Chapitre : 2 Marilyn participe
Je frappe à sa porte, pas de réponse… j’ouvre quand même et j’entre dans la chambre de Marilyn.
– Laisse-moi seule maman, je ne veux pas te voir ! Dit-elle, avec son visage enfoui dans son oreiller.
– Ce n’est pas ta mère, c’est moi, Mike…
– Oh mon Dieu, qu’est ce que tu fais ici !
– Nous avons besoin de parler, lui dis-je.
– Vas-t’en ! T’es un beau salaud !
– Oh non, nous devons avoir une petite discussion tous les deux, que tu le veuille ou non !
– Tu fais chier! Fous le camp! Ou c’est moi qui sors !
– Oh non ! S’il le faut je vais m’assoir sur toi et je te maintiens de force pendant que nous parlons!
Marilyn ce retourne sur le lit au moment ou je lui dis ça et s’adossant à la tête de lit elle me regarde le regard surpris ;
– oh non, tu n’es même pas habillé! T’es un vrai pervers !
Je baisse mes yeux et je réalise en voyant ma serviette sur mes reins qu’effectivement je suis presque à poil.
– Merde, je suis désolé, j’ai oublié!
– Ouaiiiis ??, je parie que tu l’a fais exprès ! Bon…dis moi ce que tu as sur ta conscience et fout moi le camp.
– Je n’ai rien à me reprocher et il est nécessaire que nous échangions nos points de vue.
Je lui raconte comment sa mère et moi avons accidentellement commencé à être intime et pour finir je lui demande si elle ne veut pas que sa mère soit heureuse.
Après dix bonnes minutes de discussion elle commence à s’adoucir un peu et le ton de sa voie est moins dur.
– Mike, assoie-toi. Tu me fatigue à rester debout devant moi et en plus dans cette tenue !
Je prends la chaise de la coiffeuse et je m’assoie près de la tête du lit. Ses yeux dévies vers le bas de ma serviette et rapidement elle dit ;
– non, pas là… Euh, euh, mets-toi au pied de mon lit.
Après plusieurs minutes, elle demande ;
– Dis donc c’est quand même bizarre que tu fasses ça avec ma mère ? Elle est vraiment plus vielle que toi!
– Dis donc tu exagère un peu ! Elle n’est certainement pas vieille ! La première fois que nous avons bai……heu… fais l’amour, j’ai pensé que c’était avec ma tante que je bai… enfin que je le faisais ! Puis je me suis dis que ce n’est pas ma tante par le sang alors j’ai continué! Mais le fait que c’était ma tante cela m’excitait.
Mais pour tout te dire je voulais surtout que ta mère se sente mieux vis-à-vis d’elle même. Philippe a eu un effet très négatif sur ta mère et les séquelles étaient profondes. Je ne l’ai pas vraiment cherché mais maintenant je crois que cela l’a remise sur la bonne voie. Le seul problème, et tu l’as surement remarqué, elle en veut toujours plus et je crois qu’elle est accro à ma ….. Enfin… tu vois ce que je veux dire.
– ooohhh, ouii je vois ! Je ne la reconnais plus. C’est une nouvelle femme ! Dis-t-elle en sortant un petit bout de langue qui caresse sa lèvre supérieure.
Puis après quelques secondes ;
– Tu crois que cela viens de la façon que tu l’as baisé ! demandât-elle timidement. Bon Dieu, je ne peux pas croire à ce que je viens de dire !
Nous continuons à parler de mes relations avec sa mère et malheureusement cela se répercute sur ma bite qui commence à se redresser sous ma serviette.
J’essaye de ne pas y penser mais rien n’y fait et comme d’habitude, ma bite se tend au maximum comme un piquet de tente sous la serviette.
– Oh mon Dieu, Mike, j’ai l’impression que notre conversation n’est pas faite pour calmer tes idées lubriques !
Dit-elle, en regardant la déformation de la serviette qui, commençant à glisser par la tension exercée sur elle, finit par découvrir ma queue fièrement dressée comme une fusée prête à décollée.
J’essaie de me déplacer pour dissimuler mon engin lorsqu’elle me dit ;
– Ahh, non, Mike, laisse-moi voir ce qui rend ma mère tellement heureuse.
