Auteur : Martin
Elle-même n’en aurait jamais eu l’idée, mais son amant d’Internet l’avait rendue dingue de fantaisie sexuelle. Et maintenant, elle se tenait là, comme convenu à l’abribus, vêtue d’une mince robe d’été un rien transparente, sans soutien-gorge sous la robe ni même de culotte, comme elle l’avait rêvé, et consciemment ou pas, elle resta les cuisses légèrement écartées, pour sentir chaque souffle de vent caresser sa chatte soigneusement rasée pour la circonstance.
Il y a quelques mois, Adeline m’avait confié sur l’oreiller qu’elle souhaitait faire l’amour, ne serait-ce qu’une seule fois, avec un autre homme, qu’elle aurait choisi méticuleusement elle-même. Une expérience qu’elle désirait connaître avant qu’il ne soit trop tard, disait-elle. Quant à moi, malgré tout mon respect et ma sympathie pour Sa Majesté Candaule, je n’avais encore jamais concrétisé ses pratiques. Mais, comme depuis quelque temps , nous nous couchions chaque soir à trois dans le même lit, je n’avais d’autre choix que d’accepter, mais à la condition d’être présent le jour où cela arriverait, comme le voulait Candaule et comme Adeline l’était à chaque fois que je baisais Hélène.
Par chance, c’était exactement ce qu’Adeline imaginait, elle aussi. Elle voulait que, non seulement moi, je puisse la voir, mais également d’autres personnes, hommes et femmes. Et pourquoi pas Hélène, notre meilleure amie ? À ce genre d’exhibitionnisme, le grand Candaule en personne n’aurait même pas songé !
Ces derniers jours, elle avait passé des heures et des heures sur les sites de rencontre avec d’autres couples, des hommes et des femmes Objectif : dénicher le Prince charmant d’un soir.
Après quelques tentatives décevantes, elle trouva enfin un homme qui d’emblée la fascina : HotBird de son pseudo. Ensemble, ils avaient eu à quelques reprises des relations sexuelles intenses par téléphone interposé et sur Skype, et mon épouse était devenue totalement accro à sa voix. Sa voix, grave, diablement envoûtante, qui pénétrait profondément dans la tête d’Adeline comme aucune autre, et qui, lentement, hypnotiquement, semblait glisser à travers son corps, jusqu’à ce que ses mots touchent son clitoris, jusqu’à ce que son imagination, tel un gode magique, ouvre sa chatte et la pénètre, accède à ses pensées intimes et la fasse mijoter, petit à petit, picoter, frissonner, trembler et jouir comme jamais auparavant. Aucun contact avec un autre partenaire – même moi, en plus de quarante ans de vie commune – aucun gode et aucun vibromasseur ne lui avaient causé des orgasmes aussi explosifs antérieurement, et la seule pensée de la voix de cet homme était suffisante pour l’exciter encore et encore. Un véritable phénomène vocal, ce type !
Mon épouse était à présent certaine d’avoir trouvé en HotBird, l’homme avec lequel elle allait forniquer prochainement et lui fit rapidement part de ses intentions !
Ses pensées remuèrent à nouveau le fluide dans sa fente et elle sentit la douce brise d’été caresser ses lèvres humides. Alors qu’elle fermait hâtivement les cuisses, comme si quelqu’un avait pu voir qu’elle mouillait de désir, une Porsche gris foncé s’arrêta à sa hauteur. Un beau quinquagénaire la dévisagea, haussa un sourcil et fit de la tête aux tempes grisonnantes un geste presque invisible :
— Montez à bord, Adeline !
Son cœur battait à tout rompre dans sa gorge, elle se sentit au chaud lorsqu’elle entendit sa voix, si proche et réelle maintenant, plus au téléphone… Elle sortit de son abribus, les genoux tremblants, lissa sa robe et embarqua aussitôt. HotBird s’était-il déjà aperçu de la nudité d’Adeline sous sa petite robe ? Elle n’en doutait guère. Les hommes sont toujours à l’affût de ce genre d’audace vestimentaire. Elle boucla sa ceinture de sécurité pendant que la voiture glissait déjà silencieusement. Il regardait droit devant lui, un sourire de satisfaction aux lèvres, ne s’intéressant apparemment qu’au trafic, alors qu’il se dirigeait directement vers l’endroit convenu.
