Bonjour à tous,
Je vais vous confier un secret de famille, relativement bien gardé ; peu de gens proches sont au courant de ce fait familial et encore moins de ce qui a pu en découler…
Un petit retour en arrière s´impose : Il y a 30 ans, ma charmante mère, à qui l´on donnerait le bon dieu sans confession, trompa mon père naïf. Il en résulta une grossesse, non désirée bien entendu. Mais l´époque étant ce qu´elle était, l´avortement ne fut pas une solution envisagée.
Mon paternel fut bien sûr rapidement au fait de cette aventure, le ventre de son épouse grossissant jour après jour malgré les précautions prises pour que cela n ´arrive pas… Il était furieux, cela va de soi, mais l´amour est ce qu´il est et la séparation ne fut aucunement à l´ordre du jour.
Cependant, l´amant de ma mère ne l´entendait pas de la même oreille : lui aussi désirait avoir un droit sur son futur enfant, la chair de sa chair, le sang de son sang. Le Bon Dieu, s´il existe, dut prendre note de la difficile situation, et fit naître deux merveilleux jumeaux, identiques en tout point.
Pendant que l´amant éleverait mon frère, mes parents (tout du moins ma mère et l´homme qui m´a éduqué, que je considérerai toujours comme mon père) me garderaient. L´honneur de ma mère serait sauf, personne ne saurait jamais que l´enfant qu´elle attendait était d´un autre et qu´elle le lui a laissé.
Les deux parties étaient donc (relativement) satisfaites.
Et en effet, j´ai grandi dans une famille aimante, qui s´est toujours efforcée de me donner ce dont j´avais besoin et de m´inculquer les valeurs qu´elle jugeait les plus correctes ou adéquates. Mon pére (celui qui m´a éduqué), m´a toujours traité comme son propre fils, et éduqué de la même manière que ses autres enfants, mes frères et soeurs.
J´avais environ 12 ou 13 ans quand j´appris toute la vérité. Assez ouvert d´esprit, ou peut-être trop jeune pour me poser beaucoup de questions, j´acceptai la chose sans trop m´émouvoir.
Ce n´est que deux ans plus tard que la curiosité vint me chatouiller et que me titilla l´idée de connaître mon frère. Je ne portais pas particulièrement d´intérêt envers mon père biologique, il était bien ancré en moi que mon véritable père était celui qui m´avait éduqué et aimé tout au long de ma courte vie.
Ma mère n´avait pas de nouvelles de mon frère et de son père depuis ma naissance, mais elle accepta de me donner le nom de son amant.
Je tardais environ deux ans à le retrouver. Il vivait à Paris et était propriétaire de plusieurs bars. Apparemment, cela allait plutòt bien pour lui.
J´avais donc 17 ans quand je pris le train pour Paris à la recherche de ma véritable identité. En vérité, je brûlais de curiosité de rencontrer ce frère né identique à moi-même.
La surprise fut de taille. Après m´être rendu jusqu´à leur résidence, une grande et belle demeure intra-muros, bien différente de la petite maison de campagne dans laquelle je vivais, je sonnais à la porte et me trouvais nez à nez avec mon double ! Enfin mon double… Disons qu´on se ressemblait beaucoup : même yeux bleux, traits de visages quasi identiques, blondeur similaire, même corpulence… Seule sa façon de s´habiller était différente : j´étais un adolescent relativement classique, lui arborait vêtements de couturier à la dernière mode, montre apparente, coiffure de play-boy…
Le choc émotionnel fut important ; nous nous sommes regardés un long moment, et il a fini par me demander qui j´étais et ce que je faisais là. Je crois qu´à ce moment précis, il devait savoir. Une telle ressemblance ne s´invente pas, nous l´avions dans le sang.
Toujours sur le pas de la porte, je lui expliquai rapidement la raison de ma venue. Lui était bouche bée, et m´écoutait sans dire mots.
C´est ainsi que je restais une semaine chez lui, que nous nous sommes connus et que j´ai rencontré mon père biologique, un homme riche et influent mais fort occupé.
Mais comme je vous l´ai déjà dit, cet homme ne m´intéressait pas vraiment, j´étais là pour connaître mon frère, Paul.
J´ai passé une semaine formidable à Paris, découvert un frère que je ne connaissais pas et son univers dont j´ignorais quasiment tout également.
Il était d´un tempérament très sociable. Alors que je déconnaissais encore presque tout de la gente féminine (j´étais encore vierge et n´avais que très peu d´expérience avec les filles), lui jonglait aisément entre les petites amies et les coups d´un soir. J´avoue qu´il m´a bluffé, et même beaucoup aidé. Grâce à lui, je me suis rendu compte que moi aussi, qui était son double, pouvait me prendre en main et vivre une vie sexuelle plus épanouie qu´elle ne l´était, ou au moins un tant soit peu active !
