À la toute fin des années 1970 j’intégrais un lycée agricole situé dans la banlieue nord de Lyon. C’était un lycée mixte qui accueillant 300 élèves environ mais seulement 2 ou 3 filles. Comme j’habitais à 200 kilomètres de là j’étais interne et ne rentrais chez mes parents qu’un week end sur trois.
À l’époque, ma seule activité sexuelle se limitait à une masturbation par jour au minimum. Je n’avais jamais eu de relations sexuelles avec une fille et, même si à partir de l’âge de 10 ans environ, j’aimais voir les sexes poilus des garçons plus âgés que moi qui faisaient partie du même club de natation, je ne ressentais pas spécialement d’attirance physique pour eux et je n’imaginais pas ce que deux garçons pouvaient faire ensemble.
Au lycée nous étions en dortoirs de 6 et, le premier soir lorsque nous nous sommes couchés, j’ai discrètement jeté un coup d’œil sur mon voisin de chambre (Hubert de son prénom). Il portait un mini slip blanc assez fin qui laissait bien voir la forme de son sexe, de belle taille, placé à l’horizontal et j’ai remarqué qu’il avait une ligne de poils noirs assez épaisse entre le pubis et le nombril. J’en ai donc conclu qu’il avait également un pubis assez fourni.
La vie au lycée se déroulait sans problème et je voyais régulièrement mes copains de classe en sous-vêtements, soit lorsqu’on se changeait pour aller en travaux pratiques ou en sport, ou le soir au dortoir et quelquefois nus aux douches (les douches étaient individuelles ce qui fait que l’on était nombreux à se déshabiller dans les cabines). Certains avaient pratiquement des corps d’adultes, d’autres étaient loin d’être formés. Je faisais quand même attention à être discret quand je les regardais car je ne voulais pas être traité de PD (on ne disait pas gay à l’époque) et, moi-même, je ne me considérais pas comme attiré par les garçons même si, en fait avec le recul, je ne peux que constater que ma part d’homosexualité se développait.
Autre chose qui aurait dû m’alerter sur mon homosexualité naissante : voir les poils noirs et frisés qui étaient tombés dans les urinoirs m’excitait au plus haut point et j’aimais bien m’enfermer dans une cabine de WC pour écouter les autres garçons lorsqu’ils entraient dans une autre cabine et baissaient leur pantalon. Certains baissaient leur pantalon et leur slip en même temps ce qui faisait que je n’entendais que le bruit du pantalon, d’autres baissaient leur pantalon puis leur slip. J’entendais alors le bruit plus léger du slip qui glissait sur les cuisses et j’imaginais le sexe surmonté de sa touffe de poils noirs qui apparaissait. Ces images me donnaient l’occasion de me masturber, soit immédiatement dans les WC, soit le soir dans mon lit, le slip baissé jusqu’aux genoux pour m’éjaculer sur le ventre ou à travers mon slip pour éjaculer dedans.
Les week ends où je restais au lycée étaient sympas : nous n’étions qu’une vingtaine et deux surveillants et nous pouvions sortir les après-midi entre 13 h 00 et 19 h 00. J’allais donc à Lyon par le bus et le métro, seul ou avec des copains. Nous allions souvent à la Part Dieu et au parc de la Tête d’Or.
Un samedi après-midi que j’étais seul au parc de la Tête d’Or j’eus un besoin pressant qui m’amena dans des toilettes publiques pour hommes qui étaient derrière un gros buisson, donc pratiquement invisibles. Elles étaient seulement indiquées par un petit panneau posé le long de l’allée. C’était un bloc de béton gris clair dans lequel on entrait et on trouvait 4 ou 5 urinoirs séparés par des cloisons en béton et 3 ou 4 WC fermés par des portes métalliques.
Quand j’entrais il y avait un homme de 35-40 ans devant un urinoir. Je laissais un urinoir de libre entre nous deux et je sortis mon sexe par ma braguette ouverte. Je finissais d’uriner et m’égouttais lorsque je vis une main att****r mon sexe. Je n’avais pas remarqué que le gars s’était placé devant l’urinoir juste à côté de moi pendant que je me soulageais.