Sans la regarder, l’homme dit soudain :
— Vous êtes belle, Adeline. Sexy même, dans cette robe. Plus mignonne encore que sur Skype.
Il aurait donc bien vu qu’elle était sans dessous et même un peu sens dessus dessous ? Elle mourait d’envie de lui répondre qu’elle le trouvait très beau, lui aussi, mais les mots restèrent collés à sa langue :
— Et vous avez une chatte terriblement humide.
Elle rougit vivement. Comment pouvait-il savoir cela ?
— Parce que je sais exactement ce que vous pensez et ressentez, ma belle, dit-il, comme s’il pouvait lire dans ses pensées.
Les joues de ma femme devinrent écarlates en pensant « Merde, comme s’il était mon… ».
« Oui », l’interrompit-il dans ses pensées… « Je peux même lire vos pensées ».
Et elle sentit à nouveau le picotement incontrôlable dans sa chatte. Elle n’osait plus cogiter, essayait de réprimer de toutes ses forces ses pensées, craignant qu’il ne puisse les lire, car ce qu’elle désirait le plus était…
— Allez-y, ne soyez pas timide ! dit-il en la regardant avec un sourire.
Et, comme attirée par un aimant, la main d’Adeline glissa vers le bas de son ventre, comme elle le faisait parfois plusieurs fois par jour, et elle commença à avoir un peu honte, mais c’était devenu incontrôlable, à travers le mince tissu de sa robe, elle entama des mouvements rapides et sûrs sur son clitoris. Cela prit à peine une minute, alors que sa respiration allait de plus en plus vite, son corps se tendait, jusqu’à ce que l’homme dise soudainement « Trois… deux… un… », et à ce moment sa chatte explosa, elle hurla sa jouissance. Dans le petit espace de la voiture, elle sentit ses jambes se serrer l’une contre l’autre, alors qu’elle gémissait et tremblait de haut en bas dans le luxueux siège en cuir blanc… Tous deux éclatèrent de rire. L’homme continua à rouler doucement jusqu’à ce qu’ils accèdent au parking de la réserve naturelle.
Quelques voitures occupaient déjà l’espace. Certaines étaient garées à proximité de l’entrée du sentier, d’autres, dont la mienne, un peu plus en retrait.
— Venez, dit-il aimablement.
Il sortit et s’éloigna de la voiture sans s’arrêter, empruntant un chemin forestier. Il se retourna souriant vers Adeline en lui tendant la main. Elle hésita, une fraction de seconde seulement. Excitée et apeurée à la fois, comme une adolescente consciente de la perte imminente de sa virginité. Une ado de plus de soixante ans, tout de même, certes au corps svelte et ferme et à la libido quelque peu surdimensionnée, avec toutefois sur le visage quelques petites rides qu’elle peinait à dissimuler.
Elle se sentait attirante et désirée, et consciente qu’elle ne pourrait pas résister : il était trop beau, trop fort, il l’avait complètement envoûtée par ses pouvoirs étonnants. Alors qu’elle marchait à petits pas rapides derrière lui, accrochée à sa main virile, elle entendit la voiture se verrouiller derrière elle et le son sembla confirmer : pas de retour.
À la lisière de la forêt, elle regarda une dernière fois par-dessus sa propre épaule vers le parking, à la recherche d’un visage connu. Elle vit trois, quatre portières s’ouvrir et des hommes et des femmes sortir de leurs véhicules. Plusieurs hommes scrutaient leur montre : on leur avait dit d’attendre exactement dix minutes après l’entrée de HotBird et de ma femme dans la forêt.
Le beau quinqua marchait d’un pas de plus en plus pressé, il était clair qu’il avait déjà vu l’endroit et savait exactement où il allait. Adeline n’avait d’autre choix que de trottiner à son côté jusqu’à ce qu’ils arrivent à l’endroit où un ruban jaune pendait à un arbre. Il quitta le chemin et disparut entre les arbustes. Elle ne pouvait que suivre le plus près possible, rester tout près de lui, en sécurité, tout près de lui… Alors qu’elle traversait la mousse douce, elle sentit l’air chaud effleurer sa peau légèrement transpirante. Du premier ruban jaune, elle aperçut un petit ruban supplémentaire de la même couleur entre les arbres, et quand ils l’atteignirent, elle en vit un troisième.
