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VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (4)

VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (4)



Vendredi.
Ils se réveillèrent tard ce jour là, ce fût Damien qui émergea le premier, il s’étira puis réalisant ou il était, il se jetât sur les seins de sa mère pour la téter, ce qui ne manqua pas de la réveiller à son tour. « -Hummm, Oui c’est bon tète maman, tète moi les nichons comme quand tu étais un bébé, j’adore ça. » gémit Elisabeth en lui caressant la nuque.
« -Je vais te téter une autre chose que tu adores maman. » et aussitôt il plongea entre ses cuisses pour lui brouter la foune. Quand elle fut bien trempée il remonta le long de son corps en la couvrant de baisers, lui lécha le nombril et les seins au passage et arrivé à son visage il se planta ardemment en elle.
« -Prends moi mon chéri, mon amour, prends ta femme, baise ta mère, baise moi. »
« -T’aime ça te faire baiser par moi, hein, t’aime que ton fils te baise ! «
« -Oui j’aime ça, baise moi Damien, défonce moi la chatte avec ta grosse queue, défonce moi ! »
« -Haaaaaaaaaa, elle est bonne ta chatte maman, bien mouillée et bien chaude pour ma grosse bite. Elle est plus grosse que celle de mon enculé de père hein, dis le moi ! »
« -Oh mon chéri, ton père n’était qu’un misérable nain face à toi. Ta bite est bien plus grande et plus grosse que la sienne, il ne m’as jamais fait jouir avec son minuscule instrument comme tu le fais avec ton énorme engin mon amour. Vas y explose moi la fente, ramone moi la chatte avec ton monstrueux gourdin, ridiculise ton minable géniteur.»
« -Ouai, je le savais que c’était un naze au pieu, il ne te méritait pas cette raclure. Mais moi je suis ton homme maintenant et je sais comment te traiter. »
« -C’est vrai, tu sais comment me traiter mon chéri ? »
« -Parfaitement, tu es à moi, tu es ma femme maintenant, toi ma propre mère i****tueuse et soumise. Tu es ma femelle, ma pute personnelle. Je sais comment te baiser pour te faire jouir, tu es une chienne en chaleur toujours prête à écarter les cuisses pour son mâle. »
« -C’est vrai, c’est ce que je suis mon chéri, une sale chienne en rut, une salope perverse et indécente, une putain i****tueuse amoureuse de son unique fils. Haaaaaaaa, continue bourre-moi le vagin avec ton énorme pieu ! Tu es mon mâle, tu es mon maître, je suis à toi !»
« -Haaaaaaaaaaa, maman c’est bon, tu es une vraie cochonne, une truie qui aime se faire démonter le cul maman, une garce immonde qui baise son fils. Sale chienne lèche moi. » Elisabeth se mit à lui lécher les tétons en sueurs puis le dessous des bras au goût acre. « -Si je le pouvais chéri, je te lécherai le cul, je laperai ton fion puant. » A ses mots infâmes Damien éjacula monstrueusement dans son vagin.
Quelque minutes plus tard Elisabeth se rendit à la salle de bain en se disant quelle avait été sotte d’attendre si longtemps de se donner à son fils tant elle jouissait avec lui, tellement elle en ressentait un si extrême plaisir physique et mental. Elle s’assit sur la cuvette des wc et commença à uriner, Damien arriva, par réflexe elle serra les jambes, il s’immobilisa alors devant elle et lui ordonna : « -Ecarte tes cuisses, je veux te voir pisser maman. » Incrédule, elle le regarda avec des yeux ronds, mais obéit tout de même à son étrange demande. « -Ca te plaît de me voir faire pipi ? »
« -Ouai, écarte plus. » Elisabeth s’exécuta écartant ses jambes au maximum. « Comme ça mon amour ? »
« -Très bien. » approuva t’il en s’approchant, et sous le regard désarçonné de sa mère il immergea deux doigts sous son jet d’urine puis les porta à sa bouche pour les goûter. « – Délicieux ! » commenta-t-il. Il renouvela l’opération, mais cette fois-ci il les lui présenta devant sa bouche. Elisabeth totalement déconcertée et un peu dégoûtée lui adressa un regard implorant.