Je n’ai pas encore eu de rapports sexuels, ce n’est pas l’envie qui m’a manquée, mais j’ai toujours reculé devant l’introduction d’une bite dans mon vagin. De temps en temps, j’ai taillé une pipe à un gars du lycée mais çà n’allait pas plus loin.
Du coup je ne suis pas très populaire et on me traite parfois de pimbèche ou d’allumeuse frustrée !
Elle rit en disant cela et c’est son premier sourire franc depuis le début de notre conversation.
– Je me demande vraiment comment ma mère peut recevoir ça dans sa chatte !
– Et bien ma chère cousine je peux t’assurer qu’elle aime l’avoir bien encastré dans son vagin ou même dans sa bouche et qu’elle en redemande très souvent !
– Foutaise ! C’est beaucoup trop gros et trop long pour qu’elle avale ce monstre !
– Et bien non ma petite cousine elle aime…je dirais même plus, elle adore sucer ma grosse bite, ça l’excite beaucoup, surtout quand mes couilles viennent frapper son menton !
Marilyn commence à respirer un peu plus rapidement et dis ;
– Putain ce n’est pas possible, on ne peut pas prendre toute cette chose dans la bouche !
Me sentant beaucoup plus audacieux après notre conversation, je lui dis ;
– Je te dis qu’elle le fait et qu’elle en redemande. Si tu veux, tu n’as qu’à essayer pour voir si c’est possible?
– Tu ne manques pas de culot ! Ma mère ne te suffit plus! Tu veux aussi que ta cousine te suce la queue après la tante !
Marilyn me regarde dans les yeux puis fixe ma bite en complète érection pendant plusieurs secondes avant de dire ;
– Et bien mon beau cousin tu vas voir, je vais te la sucer ta salle bite !
– bonté divine, je n’y crois pas Marilyn! Je croyais que c’était trop gros pour toi !
– Tais-toi petit salaud arrogant, tu vas voir !
– Hey, une belle jeune fille me dit qu’elle veut me sucer, et quand je dis que je suis septique elle me traite d’arrogant!
– J’n’ai pas dis que je ne pourrais pas mais…. attends, tu viens de dire que j’étais belle?
– Très certainement, je dirais même plus, très belle…
Marilyn rougit et me dit ;
Tu ne m’as jamais dis de telles choses avant mon beau cousin et je m’aperçois maintenant que c’est dommage !
– je ne pensais pas que tu aimerais que je te dise cela, jolie cousine et en plus, désirable cousine !
– Oui, probablement pas mais il aurait fallu essayer pour le savoir. Aujourd’hui j’aime ça ! Et je crois que j’aimerais aussi un gros câlin, cousin !
Cela dit, elle rampe vers le bas de son lit et enroule ses bras autour de moi pour se serrer en pressant ses seins contre ma poitrine. Elle me regarde dans mes yeux tranquillement pendant un certain temps avant que sa main ne glisse de mon épaule et atterrie directement sur ma bite.
– Oh mon Dieu, tu es tellement énorme ! Ce n’est pas possible ! T’as une vraie bite d’âne ! Je n’ai jamais tenu une queue aussi grosse dans ma main.
– Oooh, Marilyn, moi par contre je sens bien tes jolis doigts qui serrent ma bite ! Lui dis-je dans un gémissement.
Elle embrasse ma joue avant de glisser vers le bas de mon corps.
– alors il faut qu’elle se sente encore mieux !
Ses lèvres enrobent doucement mon gland et elle suce légèrement le bout en donnant par moment des chiquenaudes sur son extrémité. Je gémis bruyamment et elle sort sa bouche du gland avec un sourire ;
– Huummm… ouiiiiii… je vais certainement me la faire ta grosse queue !
Tout ça avec un clin d’œil et elle replonge pour, ce coup ci, avaler le corps de ma bite en enroulant sa langue chaude autour.
– Waow, Marilyn, tu ne m’as pas l’air si novice que ça !
– Ahh bon… tu aimes ? C’est assez bon pour un salopard comme toi qui se laisse sucer par sa petite cousine !
