Il y a quelques années nous sommes allé en Guadeloupe. Nous étions descendus dans un gîte non loin de St François. Nous étions chouchoutés par Henri notre hôte. C’étais une montagne mais d’une gentillesse et d’une prévenance qui contrastait avec sa corpulence . Il était très amical et lorsque mon mari s’’absentait pour faire de la pêche sous marine, il passait quelques instants à me raconter la culture locale. Il me complimentait souvent sur mes formes agréables que mon maillot de bain mettait en valeur. Un soir que j »étais seule, mon époux ayant été invité à une pêche en nocturne, je rêvassais sur mon lit presque nue profitant un maximum de l’air frais de la clim. Je demandais à Henri de me faire un punch comme il savait si bien les préparer. Il frappât à ma porte et sans me soucier de ma tenue, je lui dis d’entrer et de poser le tout sur la table. Henri me dévorait du regard et prenant conscience de ma presque nudité, Je poussais un petit cri de surprise et de honte essayant de cacher maladroitement de cacher mes parties intimes. J’étais tétanisée devant ce grand noir qui me souriait.
« N’ai pas peur, tu es très jolie. Ton mari n’est pas là ? Peut-être veux tu passer un moment avec moi et découvrir les saveurs locales ? »»
« Mais je heu je mon mari heu enfin je suis fidèle. Dis bredouillant d’émotion.
Il rigole un peu et se moque de me voir ainsi troublée.
« Les blanches y passe toutes chez moi tu sais ! Et après elle sont enchantée de l’expérience guadeloupéenne. »
Tout en me parlant, il s’est rapproché et d’une main puissante, ferme mais sans brutalité, il s’empare d’un de mes seins et de l’autre m’enserre la taille pour me coller à lui. Il plaque sa bouche sur la mienne et je fonds immédiatement, lui rendant son baiser. Mon corps réagit et je sens des fourmillements bien connu dans mon ventre. Mes seins durcisse et mes tétons se dressent. Je sens ma chatte s ‘ouvrir et devenir humide. Henri, avec habilité et voyant que ne me refusait pas m’enlevât prestement mon soutien gorges libérant ma généreuse poitrine. Mon string suis et je me retrouve nue devant ce magnifique black. Il me jette sur le lit et je me retrouve les quatre fers en l’air, livrant à son regard ma chatte humide.
« Tu es a croquer blanchette, tu doit être une sacré salope au lit ! »
Dans mon euphorie, je m’entend lui répondre :
« Oui mon mari me le dit toujours !. »
Devant moi il a alors entreprit de se déshabiller. J’étais impatiente de de découvrir ce qui fait fantasmer toute les femmes blanches. Un peu angoissée quand même de découvrir un sexe trop monstrueux pour moi. Quand Henri finit par baisser son slip, dévoilant son sexe très noir, avec un gland tout rose, je poussais un cri de surprise découvrant la taille de l’engin.
« Mais Henri il est monstrueux ton truc. »
« Non Michèle, tu vas voir je vais bien te la remplir ta petite chatte. Et regarde comme elle prête à accueillir ma grosse queue. Elle dégouline de mouille. »
Alors, il vient sur moi et approche sa queue énorme de ma bouche pour que je le suce tout en me tripotant la chatte qui emmet comme un bruit de clapotis tant je mouille. J’ai du mal à le sucer tellement il est gros. Il ressort de ma bouche et pointe son membre à l’entrée de ma grotte humide. Il pose son gland à l’entrée tout en me titillant le clito. J’angoisse, je gémie de plaisir et là le montre entre en moi et me remplie comme jamais je ne l’ai été. J’ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Il me pénètre ou me pourfend devrais je dire inexorablement. Me voilà prise à fond par ce noir, qui remonte mes cuisses sur mes épaules et entreprend de me besogner sans s’occuper de mes gémissements et cris de douleur et bientôt de plaisir. Je suis livrée à ce mâle, et mon bassin s’agite avec la frénésie du mandrin qui me pilonne.
« Plus fort ouiii !!! Baise moi bien !!!! que c’est boooon !!!! »
Je saisi ses couilles que je malaxe doucement. Son corps se tend et je sens des giclée forte de son sperme qui inonde mon vagin. Je joui comme une folle. Il reste en moi quelques minutes. Henri m’embrasse en malaxant mes seins. Quand il se retire qu’elle n’est pas ma surprise de le voir encore raide.
« Nettoie ma queue Michèle ! Goûtes les saveurs de mon pays ! »
Docile et avec plaisir, je me met à lécher cette hampe d’ébène . Il me retourne et me met à quatre pattes. Je devine la suite.
« Je t’en pris Henri je ne pourrais pas accepter un tel engin dans mes fesses. »
« T’inquiète ma salope ! Je vais te faire connaître des sommets ! »
Il prend de ma mouille mélangé à son sperme pour me graisser le cul. je suis à la fois inquiète et tentée par cette expérience.
« Ne crains rien tu vas te régaler! »
Là il commence à pousser sur ma rosette avec son gros gland. Je pousse un cri de douleur. Mais mon petit trou se dilate sous la poussée et laisse passer le gland. Mon anus me brule, je secoue la tête, non çà fait mal. Puis sa tige m’envahit le cul.
« Je le supplie doucement Henri haaa nooon !!! »
Mais rien y fait et il pousse de plus en plus, jusqu »à ce que je sente ses couilles battre sur ma chatte. J’ai l’impression d’être déchirée et remplie mais je ne peux que gémir durant quelques minutes sous les assauts du black. Après quelques minutes de ce traitement, je ne peux plus résister et je m’écroule, gémissante de douleur et de plaisir mêlé. Cette sensation est incroyable. Henri est étalé sur moi. Nos corps alors sont secoués de spasmes ? Je sens Henri arroser mes entrailles de sa semence. Nous passons ensemble dans la salle de bain pour prendre une douche ensemble.
« Mon mari ne devrait pas tarder. Il ne faudrait pas qu’il nous voit en semble. »
Il se met a rigoler et me dit :
« Parce que tu crois qu’il n’est pas au courant !!!! »
Le salopard, serais ce un coup monté ?,,,,,
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