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Mes Cousines et Moi

Mes Cousines et Moi



I- Dépucelages et découvertes

Ce récit est la suite de la série de récit « Ma tante et moi » (qui est loin d’être terminer). Je tiens d’abord à vous remercier pour vos nombreux messages de sympathie et pour satisfaire toutes les personnes qui m’ont demandé d’écrire la suite de mes aventures sexuelles, et pas seulement avec ma tante, voici ce qu’il m’est arrivé il y a peu avec mes cousines. Cela me semble incroyable et honnêtement, je n’aurais jamais pensé vivre cela un jour mais comme vous avez pu le voir dans mes derniers récits, ces petites cochonnes ont réussi à bien se rapprocher de moi et à me charmer. Et finalement, quand je repense à tout ce qui s’est passé pendant notre voyage en Corse, je suis beaucoup moins étonné.

Comme chaque année depuis des années, pour finir les vacances d’été, ma grand-mère a pris l’habitude de faire venir tous ces petits enfants chez elle sans les parents. Nous sommes donc au total presque quinze. Lorsque j’arrive, il y a déjà pratiquement tout le monde. Je salue tout le monde et je retrouve Lise et Elina qui ont l’air très ravies de me revoir. J’ai le temps de m’installer un peu lorsqu’arrive ma cousine préférer : Céline. Je suis heureux de la voir et elle aussi. Ces parents sont en plein divorce et sa situation est compliquée. La première soirée se passe tranquillement mais je vois bien que Céline ne va pas bien. Le lendemain, rien n’a changé. Tout le monde joue dans la piscine et s’amuse bien sauf Céline qui est dans son coin. Je remarque aussi que Lise et Elina ne font rien pour améliorer les choses car lorsque Céline tente de se mettre avec elles, elles la repousse pour une raison que j’ignore.

Enfin d’après midi, il n’y a plus grand monde dans la piscine et c’est à ce moment là que Lise enlève carrément son haut de maillot. Elle se frotte à moi et m’allume carrément. Je remarque que Elina essai un peu de faire de même mais sa timidité la bloque. Lise me fait bien bander avec ses seins contre mon torse mais je n’ai pas envie d’elle. Je n’arête pas de penser à Céline et au comportement des deux autres vis-à-vis d’elle. Alors que Lise tente de prendre ma bite, je la repousse, un peu furieux, et demande aux filles pourquoi elles n’aident pas Céline à aller mieux. Lise me dit que cela lui fait une rivale en moins pour finir dans mon lit. Je suis assez « choqué » par ses paroles et lui ordonne de partir. Elle semble surprise par ma colère et ne se fait pas prier pour partir. Je demande alors à Elina pourquoi elle ne fait rien. Elina m’explique qu’elle se sent mieux depuis qu’elle est plus proche de Lise et qu’elle ne veut pas se retrouver rejeter par cette dernière. Je comprends son malaise mais je comprends aussi que je ne pourrais pas la faire changer d’avis. Pendant le repas, je suis a coté de Céline. J’essai de lui parler et après de longues discussions je parviens à la faire venir dans ma chambre pour que l’on parle tranquillement.

En attendant qu’elle arrive, je suis assez excité en repensant à la nuit que l’on avait passé tout les deux dans cette même chambre (voir Ma tante et moi, chapitre 6) mais je me reprends et lorsqu’elle entre, nous commençons à discuter. Céline est très mignonne dans sa nuisette rouge. Pour rappelle, elle a 16 ans et mesure 1m65 pour 55kg. Elle est brune et elle à de superbes yeux bleus. Pour son âge, elle possède une paire de seins extraordinaire : du 90C. Elle a aussi un joli cul bien rebondi et ferme qui est magnifiquement moulé dans sa nuisette. Elle s’assoit sur le lit et m’explique ce qui ne va pas. Je vois bien qu’elle tourne autour du pot et elle pleure beaucoup tout en marchant à travers ma chambre qui heureusement est assez isolée des autres. Je me lève et la serre fort dans mes bras pour la consoler. Je sens la délicieuse odeur de son parfum. Nous sommes debout, enlacé l’un dans les bras de l’autre. Je lui fais un compliment sur son parfum. Cela provoque un déclic en elle et en me regardant droit dans les yeux, elle me dit qu’elle est amoureuse de moi et qu’aucun autre mec ne lui plait. Je suis assez surpris par cette révélation. En voulant arranger les choses, je lui dis qu’elle est très jolie et qu’elle me plait mais comme un con, je n’ai pas pensé que cela aller lui faire du mal. Elle semble totalement désespérée. Mes yeux sont plongés dans ses beaux yeux bleus. Elle me dit qu’elle ne supporte plus la vie et qu’elle préfère en finir que de vivre sans jamais connaitre le plaisir. Ces paroles me glace le sang. Ma cousine tremble et pleure. Nous sommes toujours enlacés. Mes yeux se plonge dans son beau décolté. Je suis un peu perdu mais en la regardant, je me dis que c’est une fille superbe et qui est amoureuse de moi. En plus de cela, je couche avec ma tante depuis plusieurs mois. Et puis Céline me plait beaucoup et ne m’a jamais laissé indifférent. Si j’ai rendu ma tante de 43 ans heureuse, je peux bien rendre ma cousine de 16 ans heureuse elle aussi. C’est décidé, je vais la rendre heureuse.