Surpris, je tentais un mouvement de recul mais comme il tenait bien mon sexe je ne pus partir. Il commença alors à faire aller et venir mon prépuce sur mon gland et ce mouvement que je me pratiquais souvent moi-même me fit rapidement avoir une érection et, sachant ce qui allait arriver, je ne bougeais plus. J’éjaculais alors rapidement sur la paroi verticale de l’urinoir et un peu sur la main de mon partenaire. Il me masturba encore un peu puis me lâcha. Je remis mon sexe humide dans mon slip et parti rapidement un peu surpris et honteux, sans même regarder le gars.
Le soir dans mon lit (j’étais seul dans mon dortoir les week ends) je me masturbais frénétiquement à travers mon slip et éjaculais dedans. Je m’endormis donc le bas ventre et le slip gluants de sperme.
Le lendemain matin, je me réveillais avec à l’esprit les images de ce que m’était arrivé la veille et j’eus immédiatement une érection. Je me masturbais donc à nouveau et éjaculais dans mon slip avant d’aller prendre une douche et, en même temps, rincer mon slip que je mis à sécher dans mon armoire.
Durant la journée je pensais à ce qu’il m’était arrivé et j’étais très partagé. A la fois heureux car j’avais trouvé très excitant et agréable de se faire masturber et honteux de m’être laissé toucher le sexe par un homme et peur de devenir PD. Je décidais de ne surtout rien révéler à personne et d’essayer d’oublier cet épisode de ma vie que j’espérais ne plus voir se reproduire.
Les deux week ends suivants je n’eus pas de problème car, le premier, je rentrais chez mes parents et le second je descendis à Lyon avec des copains. Mais le troisième fut plus compliqué. En effet, plus ou moins conscient de ce que je recherchais, je retournais dans les WC du parc de la Tête d’Or.
Lorsque j’arrivais il n’y avait personne. Je me mis devant un urinoir, sorti mon sexe par ma braguette et urinais quelques gouttes. Je venais de finir de m’égoutter et continuais à me caresser doucement le sexe quand un mec de 24-25 ans, habillé en jogging, arriva et se mit directement juste à côté de moi. Il sorti son sexe immédiatement et commença à se caresser. À mon grand étonnement, sans me cacher, je me mis à regarder ce sexe que je trouvais de belle taille et qui était surmonté d’une très grosse touffe de poils noirs.
Comme le mec s’aperçut que je le regardais il me fit un signe de la tête en me montrant les cabines de WC derrière nous et se retourna pour en rejoindre une. J’hésitais quelques secondes et me décidais finalement à le suivre.
Quand je poussais la porte du WC dans lequel il était entré je le découvris face à la porte debout sur le WC à la turc, le pantalon baissé et le sweat shirt passé derrière la tête. J’entrais, repoussais la porte et resta le dos contre la porte face à lui. Je pouvais alors voir tout son corps et son sexe bien dressé sortir de sa grosse touffe de poils. Il était d’ailleurs plutôt poilu sur le ventre et la poitrine. À cette époque les hommes ne se rasaient pas le corps et le sexe comme maintenant.
Il se rapprocha de moi et passa ses deux mains sous mon sweat shirt pour me caresser le ventre et remonter vers mes seins. Ce fut une sensation nouvelle que de m’apercevoir que je commençais à avoir une bonne érection parce que quelqu’un me caressait les seins. Il continua ses caresses une bonne minute et moi, j’avais fermé les yeux pour mieux savourer cette découverte.
Il redescendit ses mains sur mon ventre, défit la ceinture de mon jean’s et me palpa le sexe à travers mon slip. Je prenais vraiment du plaisir et n’avait plus aucune honte de ce que je faisais.
