Je croyais que mon mari me tenait pour quitte de ma punition suite au carnaval Mais le week-end suivant, il décide de se rendre en ma compagnie dans un établissement spécialisé.
A peine arrivée dans le club BDSM, je suis invitée par un homme vêtu juste d’un cache sexe et d’une carrure impressionnante à le rejoindre sur la scène. Je regarde Alain qui me fait signe d’obtempérer. Je sais que je dois obéir et ce que je dois expier. Je monte sur cette scène le cœur serré, très angoissée.
Certainement en accord avec Alain, le mec m’arrache quasiment mon top et ma jupe. Il se sait d’un couteau et coupe mon soutien gorge et mon string. Puis il tourne autour de moi d’un air menaçant een faisant glisser la pointe de la lame sur mes seins, mes fesses et mon abricot. Je suis tétanisée et n’ose faire le moindre geste. Je ne pense même pas aux spectateurs qui doivent se délecter de ma nudité.
Il me fait tourner sur moi même pour que tous admirent mes formes et me donne un grande claque sur les fesses en désignant un carcan dans lequel il m’immobilise.
Il passe ses mains sur mes fesses, les écartes pour offrir mon intimité au public. Puis il enfonce un doigt dans mon petit trou et se met à me le ramoner énergiquement. Je grimace mais n’ose rien dire de peur de représailles plus violentes. Malgré moi, je me met à mouiller sous cette dégradante humiliation.
Sur un signe de tête de mon mari, cet homme m’enfonce deux doigt puis trois dans le fondement. Je gémis sous ce traitement infâme. A ce moment, mon tortionnaire lance au public :
« Elle mouille comme une chienne en chaleur et son cul est bien ouvert ! Elle est prête pour la suite! »
Alain lui tend un plug queue de renard qu’il trempe dans une pâte lubrifiante et me l’enfonce dans le conduit anal. Je me cambre au maximum pour facilité l’introduction de l’engin et limiter la douleur de la dilatation extrême qu’il provoque. Une foi bien au fond de mon cul, il se met à me cravacher les fesses.
Le public applaudit quand mon tortionnaire lève le bras et assène sur sur mon dos et mes seins pendant plusieurs coups assez violent qui me font hurler. Je le supplie d’arrêter. Apparemment satisfait, Alain lui fait signe de suspendre la flagellation. Mon dos, mes fesses et mes seins sont marqués de zébrures rougeâtres qui se cumulent avec les traces encore visible de ma punition précédente.
Il retire le Plug de mon cul pour le replonger aussi brutalement. J’ouvre grand la bouche sans qu’aucun son ne sorte. L’homme accélère le va et vient dans mon cul. Je commence à m’habituer à cette dilatation et la douleur se mélange à un étrange plaisir. Je miaule, je geins et sans que je ne puisse me contrôler un jet de cyprine gicle entre mes cuisses. Le public peut aisément admirer ma chatte qui coule de mouille. A cet instant, il dégage de son sexe et me prend violemment en levrette en enfonçant son chibre dans mon vagin jusqu’à la garde. Ses coups de reins sont violents. Sa chevauchée est sauvage. Ses coups de boutoirs font valser mes seins dans tout les sens. Je couine comme une pucelle de plus en plus fort. Alain monte sur scène et me fourre la bouche pour me faire taire. Au bout d’un bon moment, il déchargent tout les deux en moi. Alors que celui qui me baise se retire, j’avale totalement la semence de mon homme. Un filet de sperme coule de ma chatte défoncée et le public me fait une ovation. Je crois que c’est fini mais il n’en est rien. Alain me défait du carcan et en me tenant en laisse me fait marcher à quatre pattes autour de la piste. Il tend une cravache au public et lui propose de venir me faire goûter de l’engin.
Un premier mec s’en saisit et me donne un violent coup sur ma chatte. Je hurle de douleur car il a touché mon clito. Un deuxième spectateur m’en donne un sur les fesses. Le troisième, plus sadique encore que les autres me claque le seins gauche. Je n’en peux plus. Moi qui croyais qu’il m’avait totalement pardonné.
Alain demande à un couple qui se trouve au premier rang leur bouteille de champagne et force mon anneau qui avale l’énorme bite de verre. Plantée au trois quart dans mon cul dilaté, il commence un pilonnage rapide. Je grogne comme une bête et explose dans un orgasme ravageur.
Épuisée Alain me ramène chez nous et me couche sur notre lit délicatement en me disant :
« Tu vois les conséquences de ton acte mon amour ? »
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