Je suis en troisième année d’étude de droit, et je peux vous dire que j’en ai croisé des coquines à l’université ! Cette fois-ci, je vais vous raconter un de mes meilleurs souvenirs de l’année dernière…
Comme à chaque début d’année, on découvre les professeurs qui nous donneront cours, et comme très souvent, ce sont de vieux intellectuels en costume qui sont loin de me motiver à venir en cours… Mais il me reste encore un espoir, les assistants, et plus particulièrement les assistantEs. En effet, pour certains cours, des séances complémentaires sont données par des étudiants fraichement diplômés qui travaillent généralement sur leur thèse de doctorat en même temps. Je décide donc de me rendre aux premières séances complémentaires de chaque cours pour découvrir tous les nouveaux assistants. Avec mes potes, on prend les paris, quel cours aura la meilleure assistante (Si il y en a une de potable déjà…)?
Arrivé à la séance de rattrapage de droit romain, je manque de tomber de ma chaise lorsque une jeune étudiante entre dans le local. « Bonjour je m’appelle Madame Berger, je serai votre assistante durant le premier quadrimestre. » Je crois rêver ! Elle est sublime. Une rousse de 24ans, environ 1m65, mince, avec une paire de seins plus que correcte pour son poids et un petit cul rebondi bien moulé par son jean slim (presque un legging). On en croit pas nos yeux ! Je sens que je vais pas rater une seule séance de droit romain cette année !!
En effet, après quelques semaines de cours, Madame Berger, qui d’ailleurs préfère qu’on l’appelle Mademoiselle Berger, connaît mon prénom et m’interpelle volontiers pour répondre à ses questions. Pas étonnant vu ma présence record à ses cours et ma participation excessivement active pendant les séances. Je réponds à toutes ses questions, je lui envoie des mails, … Enfin, je fais tout pour qu’elle me remarque ! Et j’ai bien l’impression que ça marche… Quand je la croise dans les couloirs, elle me dit toujours bonjour avec un grand sourire et engage même la conversation. Il se passe quelque chose entre nous je le sens, il manque juste l’élément déclencheur.
Cet élément déclencheur ne tarda d’ailleurs pas à arriver. Début octobre, chaque fac organise sa soirée de rentrée, l’occasion de rencontrer des nouvelles têtes et de parler à certains profs et assistants dans un cadre plus festif. En allant la soirée droit, je n’espérais qu’une chose, que mademoiselle Berger, Caroline de son prénom, soit présente. Et Bingo elle était là ! Cependant, j’ai passé quasi toute la soirée avec mes potes, on a bien bu, l’ambiance était vraiment géniale et j’en oubliais presque ma petite assistante préférée. Mais en sortant des toilettes, je la croisai dans les escaliers. Elle était bien éméchée et me sauta dessus pour me faire la bise. J’étais assez surpris. On a discuté quelques minutes de tout et de rien quand soudain le DJ mis un son qui fit bondir Caroline ! « Ohhh c’est pas chanson préférée ! Viens on va danser » Moi qui ne suis pourtant pas bon danseur du tout, sur le coup, je n’ai quand même pas hésité une seconde et je l’ai accompagnée.
J’avais l’impression de flotter, je dansais avec l’assistante sur qui je fantasme depuis un mois… Elle passait ses mains autour de mon cou, nos corps de touchaient et j’essayais au maximum d’éviter qu’elle remarque que je bandais comme un cheval.
Elle était incroyablement sexy dans sa petite robe moulante noire, elle le savait et en jouait ! Une fois la chanson finie, on a croisé un groupe d’assistants et elle les a rejoint, m’abandonnant seul sur la piste de danse… Je partis à la recherche de mes potes pour leur raconter tout ça !
