Très souvent, je vais me faire doigter le cul par Mme Rosina.
Ce n’est pas cher, c’est bon.
C’est elle qui m’a dépucelé du cul avec ses doigts.
Cette dame joviale à la figure ronde et souriante, plutôt courtaude, avec des cheveux blonds frisés et de gros seins qui tombent, est la ma querelle d’un petit salon situé dans un immeuble vétuste.
Elle se balade souvent toute nue dans son établissement, constitué de 2 chambres pour les passes, et d’un lieu d’habitation séparé par un rideau fait de petites boules en bois.
Je n’avais jamais compris quel avantage on pouvait bien trouver à se laisser introduire quelque chose dans l’anus. j’étais resté crispé à toutes les tentatives de mes copines, à mes propres expériences, aux putes qui voulaient m’enfoncer des godes.
Assise sur le lit avec ses gros nichons comme des pastèques, Rosina avait fait cela très doucement, avec son doigt, peu à peu, tout en discutant.
Je lui demande quelles sont les nouvelles filles.
-Il y a Sofia, toute jeune, avec des petits seins pointus..très gentille, très salope, dit Rosina tranquillement, comme si elle parlait de ses fromages ou de ses poissons.
Elle me branle avec de l’huile.
-Et la dame que j’ai croisée, tout à l’heure, avec les lunettes?
-Margarita? Elle vient les lundi et les mercredi. Tu peux venir mercredi, elle sera là. Très bonne cochonne. Pour 50 francs de plus, tu peux l’enculer.
-Elle me lècherait les couilles?
Rosina introduit une phalange dans mon cul, et me masse circulairement.
-Branle-toi, me conseille-t-elle. oui, tu peux faire avec les deux, Sofia et Margarita. Deux bonnes salopes.
Plusieurs fois, j’avais profité des tarifs amicaux de Mme Rosina pour me faire lécher les burnes par deux petites putes, qui me léchouillaient mes boules, joue contre joue, pendant ma pause de midi.
Après être resté sérieux toute la matinée avec des étudiantes, j’en avais deux toutes semblables, à peine plus exotiques, qui n’utilisaient leur langue que pour me faire jouir, comme deux petites chattes devant une assiette de lait.
Rosina replie son doigt en forme de crochet, et fait pression contre ma prostate.
Les premières fois, la sensation me surprenait, une certaine tension se mêlait à mon plaisir. Maintenant, je me laisse aller, soulevé comme si j’étais monté dans les airs, suspendu par un harnais à une machinerie de théâtre, pour faire semblant de voler. Sauf que là, je sentais que tout ma zone génitale bénéficiait d’une cinquième vitesse, d’un nouveau turbo, qui rendait la montée du sperme presque facultative.
J’ai envie de dire plein de cochonneries, pour intéresser mon enculeuse.
Je lui parle souvent de Brigitte, en rappelant bien son âge avancé, de sa petit chatte rasée, de son air distingué dans son habit de cuir, de sa langue de pute sur mon anus, de ses jets qui bondissent sur ma poitrine dans la baignoire, quand elle se laisse aller en écartant les lèvres de sa vieille chatte.
-Tu n’as pas de vieilles dames dans tes connaissances qui voudraient d’une belle bite comme la mienne? Ou qui voudraient se lâcher en se retrouvant avec une bite entre les lèvres, à sucer comme des salopes?
Hélas non, Rosina ne pouvait me proposer qu’une ancienne collègue, avec laquelle elle entretenait une complicité amicale. Les deux putes avaient souvent travaillé en duo, elles avaient du traire des kilomètres de bites.
Parfois, elle me recommande une de ses nouvelles pensionnaires.
-Quelle bite magnifique! Tu devrais essayer Manuela.
-elle est comment, Manuela?
Tout en continuant à me trouer le cul, elle lance d’une voix tunitruante: Manuela, Manuela…et quelques mots en espagnol.
La porte s’ouvre, une jolie brune apparaît. Sans être étonnée, elle baisse les yeux vers ma queue tendue.Nous nous saluons.
Nous nous faisons la bise, elle s’assied sur le bord du lit.
-Allez, vas-y, m’encourage Rosina.
-oui, je vais jouir. Appuie très fort, continue, continue.
Mon foutre jaillit, plus abondant, plus blanc que d’habitude, comme du lait condensé. Manuela me sourit.
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