Alors que nous nous regardons toujours droit dans les yeux, j’approche mon visage d’elle et je l’embrasse. Elle semble très surprise mais après quelques secondes, je sens sa bouche s’ouvrir et j’engage ma langue dedans. Mon bras droit reste autour de ses épaules pendant que ma main droite descend doucement le long de son dos jusqu’à arriver sur ses fesses que je caresse délicatement. Céline est aux anges, sa main caresse mon torse à travers mon T-shirt et elle m’embrasse amoureusement. Je préfère aller verrouiller la porte de ma chambre. Lorsque je me retourne, Céline me plaque contre la porte et recommence à m’embrasser, je prends ses jambes et la porte. Je la pose délicatement sur le lit et nous continuons à nous embrasser un long moment. Finalement, nous nous allongeons l’un contre l’autre et elle fini de sécher ses larmes. Je remarque que ces tétons pointent à travers sa nuisette et je remarque aussi l’humidité qui s’est installée sur le bas de sa nuisette car elle ne porte rien en dessous. Je bande moi aussi comme un âne surtout que je ne pas baiser depuis deux jours (soit une éternité pour moi). Je ne sais pas trop ce que je dois faire mais Céline me demande : « Tu veux bien m’emmener jusqu’au bout du bonheur ? » Je lui demande si elle est sur qu’elle veut que je la dépucele et elle m’assure que oui. Je lui demande ce qu’elle à comme expérience et elle me dit qu’elle s’est beaucoup masturbe en pensant à moi. Je recommence alors à l’embrasser. Avec mes mains je fais glisser la nuisette le long de ses bras et j’embrasse ses épaules puis le haut de ses seins. Avec mes mains j’enlève toute la nuisette et je découvre ses superbes seins. Je commence à les embrasser tendrement et Céline commence à couiner de bonheur. Je continue ma descente. Je dépose des bisous sur son ventre et j’arrive enfin à sa chatte qui est toute lisse. Je caresse un peu son clito ce qui la fait ronronner encore plus fort. Je lui fais alors un cunni qui dur presque vingt minutes et je l’emmène à l’orgasme. Elle cris de bonheur et j’espère que ma chambre est assez loin des autres pour que personnes n’entendent. J’ai pensé à lui dire de faire moins de bruit mais ma marraine n’y arrive presque pas avec de l’expérience alors elle qui est vierge !

Je me rallonge à ses cotés et elle me sourit tendrement. Elle est si belle, en sueur et heureuse grâce à l’orgasme que je lui ai donné. On s’embrasse un peu et je sens sa main qui passe sous mon caleçon. Elle prend ma bite avec sa main. J’enlève mon caleçon et m’allonge sur le dos en écartant les jambes. Elle vient se placer entre elle et dépose quelques bisous sur ma bite. Puis elle la prend en bouche. Elle tremble un peu mais fais de son mieux. Et honnêtement, pour une fille vierge de 16 ans, ce n’est pas si mal ! Elle semble un peu perdue mais pour la rassurer, je pose ma main sur sa joue et lui dit que c’est très bien et de continuer comme cela. Voyant qu’elle n’arrivera pas à me faire jouir en me suçant, je la stoppe et la fait allonger sur le dos. J’enfile une capote et me place au dessus d’elle. Je lui redemande si elle est sur d’elle et elle répond : « Oui mon chéri, j’en suis sur, je t’aime ! » Je place alors ma bite à l’entré de sa chatte. J’entre tout doucement jusqu’à sentir son hymen. Ce petit mouvement lui provoque un cri de bonheur. Pour ne pas réveiller toute la maison, je commence à l’embrasser tout en faisant des petits va et viens sans aller plus loin. Puis lorsque je sens qu’elle s’y fait, j’enfonce ma bite d’un coup sec jusqu’à la garde. Je la sens vibrer, je sens sa bouche se coller encore plus à la mienne (ce qui permet d’étouffer ses cris) et je sens ses ongles s’enfoncer dans mon dos jusqu’au sang. Je la prends doucement mais avec un bon rythme et rapidement elle a son second orgasme de la soirée. Je continue à prendre son vagin super étroit. Elle a un troisième orgasme et les contractions de son vagin font monter la pression dans ma bite. Je lui annonce que je vais jouir et elle me dit qu’elle voudrait gouter du sperme. Je me retire d’elle, enlève ma capote qui est pleine de sang et je me branle entre ses gros seins. Cela l’excite beaucoup et lorsque je sens la purée arriver, je me rapproche de son visage et lâche tout dans sa bouche. Elle avale et semble bien aimé.