« -Allez chienne, suce mes doigts nettoie les de ta pisse. » Voila, c’est ce qu’elle cherchait, qu’il s’émancipe et s’affirme, qu’il la traite comme sa chose, l’excitation naquit aussitôt. Elle sortit sa langue, lécha puis suça ses doigts au goût répugnant. « -C’est bien, mais comme tu n’as pas obéie assez vite, je vais devoir te punir, esclave. »
« -Oui maître, pardon maître. »
Damien pris en main son pénis et le pointa entre ses cuisses. Un jaillissement jaunâtre passa entre sa chatte et la cuvette et s’immergea au fond de la chiotte. Il le fit remonter lentement pour l’atteindre au sexe. « -Oh mon dieu. » furent les seuls mots qu’elle put prononcer. Il lui urina sur la chatte quelque instant affichant un sourire satisfait puis continua à élever paisiblement son déversement de pisse sur son corps jusqu’à atteindre ses seins ou il finit de se soulager. Tout le buste d’Elisabeth ruisselait de l’ondée dorée qu’elle avait reçue, l’écoulement aboutissait entre ses cuisses et perlait de sa chatte au fond de la cuvette. Son fils lui présenta son chibre et elle le prit en bouche pour le sucer, elle y retrouva les saveurs mêlées d’urine, de sperme et de ses propres sécrétions le long de sa tige. Elle lui astiqua la queue avec minutie et il rebanda rapidement, alors il se retira. « – Met toi à quatre pattes, je vais te baiser en levrette. » Elisabeth se leva, se retourna et se mit dans la position que son fils souhaitait, lui présentant sa croupe, le visage en face du trône. Il l’enfila aussitôt et la lima brutalement. « – Tu es une vraie chienne bien obéissante. Tu mérite un deuxième collier, passe toi l’abattant autour du cou esclave. » Elisabeth exécuta cet ordre dégradant sans broncher, au comble de la félicité. Affublée de ce lourd ornement elle courba la tête et s’imprégna visuellement et olfactivement des rejets qu’ils avaient communément répandus dans cet endroit. Il la baisa en lui malaxant les nichons, en lui pinçant rudement les tétons, en lui frappant les fesses et en les lui écartant pour mater son fion. Il finit par lui tâter l’anus avant d’y enfoncer un doigt, puis deux, à ce moment il éjacula en elle pour la deuxième fois de la matinée. Il retira les doigts de son fion et lui passa sous le nez.
« -Sens l’odeur de ton cul, ça te plaît ? » Elle huma les exhalaisons s**tologiques et fit la grimace.
« -C’est sur ça sent pas la rose, bon maintenant vas préparer le petit-déjeuner, je crève la dalle. »
« -Oui mon chéri, j’y vais tout de suite. »
Le petit déjeuner englouti, Damien étrenna ses nouveaux jeux, tandis que sa mère après avoir pris une bonne douche s’en alla faire des courses au super marché. Une fois revenue, elle s’afféra à préparer le repas, saucisses, purée comme l’avait demandé son fils. La table était mise et elle mettait une noix de beurre, sa touche finale à la purée de pomme de terre, quand Damien survint. Il aimait la surprendre par derrière, il lui avait empoigné les seins et couvrait son cou de baisers brûlants.