Il baissa doucement mon slip et mon sexe se dressa, bien dur. Sans perdre un instant, à ma grande surprise, il l’avala tout entier dans sa bouche et commença de longs mouvements de va et vient avec sa bouche sur toute la longueur de mon sexe. En même temps je sentais sa langue qui s’enroulait autour de mon gland et venait jouer avec mon frein. L’effet était indescriptible, beaucoup mieux que ce que ressentais quand je me masturbais. J’étais parcouru de frissons de la tête aux pieds et je ne tardais pas à éjaculer en râlant, ce qui m’arrivait rarement car je me retenais pour ne pas faire de bruit quand je me masturbais mais, là, l’effet était vraiment trop fort.
Il avala tout mon sperme mais ne relâcha pas ma queue pour autant bien que mon gland soit très sensible après que j’ai éjaculé. La sensation fut un peu désagréable pendant quelques dizaines de secondes mais mon érection ne faiblit quasiment pas et, après environ deux minutes de jeux de lèvres autour de mon sexe et de langue autour de mon gland, j’éjaculais à nouveau et donc, pour la deuxième fois, il avala mon sperme jusqu’à la dernière goutte avant d’abandonner mon sexe. J’avais les jambes tremblantes et la tête me tournait un peu mais je savais dorénavant ce qu’était une « pipe » dont on parle tant entre ados. C’était incomparablement meilleur que de se masturber.
Il se releva donc et commença à se masturber face à moi. Il me prit une main et la posa sur son sexe. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un autre garçon mais je ne fus pas effrayé et je le masturbais doucement. À un moment il reprit son sexe en main, se masturba beaucoup plus énergiquement et, dans un long soupir éjacula de longues giclées de sperme épais dont certaines vinrent s’écraser contre mon ventre et coulèrent sur mon jean’s et dans mon slip.
Il fit tomber la dernière goutte de sperme qui pendait au bout de son gland, remonta son slip et son pantalon et remit son sweat shirt. Je me rhabillai également et nous sortîmes du WC. Deux hommes que nous n’avions pas entendus arriver étaient l’un à côté de l’autre devant les urinoirs. Ils nous regardèrent partir avec un sourire. Cela ne me gêna pas et je partis la tête haute.
À l’extérieur du WC mon partenaire me proposa de nous retrouver le samedi suivant mais je devais retourner chez mes parents. Je lui proposais donc la semaine suivante et il me répondit qu’il était d’accord. En fait, je ne savais pas si j’allais venir. Cela dépendrait de mon humeur et surtout comment j’allais digérer cette première expérience toute nouvelle pour moi.
Le week end suivant, chez mes parents, je ne parlais à personne de cette expérience et je n’osais pas demander à mon frère, de 2 ans mon ainé, si sa copine l’avait déjà sucé.
Le samedi suivant arriva et je prétextais une visite chez un cousin de ma mère qui était également mon correspondant pour le lycée pour ne pas sortir avec mes copains.
Je me rendis donc un peu en avance au Parc de la Tête d’Or en me disant que ce n’étais pas parce que je m’étais fait masturbé et sucé par deux hommes que j’allais devenir homosexuel toute ma vie.
J’attendis donc l’heure prévue à une petite distance des WC et je vis arriver le jeune mec quelques minutes plus tard. Il ne me vit pas et entra directement dans les WC. Je lui laissais quelques secondes d’avance et y entrait à mon tour. Il y avait un autre homme devant un urinoir et mon partenaire devant un autre. Dès qu’il me vit entrer il se mit dans une cabine et je le suivis.
Comme l’autre jour il était debout sur le WC à la turc. Je refermais la porte et m’y appuyais. Il s’approcha de moi et commença à me caresser le ventre et les seins ce qui me fit avoir immédiatement une violente érection. Il défit la ceinture de mon jean’s, me caressa le sexe à travers mon slip avant de le baisser et de le prendre dans sa bouche. Il joua un peu avec ce qui me fit beaucoup d’effet mais s’arrêta avant que j’éjacule.
Il se releva, baissa son pantalon et je pu voir la forme de son sexe tendu qui tenait à peine dans son mini slip rouge. Il se colla contre moi et je senti son sexe sortir de son slip et se faufiler entre mes jambes. Instinctivement je serrais les cuisses car j’eus peur qu’il ne tente de me sodomiser et, pour le coup, je n’étais pas prêt à ce type de pratique.