Nous nous sommes séparés une semaine plus tard bons amis, en se promettant que nous ne perdrions plus le contact.
Et depuis, en effet , nous sommes vus très régulièrement.
Nos premières frasques sexuelles consistèrent à échanger nos petites amies. Plusieurs fois il m´envoya satisfaire des filles dont il ne voulait plus, certaines tellement belles que je m´en souviendrai toute ma vie, et de mon côté aussi je lui proposai des rendez-vous avec mes conquêtes de l´époque.
Nous avons vécu ainsi quelques belles années avant qu´il se rende en Asie et que ce genre de contact devienne impossible. Nous ne nous voyions plus que très occasionnellement, mais nos retrouvailles étaient toujours chaleureuses, fraternelles.
Il y a quelques années j´ai quitté moi aussi la France. Direction le Pérou, pour un stage de fin d´études. Il ne m´a pas fallu longtemps pour fare d´intéressantes rencontres. Apparemment, le français est une langue très populaire au pays des Incas…
Nombres d´aventures érotiques plus tard, je rencontre Sonia, une grande brune aux cheveux frisés. Ses yeux me charmèrent à l´instant même que je les vis. Ses longues jambes et ses fesses rebondies ne me firent pas moins d´impression. Nous fimes rapidement connaissance, et entamions peu à peu une relation, quelque chose de relativement sérieux, tout du moins durable.
Nous parlions beaucoup, communiquions sur tous les sujets qui nous préoccupaient. C´était vraiement une belle relation. Elle me parlait de ses fantasmes, moi des miens, nous essayions de les concrétiser, nous avions une sexualité très épanouie.
Elle aimait le sexe autant que moi, et nous perdions des journées entières à nous faire jouir, dans la chaleur d´un lit ou l´exotisme d´une plage déserte.
J´aimais la faire jouir du bout de ma langue, chose qu´elle n´avait pas connue avant de me rencontrer (ils sont fous ces péruviens !!???), sentir le flot de son orgasme m´inonder la bouche. Elle était la première des filles que j´ai connu qui pouvait jouir telle fontaine et cette sensation exquise, ce goût divin me transportait… Je pouvais passer des heures à la faire jouir sans me soucier de mon propre pénis.
Je n´étais cependant pas en reste ; Ses lèvres pulpeuses se faisaient toujours un plaisir d´accueillir ma bite pour une fellation des plus exquises. Elle avait le don pour m´exciter : j´aimais comme elle ne me quittait pas du regard quand elle me suçait, ses mots crus, sa gourmandise quand elle engloutissait ma bite le plus profondemment possible… J´aimais cracher ma semence sur son doux visage, sur ses jolis petits seins aux tétons si pointus…
Son chatte était elle aussi un délice. Toujours parfaitement épilée, elle serrait mon sexe dans de délicieuses palpitations. Combien de fois avais-je giclé au fond d´elle alors qu´elle était secoué d´un puissant orgasme, et nous étions-nous enlacé, repus de tant de plaisir ? je ne saurais pas le dire…
Elle avait fini par m´offrir son cul, encore vierge. Les premières fois, bien que si excitantes, furent bien entendu un peu laborieuses et parfois douloureuses, mais peu à peu, nous étions devenus des experts du sexe anal, des jouisseurs du petit trou et apprécions de plus en plus cette fantaisie. C´est d´ailleurs un des mes meilleurs souvenirs sexuels : une sexcapade anale au Macchu Picchu, une des sept merveilles du monde, où nous nous sommes arrêtés un moment pour réaliser l´un de nos fantasmes. Mythique… Mais ceci est une autre histoire, que je vous raconterai sans doute prochainement.
Un soir, alors que nous buvions quelques verres (bouteilles ?) de vin, elle m´avoua l´un de ses nouveaux fantasmes : elle aimerait faire l´amour avec deux hommes. Mais elle ne pensait pas le réaliser, car me disait-elle, elle m´aimait trop et souhaiterait que le deuxième homme soit mon double parfait.
Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que je pense à mon frère. J´en profitai pour lui raconter l´histoire de ce jumeau que je n´avais connu que sur le tard.
Je voyais bien qu´elle était excitée, j´étais sûre que sa culotte devait être trempée de son excitation…
Nous nous sommes rapidement retrouvé au lit, et alors que que je la prenais en levrette, elle me demanda de lui mettre un gode dans le cul. Elle voulait s´imaginer que mon frère était avec nous, et que nous la prenions tous les deux en même temps.