Ils suivaient ainsi le sentier, entre des arbres et des arbustes plus proches les uns des autres. L’homme arrêtait régulièrement pour permettre à sa compagne de reprendre son souffle et surtout pour l’embrasser à pleine bouche et lui peloter les seins et les fesses. Le doute n’était plus permis : il savait qu’elle était toute nue sous sa robe. Adeline nageait déjà dans le bonheur.
Au bout de cinq minutes, ils sortirent de l’ombre dans une petite clairière. Il y régnait un silence de mort, le sol recouvert d’herbe et de mousse, tous les sons semblaient étouffés. Il se retourna brusquement, sourit et la saisit doucement par un bras, puis plus fermement. Ma femme se laissa docilement promener vers l’autre côté de la trouée. Elle se tenait là en plein soleil, les yeux scintillants, un halètement subtil, une légère transpiration et un flux de sang dans les joues et un autre dans la chatte.
Elle le regarda dans les yeux et lui permit de la tirer à nouveau contre lui. Adeline ne désirait rien de plus que ça… Ses bras virils autour d’elle, ses seins et son ventre pressés contre son corps protecteur. Pendant un moment, le monde sembla rester immobile, il n’y avait que sa proximité, sa chaleur, sa force… elle fondit contre lui, voulut être à lui.
Adeline sentait qu’ils n’étaient pas seuls dans la clairière, que des yeux inconnus ou pas les mataient. Tous ses critères étaient réunis. Elle était comblée. La voix de son amant d’un jour murmura dans son oreille :
— Vous êtes prête à présent. Vous êtes la plus belle, la plus excitée que ces hommes et ces femmes aient jamais vue, je pense. Vous êtes leur rêve refoulé, leur fantasme, leur désir le plus extrême. Ne craignez rien d’eux, ils ne sont pas autorisés à vous toucher et ne le feront pas, mais ils sont proches, nous sommes tous réels, ils peuvent nous entendre, nous voir, ils peuvent vous sentir excitée pendant qu’ils regardent votre corps exalté…
En entendant sa voix, ses mots, Adeline s’est adoucie, ses jambes ont cessé de trembler, ses lèvres intimes ont enflé. « Pas de temps à perdre », l’entendit-elle dire dans son extase et elle sentit qu’il rabaissait sensuellement les fines bretelles de sa robe tout en caressant ses épaules… « Déshabillez-moi ! » avait-elle pensé quelques instants auparavant.
Sa robe jusqu’à la taille, ses jolis seins maintenant libres dans l’air chaud, le soleil sur sa peau blanche, sur ses mamelons durcis brun-rose. « Que vas-tu faire maintenant, Adeline ? Que crois-tu qui me plairait, là, tout de suite ? » Un léger gémissement échappa de sa gorge et HotBird déboutonnait lentement sa chemise et la suspendait à une branche. Adeline tomba spontanément à genoux devant lui et commença à dénouer son pantalon. Il l’abaissa lui-même à la hâte, en sortit et libéra son sexe.
— Bravo, ma chérie ! Tu vois, ce n’est pas bien sorcier de lire les pensées des autres ! Au fond, il suffit de connaître un peu de psychologie de l’autre sexe…
Sans la moindre gêne, il se tenait maintenant nu devant elle, exhibant un beau corps athlétique et… elle gémit comme si elle était pénétrée à ce moment-là. La vue de son sexe la fit haleter. Une belle queue, légèrement courbée, épaisse, fortement veinée, puissante, avec une énorme tête, belle forme. Il sourit en voyant sa réaction et, tandis qu’elle hésitait, Adeline tendit la main… ou plutôt, sa « petite main », parce que cela ressemblait à celle d’un enfant au voisinage de cette grosse perche. Elle essaya de fermer les doigts autour de cette bite chaude et épaisse, mais elle ne pouvait même pas en faire le tour… Et alors qu’elle se penchait avec hésitation, l’homme plaça sa main dans la nuque d’Adeline et la tira doucement vers lui. Plus aucune hésitation maintenant, elle ouvrit la bouche au maximum, mais cela suffirait-il ? Serait-ce…
« Aggghhhh »… son gémissement fut étouffé alors qu’il poussait son membre en elle, tirant la tête de la belle vers lui et en même temps inclinant légèrement son bassin pour aider son pénis : à l’intérieur, la bouche d’Adeline était complètement ouverte par l’épaisseur de la bite et elle la sentait s’enfoncer davantage. Le gland enflé poussa plus profondément, rapidement contre sa gorge, et alors qu’elle commençait à avoir la nausée. Elle lui avait pourtant dit au téléphone qu’elle affectionnait les gorges profondes, et lui a même montré en direct sur Skype comment elle avait enchâssé un gode de la taille de mon sexe dans sa gorge. Mais sa taille à lui était très différente…
— N’arrête pas ! supplia-t-elle d’une voix étouffée.