Vers 5h du matin, la soirée se finit et je sortis prendre un taxi pour rentrer. Alors que je me dirigeais vers la sortie, j’entendis quelqu’un m’appeler : « Alors on ne dit pas au revoir à son assistante préférée ? » Mademoiselle Berger était complètement saoule et ça se voyait ! Je fis donc demi-tour pour lui faire la bise avant de partir. Mais elle me retint et me roula une pelle dont je risque de me souvenir longtemps. Puis, comme si elle se rendait compte de son erreur, elle me repoussa sans un mot et reparti vite dans l’autre sens. Wouaaa j’en revenais pas, et ma bite dans mon caleçon non plus, ses quelques secondes ont suffi à me la raidir à nouveau.. C’est donc excité, ravi mais avec un goût de trop peu que je quittai la soirée. Une fois rentré chez moi je me suis branlé en imaginant ce qui aurait pu se passer avec ma Caroline.
Trois jours plus tard, me revoilà au cours de Mademoiselle Berger. Je sens qu’elle est un peu mal à l’aise en me regardant et moi aussi. Pour une fois, je la joue plutôt discret pendant le cours. J’attends la fin avec impatience pour aller lui parler. La classe commence à se vider, et je prends tout mon temps pour ranger mes affaires afin d’être sur d’être le dernier en classe. Elle voit mon petit jeu et me demande de me dépêcher car elle donne encore cours juste après. Une fois la classe vide, je m’approche d’elle et lui demande si on peut parler de la soirée de rentrée. Elle rougit, et me dit qu’elle était un peu saoule et qu’elle ne se souvient pas très bien de tout… Étant plutôt un garçon fonceur, je lui att**** le bras, et lui dit « Et ça vous vous en souvenez ? » avant de l’embrasser. Nos langues se mélangent encore et elle passe sa main dans mes cheveux. Puis soudain, comme prise à nouveau d’un sursaut de conscience, elle me repousse. « Non je ne peux pas Tom, je suis ta prof je ne peux, je suis désolée je n’aurai jamais dû. » Elle prend son sac et sort. J’étais terriblement frustré ! Elle a envie de moi je le sens elle ne peut pas le cacher. Je vais bien finir par l’avoir !
Plus tard en fin de journée, alors que je sors de la bibliothèque, en passant à coté des toilettes, qui je croise ? Caroline bien sur. C’est un signe, c’est sur, ça ne peut pas être le fruit du hasard. Cette fois c’est la bonne, elle ne va plus pouvoir s’échapper. Il va falloir que je fasse vite car même si l’université est quasi vide à cette heure-ci, on est quand même pas seuls ! J’y vais cash : « Caroline arrête, tu peux pas faire semblant, je vois que t’as envie de la même chose que moi », c’est la première fois que j’ose la tutoyer. Elle ne s’étonne même pas que l’appelle par son prénom ou que je la tutoie. Elle me dit que tous les deux c’est pas possible qu’elle pourrait avoir des problèmes. Mais je m’en fous moi, je ne saurai plus résister. Je l’embrasse, elle résiste quelques secondes puis s’abandonne à moi. Nos langues s’entremêlent avec passion et nos salives se mélangent. Mmmm enfin je la sens libérée ! Tout à coup, une porte s’ouvre au bout du couloir, on est pourtant incapable de se lâcher, elle me tire par le bras, et on entre dans les toilettes.
Je la plaque contre le mur. Nos corps sont collés l’un à l’autre. La passion nous inonde, on s’embrasse, se caresse, se lèche, presque de façon a****le. Le fait de savoir que n’importe qui peut rentrer dans les toilettes et nous surprendre m’excite encore plus et elle aussi j’en suis sur ! Nos mains se baladent et on se devine à travers nos vêtements. Elle prend alors les devant, et me pousse dans une des toilettes puis ferme la porte derrière nous. Elle me fait m’assoir sur la planche fermée et s’accroupit entre mes jambes. Ses yeux sentent la bite c’est magnifique. Elle enlève son haut et se retrouve en soutif rose fushia, style push up, qui remonte bien ses seins. Elle pose alors ses mains sur mon entrejambe et me malaxe ma verge toute dure à travers mon jean. Je me penche pour l’embrasser, elle sort alors le bout de sa langue et me lèche plus qu’elle m’embrasse, elle est vraiment bonne putain.