Il se recula un peu, m’appuya sur les épaules et me força à m’accroupir. Je voyais son gros sexe bien raide, avec le gland bien décalotté à quelques centimètres de mon visage. Il s’avança et son gland se colla contre mes lèvres. Je tentais de reculer mais la porte dans mon dos m’en empêchait. Je compris, en une fraction de seconde, qu’il voulait que je lui fasse une fellation et j’en étais un peu effrayé.
Il poussa un petit peu en avant et, instinctivement, j’entrouvris les lèvres. Son gland et le début de son sexe entrèrent dans ma bouche que je dus ouvrir en grand tellement il était gros. Il poussa en avant doucement jusqu’à ce que son gland touche le fond de ma gorge. Comme je m’étouffais un peu, il ressorti légèrement et commença de lents allers et retours dans ma bouche. L’effet était curieux mais pas désagréable. Je serrais au maximum mes lèvres autour de son sexe et lui poussait jusqu’en butée à l’entrée de ma gorge avant de ressortir pratiquement son sexe de ma bouche et de pousser en avant à nouveau. J’avais alors le nez dans sa grosse touffe de poils et sa douce odeur m’excitait.
Au bout de quelques minutes, sans qu’il fasse de bruit, il éjacula de longs jets de sperme dans ma bouche qui en fut donc remplie. Comme il avait ses mains sur ma tête et que je ne pouvais pas me reculer puisque j’étais dos à la porte, je déglutis plusieurs fois, plus par réflexe que volontairement et j’avalais son sperme jusqu’à la dernière goutte. C’était la première fois que j’avais le sperme d’un autre garçon dans la bouche et le goût n’étais pas désagréable (j’avais déjà goûté le mien depuis longtemps).
Il laissa encore son sexe quelques instants dans ma bouche et je le sentis diminuer de taille. Il le retira alors, me releva, s’accroupis devant moi et ce fut à son tour de me faire une fellation et d’avaler mon sperme. Je m’aperçus que mon érection n’avait pas diminué pendant tout le temps que j’avais eu son sexe dans ma bouche, preuve que cela ne m’avait dégouté mais, au contraire, excité.
Il se releva et effleura mes lèvres avec les siennes et me murmura un « merci » à l’oreille en ajoutant « que je l’avais très bien sucé ». Je dus rougir un peu et ne sus quoi répondre. Je remontais donc mon slip et mon pantalon et je sortis du WC en lui faisant un petit signe de la main.
À l’extérieur, je pris une grande inspiration d’air frais et m’éloignait lentement en me remémorant ce qui venait de se passer. J’avais pris réellement beaucoup de plaisir à cette nouvelle expérience et je me dis, sans que cela ne me tracasse outre mesure, que j’étais vraiment devenu un « PD » puisque j’avais aimé faire une fellation à un garçon et avaler son sperme.
Au cours des deux années suivantes où j’étais encore à Lyon, je fréquentais régulièrement le parc de la Tête d’Or où j’ai bénéficié de nombreuses masturbations et fellations et où j’en ai prodigué également de nombreuses mais je n’ai jamais eu aucun rapport sexuel quel qu’il soit avec un autre élève de mon lycée, bien que plusieurs me plaisaient bien car, évidemment, je restais très discret sur ma sexualité.
À l’issue de ces trois années lyonnaises, mon diplôme en poche et nanti d’une expérience sexuelle que je n’avais pas en arrivant, je retournais dans ma ville d’origine où je découvris, au fil du temps, avec des garçons de tous les âges et de toutes les couleurs, tous les plaisirs homosexuels, à deux ou à plusieurs, notamment le plaisir anal qui fut pour moi un véritable enchantement.
Il me fallut attendre encore quelques années pour que je tombe amoureux d’une adolescente encore vierge qui me fit découvrir le corps d’une femme et les plaisirs d’une relation hétérosexuelle.
Vincent
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