« -Je t’aime maman. » lui proclama t’il en passant une main sous sa robe, elle avait suivit ses ordres et ne portait pas de culotte, ainsi il atteignit directement son sexe de ses doigts intrusifs. Il la masturba un peu, lui soustrayant des gémissements veules. Subitement il lui enjoignit de se retourner, il déboutonna sa robe qui en s’ouvrant dévoila une route de chair. Elle partait de son cou, passant entre les deux collines intérieures de ses seins, descendant sur son ventre plat ou seul son nombril tel un rond point émergeait pour déboucher sur son abricot luisant au fin duvet, destination finale de son attention. Il l’allongea sur la table et lui lécha longuement le sexe, remonta pour explorer son nombril, poursuivit en dévoilant totalement sa poitrine afin de la téter tel un bébé assoiffé puis atteint son but en plongeant sa langue dans sa bouche. Après l’avoir longuement embrassé, il se releva et la contempla, allongée et offerte. Il attrapa la cuillère en bois du plat de purée et en versa le contenu sur le ventre de sa mère, il répéta l’opération plusieurs fois, lui en recouvrant les seins et l’abdomen. Elisabeth le dévisagea dévorer la purée sur elle, fascinée par son esprit créatif et lubrique. Damien plongea sa main dans le plat et la porta à sa bouche pour la nourrir, elle absorba ce qu’il lui présentait, puis il le fit avec sa bouche, lui donnant la béquée, leurs langues nageant à l’encontre l’une de l’autre dans un océan de mousseline tiède. Il fit de même avec les saucisses, chacun ayant un bout en bouche, rejoignant leurs lèvres en la mangeant. Il la fit boire de même, par sa bouche, puis il s’empara d’une banane, redescendit le long de son anatomie maculée de purée et présenta le fruit à sa fente. Il planta la banane dans son abricot humide et l’y remua d’avant en arrière. « -Tu aimes ça maman, te faire baiser par une banane ? »
« -J’aime tout ce que tu me fais Damien, c’est si inattendu, si original, si dépravé et si bon. »
« -Tu aimes quand c’est bien cochon et dégueulasse, hein maman. Tu aimes quand je te fourre la chatte et le cul, dit le grosse salope. » Grogna t’il en se saisissant le la cuillère de bois et en lui fichant le manche dans le rectum.
« -Haaaaaaaaaaaaaaa, Damien, oui c’est bon, oui je suis une salope, ta salope et j’aime que tu fourres des choses dans mes orifices, c’est bon, continu, mes trous t’appartiennent fais en ce que bon te semble mon amour. » Hurla Elisabeth qui jusqu’alors n’avait jamais été attirée par la chose anale, mais qui y trouvait soudain de délicieuses sensations. Damien continua à remuer ses deux ustensiles dans les ouvertures de sa mère jusqu’à ce que le fruit commence à se détériorer, il le retira pour lui enfoncer dans la bouche, baissa son pantalon et la pénétra, le bout de bois toujours fiché dans son rectum. Il la besogna sur la table au milieu du capharnaüm qui c’était établi, il reprit la banane, la pela, en enfourna une partie dans la bouche de sa mère et étala le reste en bouillie sur sa poitrine. Il se vautra sur elle, la limant de puissants coups tout en dégustant dans sa bouche ce qu’il y avait introduit. Ils avaient avalé le fruit et s’embrassaient passionnément dans cette orgie sexuelle et gastronomique, Elisabeth avait jouit déjà plusieurs fois quand Damien se retira pour éjaculer sur sa panse. Il se vautra de nouveau sur elle, écrasant entre leurs corps en sueurs, les purées végétales et organiques.
Le soir ils se couchèrent ensemble et firent l’amour tendrement, elle aimait ce mélange d’affection et d’autorité, cet alternativement d’humiliation et d’amour, ce subtil panachage de v******e et de douceur. Elisabeth se sentait heureuse et comblée.
Samedi.
Elisabeth se réveilla et constata qu’elle était seule dans son lit, elle se leva et dans la tenue d’Eve s’enquit de trouver son amant. Elle le découvrit dans sa chambre, nu devant son ordinateur en train de scruter un site pornographique. « -Tu te lasses déjà de moi mon amour ? » l’interrogea t’elle amusée.