Elle se décide enfin à défaire ma braguette et baisser mon pantalon sur mes chevilles. Son visage est maintenant en face de mon caleçon à travers lequel ma bite est clairement visible et toute humide. Elle me regarde en souriant et commence à me lécher par dessus mon caleçon. C’est un calvaire qu’elle me fait vivre, quand va-t-elle enfin libérer ma bite ?! Je me penche alors et lui décroche son soutien-gorge, ses seins s’échappent et rebondissent sous mes yeux. Je commence donc à lui malaxer sa poitrine en insistant bien sur ses petits tétons bien durs. Enfin, elle m’arrache brutalement mon caleçon laissant enfin sortir mon sexe gonflé d’excitation. Elle ne se fait pas prier et commence directement à l’enfourner dans sa bouche. Mmmmmm quel pied. Je sens ses coups de langues jouer avec mon gland, et sa salive lubrifier ma verge qui reluit lorsque qu’elle sort de sa bouche. Elle crache dessus histoire que ça glisse bien puis se remet au travail. Elle me pompe goulument la cochonne. Elle enfonce ma bite bien profond provoquant parfois des petits bruits d’étouffement. J’ai l’impression que toute l’université l’entend me sucer ! Je dois me concentrer pour ne pas lui cracher mon jus tout de suite tellement elle y met de l’énergie. Elle lâche un peu ma verge et descend vers mes couilles. Elle les gobe une à une et joue avec dans sa bouche pendant que son nez renfile le bas de ma bite tout trempé. Rien à dire, elle sait y faire. Elle me jette des regards de coquine, elle a faim ça se voit.
On entend alors un peu plus d’animations dans le couloir, certainement parce que la bibliothèque va bientôt fermer. Beaucoup d’étudiants ne vont pas tarder à sortir et il y a de fortes chances que certaines aient besoin de passer par les toilettes. Il va donc falloir qu’on accélère. Caroline l’a bien compris. Elle reprend mon sexe en bouche et se remet à me sucer comme une acharnée tout en me branlant. Elle me demande de la prévenir quand je sens que je vais éjaculer. Ça devient de plus en plus difficile de résister. Elle me regarde avec ses yeux de biches tout en faisant tourner sa langue autour de mon gland. Je sens que je vais pas tarder à lâcher la sauce. Elle sors alors ma bite de sa bouche et prend ses seins pour les placer de part et d’autre de ma verge toute baveuse. Elle commence à m’astiquer. C’est magique, cette branlette espagnole va m’achever c’est sur. Elle le sait bien, et m’impose un rythme effréné. Là, je n’en peux plus et je craque. Je laisser s’échapper 5 jets de spermes puissants qui viennent arroser son visage et sa poitrine. Elle en a même un peu dans ses cheveux roux. Mmmmm je suis au nirvana.
Malheureusement on a plus trop le temps de rêvasser, il commence à y avoir de plus en plus de passage dans le couloir et une étudiante ne va certainement pas tarder à entrer dans les toilettes pour filles. Caroline prend donc du pq pour s’essuyer le visage et les seins. On se rhabille vite afin de pouvoir sortir. Avant qu’on ne se quitte, Caro m’embrasse une dernière fois avec toujours autant d’appétit. Ensuite, nous sortons chacun à notre tour, avec 30 secondes d’écart afin de ne pas être repéré.
Plus tard, nous nous sommes revus pour nous offrir d’avantage l’un à l’autre mais vu la difficulté de notre relation secrète et surtout le besoin de plaire incessant de Caroline nous nous sommes éloignés petit à petit l’un de l’autre.
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