Je m’allonge et elle vient s’allonger sur moi. Elle m’embrasse à nouveau, je sens qu’elle en veut encore. Je caresse son superbe cul que j’aimerai tellement prendre. J’en ai tellement envie que je lui demande si elle serait d’accord. Elle me dit qu’avec moi elle veut tout essayer. Elle reste allongée sur le dos et je me place derrière elle. Je suce doucement sa rondelle et enfonce un peu ma langue dedans. J’y enfonce ensuite un puis rapidement deux doigts. Elle m’avoue qu’elle aime et qu’elle n’imaginait pas que ce serait si bon. Lorsque je la sens prête, je la fais mettre à quatre pates et la fait sucer un peu ma bite pour la lubrifier. Ensuite je me place derrière elle et j’enfonce tout doucement ma bite dans son cul. Centimètre par centimètre, je progresse et avec étonnement j’arrive jusqu’au bout. Ma coquine de cousine a vraiment un cul à bite ! Je fais des vas et viens et elle hurle de bonheur si bien que je lui prends la tête pour lui enfoncer dans l’oreiller. Maintenant que ses cris sont étouffés, elle peut hurler autant qu’elle veut. Je la prends encore un peu plus fort et j’essai d’aller plus vite. Mais c’est encore un peu tôt et elle se détourne pour me dire qu’elle a un peu mal. Je ralentis et continu ainsi un long moment. Je sens qu’elle se dilate et je vais un peu plus fort. En temps normal je n’arriverai pas à jouir mais même si son cul s’ouvre bien, il est extrêmement serré et finalement je jouis en elle. Elle s’effondre dans un grand orgasme. Nous nous allongeons à nouveau dans les bras de l’autre. Elle me regarde avec ses yeux si beaux. Elle semble comme droguée par tous ses orgasmes. Elle me dit merci et m’embrasse. Elle ajoute qu’elle m’aime. Je lui dis que moi aussi. Nous nous endormons finalement et dormons jusqu’au lendemain matin.

Lorsque je me lève, Céline est déjà levée. Je prends mon petit déjeuner et quand je remonte dans ma chambre, je surprends Lise à regarder dans ma chambre. Je lui demande ce qu’elle fait et elle me dit qu’elle vient confirmer ce qu’elle a cru entendre hier soir. Elle me dit qu’elle sait que j’ai couché avec Céline. Elle semble très jalouse et même vexée. Comme elle a était odieuse avec Céline, je lui confirme que l’on a couché ensemble. Elle part dans sa chambre les yeux larmoyants. En entrant dans ma chambre, je comprends ce qui lui a servis de preuve : il y a une grande tache de sang sur le drap. Les jours passent et nos partis de jambes en l’air avec Céline continuent chaque soir et parfois même le matin. Nous vivons comme deux amants pour le plus grand bonheur de Céline mais pour le plus grand malheur de Lise. Un jour alors que Céline est partie en ville avec ma grand-mère et d’autres cousins et cousines, Lise entre dans ma chambre.