« -Pas du tout maman, mais j’ai plein d’autres fantasmes en tête et je voulais justement t’en montrer un. » dit il en désignant l’écran. Elisabeth comprit que son fils n’avait dorénavant plus aucune pudeur envers elle, qu’il n’hésitait plus à lui faire partager ses pulsions, à lui dévoiler et sans doute à lui imposer toutes ses envies, même les plus dépravées et les plus sombres, elle s’en réjouit. Elle regarda l’écran et vit deux femmes en train de s’embrasser, un peu plus bas sur une autre image elles se léchaient la chatte en soixante-neuf.
« -Tu as envie de voir deux femmes faire l’amour Damien ? »
« -En fait, j’ai envie de te voir faire l’amour avec une autre femme, puis de vous baiser en même temps. »
« -Tu sais que l’on ne doit parler à personne de ce que nous faisons, sinon ce sera très grave pour moi, pour nous. » protesta vivement Elisabeth dans un début de panique.
« -Je sais bien maman, ne t’inquiète pas, je voulais juste te montrer un truc qui m’excite depuis longtemps, qu’est-ce que tu en pense ? » Elle se rassura, il gardait tout de même un sens des réalités, celles du monde extérieur, les plus essentielles au demeurant. Elle inspira profondément avant de répondre.
« -Hé bien, je dois dire que je n’avais jamais songé à ça, sans doute parce que je n’ai jamais été attirée par une femme, mais bon les vérités d’hier ne sont plus celles d’aujourd’hui, n’est-ce pas? »
« -C’est indéniable, beaucoup de choses ont changé en peu de temps et tu me surprends un peu plus chaque jour. »
« -C’est réciproque mon chéri et j’en suis vraiment heureuse. »
« -Voilà pourquoi je te parle de ça, tu sembles maintenant ouverte à tout, prête à tenter de nouvelles expériences. »
« -Tu as raison, je me découvre régulièrement de nouvelles envies, des choses auxquelles je n’avais encore jamais songé. »
« -Alors ? »
« -Alors, effectivement comme ça, d’un premier abord, ça a l’air… intéressant. »
« -Tu veux dire que si l’occasion se présentait tu ne dirais pas non. »
« -Disons que, dans des conditions disons virtuelles ou l’on ne risquerait absolument rien, si une femme voulait faire l’amour avec moi devant toi, je le ferais. »
« -C’est vrai ? »
« -Bien sur, tu sais que si tu me l’ordonnes, j’obéis à tout. »
« -Oui, mais est-ce que cela te plairais ? »
« -En tous cas l’idée ne me dégoûte pas, va savoir, je suis peut être bisexuelle. »
« -Ca serai super ! » s’exclama Damien rêveur.
« -Humm, je sens que tout cela t’a bien excité mon chéri et j’ai moi aussi un petit fantasme à te faire partager. »
« -Ha oui, c’est quoi maman ? »
« -Hé bien, tu te rappelles l’autre jour, quand tu m’as baisée sur la table au déjeuner, tu avais enfoncé un objet dans mon petit trou. »
« -La cuillère en bois. »
« -Tout à fait et cela m’a beaucoup plus. Vois-tu, comme pour beaucoup d’autres choses c’était nouveau pour moi, je ne me suis jamais faite pénétrer par là, mais j’ais trouvé cette sensation vraiment très agréable. Alors si tu le veux bien je souhaiterais t’offrir la seule virginité qui me reste, ma virginité anale. »
« -Tu veux que je t’encule maman ? » Demanda crûment Damien.
« -Oui, j’ai envie que tu me sodomise.»