– Je ne me plains pas, Marilyn, mais tu n’es pas au bout ma chère! Il reste encore au moins 10 cm qui attendent la caresse de ta bouche.
– Mais il n’arrête pas de grossir autour de mes lèvres et j’ai même l’impression qu’il pousse tout seul dans ma bouche. Je ne suis pas sûr que je puisse avaler tout !
– Il y a qu’une seule façon de savoir…
Elle me regarde pendant plusieurs instants, sa langue continue de tourner autour du gland, ses lèvres se resserrent et elle l’aspire en mordillant légèrement.
Elle prend une grande respiration et descend d’avantage ses belles lèvres sur ma bite.
– Oh Dieu oui, Marilyn. Ça c’est beaucoup mieux !
Et en même temps j’avance ma bite pour mettre 2-3 cm de plus dans sa bouche.
Marilyn semble figée mais après quelques seconde elle retire sa bouche de mon sexe plein de salive et dit ;
– Ahh la vache ! Putain que t’es gros ! Je n’ai jamais avalé une bite si grosse. Cette chose est énorme ! Je n’arrive pas à le croire mais j’y arrive et en plus j’aime la sentir à l’intérieur. J’avais peur d’être blessée ou vraiment mal à l’aise, mais non, pas du tout !
Et avec un grand sourire elle se replonge sur ma bite et je ne l’aurais pas cru, mais elle va jusqu’au bout et je sens son nez sur mes poils pubiens.
Marilyn est bien la fille de sa mère, elles sont douées dans cette famille. Elle suce vraiment bien en se servant de ses lèvres, de sa langue, de ses doigts et même de sa gorge quand elle fait mine d’avaler mon gland qui s’enfonce dedans. Je la regarde émerveillé par ses talents de pipeuse ! Ma cousine sort complètement ma bite de sa bouche, s’amuse avec mon gland et se renfile le tout sans la moindre hésitation!
Lâchant quelque seconde ma queue elle s’écrie presque ;
– Oh mon Dieu, ta bite de cheval entre à chaque fois dans ma gorge et j’arrive à ne pas étouffer !
Et elle se remet frénétiquement à l’ouvrage.
Moi je n’oublie pas de caresser ses seins, la faisant gémir un peu plus sur ma bite. Ses mamelons sont durcis et ressemblent à des grosses boules de gomme que je pince entre mes doigts. Marilyn me suce près de 15 minutes en cherchant frénétiquement à me faire jouir. Je tords ses tétons et elle s’arrache de ma bite en criant de plaisir,
– Oh mon Dieu, Mike, c’est moi qui vais jouir si tu continu! Oh ouiiiii… c’est bonnnn! AAAAhhhh….arête ! Je veux que tu craches ton foutre dans ma bouche ! Je veux te goûter et sentir ta bite éjaculer dans ma bouche!
Elle reprend ma bite avec une main et se met à la branler avec sa bouche qui enferme mon gland. Elle va de plus en plus vite.
Incapable de me maîtriser si elle continue comme ça je lui enserre la nuque et c’est moi qui la guide dans ses mouvements pour ma propre satisfaction.
Je vais et je viens à mon rythme, tandis que ses lèvres, sa bouche, et sa langue, acceptent mes coups de boutoir.
Une vague agitation prend naissance dans mon ventre. Je sais ce que signifient les remous qui bouillonnent en moi. Marilyn le sent également et c’est elle qui s’enfonce ma bite profondément dans sa bouche.
Elle me happe la totalité de mon pieu tendu à l’extrême, le retient, le suce tout en frottant ses seins contre mes cuisses, me suppliant tacitement de me donner. Ma respiration est plus saccadée et elle devine que les vibrations de ma queue vont se transformer en un volcan en éruption.
Je ressens ma première décharge dans un espace de temps qui me semble incroyablement long. Presque inconsciemment des spasmes me secouent, une fois, deux fois, et il faut la troisième giclée pour que je sente cette lave brûlante s’éjecter de ma bite en fusion.
Marilyn pousse un cri étouffé dans sa gorge et s’active plus intensément, ne me relâchant pas. Je flageole. Ma jouissance est continue, j’ai l’impression que ça ne va jamais s’arrêter!