Elle agrippa les jambes le l’homme pour garder l’équilibre. Elle sentit des larmes couler sur son visage, se détendit, essaya de ne pas respirer… Il resta immobile, se tenant silencieusement au fond d’elle.
De brefs éclairs de lumière et le son du vent dans les arbres, le bruissement des feuilles, le son des oiseaux et des insectes disparurent progressivement, devenant de plus en plus vide, de plus en plus creux, alors qu’ils commençaient à glisser dans un vertige. Elle eut une sensation particulièrement agréable sur sa peau humide, la chair de poule dans la chaleur du soleil sur ses seins nus, sur ses mamelons raides.
Au loin, des pas, des voix douces… Elle essaya de penser aux hommes et aux femmes qu’elle avait vus sur le parking, mais elle s’éloigna mentalement, se sentit détendue, jusqu’à ce que soudainement, d’un mouvement lent et sûr, HotBird lâcha sa prise, libéra la gorge d’Adeline et puis sortit de sa bouche.
Au moment où elle retrouvait de l’air, alors qu’elle toussait spasmodiquement, avec de petits cris pour reprendre son souffle. Tout le son, la couleur, la chaleur du soleil revinrent en une vague si violente qu’Adeline souhaita un instant rester dans cette ivresse…
Mais à présent, elle était de retour et quand elle sentit sa salive claire couler de sa bouche et de sa gorge sur ses seins saillants, elle regarda autour d’elle : à peine à deux mètres d’elle, cinq, six hommes la mataient, et plus près encore se trouvait une femme assise en tailleur, avec une robe remontée de telle sorte qu’Adeline plongeait droit dans sa chatte bombée, au-delà de deux cuisses satinées. Derrière elle, une autre femme, une main dans son short ouvert, le t-shirt retroussé jusqu’au-dessus d’une forte poitrine : Hélène ! Elle était donc bien là, comme espéré ! Quel bonheur !
Pendant qu’elle regardait autour d’elle, ma femme vit que certains des hommes avaient ouvert leur pantalon, d’autres se tenaient calmement, les mains dans les poches, pour voir comment elle reprenait son souffle avec des larmes sur les joues. Tous semblaient avoir apprécié la gorge profonde.
HotBird n’avait pas bougé et tira doucement la tête de sa partenaire vers son sexe et, sans plus de pression, elle entama une ardente fellation. Il la laissa faire et maintenant elle appréciait la taille, l’épaisseur du gland, le goût sucré, le privilège de pouvoir le sucer comme elle le désirait.
Elle et seulement elle. Les autres ne pouvaient qu’admirer et profiter du spectacle. Elle était en train d’exciter tout ce beau monde et surtout elle-même. Voir, baiser et être vue. Était-ce ça l’extase de la chair ? Du coin de l’œil, elle vit comment la femme assise par terre regardait son art de la pipe, avec des yeux écarquillés, alors qu’elle-même touchait sans vergogne son clitoris. Tandis qu’Hélène, juste derrière elle, avait laissé tomber son short et sa petite culotte de dentelle blanche, et comblait sa chatte poilue, mais joliment coupée. D’une main, elle en écartait les lèvres et deux autres doigts se démenaient dans son antre. Adeline aurait aimé lui faire un de ces cunnilingus dont elle avait le secret. Plus tard, peut-être…
HotBird laissa Adeline prendre un peu de distance et son doux gémissement le remplit de fierté. Toute gêne avait disparu : elle était là pour lui, pour elle-même et tout ce monde a raffolé du spectacle. Adeline se sentait plus confiante que jamais : HotBird en avait fait d’elle le centre du monde !