« -Ouhaaa, c’est dingue, je suis heureux que jamais personne ne t’ai prise par derrière et que ce soit moi le premier qui le fasse. En plus c’est un truc que je voulais bientôt essayer. »
« -Dans ce cas je suis doublement heureuse de te livrer le dépucelage de mon cul mon chéri. »
« -Bien, mais tu dois quand même me le demander correctement esclave. »
« – Je vous en supplie mon maître, prenez moi par le cul, enculez moi, possédez moi par tous mes orifices. »
« – Voila qui est mieux, je trouve que c’est encore plus excitant quand tu me proposes des trucs sexuels de cette façon maman. »
« -Mmm, je vois, je tacherai de quémander de nouveaux sévisses à mon maître dans ce cas. En attendant sache que tu peux disposer de ma porte arrière dès que tu le souhaiteras. »
« Je vais le faire tout de suite, tu me fais bander comme un taureau depuis tout à l’heure. »
« – J’en suis ravie mon chéri, vas y prend mon trou du cul, il est à toi. » conjura Elisabeth en se retournant pour se mettre à quatre pattes. Damien contempla son adorable croupe et positionna son chibre devant son anus, mais hésita ayant un instant de réflexion.
« -Si tu ne l’as jamais fait, il faut que je te prépare un peu sinon tu vas vraiment souffrir, je l’ai lu sur internet. Je vais d’abord te baiser en t’enfilant quelques doigts dans ton petit trou, comme ça sa sera plus facile après. » Dit il en exécutant son commentaire.
« -Fais comme cela te semble le mieux chéri. » Elle était déjà abondamment mouillée et alors qu’il la baisait en levrette, il utilisa ses sécrétions pour s’imbiber les doigts avant de les lui fourrer dans le rectum. Quand il put introduire deux doigts avec facilité sous les gémissements réjouis de sa mère il décida que le moment était venu.
« -Je vais te sodomiser maintenant. »
« Oui, fait le, déflore moi l’anus, prend moi par le cul mon chéri, sodomise moi, encule moi. » en prononçant ces mots, Elisabeth apposa son buste sur le lit, ce lit qu’elle lui avait acheté à l’âge de cinq ans, elle allongea ses bras vers l’arrière, agrippa ses fesses et tira dessus. Elle les écarta au maximum pour lui exposer indécemment son rectum qui s’entrouvrait. Il appliqua sa pine imbibée de jus contre ce petit orifice brun. Le bout de son gland, l’urètre, accolé à l’interstice anal y ressentit une infime brise.
« – Accomplissez ma supplique maître, enculez moi. » Une main tenant fermement son pénis, l’autre apposé au sommet de son postérieur, le pouce calé dans sa raie, il poussa ses reins en avant et pénétra lentement son rectum. Elisabeth hurla de douleur.
« -HAAAAAAAA, mon dieu, tu me déchires en deux. »
« -Tu veux que j’arrête ? » S’enquit Damien anxieux.