Mes derniers spasmes d’un pur plaisir m’amène au bord de l’évanouissement.
Marilyn lève ses yeux vers moi et lentement, très lentement, elle retire sa bouche de mon sexe.
– Waouhhh…c’est incroyable, Mike ! Oh mon Dieu, j’aime le goût de ton sperme!
Et elle redonne des coups de langue sur ma bite encore tendue
– Je crois que ta bite se sentait mieux dans ma bouche et moi je peux te dire que c’est la première fois que je prends un tel plaisir. Ta bite est la plus grosse que j’ai sucée.
– Sacrebleu, Marilyn ta technique de fellation est fantastique ! Mon Dieu, tu es vraiment douée, j’ai failli m’évanouir!
Avec une infinie tendresse, Marilyn se glisse sur moi et m’embrasse sur la bouche.
– Mike….je t’aime…..
Je pince ses mamelons, ce qui la fait gémir, et maintenant c’est moi qui l’embrasse passionnément.
Tout à coup, Marilyn s’écarte de moi et dit ;
– Oh merde ! J’ai besoin de voir ma mère tout de suite ! Après ce que je viens de faire je me sens mal d’avoir dit ce que j’ai dit!
Et elle est partie d’un seul coup me laissant la bite en l’air.
Janine, dans sa chambre, était inquiète et se demandait si j’avais pu calmer la fureur de sa fille quand la porte s’ouvrit bruyamment et que Marilyn entra comme une furie !
– Oh maman, je suis désolé pour la façon dont j’ai agi!
Dit Marilyn en courant vers sa mère effrayée qu’elle enlaça étroitement.
Arrivé moi aussi dans la chambre je les vois s’étreindre et s’embrasser
– Je t’aime Maman et si Mike peut t’apporter du bonheur et que tu retrouve la joie de vivre je suis entièrement d’accord pour que tu baises avec lui et même que tu le suces quand tu en as envie !Depuis quelques instants je sais ce que c’est et je n’ai pas le droit de te priver de ce plaisir.
– Oh ma chérie, je suis tellement heureuse que tu ne sois plus en colère contre moi! Mais qu’est ce qui ta fait change d’attitude? Et que veux-tu dire par je sais….
– Eh bien, Mike et moi avons parlé pendant un certain temps et il m’a fait comprendre certaines choses. Mais ensuite j’ai vu sa bite! Et avec enthousiasme Marilyn a continué ;
– Tout d’abord je n’en ai pas cru mes yeux. Sa bite est énorme et pensais que pour gérer ça c’était beaucoup trop grand et trop gros pour n’importe quelle femelle. Mais ensuite il m’a mise au défit de lui sucer sa bite !
– Tu me connais….alors j’ai plongé et j’ai essayé et, à ma grande surprise, je m’aperçois que je peux avaler son engin et en plus que j’adore la sentir entrer dans ma gorge!
– le moment le plus sublime c’est quand sa grosse queue gonfle encore plus, en palpitant dans ta bouche. Et finalement quand il envoie son sperme dans ma gorge et dans ma bouche je trouve ça vachement bon alors qu’avant j’appréciais modérément. Aucun des gars que j’ai sucé n’a un sperme aussi bon !
– T’as déjà sucé d’autre garçon avant?
Demande Janine avec inquiétude dans sa voix.
– Maman ! Je vais avoir 18 ans tu sais! Mais je les ai seulement sucés et aucun d’entre eux n’a mis sa bite dans ma chatte.
Elle sourit en regardant sa mère avant de dire,
– Eh bien…enfin… aucun jusqu’à présent…..
– Ma chérie, si tu te sens prête je crois… non je suis certaine que Mike serait plus qu’heureux de prendre ta virginité et comme tu es bâtie comme les femmes de ma famille il te comblerait en remplissant ta chatte avec sa queue d’étalon.
– Oh maman, j’ai quand même un peu peur ! T’as vu son engin on dirait l’avant bras d’un jeune homme. S’il te plaît… laisse-moi te regarder quand il te fait l’amour… Je devrais plutôt dire quand il te baise ! Je veux voir son énorme bite te pénétrer ! Moi, je ne sais pas si je peux accepter un engin pareil dans ma chatte !
