Kevin est moche, mais il sait baiser et on dirait qu’il n’a pas l’intention de s’arrêter ! Je suis fatiguée, moi, j’en ai plein le cul de Kevin, au propre et au figuré. Je joue distraitement avec le petit sexe de Julien, qui bande comme un souriceau surexcité… Je me contracte pour bien serrer la bite de Kevin, afin qu’il jouisse et ça marche ! Il pousse des grognements, jouit, puis se retire. Mon anus est à nouveau violemment étiré, mais il a connu pire. Kevin me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Putain ! T’es une fameuse salope !
Dans sa bouche, c’est un compliment. Kevin c’est pas Kristos et j’en veux pas de son sperme. Je m’accroupis au-dessus de Julien en disant :
— Ouvre la bouche.
Je pousse et voilà… le sperme coule dans sa bouche. Après m’être soulagée, je demande à Kevin :
— Tu veux qu’il te nettoie avec la langue ?
Il hésite… Ça ne se fait pas dans son bled, quelque part entre Lille, Roubaix et Tourcoing. J’ajoute :
— J’ai envie de voir ça.
— D’accord.
Je regarde Julien et aussitôt, il baisse la tête et se met à lécher la grosse bite de Kevin qui est redevenue molle. C’est dégoûtant, non ? Parce qu’après tout, elle vient de sortir de mon cul. Je vérifie s’il a bien tout nettoyé…
Pour le récompenser de son obéissance, je joue avec sa petite bite jusqu’à ce qu’il jouisse. Gentil, non ?
Bon, ça, c’est fait, mais je suis collante et je ne me sens pas fraîche du tout. Je dis à Kevin :
— Je prendrais bien une douche.
— Je vais te montrer où c’est.
On repasse devant sa tante. La mère est revenue, elle nous demande :
— Alors, tout s’est bien passé ?
Kevin lève le pouce en l’air tandis que je mets une main sur mes fesses en disant :
— Oui, il est très gentil.
Elle rigole et ajoute :
— Je ne sais pas si c’est le mot qui convient
On va se doucher. L’eau n’est pas chaude, mais là aussi, j’ai connu pire : un seau avec quelques trous dans le fond, pendu à une branche et qu’on remplissait d’eau. Je suis émue de me laver la chatte pour la première fois… Mais non, pas de ma vie, depuis qu’elle est toute lisse.
En sortant de la douche des femmes, je me sens propre et encore plus nue. Il n’y a pas à dire, c’est mon truc.
On se balade dans le centre, Kevin me tient par la taille. Il est un peu encombrant et pas vraiment sexy. Heureusement, il me demande :
— On rentre dans deux jours, tu veux que j’essaye de rester ?
— Ce serait super, mais on doit rejoindre nos parents au cap d’Antibes
— On se reverra ?
— Bien sûr, je t’appellerai dès qu’on sera dans le Nord.
Deux jours, ça va. Il nous offre l’apéro : boire un pastis à poil, en public, sous le soleil, après une partie de jambes en l’air avec deux mecs, même si l’un des deux est monté comme un mulot, c’est le pied !
Le soir, on mange avec la Kevin’s family. On picole, on s’amuse. Vers 10 h, Kevin s’excuse, il a rendez-vous avec des copains. Alors ça, ça tombe bien, je n’ai aucune envie de remettre le couvert avec lui, ce soir.
Je suis fatiguée et vers 11 h, je les remercie beaucoup pour leur invitation et je leur explique :
— Demain on doit être à 9 h dans le village pour un boulot.
On va se coucher.
***
Le lendemain, je suis réveillée par Julien, qui touche mon bras. Je lui dis :
— Quoi ?
— Il est 8 h 30, Samia.
Merde ! On doit encore se laver, s’habiller, se maquiller, manger… mais non, rien de tout ça. On enfile nos sandales et on va à l’adresse que nous a donnée Monsieur Miliani. Il nous a prévenus que la plage se trouve à l’extrémité du village. Les hommes me regardent avec beaucoup d’intérêt. Heureusement que j’ai mon frère pour défendre ma vertu !
On arrive au dernier établissement de la plage. C’est pas mal du tout, il y a des matelas et des parasols comme partout, mais aussi une grande terrasse avec des tables et un bar. Derrière ce bar, il y a une grosse dame nue qui boit un café. Elle doit avoir une quarantaine d’années. Je lui dis :
— Bonjour Madame, on vient de la part de Monsieur Miliani
— Ah oui, c’est toi la petite Rom. Viens, on sera mieux sur la terrasse pour parler.
On va s’asseoir. Il y a déjà pas mal de gens, qui boivent un verre ou prennent leur petit déjeuner. Elle nous dit :
— Levez-vous, que je vous voie mieux.
On obéit et je prends la main de Julien, plus empoté que jamais. On fait quelques pas, on se retourne. Les clients nous regardent, un homme siffle et dit :
— Bellissima ! Une nouvelle serveuse, Madame Simone ?
— Peut-être.