« -Non, continu mon chéri, je veux que tu le fasses, ça va aller. » Rassuré, mais avec précaution Damien accentua sa progression dans l’intestin de sa mère. Quand sa bite y fut à demi immergée il s’arrêta pour que son anus s’y acclimate, elle apprécia ce répit. Au bout d’un moment Elisabeth articula : « -Vas y tu peux continuer, ça va mieux. » Damien repris sa progression et s’enfonça en elle jusqu’à la garde, fit une nouvelle pose, puis commença à lentement effectuer de petits va et vient, sous les plaintes sourdes de sa mère. Elisabeth avait mal, mais ressentait aussi un mince plaisir, puis peu à peu, les sensations s’inversèrent et la douleur finit par totalement disparaitre. Il ne resta alors que la volupté de se faire sodomiser par son fils. « -C’est bon maintenant, ça me fait du bien tu peux y aller franchement. »
« -Tu es sure, ça va ? »
« -Oui, vas y, encule moi, bourre moi le fion. »
« -C’est vraiment ce que tu veux ? Tu n’as pas peur d’avoir mal ? »
« -Non et ne te soucie pas de moi, vas y sans retenue, parce que j’ai vraiment envie de me faire défoncer le cul. »
« -D’accord, je vais te donner ce que tu veux maman chérie. Je vais te péter la rondelle, c’est ça que tu veux hein ? Des gros coups de bite dans ton cul de salope ! »
« -Oh oui, c’est ça, plus fort, plus profond, encule moi jusqu’au fond, rentre tes boules dans mon cul, fends moi en deux avec ton énorme pieux. »
« -Haaaaaaaaaa, oui, c’est bon, je t’éclate le trou du cul maman, t’es qu’une salope qui aime se faire enfiler par derrière, une grosse salope qui donne son cul à son fils. »
« -Oui, je te donne mon cul, baise mon cul, baise le cul de ta mère. Dis moi que ça te plait de me planter ta grosse bite dans le fion, hein tu l’aimes mon cul mon amour ? »
« Oui je l’aime ton cul maman, Ahhhhh, c’est le meilleur cul au monde. »
Elle pivota pour l’embrasser, se contorsionna pour passer sa main sur sa nuque et dans ses cheveux. Il saisit un de ses seins, lui malaxa et pinça son téton. De l’autre main il caressa son ventre puis descendit entre ses cuisses pour caresser sa chatte, il titilla son clitoris avant d’enfouir son majeur dans sa vulve trempée. Elle décolla ses lèvres des siennes pour lui demander :
« Dis le moi encore, dis moi que t’aime ça, hein t’aime me sodomiser, t’aime enculer ta putain de mère mon bébé ? »
« -J’adore ça maman, c’est trop bon de t’enculer. » Grogna Damien qui la pilonnait comme un forcené en s’agrippant à ses hanches charnues. « -Haaaaaaaaaaa, je vais jouir, je vais jouir dans ton cul de pute, maman. »
« – Vas-y mon chéri, remplis moi les boyaux de ton foutre bien chaud. » Miaula-t-elle en se redressant. Il lui administra encore une dizaine de vigoureux va et vient puis son sperme se déversa au fond des viscères de sa mère. Alors qu’il lui emplissait le derche, elle jouit elle-même d’une façon puissante et primitive qu’il lui était jusque là inconnue. Ils unirent leurs lèvres fiévreuses, au bout d’un moment son sexe amollis n’eut aucun mal à s’extraire de l’orifice rectal maternel, elle le regarda avec amour et lui murmura : « Je t’aime Damien mon chéri, merci d’avoir exaucé mon vœu. » Et aussitôt elle s’agenouilla devant lui pour prendre en bouche ce pénis qui sortait tout juste de son cul afin de le débarrasser de toutes ses souillures.
Ils étaient toujours nus se repaissant de leurs corps tout en prenant leur petit déjeuner, Elisabeth sur sa chaise ressentait une douleur diffuse provenant de son dépucelage. « -Merci de m’avoir enculé Damien, j’en avais très envie et ça m’as beaucoup plus. »
« -Tu n’as pas eu trop mal ? »
« -Un peu au début, mais ça a vite passé finalement. »
« -Quand on le refera ça te fera moins mal, c’est au premier coup que c’est le plus difficile. »
« -Sans doute, mais on va attendre un peu avant de recommencer, je sens quand même que mon anus est un peu traumatisé. »
« -Bien sûr, tu me diras quand tu te sentiras prête à recommencer. »
« -Et à toi ça t’as plu ? »
« -J’ai adoré, rien que d’y repenser ça me fait bander. »
« -Voyons ça. » Dit sa mère en allongeant les jambes sous la table pour emprisonner sa queue entre ses pieds. « -Effectivement tu es de nouveau d’attaque, ça te dirais de rajouter un peu de crème dans mon café ? »

Ils passèrent la journée à la maison, Elisabeth faisant le ménage et Damien entretenant l’extérieur.