– Ma fille, dans la famille on a coutume de dire que si tu peux avaler par la bouche une grosse bite et bien tu peux te l’enfiler dans ton puits d’amour pour ton plaisir !
– Par contre me regarder faire l’amour avec ton cousin peut durer un certain temps car Mike ne peut pas recommencer aussi rapidement ! Ce n’est pas un robot.
– Mais maman, j’ai tout mon temps ! Je veux voir comment Mike fait pour rendre ma mère si heureuse ! Depuis quelque temps j’avais remarqué des signes de joie sur ton visage et tes yeux avaient perdu leur tristesse.
– Je veux te voir aimer avec du plaisir quelqu’un qui t’aime aussi et qui te rend si resplendissante!
Et bien sûr nous avons baisé devant elle.
Janine grimpe au-dessus de moi et elle positionne sa chatte sur ma bite dressée par l’excitation des propos qu’elles avaient échangés précédemment.
La chatte de Janine s’entrouvre pour laisser passer mon gros gland puis, regardant sa fille dans les yeux, elle se laisse doucement tomber sur ma queue qui élargie au fur et à mesure de sa pénétration les parois de son vagin.
Marilyn les yeux écarquillés n’en perd pas une miette et la bouche ouverte elle dit ;
– Oooohhhh…la vache, ça rentre….c’est magnifique a voir ! Tu t’empales littéralement sur son monstre de queue et tu as l’air vraiment d’apprécier sa pénétration !
Pendant toute notre baise Marilyn ne reste pas immobile, au lieu de cela, elle va d’un côté du lit à l’autre dans sa quête d’avoir le meilleur point de vue de l’action. Au premier orgasme tonitruant de sa mère, Marilyn se penche vers nous et s’exclame :
– Oh Maman! Tu jouis… ouiiiii, tu es magnifique dans la jouissance… ohhhh… Mike je t’aime !…
Elle arrête les cris de sa mère par un baiser qui ne semble pas chaste du tout puis elle se tourne vers moi.
Elle prend mon visage dans ses mains et me donne un baiser plein d’amour avant de chuchoter à mon oreille ;
– tu as redonné à ma mère le gout de vivre et surtout le plaisir de faire l’amour avec autre homme que son con de mari! Mais attention de ne pas la faire souffrir ! Tu m’entends?
Je hoche la tête et elle me donne un autre baiser passionné, sa langue malaxent la mienne le plus loin possible et me lâche pour regarder sa mère à nouveau.
Janine n’en a pas fini avec ma bite dans son sexe. Elle est comme possédée par le diable car elle s’agite frénétiquement sur ce bâton qui excite si bien ses chairs interne et son clitoris qui sort, bien droit et bien dur de sa cachette. On n’arrête pas de baiser dans des positions inimaginables pour sa fille qui nous regarde et prend une belle leçon de copulation entre un mâle et une femelle.
Chaque miaulement ou cri de Janine entraine une exclamation de Marilyn comme
– Putain c’est chaud !
– Waouh, il va t’éclater la chatte !
– Vas-y Mike ! Défonce là…elle aime ça !
– Ooooh la vache … son jus coule autour de ta bite, qu’est ce qu’elle mouille!
Nous avons baisé non stop pendant au moins deux heures… parfois durement et rapidement et d’autres fois lentement et tendrement…
J’ai éjaculé quatre charges de sperme dans le con de Janine alors qu’elle était en pleine jouissance après 3 ou 4 orgasmes consécutifs.
Janine est allongée sur le dos, et je suis toujours planté au fond de sa chatte bouillante. Elle est cramponnée à mes biceps et ses hanches accompagnent mes coups de butoir. A chaque poussée profonde dans son tunnel je sens ses muscles vibrer et un râle profond sortir de ses lèvres. Elle à un regard d’amour total et complet pour l’homme au-dessus d’elle et elle cherche, dans sa quête d’un autre orgasme, d’atteindre l’apogée de sa jouissance.
Et soudain Janine crie ;
– OH Dieu… MIKE… je vais jouir encore une fois !
