Chapitre 2
Le lendemain au réveil, je mets quelques minutes avant de repenser à ma conversation d’hier soir avec ce Max. C’était terriblement excitant, d’ailleurs j’ai dormi nue et plusieurs godes trainent sur le sol de ma chambre. L’idée de m’inscrire sur des sites de rencontres et de dire directement que je suis une femme enrobée me traverse l’esprit. Après tout, peut-être que quelqu’un voudra me sauter ? Quant au fantasme de l’uro, je commence seulement à le découvrir et j’aimerais pouvoir continuer d’en parler afin de me faire une idée de cette pratique.
Mais avant cela, je dois me préparer pour aller travailler, en me levant je sens que je suis encore très humide à l’entre-jambe, machinalement j’y porte ma main et commence quelques caresses qui m’apaisent. Je continue de jouer avec mon clitoris jusqu’à avoir un mini orgasme qui me fait dresser jusqu’à la pointe des pieds.
C’est en début d’après-midi que je reçois un nouveau message de Max, instinctivement je tourne un peu l’écran de mon téléphone, ne sachant pas ce qu’il pourrait y avoir de noter.
– Salut petite pute, j’espère que t’as bien dormi. J’ai pensé à toi et je bande comme un dingue maintenant.
Je frémis déjà et décide de me caler confortablement sur mon siège pour continuer la conversation :
– J’ai très envie de me faire défoncer après tout ça
– Oups ! Une petite baffe gratuite. Désolée petite pute, tu le mérite, tu comprends ? Oh, encore une fois ! Je vais me branler devant ton visage et secouer pour que tu ais toutes les dernières gouttes en claquant bien tes joues. Ça c’est de la bonne pute.
Je commence à avoir envie de me faire baiser, là maintenant sur mon bureau. J’écarte un peu les jambes, par cette chaleur je ne porte qu’une robe et un léger courant d’air vient caresser ma chatte.
– Dis-moi ce que tu voudrais faire vraiment. Le relançais-je
– Tu iras te pencher contre les toilettes et je vais te défoncer. Ça t’ira bien pour une pissotière.
– Mmm oui, tu peux me faire un bâillon avec du papier car je suis vraiment bonne qu’à ça.
– T’as raison. Tu vas quand même pas parler connasse. Façon, tu n’as rien d’intelligent à dire hein débile ? Je prends ta culotte et je la serre bien autour de ta gueule. T’es là pour prendre une queue et c’est tout. Putain là, en levrette j’ai surtout envie de bien faire onduler tes fesses en claquant fort et en poussant ta gueule dans les toilettes.
– Cette situation m’excite trop mais je ne peux pas me toucher je suis au boulot.
– Mets-toi un bic dans la chatte direct.
Je regarde autour de moi, personne. Je prendre mon plus gros feutre et l’insère sans aucune difficulté avec toute ma mouille. Ça me donne encore plus envie d’une grosse bite mais au moins ça soulage un peu
– Alors tu l’as mis salope ?
– oui.
– Imagine bien que je secoue bien ton corps à coup de bite… Putain en fait les toilettes c’est le meilleur endroit pour te baiser.
– Tu pourrais me pisser dessus pendant que tu me baises.
– Si on fait ça, je vais vraiment te défoncer de toutes mes forces, tu vas te cogner la tête contre la cuvette.
– Tu veux sentir ma pisse de chienne sur ta bite ?
– Oh ouais, surtout ne retiens rien. Lâche tout, tu sais ce qu’on dit « comme vache qui pisse ». C’est ton expression pétasse.
– Je suis ta salope de grosse vache.
– C’est ça, c’est bien connasse. Une bonne grosse truie à baiser dans les cuvettes, je te défonce tas de graisse… J’ai trop envie de tirer la chasse.
– Fais-le !
– T’es parfaite. Une superbe vache à bite
– J’ai envie de jouir à fond là, mon siège commence à être mouillé.
– Vas-y grosse truie, je t’entendre beugler comme un a****l pendant que je te baise et te crache dessus. Jouis la gueule dans la cuvette salope. Putain ce que t’es grasse ! T’as la gueule trempée de chasse d’eau haha !
– C’est si crade et si excitant !
– Je n’ai jamais rien entendu d’aussi bandant ma petite pute. Je donnerais cher pour être là.
Je me tortille sur mon siège, j’hésite franchement à aller à la toilette et à me doigter en essayant de pisser en même temps. Cependant quand je lève les yeux de mon écran, je croise le regard d’un de mes collègues et, de par sa position, semble être présent depuis déjà un bon bout de temps.
— Alors ma petite Camille, on est pas très concentrée aujourd’hui on dirait …
Marco est mon collègue mais il a un peu tendance à se prendre pour mon supérieur. il a une carrure d’armoire à glace comme on dit et depuis toujours il m’impressionne beaucoup. Il faut dire que quand on fait 1m60 comme moi, être devant quelqu’un qui fait 30 centimètres de plus ça donne toujours un frisson. Depuis que je le connais, je ne l’ai jamais vu avec une femme et il n’en parle jamais. Au bureau, les rumeurs disent que soit il enchaîne les conquêtes soit il a honte de sa compagne, sur ce coup là je me sentirais vraiment mal pour elle car je sais ce que j’ai d’être avec quelqu’un qui a honte de son partenaire. Cependant, être assise devant lui avec mon feutre dans la chatte et le fait qu’il me domine par toute sa taille, ça m’excite encore plus. Faut dire que je suis exactement à la bonne hauteur pour le sucer si seulement il n’avait pas de vêtements.
Encore dans le jeu de rôle que je viens d’écrire, je lui lance mon regard le plus coquin et lui réponds :
— J’avais des messages importants sur le fait que je ferais une bonne salope. Est ce que tu le penses aussi ?
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