Je suis allongé sur mon lit en train d’écrire une de mes aventures avec ma tante. Je n’ai pas le temps de bouger que Lise se jette sur moi et s’assoie sur mon ventre. Je referme mon ordi et la regarde. Elle est tout simplement nue ! Je suis très étonné et elle me dit qu’elle aussi elle veut que je la baise. Elle écarte les cuisses et j’ai une vue directe sur sa chatte. Je la considérai comme une salope mais je ne m’imaginai pas cela. Même si ce n’est pas la beauté du siècle, quel mec résisterai à une fille plutôt bien foutu qui est assise nue sur son ventre, les jambes écartées et qui demande à baiser ? En plus, je ne sais pas pourquoi mais à ce moment là, le fait qu’elle soit la fille de ma marraine que je baise m’excite. Et je dois admettre que j’ai envie de baiser une autre fille que ma cousine, ce n’est pas dans mes habitudes de coucher avec une seule fille tout le temps. J’accepte donc de la baiser. Elle me dit qu’elle est franchement en manque et qu’elle veut se faire démolir et qu’elle espère que je tiendrais le coup. Je lui dis que c’est elle qui me suppliera d’arrêter. Même si c’est une sacrée pute, ce n’est pas elle qui va me faire peur du haut de ses 16 ans. Je la regarde aller verrouiller la porte. Elle est châtain, bien plus clair que sa mère, Elle mesure 1m70 pour une cinquantaine de kilo. Elle à les yeux marrons et un visage pas tellement beau. Elle a des petits seins mais elle a hérité du superbe cul de sa mère. En même temps je me suis déshabillé.

Je suis debout, elle vient directement se placer à genou devant moi et commence à me sucer. Elle ne m’embrasse même pas, je comprends qu’elle ne veut que du cul ! Pour 16 ans, elle suce admirablement bien. Elle a aussi hérité ça de sa mère ! Elle me dit qu’elle veut gouter mon sperme et elle continue sa pipe. Du haut de ses 16 ans, elle arrive presque à me faire une gorge profonde. Finalement après de longues minutes, j’inonde sa bouche. Elle n’en perd pas une goute et me dis qu’il est délicieux. Je lui dis de s’allonger sur le lit pour que je lui fasse un cunni mais elle refuse et me dit qu’elle n’est pas la pour de la tendresse. Je la balance alors contre le mur. Je la plaque contre ce dernier et j’insère violement ma bite qui n’a pas débandée. Je la fourre très fort et elle hurle de bonheur. J’att**** sa jambe que je soulève avec ma main. Je fais de même avec la deuxième et je l’appui contre le mur. Elle enroule ses jambes autour de moi et je la pistonne avec v******e. Elle hurle de bonheur. Je m’écarte du mur et je vais la poser sur le lit sans m’écarter d’elle. Je recommence à la sauter. Ma queue va à une vitesse folle dans ce petit vagin. Je finis par jouir en elle. A ce moment là, je réalise que je n’ai pas mis de capote. Fort heureusement elle me dit qu’elle prend la pilule. J’ai à peine débandé et cette salope m’en redemande. Elle me branle un peu et une fois que je suis tout dur, elle se met à quatre pattes sur le lit. Je me mets derrière elle et je la baise avec force. En même temps, je commence à rentrer deux doigts dans son cul. Vu comme il s’ouvre, elle s’est déjà pris une bite. J’insère vite un autre doigt et finalement, je mets ma bite dans son joli cul. Je la tiens par les hanches et je la prends violement. Je lui mets beaucoup de fessés assez fortes et son cul est tout rouge. Elle hurle tellement je la défonce. Malgré tout, je vois qu’elle est ravie. Elle fait un bruit énorme et heureusement qu’il ne reste que Elina et des tout petits à l’autre bout de la maison. Je rempli son cul de mon jus. Elle a déjà eu plusieurs orgasmes mais elle en redemande. Je m’allonge sur le dos et elle vient s’empaler sur ma bite, c’est elle qui gère la vitesse mais je remarque qu’elle aime se faire prendre très fort. Je caresse un peu ses petits seins. Elle se renverse sur le coté, nous sommes tout emmêler, mais je continue de la prendre. Finalement, je me lève et la place sur le coté au bord du lit. Je commence à l’enculer doucement.