Ses hanches entament une folle sarabande sur ma bite qui commence à monter sacrément en température et elle se lâche comme maintenant elle a l’habitude.
– Aaaahhhh… salaud, tu sais t’en servir de ta putain de queue !
– OOOOh… ouiiiii, Mike! Qu’est ce que tu me mets !
– Bordel de merde! Je m’éclate…vas y continu, bourre la bien ta salope de tante !
Et ainsi de suite pour terminer sur un hurlement de jouissance.
– AAAAaaahhh…OUIIIIIIIIIIIII !
Sa chatte broie ma bite tel un boa constrictor ! C’est tellement fort et incroyable que ma bite se réveille et injecte une autre charge de sperme pour éteindre l’incendie qui consume la chatte de Janine qui s’écroule et me repousse en disant :
– Arrête ! Je ne peux plus te supporter…tu brule ma chatte …elle devient trop sensible!
Janine recroquevillé en boule, plaque ses mains sur sa chatte toute rouge qui visiblement ne peut plus supporter le frottement de mon énorme queue qui n’arrive pas à débander.
Laissant sa mère gémir et se remettre de sa surcharge d’orgasmes, Marilyn se penche vers moi et m’embrasse passionnément cherchant ma langue et la caressant sur tout ses angles et la mordillant gentiment quand c’est moi qui martyrise sa bouche.
Rompant son baiser elle dit joyeusement ;
– Oh…. mon Dieu, Mike, tu es né pour faire jouir ma maman ! Je n’ai jamais vu ça et crois moi j’ai souvent espionné papa et maman quant ils faisaient l’amour! Maintenant je sais que papa est vraiment un connard et qu’il ne sait pas baiser une femme ! Tu as emmené maman au sommet du plaisir et… putain…Quels orgasmes elle a eus ! Je t’aime plus que jamais pour ça!
Après un autre chaud baiser elle glisse sa tête vers ma bite encore dressée pour lécher la sauce qui brille dessus.
– Oh maman… ton jus de jouissance est sacrément bon, j’adore ça!
Marilyn se penche vers la chatte de sa mère et l’embrasse légèrement mais Janine gémie et dit d’une voix à peine audible ;
– Non ma chérie, ne me touche pas… je suis trop sensible…
Couché sur le lit à côté de Janine je la regarde redescendre lentement sur terre et rouvrant ses yeux me dire ;
– Oh mon Dieu, Mike, j’ai cru un moment que tu allais me faire mourir ! Mais je crois que je vais vite me remettre de tes coups de bâton ! Néanmoins pas avant ce soir et peut-être demain non plus.
Putain de salaud qu’est ce que tu m’as mis!
Je mets sa tête sur mon épaule en la prenant dans mes bras quand Marilyn rapidement dit ;
– j’en peux plus ! Je dois gouter !
Et de sa langue elle lèche rapidement toute la longueur de la chatte de Janine puis avec ses lèvres plaquées dessus elle aspire et mordille le clitoris toujours excité de Janine.
– Oooohhhh….non….arrête ! Tu vas encore me faire jouir et je ne peux le supporter. Aaaaahhhhh… ouiiiiii… Ouilleeee…Stop !
Janine tente d’échapper à la bouche et à la langue de sa fille mais Marilyn s’installe sur elle pour nettoyer sa chatte et ses abords de mon sperme et de sa cyprine qui a coulé abondamment.
Le corps tétanisé Janine hurle ;
– Stop….je t’en supplie ! AAAaahhhh… Nooon…Merde ! Je vais jouir ! OH, OH, OH, OH, OH, OH, OH, OH, OH, OH, AIIII!
Enfin, Marilyn a pitié d’elle et lâche la chatte rouge vif de sa mère !
A nouveau Janine s’écroule avec ses mains dans son entrejambe, son corps frissonnant sans arrêt.
Je me penche sur elle et après un léger bisou sur les joues je lui dis ;
– Maintenant il faut que tu te repose, belle dame !
Et je me lève en attrapant Marilyn par la main et nous sortons de la chambre.
