrasser vraiment. Ses mains soulevèrent mes fesses, et n’étais plus que sur la pointe de pieds mes ne forçais pas car c’est lui qui me portait. Je passa ma main dans son entre jambe et senti sa queue déjà bien raide et qui semblait bien proportionné avec le reste de son corps. Lèvres pincé et sourit en coin je me rabassa à son niveau et commença à lui défaire le pantalon. De la sorta directement le membre assez imposant, qui me tapa le visage, faute de caleçon pour la retenir. Je la prise en bouche et entendit un long râle de sa part. Elle était belle et goûteuse et je me régalais de la lui sucer. Il me dit remarque que c’était la première fois qu’on lui fesait ça si bien. Au bout de quelques minute il me redressa, ouvri mon jean et le fit tomber jusque sous mes fesses. Il se colla à moi et passe sa tête par dessus mon épaule pour y voir mes fesses. Quel cul me fit il alors en le claquant de ses mains musclées! Il s’agrippa à lui comme si il se tenait à un rebord de fenêtre pour ne pas tomber. Il me dévora la bouche avec la sienne, me fesser de temps à autre puis me jetât sur le canapé. Je l’attendais sagement le pantalon baissé juste pour y voir le bord de mon string, et les fesses déjà toute rouge de ses mains. Il se dénuda totalement et vint à ma rencontre. Il me tira le jean jusqu’à cheville et decouvri l’ensemble que j’avais. Il recula, me regarda, et me dit que j’étais une sacrée bombe. Je sourias un peu gêner de lui montrer mon sexe et de lui même enleva ma main pour y déposer la sienne. C’était plutôt agréable me dit t’il. Mais ne s’y attarda tout de même pas trop. Il me mi à genoux et commença à me lécher les fesses, il me disait qu’elles étaient vraiment douce, et que mon petit trou lui semblait serrer pour y accueillir ça verge. Je lui sorti de ma table basse, un god, lui mis dans les mains et lui demanda de commencer avec ça. Car il est vrai que ça queue était large. Il s’amusa alors avec moi comme un enfant avec un jouer. Le rentrait, le sortait, envoyer de grosse claque bien lourde pour faire rougir ma peau. Ma mains venait ce glissait de temps à autres pour me masser les couilles et il en faisait de mêmes quand je la retirer! Cetais l’extase, je gémissais, l’appelais me baiser, les yeux fermer je voyait quand même son visage dans mon esprit, grimassent de plaisir! Quand enfin il me pénétra, je senti la chaleur de sa bite me démolir le trou. J’avais très mal mais je forcer avec lui pour l’avoir toute en moi. Quand ses haches se posèrent contre mon cul, le rythme des vas et viens commençant. Ainsi que les « t’aimes ça salope » et les « oh oui » et « encore » que je lui lançais. Il sorti de mes fesses s’assit sur le fauteuil, le sexe droit et fier et m’invita à m’assoir dessus. Je grimpa sur lui, face à lui, et commença à chevaucher cet apollon de plaisir. Je’ hurlais de plaisir, mes cuisse commençaient à me brûler mais je continuais, j’allais avoir le plus bel orgasme de ma vie! La sentation me traversa tout le corps, j’avais le visage qui se remplissait de sang, une chaleur intense accompagner de fourmillement m’envehirent! Je planta mes ongles dans son dos et lui morda le trapèze. D’une main il me serrer très forts à lui et de l’autre me soutenait le cul car j’étais à bout de force. Une foi l’orage passé je me dressa sur mes talons, et l’invita à finir dans ma chambre. Je m’installa sur le lit. Jambes replier sur mon torse prête à l’aceuillir. Il fondu sur moi pour me sauter jusqu’à épuisement. Ses coups de hanche étaient vraiment puissant et mon petit cul commençait vraiment à le sentir passer. Je m’accrocher désespérément à lui, l’embrasser et je le senti à arrivait. Ça tête ce dressa, ses yeux se femerent, un râle sorti de ça bouche et immobilisa son corps. Je senti son sexe s’élargir un peu… Puis…. Un doux liquide chaud me rempli de joie. Il s’éjecta de moi et je le suça une dernière foi à la recherche de la moindre goutte sauvé. Puis il s’allongea de tout son long, et me blottit contre lui. Il venait de me procurer le plus bel orgasme que je n’ai jamais eu. Il me demanda aussi si il pouvait partager la nuit avec moi, car il se sentait bien avec moi. Je n’attendais que ça de sa part. Je me déshabilla, enfila une petite culotte rose et me blotti contre lui pour profiter de l’instant.
Depuis ce jour, Marc et officiellement mon amoureux, deux hommes ensemble dans la vie de tout les jours et à son grand bonheur une femme dans l’intimité. Il ne vit quasiment plus chez lui et passe ses nuits à m’empêcher de dormir à me faire l’amour et me sentir femme au plus profond de moi même. Je suis amoureuse de lui et j’ai voulu vous le faire partager dans ce petit récit de notre première rencontre.
N’hésitez pas à commenter, si vous voulez d’autres histoires! Bisous j’espère vous avoir plu!!!!
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