Mon lit est assez ancien et sur une des extrémités, il y a de chaque coté une sorte de « statuette » qui est assez ronde. J’en dévisse une et je m’aperçois avec plaisir que la base est ronde et est de la taille d’un gode. J’enfile une capote dessus tout en continuant mes aller et venus dans son cul. Je la fourre alors violement et j’insère ma statuette dans sa chatte. Elle hurle et me dit que c’est la première fois qu’elle se fait prendre des deux cotés en même temps. Cela semble beaucoup pour elle mais je continue et je vais très vite. Elle voulait jouer à la salope, elle assume. Elle a un immense orgasme et ses tremblements me font passer le point de non retour. Je sors d’elle, la plaque sur le dos et déverse ma semence sur ses seins. Je m’allonge sur le lit. Elle me dit qu’elle en a eu assez et elle commence à partir. Je lui dis que moi je n’ai pas fini. Elle part et me dit que sa lui suffit. Je me lève et elle part en courant. Je pars à sa poursuite et je la ratt**** dans le couloir. Par la fenêtre, je vois qu’Elina a eu la bonne idée d’emmener tout le monde dans la piscine. Lise tente de se débattre mais je la plaque au sol et écarte ses jambes. Je m’allonge sur elle pour la bloquer et je la pénètre sans retenu. Elle crie mais je place ma main sur sa bouche et l’empêche de crier. Nous sommes au milieu du couloir, moi allongé sur elle en train de la sauter violement. Elle me dit que c’est du viol et je réponds qu’il ne fallait pas me provoquer et se comporter comme une salope. Elle est en pleure et je continu. Quand je sens le jus venir, je sors et me place devant elle. En lui tirant les cheveux, je la fait mettre à genou. Je frappe son visage avec ma bite. Son maquillage à couler avec ses larmes et elle fait bien salope. Je me branle un peu sur son visage et je jouis sur ses cheveux histoire de bien l’embêter. Je la relâche et elle court dans sa chambre.

Je me rhabille tranquillement. Après tout ça, la « vie habituelle » de notre séjour reprend son cours. Nos partis de jambes en l’air avec Céline ne cessent pas. Mais elle est plus proche d’Elina qu’au début du séjour. Elles passent beaucoup plus de temps ensemble dans la chambre de Céline. Je me mets même à penser qu’elles se gouinent vu leur attitude. Un soir, alors que nous venions de faire l’amour, Céline me dit qu’elle va dormir avec Elina. J’attends un peu et me rend à la chambre d’Elina. J’entrouvre doucement la porte et je découvre les filles qui sont nues, en train de s’embrasser ! J’admire le spectacle et ma queue commence à monter. Elina est aussi très mimi. Elle est châtain clair, les yeux bleus comme Céline. Elle mesure 1m72 et est très élancée. Céline avait encore de mon sperme dans la bouche et Elina lui dit qu’elle aimerait bien gouter à la source un jour. Elles se lancent dans un 69 et finissent par jouir toutes les deux. Elles s’enlacent et Elina lui raconte ce que nous avons fait en Corse tout les deux. Je les sens très excité et Elina lui dit qu’elle aimerait bien sucer pour gouter du sperme mais ne pas encore se faire prendre. Elle demande à Céline si elle pense que je serais d’accord. C’est à ce moment que je rentre en disant que oui. Les filles semblent surprises et toutes gênées. Elles me disent que je n’aurais pas du regarder. Je leur dis qu’elles n’avaient qu’à fermer à clés. Je bande et Elina ne peux s’empêcher de regarder ma bite. C’est finalement Céline qui lui dit qu’elle va pouvoir faire ce qu’elle voulait. Elle baisse mon caleçon et je m’assois sur le lit. Les deux filles sont nues, à genoux devant moi. Céline me branle un peu et finalement, Elina prend son courage à deux mains et commence à me sucer. Elle est très maladroite mais Céline lui vient en aide. Puis elle suce mes couilles. Quel bonheur d’avoir deux jolies filles de 16 ans en train de me sucer. Même si Elina n’est pas douée, Céline ratt**** un peu le coup et je sens que je vais jouir. Je leur dit. Celine se retire et Elina met ma bite dans sa bouche. Elle continue maladroitement de me sucer mais je pose ma main sur sa tête et la guide. Je jouis dans sa bouche. Elina avale tout et dit à Céline que c’est délicieux. Je lui propose de faire plus mais elle n’a pas changé d’avis. Finalement je dépose un baiser sur les lèvres de chacune de mes cousines et je parts me coucher.

Le lendemain, c’est le jour de mon départ. Je dis au revoir à tout le monde même si ma bise à Céline et à Elina est plus appuyée que pour les autres. En revanche, Lise n’est même pas venue me dire au revoir. Ma grand-mère le déplore et me dis d’attendre qu’elle aille la chercher. Je lui dis que ce n’est pas grave et je parts. Et tout seul dans ma voiture, je rajoute à voix haute : ce n’est pas grave je baiserai sa mère qui est aussi ta fille ! Je roule depuis peu quand je reçois un message de Céline qui me dit que je lui manque mais heureusement elle à Elina. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais encore passer de bon moments avec mes cousines !

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