Alors qu’elle passait l’aspirateur dans la chambre de son fils, elle l’aperçut par la fenêtre en train de tondre la pelouse, torse nu et souriant. Elle sentit des picotements dans le ventre, son fils, son homme la rendait heureuse, amoureuse. Que d’événements en si peu de temps, elle se remémora cette folle semaine qui avait commencée par la découverte de sa culotte ici même, dans le lit de son fils. Elle sentit que celle qu’elle portait était trempée rien qu’à la résurgence de ses événements. Il lui avait interdit d’en mettre à la maison mais pour faire le ménage elle préférait en porter une, question d’hygiène. Elle ouvrit la fenêtre, attira son attention par un signe et quand il la vit, elle releva lentement sa robe, enleva sa culotte et la lui jeta. Damien la ramassa et la porta à son visage.
Le soir pour le récompenser de son dur labeur et pour sortir un peu de la maison, elle l’invita au restaurant. Ils venaient tout juste de commander quand Damien lui demanda.
« -Tu a mis une culotte pour venir ici ? »
« -Oui, bien sur, tu m’as seulement interdit d’en porter à la maison. » répondit Elisabeth en faisant attention de ne pas parler trop fort.
« -Un ordre auquel tu as désobéi sciemment, tu me l’a même fait remarquer avec provocation cette après-midi. »
« -C’est juste que ça me dérangeai de faire le ménage sans, je trouvais ça pas très propre. Tu sais bien que si je te l’ai montrée, c’était pour t’allumer un peu, pour te rappeler comment tout a commencé avec la culotte que j’avais trouvé dans ta chambre, c’était… une sorte de clin d’œil. »
« -Ca je l’avais bien compris maman chérie, mais si tu veux porter une culotte pour les taches ménagères tu dois me demander l’autorisation avant, maintenant je dois te punir pour ça. »
« -Pardon, mon maitre, ça ne se reproduira plus. »
« -J’y compte bien, maintenant enlève ta culotte. »
« -Quoi, ici, maintenant ? »
« Oui et dépêche toi. »
« -Mais tu es fou, si quelqu’un me vois. »
« – Fais-le. »
« -Je t’en supplie Damien, tu sais bien que nos jeux doivent rester à la maison, c’est trop dangereux de faire ça à l’extérieur, surtout dans un lieu public. » Implora Elisabeth qui se devait de raisonner son fils, bien qu’elle commence à bizarrement, trouver la situation très excitante.
« – Je suis ton maitre et tu exécutes mes ordres sinon je me lève et je dis à qui veux l’entendre que je couche avec toi. »
« -Non ne fais pas ça, excuse moi mon chéri. Je vais faire tout ce que tu veux. » Conjura t’elle en se demandant si son fils irait jusqu’au bout de son chantage. Elle accepte avec un effroi et paradoxalement avec une délectation toute aussi grande, de se risquer à sa demande.