Plusieurs hommes avaient baissé leur pantalon, ou même en étaient sortis, et s’étaient relevés. La vue et le sentiment que tous ces gens s’excitaient d’elle l’émoustillaient encore plus qu’elle ne l’était déjà : elle sentit son propre jus couler de sa fente chaude, le long de ses cuisses, toujours couvertes par sa robe. Elle avait envie d’arracher ce bout de tissu pour se découvrir totalement face à ce public si attentif.
Les gémissements d’Adeline étaient maintenant plus forts, accompagnés d’un son plongeant chaque fois que sa bouche aspirée glisse sur la bite brillante de salive… ses yeux brillaient.
Lentement, elle leva les yeux, directement dans ceux gris acier de son partenaire de jeu. Des yeux qui réussirent à atteindre profondément son âme, qui lui dirent exactement ce qu’on attendait d’elle : haletante, elle se leva, se tourna vers le demi-cercle d’hommes se masturbant et remonta le bas de sa robe afin qu’ils aient tous la meilleure vue possible. Elle écarta les jambes au maximum, sa robe maintenant enroulée autour de sa taille, sa belle poitrine à la lumière du soleil, sa chatte rasée bien visible, ses lèvres intimes gonflées, rougies et brillantes de son jus. Elle tourna son regard un peu plus, jusqu’à se tenir juste devant la femme se masturbant lentement, et Hélène qui la regardait avec un sourire approbateur.
Adeline se pencha en avant, son cul délicieux en face de son amant, l’invitant à lui prendre la prune humide et gonflée et plaça ses mains sur les épaules de la femme assise. Elle sentit la chaleur de la peau, le soleil lui chauffant le dos à présent.
Elle sentit les mains de HotBird sur ses hanches, il la saisit fermement, prêt à la prendre, à la baiser… Elle attendait, impatiente.
— Aaahhhh… ! cria-t-elle brièvement alors qu’il la pénétrait comme un bélier. D’un coup profond, il la remplit et resta ainsi un moment, jusqu’à ce que ses couilles cognent la chatte. « Enfin ! », pensa-t-elle, heureuse en sentant les parois de sa chatte serrée s’habituer à cet énorme pénis qui la remplissait. Elle sentit les épaules lisses de son amie de soutien bouger lentement et réalisa qu’elle était maintenant délicieusement impliquée dans les mouvements de cette femme en train de se masturber.
Adeline n’a pas eu à réfléchir, car HotBird avait commencé à la baiser au plus profond de son ventre de femme, comme pour lui montrer que son seul souci était de la combler. Adeline entendit de petits cris rythmés et criards surgis de nulle part à chaque coup reçu, et il lui fallut un moment pour se rendre compte que c’était elle-même qui gémissait de bonheur en recevant le puissant phallus à l’intérieur de ses entrailles… Elle se tenait sur les orteils pour élever encore plus son cul particulièrement excitée, comme une chienne en désir d’accouplement.
Elle leva la tête et observa le groupe d’hommes qui se branlaient maintenant plus frénétiquement. Son regard était suffisant pour amener le premier homme au point culminant. Elle vit comment il la regardait maintenant droit dans les yeux et, en l’entendant rugir, elle vit un puissant jet de sperme balancé au soleil et atterrissant dans l’herbe, suivi de quelques vagues plus courtes. L’homme se pencha en avant, les mains sur les genoux, à bout de souffle. Ce n’est qu’à ce moment qu’elle réalisa que cet homme c’était moi, son vieux mari candauliste.
Le scénario entier était irréel. Elle se faisait baiser devant son époux de la manière la plus incroyable, comme elle n’avait jamais été baisée. Sa chatte était plus ouverte que jamais, ses seins rebondissent sous elle, elle dut se tenir sur les épaules de sa nouvelle amie pour ne pas chuter. Et dans toute cette putain de jouissance, elle remarqua les pupilles sombres de la femme s’élargir, ouvrit la bouche et elle sentit son corps trembler sous elle alors qu’elle se déchaînait. En même temps, elle entendit un autre homme, puis deux des hommes qui faisaient un grand bruit, et levant les yeux, elle vit les jets de sperme voler, lancés par des balles sous haute pression.