Je crois que je l´ai rarement vu jouir aussi fort ; Son orgasme fut si bruyant qu´il dut réveiller tout le voisinage et le drap se souvient encore du flot de cyprine qui gicla de sa chatte en chaleur. Elle finit de me faire jouir au fond de sa gorge, pendant qu´elle continuait de se goder le petit trou. Un grand moment…
Les semaines passèrent, et cette situation tendaient à se répéter. Je la prenais de plus en plus régulièrement en double, armé de ce gode au proportions plus que généreuses. Les orgasmes à répétition que je lui provoquais me donnaient chaque jour plus envie de passer à l´étape suivante. La voir ainsi, inonder nos lieux d´amour par ses puissants jets de mouille, sentir son corps se convultionner violemment , son visage se tendre et se crisper dans un infini plaisir… C´était décidé, il était temps d´inviter mon frère.
Quelques semaines plus tard, je lui téléphonais donc. Me rendre visite lui ferait particulièrement plaisir, et que je lui donne la primeur du sexe avec ma fiancée ne gâchait en rien son plaisir, bien au contraire.
Nous nous retrouvions tous deux à l´aéroport de Lima dans de chaleureuses retrouvailles. Ma copine n´était encore au courant de rien. Je décidai de laisser à mon frère une journée de repos avant de faire sa connaissance. Nous passions la soirée dans un bar à discuter de tout et de rien, entre autre de mon plan, et je le laissais à son hôtel, un bel établissement au centre de la ville, rendez-vous pris pour le lendemain en début d´après-midi.
Je retrouvais ma belle et une fois de plus nous sommes offert une fantastique nuit d´amour, sans qu´elle ne sache nullement ce qui allait se passer le jour suivant.
Sonia travaillait toute la journée, et je lui avais dit de me retrouver à 19h00 dans un restaurant pour un diner romantique, invitation qu´elle avait bien entendu acceptée avec joie. Je passais donc l´après-midi avec paul, mon frère. Direction un sauna, histoire de nous détendre avant le moment fatidique où tous deux ferions l´amour à Sonia. J´étais si excité rien que d´y penser, et lui aussi !
Il était prévu qu´il nous attende chez moi, sur le coup des 20h00, caché dans le placard de ma chambre. J´avais déjà une partie du scénario en tête : Sonia et moi picolerions plus que de coutume au restaurant, je ferais mon possible pour l´exciter au maximum, ce qui ne devrait pas être trop difficile, et en rentrant, je lui banderai les yeux avant de la mener jusqu´à mon lit. Je le déshabillerai lentement, la toucherai, l´exciterai… avant que Paul ne fasse discrètement son entrée et que la fête puisse réellement commencer.
21h30 – Nous avons terminé le repas. Sonia est pompette. Elle est si belle et sexy quand elle est excitée… Je lui répète à quel point elle est désirable, à quel point j´ai envie d´elle, à quel point j´ai envie de la sentir jouir… Elle me répond qu´elle ne peux plus attendre, qu´elle sent son sexe couler sur sa culotte. J´en bande déjà…
Le taxi nous ramène chez moi, il est 22h05, le timing est presque parfait. J´ouvre la porte et l´embrasse fougueusement. J´avais laissé a`portée de main un bandeau de soie que je lui glisse sur les yeux. Elle perd la vue, et me répète qu´elle me veut, elle insiste en me disant que ce soir elle veut être ma chose. Je l´attrappe par la main et nous nous dirigeons vers ma chambre. Mon frère est bien là, discret. Il m´observe embrasser Sonia, glisser ma main le long de sa jambe, remonter légèrement sa jupe pour découvrir les prémisces de ses fesses rebondies… Je les attrappe plus fermement, les palpe avec ardeur. Les premiers gémissements de Sonia ne se font pas attendre. Je passe ma main sur sa culotte, elle est trempée… Je déshabille Sonia, lentement, sensuellement. A chaque vêtement que j´enlève, je concentre mes caresses sur la partie du corps que je dévêt. Elle est aux anges et se laisse complètement aller. Je quitte son soutien-gorge. Ses gros seins sont demandeurs de caresses eux-aussi. Je vois Paul sourire, il semble apprécier le spectacle. J´embrasse tendrement ces tétons durcis par le plaisir et l´excitation, ils se tendent encore. Ma langue se promène sur sa chair pendant que je retire le dernier rempart à sa nudité, son string. Elle est enfin nue, parfaitement épilée comme à son habitude. Elle a le haut des cuisses mouillé par tant d´attente, je glisse un doigt entre ses lèvres qui s´ouvrent naturellement au passage de celui-ci. Elle gémit de plus belle. Mange-moi me supplie-t-elle.