– Laisse ta mère tranquille pendant un certain temps. En fait, laisse-la décider quand elle est sera prête à nous rejoindre. Tu es une très vilaine fille de lui avoir, en plus, léché sa chatte à la fin!
– Je sais bien que je n’aurais pas du faire ça mais je n’ai pas pu résister ! Sa chatte avait l’air si délicieuse que je voulais gouter !
Je tirais mon short sur ma nudité quand elle a dit:
– Et ta bite ! Putain ! Quelle machine à baiser ! T’es une bête de sexe ! Et tu sais vraiment faire jouir ma mère. Je suis heureuse pour elle et c’est fantastique de vous voir baiser tous les deux.
Elle se penche sur moi et m’embrasse avec encore plus de passion que sa mère et avec un petit sourire ;
– Huummm…..Maintenant il me tarde de me laisser faire comme elle.
Je ricane et lui pince le bout des seins et avec une tape sur les fesses je lui;
– Aller, petite coquine, descend je suis complètement déshydraté.
J’att**** un Coke du réfrigérateur et m’écroule dans un fauteuil. Lorsque je me réveille deux heures ont passé, ma mère est rentrée à la maison et Marilyn venait de terminer la préparation du souper
– Hum..Quelque chose sent vraiment bon.
La voix provient de l’escalier et ma mère aperçoit Janine qui descend les marches un peu chancelante.
Maman regarde sa sœur en lui demandant ;
– mon Dieu, Janine tu ne te sens pas bien ?
Janine l’a regarde avec un tendre sourire puis se tourne vers Marilyn et moi en disant :
– Non, ça va, je me sens bien. J’ai juste un coup de pompe après quelques exercices physique que j’ai fait cet après midi !
Maman la regarde à nouveau avant de dire :
– Eh bien, si tu peux manger quelque chose, que dirais-tu d’une soupe bien chaude avec de la bonne crème? »
Janine glousse et elle dit ;
– Oh je peux manger, même beaucoup ! Et pas que de la soupe ! Je suis affamée! Et j’adore la crème !
Nous avons mangé et maman est étonnée que Janine dévore avec un appétit d’ogre le repas.
– Je me sens tellement mieux maintenant ! C’était un merveilleux repas, Marilyn.
Ce soir-là, je suis dans mon lit quand ma porte de chambre s’ouvre et dans l’obscurité une silhouette se glisse dans mon lit.
– Janine, tu veux rire, t’as pas encore envie ! Je te croyais morte pour au moins 2 jours !
– J’entends un petit rire cristallin et c’est Marilyn qui me répond ;
– Oh, ma mère est définitivement KO pour la nuit ! Mais elle m’a dit qu’elle te faisait jouir au moins deux fois avant d’aller dormir et je suis ici pour prendre sa place!
– Tu es adorable mais ma bite étant quelque peu fatiguée par ces exercices de l’après midi, je ne voudrais pas te décevoir ! Que dirais-tu de remettre ça à une prochaine fois ?
– Bon si tu es vraiment à plat je vais juste te faire une bise…
Et elle entoure ma bite de ses lèvres et lentement commence une fellation des plus souples et douce, que je n’ai jamais connue. Une demi-heure plus tard cette petite garce réussie à faire exploser ma bite et la première salve a frappé le fond de sa gorge avec tellement de force que ma queue est presque ressortie de sa bouche. mais, avec un enthousiasme certain, elle a serré ses lèvres sur mon sexe et elle a avalé comme une grande fille les autres giclées de sperme.
– Marilyn tu es une professionnelle de la pipe et je constate que tu ne lâche pas le morceau facilement ! Tu m’as coupé le souffle!
– Et bien ne dit plus rien ! Ta belle bite a parlé pour toi! Je te remercie encore pour le plaisir que tu donnes à maman. Mais moi aussi, j’espère bien avoir le grand honneur de connaitre les joies que procure une queue comme la tienne! Et j’espère que maman participera à mon initiation.
– Je t’aime Mike et plus que tu peux l’imaginer !
Et ma bite, encore en l’air, eu droit à un baisé appuyé avant qu’elle ne quitte ma chambre.
Voila pour le chapitre 2. Si vous avez des conseils à me donner n’hésiter pas!
Ajouter un commentaire