C’en était trop pour elle, elle perdit le contrôle : c’était un relais continu d’orgasmes, et c’était à son tour de jouir. C’était à son tour… le « tournant » de sa vie : baisée, complètement baisée, aplatie, bourrée… Elle sentait comme une traînée insoutenable dans son corps, de ses orteils, de ses racines de cheveux, jusqu’à ce que tout soit massé dans son ventre, autour de cette puissante secousse qui la traversait, elle explosa en hurlant, en gémissant, en bavant et… elle sentit des jets de fluide ruisselant le long de ses cuisses, ses cuisses tendues, tremblantes, tremblements incontrôlables, saccadés.
Mais à présent, elle se tenait mollement dans les mains de HotBird, serrées contre ses hanches alors qu’il la transperçait dans sa fente dégoulinante, ruisselante de sa jouissance… La femme assise la serra contre ses épaules, tandis que d’autres remontaient leur pantalon et s’en retournaient dans la forêt, des images plein la tête.
Pleurant de bonheur, Adeline avait reçu vague après vague de la part de son amant. Il s’éloigna d’elle, la posa avec précaution dans la mousse chaude où elle gisait, se concentrant sur la sensation que sa chatte se rétractait lentement à sa taille initiale. Elle sentit une main caressante sur ses cheveux pendant un moment, peut-être celle de la femme qui l’avait tenue.
Brusquement, Adeline se retourna sur les genoux, les épaules et le visage dans la mousse.
— Prends-moi le cul, vite ! cria-t-elle, comme si elle avait à nouveau lu les pensées cochonnes de HotBird.
Elle était déjà en train de préparer son anus en le massant de ses doigts imprégnés de sa cyprine. L’homme ne se fit évidemment pas prier, se branla pour retrouver suffisamment de vigueur et s’enfonça, étonnamment sans difficulté, dans ce magnifique cul généreusement offert. Ils ne mirent guère de temps à trouver l’orgasme ensemble, bruyant à en effrayer les oiseaux criards de la clairière.
Quand elle recouvra lentement ses esprits et ouvrit les yeux, elle s’aperçut qu’elle était seule, chaude et nue au soleil, avec des coulées desséchées sur ses cuisses lisses, sa robe toujours comme un chiffon autour de la taille. Il était assis un peu plus loin, habillé, adossé à un arbre, la regardant avec beaucoup d’admiration et de tendresse.
— Habille-toi, ma belle… tu vas prendre froid.
Elle se leva, retira et enfila sa robe jusqu’à ce qu’elle soit correctement à sa place. Il se tenait maintenant à côté d’elle, lui tendit quelques lingettes humides. Il avait même pensé à ça ! Elle s’essuya les cuisses et le suivit lorsqu’il revint dans la forêt, sur le chemin puis dans la voiture. Quelques fois, elle dut s’arrêter pour se nettoyer encore les cuisses. Il semblait qu’il n’y avait pas de limite à la quantité de sperme qui coulait de sa fente et de son rectum. Ils roulèrent silencieusement jusqu’à ce qu’il s’arrête à l’arrêt de bus. Elle regarda timidement sur le côté et le vit sourire :
— Tu as bien fait ça, tu sais, ma chérie…
Le ton de sa voix, ses mots : elle rougit, voulut répondre « Toi aussi », mais sentit soudain des papillons dans son ventre, sentit… non… non… la bouche entrouverte, l’air impuissant dans les yeux, elle se sentait… ooh… non…
Quelque chose scintilla dans les yeux de l’amant, il tendit la main et caressa doucement la joue d’Adeline. Avec un petit mouvement des sourcils, il l’invita à descendre de la Porsche. Elle sortit, jeta un dernier coup d’œil à la voiture qui s’éloignait déjà…
Lentement, elle rentra à l’appartement, ferma la porte derrière elle et s’appuya contre le mur, encore haletante. Elle sentit une goutte de liquide couler à l’intérieur de sa cuisse et l’essaya avec la dernière lingette. La preuve que c’était vraiment arrivé…
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