Je le fais s´allonger sur le lit et me déshabille rapidement. Je fais signe à mon frère d´en faire de même. J´attrappe Sonia par les hanches et la tire au bord du matelas. A genoux au pied du lit, je me jette dans son entrejambe. Le premier contact de ma langue lui arrache un irrésistible gémissement de plaisir. Je commence à peine mais je sens déjà ma bouche s´inonder. Ma langue se faufile entre les lèvres de son sexe ardent, il s´ouvre à moi, je m´y glisse au plus profond, la goûtant et dégustant sans limites. Son clitoris semble m´appeler ; je le caresse délicatement du bout de la langue, elle gémit, ondulant du bassin, je sens qu´elle est déjà proche du premier orgasme d´une série que j´espère la plus longue possible. Pour ne pas la presser, je le lèche doucement, prenant tout mon temps.
Ma bite est raide comme une matraque, gonflée à l´extrême. Je monte sur le lit et me positionne à califourchon au-dessus de son visage, pointant mon gland entre ses lèvres. Sans demander son reste, elle m´avale profondemment, pendant que j´entame un 69 sensuel et envoûtant. Je fais signe rapidement à Paul de s´approcher et remarque que lui aussi est au comble de l´excitation. Son sexe est dur, épais, gorgé de sang… Sonia et moi nous baisons mutuellement pendant quelques instants, et soudain je sens son corps se tendre, l´orgasme semble inévitable. D´un geste je fais signe à Paul de la pénétrer.
Mon sexe toujours dans sa bouche, je sens comme un sursaut de surprise de la part de Sonia qui ne s´attendait bien sûr pas à cette pénétration si soudaine. Mais la surprise ne bloqua pas son orgasme, bien au contraire… Une seconde passa après l´intrusion de mon frère que Sonia se tordait de plaisir, son corps tendu à l´extrême, criant son plaisir malgré ma bite solidement ancrée dans sa bouche. Paul fut éjecté de son vagin chaud et serré et reçut une douche dont il se souviendra. Sonia giclait à grand flot sur le ventre de mon frère qui n´en revenait pas. Il faut dire que je ne l´avais pas prévenu… La surprise est de taille, et sans doute très belle !
L´arrosage terminé, Paul glissa de nouveau son gland entre les lèvres détrempées et la pénétra profondemment. Le râle de plaisir de Sonia était si intense…
Elle ne put se retenir et retira aussi sec le bandeau qui obstruait sa vue. Qu´elle ne fût pas sa surprise à découvrir mon double, son fantasme assouvi… Je l´embrassai tendrement, elle me disait qu´elle m´aimait.
Elle tourna rapidement son regard vers mon frère, comme pour vérifier si tout cela était bien réel… Sa machoire était crispé, les dents serrées, elle prenait son pied à se faire prendre par mon jumeau, qui me proposa alors d´échanger nos places.
Sonia se retourna et m´offrit sa magnifique croupe. La mouille lui coulait encore entre les lèvres et ses cuisses étaient trempées. Debout au bord du lit, j´approchai mon gland de sa chatte, il fut instantanément happé par le puit d´amour de ma chérie qui poussa un sourd gémissement à se sentir de nouveau remplie.
J´entamai de lents et profonds va-et-vient, je pouvais sentir sa chatte palpiter à chaque fois que je rentrais bien au fond. Paul se plaça devant elle. Son sexe était raide, et peut-être un peu plus large que le mien. Pas assez en tout cas pour intimider Sonia qui l´attrapa dans sa bouche et lui offrit une pipe de rêve.
Sa langue était joueuse, j´entendais sa salive juter pendant que la prenais de plus en plus fort, l´attrapant fortement par les hanches. Mes coups de butoir sur sa chatte donnait le rythme à sa fellation qui se faisait de plus en plus profonde.
Tous trois gémissions comme des beaux diables, et dans un regard complice, Paul et moi-même nous donnions nos impressions : définitivement, nous passions un grand moment de sexe et de passion !
Comme pour préparer ce qui irrémédiablement aller venir ensuite, je commençai à titiller l´anus de ma belle avec mon pouce. Déjà humide de ses sécrétions vaginales, je n´eus aucun mal à l´insérer profondemment, ce qui sembla ajouter encore à son plaisir. Elle avait pris les rennes de la cadence, et d´avant en arrière, elle se baisait contre ma bite et suçai sans relache le noeud ardent qui lui était offert.