Elle m’examine des pieds à la tête, puis passe à Julien. Quand elle voit sa petite bite, elle me dit en riant :
— C’est encore un enfant, ton frère !
— Il a 19 ans.
— Il fait 10 ans de moins ! Vous allez intéresser le photographe tous les deux. Tu as déjà été serveuse ?
— Oui, mon père a tenu un petit café. Je connais bien le travail, je suis rapide, efficace et souriante.
— Bien… Tu as l’air décidée. C’est le midi qu’on a un coup de feu. Une des serveuses nous a lâchés et c’est ma fille qui la remplace, provisoirement. Elle doit te voir aussi.
Elle crie :
— Anaïs, demande à Mademoiselle Emma de venir.
— Oui, Madame.
Une jolie brune, avec des seins en poire avec de larges aréoles foncées et une chatte bien toilettée, arrive. Elle demande :
— Quoi, M’man ?
— La petite Rom que ton oncle nous envoie.
Je lui dis « bonjour », elle répond :
— Mets-toi debout.
Décidément ! Je me lève et tourne sur moi-même. Elle fait la moue mais dit quand même :
— Mouais, pas mal… De toute façon, j’en ai marre de faire la serveuse. Si jamais mes copines de la fac me voyaient !
— Je vais la prendre à l’essai.
Manifestement, serveuse, elle ne trouve pas ça assez bien pour elle. Elle est jolie et elle a des seins… amusants, mais ça a l’air d’être une chieuse de première !
Je demande à la mère :
— Et mon frère, il pourrait travailler ici aussi ?
— Pour les photos, certainement… Il peut t’aider aussi pour le service, mais sans être payé, dans un premier temps.
Elle baisse la voix et continue :
— Par contre, je peux certainement vous trouver des gens pour des photos. Je prends 20 % de commission.
Putain, c’est énorme !
— Et si tu veux que je négocie avec le photographe, tu seras gagnante, même en me donnant 20 %. Il va arriver, alors décide-toi.
Je dois réfléchir à sa proposition, demander d’autres avis… ou alors, foncer comme je fais toujours. Je tends la main en disant :
— D’accord.
Elle tape sur ma paume. Voilà, on a fait un deal, j’ai un agent. Ça va trop vite pour Julien, il pose la main sur mon bras en disant :
— Tu ne crois pas que….
Je lui coupe la parole :
— Quand les grandes personnes parlent, tu te tais. Compris ?
— Oui, pardon Samia.
— Va mettre tes pieds dans l’eau. Je t’appellerai quand on aura besoin de toi.
— Oui, Samia.
Il se lève et se dirige vers la mer. Sur ses fesses, je distingue encore un peu la marque laissée par les cordes. Notre petit numéro fait rire Madame Simone, la serveuse et les clients proches. Elle me dit :
— Dis donc, tu le mènes à la baguette, ton frère.
— C’est ce qu’il lui faut, à ce petit trouillard.
— Tu veux boire quelque chose en attendant Monsieur Jo ?
— Oh oui, volontiers. On n’a pas eu le temps de prendre un petit déjeuner.
Elle crie :
— Anaïs, viens prendre une commande.
— Oui Madame, j’arrive
Anaïs est une jolie brune, certainement une fille de la région. Elle est en uniforme, mais à la mode naturiste : une ceinture avec un porte-monnaie sur le ventre, une casquette américaine et des baskets. C’est mignon. Elle me demande :
— Que désirez-vous ?
— Deux cafés, s’il vous plaît.
Madame Simone ajoute :
— Et apporte des croissants.
— Merci, c’est gentil. Dites, votre fille est très jolie, elle ne fait pas de photos ?
— Oh non, elle est en histoire de l’art à Aix-en-Provence. Elle ne se montrera jamais nue dans une revue.
Elle se lève et joute :
— N’oublie pas ton frère.
Ah, oui je l’avais effectivement oublié ! Il regarde par ici, les pieds dans l’eau. Je lui fais signe de venir.
Anaïs revient avec un plateau. Je la regarde plus attentivement. Elle a une chevelure noire nouée en queue de cheval, normal pour une serveuse. Elle a aussi de grands yeux et un petit nez. Je regarde sa chatte toute nue, toute douce, sûrement. Elle me fait un grand sourire et retourne dans le bar en balançant ses fesses. Julien revient timidement s’asseoir. Je mange un croissant. Il me regarde, je fais un petit signe de tête et il commence à manger aussi. Qu’est-ce qu’il est déjà bien dressé !
Anaïs est jolie et sympa, l’autre, Emma, a l’air d’une vraie garce. On vient de finir de manger, quand le photographe arrive. C’est un homme d’une quarantaine avec un bedon de bon vivant et un nez rouge de buveur de « môminettes » (des petits pastis). Il embrasse Madame Simone. On se lève pour le saluer. Il nous dit :
— Bonjour les enfants. Miliani a l’œil : je cherche justement un petit couple de votre style.
À suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici (sans dessous) : [email protected]
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