« -Alors enlève immédiatement cette culotte. »
« -Oui, je suis à tes ordres mon maitre. » dit Elisabeth en s’exécutant le plus discrètement possible. Après quelques tortillements plus ou moins subtil, elle parvint à ôter son sous vêtement. « Voilà, c’est fait mon maitre. »
« -Je suis très mécontent, tu ne dois plus jamais contester mes ordres. »
« -Pardonne moi, cela ne se reproduira plus. »
« -Bien, passe là moi. »
Elisabeth avança son bras sur la table en serrant dans son poing le morceau de tissu. « -Tiens. » Souffla-t-elle en baissant les yeux de peur de voir quelqu’un les surprendre. Damien s’en empara, il fit comme si il s’essuyait avec une serviette et comme à son accoutumée la porta à son nez pour l’humer. Tout à coup il fit intentionnellement tomber une fourchette et prétextant de la ramasser, se glissa subrepticement sous la table. Sa mère médusée et paniquée le sentit se glisser entre ses cuisses, elle les écarta tremblantes de peur et d’excitation. Elle sentit le bout de sa langue fureter les poils de sa chatte, elle avança ses fesses au bord de la chaise pour lui offrir un meilleur accès à son inimitée. Il la lécha longuement et délicieusement, elle retenait désespérément ses gémissements pour ne pas attirer l’attention. Elle crut défaillir quand le garçon servit l’entrée tandis que son fils continuait à lui brouter le minou. Elle goûtait avec extase cette terrible situation, la peur d’être découvert décuplant le plaisir. Il s’arrêta alors qu’elle était au bord de la jouissance et il reprit sa place à table. Ils mangèrent en se dévorant des yeux, cette mise en bouche ayant provoqué en Elisabeth un appétit féroce et inassouvi. Le serveur apporta la carte des desserts, ils commandèrent et dès qu’il fut parti, Damien ordonna à sa mère : « – Rejoins moi aux toilettes des hommes j’ai envie de te baiser. » Elisabeth surexcitée et prête à tous les risques accepta sans broncher. Damien lui fit signe de rentrer une fois qu’un vieux monsieur en fut sorti et elle se précipita dans un compartiment, il l’y rejoignit aussitôt. Ils s’embrassèrent fougueusement, elle déboutonna son pantalon, releva sa jupe et il la pénétra sans ménagement. Il la baisa avec fougue et furie, emplis de la peur et de l’excitation d’être surpris ou dérangés. Ils jouirent rapidement l’un et l’autre l’exprimant par des râles bestiaux qu’ils durent étouffer quand quelqu’un entra. Il répandait son jus en elle alors qu’un inconnu urinait à quelques pas. Quand il fut parti, ils s’embrassèrent éperdument puis rajustèrent leurs tenues et regagnèrent leur table ou le dessert était servis.
De retour chez eux, ils se glissèrent au lit, Damien avait en main la culotte de sa mère. « -Dis moi, tu ne serais pas un peu fétichiste avec mes culottes. »
« -Peut être, c’est vrai, mais ce qui me plait la dedans, c’est ton odeur de femme, l’odeur de ta chatte. »
« -Hummm, cette odeur je la produis encore plus quand je mouille en pensant à toi, à ta grosse queue bien dure que j’imagine en moi en train de me ramoner. »
« -Tu es une vraie chienne en chaleur maman, avoue que ça t’a plu ce soir au restaurant. »
« -Tu ne peux pas savoir à quel point Damien. Je suis si contente que tu sois mon maitre, si heureuse de me soumettre à tes désirs et j’ai compris ce soir que toi seul sait ce qui est bon pour moi. Je suis chanceuse d’être ton esclave. »
« -C’est parfaitement vrai, et tu ne me contrediras plus jamais ! »
« -Plus jamais mon amour, je te le jure, j’obéirais instantanément à tous tes ordres dorénavant. »
« -Bien, je te pardonne pour cette fois-ci. Je comprends que tu ais eu peur, mais c’est ce qui était le plus excitant. »
« -C’est vrai que j’ai énormément apprécié cette touche de danger, c’était incroyable. Au début ton initiative m’a plongée… dans la détresse, j’étais effrayée et pourtant très excitée aussi. J’étais en totale perdition, mais ton pouvoir sur moi m’a fait lâcher prise et quand je me suis finalement soumise, c’était si délicieux mon amour. Tu contrôlais la situation si admirablement, avec une telle confiance, c’était terrifiant et enivrant tout à la fois. Je t’aime mon chéri, je suis heureuse d’être ton esclave soumise, ta chienne. Tu peux tout me demander et j’obéirai, promet moi seulement de ne pas nous démasquer.»
« -C’est promis maman, je ne veux surtout pas te perdre et je ne ferais jamais rien qui menace notre secret. »
« -J’en suis sure mon amour. » Lui susurra Elisabeth en l’embrassant et maintenant prend moi, fais moi l’amour mon chéri. »

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