Je m´aventurai à glisser mon index et mon majeur dans son accueillant (ou « à Queue-llant » c´est selon !) trou du cul ; je ne sentais aucune résistance… Je retirai alors ma queue de son vagin et la positionnai contre son petit oeillet déjà bien ouvert. Je poussai un peu et rapidement me trouvai « au fond des choses »…
J´accélérai ma cadence, ses gémissents se firent cris de plaisir, cris de soumission. Sa bouche était déformée par le chibre de Paul et son cul était mon terrain de jeu. Elle glissa sa main entre ses cuisses et se caressa activement, sans relâche.
Il ne fallut pas longtemps pour qu´elle soit secouée par l´orgasme suivant. Son anus se serra, emprisonnant délicieusement mon sexe, ses yeux se fermèrent et un chaud liquide fut propulsé de sa chatte sur le drap. Plusieurs jets puissants vinrent asperger le tissu du lit et elle criait son plaisir sans retenue. Pauvres voisins…
Enfin, pauvres… Ils ont peut-être bien profité du spectacle son ; mais il leur manquait les images !
Elle se redressa légèrement et vint embrasser Paul, qui en profita pour caresser ses seins. Ses tétons semblaient si tendus… Un vrai délice.
Je m´allongeai alors au milieu du lit. Sonia, sans sourciller, vint se positionner sur moi et, attrapant ma queue, s´empala au plus profond. Elle profita quelques secondes, sans bouger, puis attrapa Paul par la bite. Elle le fit se positionner derrière elle. Le message était passé : Il s´approcha et tendit sa tige contre l´anus de notre poupée. Du bout des doigts, Sonia plaça délicatement le gland contre son cul. Elle le caressa doucement, puis l´attira.
Je ne bougeais pas, je profitais du spectacle de son visage excité. Sa langue sortait par moments pour humecter ses lèvres, rictus si excitant…
Elle l´attira plus profondemment en elle. Ca y est, je pouvais le sentir s´enfoncer.
A travers la fine paroi qui nous séparait, je pouvais sentir sa bite contre la mienne. J´entrepris alors de lents mouvements, et Paul m´accompagnait, essayant de suivre le même rythme. Sonia devint comme folle, submergée par le plaisir. Ses gros seins écrasés contre mon torse étaient brûlant, elle gémissait telle une truie en rut… Nous l´avons prise dans cette position pendant de longues minutes, je ne pus compter ses orgasmes… A plusieurs reprises, je fus expulsé de sa chatte par les convulsions et les jets de cyprine qui s´en écoulaient.
Nous la limions de plus en plus fort, ses trous étaient nôtres… A la demande de Sonia, nous avons tenté de pénétrer tous les deux son anus, mais nous n´y sommes pas parvenus. C´est donc dans sa chatte que nous avons pris place en même temps. Ses chairs dilatées n´opposèrent pas de résistance. Elle criait, criait…
L´excitation et le plaisir étaient à leur maximum quand soudain Paul et moi furent littéralement éjectés de son trou. Elle jouissait de nouveau… Je ne l´avais jamais vu jouir si fort : elle semblait prise de convulsions, presque épileptique… Sa chatte crachait à n´en plus finir, le drap était trempé, mon frère aussi !
Elle s´écroula contre moi, à bout de forçe.
Nous l´avons laissé reprendre ses esprits quelques minutes, nous contentant de caresser délicatement son corps, qui réagissait au moindre contact. Elle souriait, un de ces sourires qui montre le plaisir et le bien-être. Elle nous regarda et nous proposa :
– « Je vous finis avec la bouche mes amours ? »
Sans hésitation bien sûr, nous nous levions pendant qu´elle se mettait à genoux, à nos pieds. Elle nous attrapa par la bite, et commença à nous branler avec forçe. Sa bouche se promenait d´un sexe à l´autre, ainsi que son regard. Nous étions tous deux au bord d´exploser et le lui avons fait savoir. Elle accéléra encore la cadence de sa main et à quelques secondes d´intervalles nous jouissions ensemble. Notre sperme chaud vint inonder le visage et la bouche de Sonia qui continuait à nous branler, un peu moins fort et moins vite.
Après s´être assurée de nous avoir bien vidé, elle se laissa tomber, étendue sur le lit et nous dit :
– « Je vous aime ! »
Mon frère est reparti quelques jours plus tard. Entre-temps, nous avons remis le couvert une fois. Ce ne fut pas si préparé et nous n´avions pas beaucoup de temps, mais cette fois encore, elle nous montra l´étendue de ses talents de jouisseuse et de suceuse…
Un grand souvenir… dont nous aimons encore parler après tant d´années avec mon frère.
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