Je ne cherchais rien de particulier. Je suis heureuse en ménage, mon mari comble tous mes désirs, et Dieu sait que j’en ai. C’est la visite de sa sœur qui a tout fichu en l’air. Elle était pour quelques jours chez nous. Je l’avais logée dans une chambre, de l’autre coté de la maison.
Tout est arrivé un après midi. Normalement elle faisait une petite sieste. J’entrais chez elle sur la pointe de pieds à la recherche d’une rechange de serviette. J’ai eu un coup au cœur quand je l’ai vue. Elle était nue, ce qui peut être normal.
Ces mains étaient sur sa chatte, ce qui l’est moins. Je restais immobilisée à la regarder. Ses cuisses écartées montrait ce que normalement je cache : elle se faisait du bien.
C’est une chose qui m’arrive souvent, le matin surtout en me levant. La tentation peut être me laisse admirer ses gestes. C’était surtout la première fois que je voyais une autre fille se faire du bien. Je fermais la porte, je m’y appuyais rien que pour la regarder. Je sentais mon minou se mouiller, malgré cela, j’admirais ses gestes. Je me sentais obligée de soulever ma robe, d’exposer mon sexe. Je restais un instant ainsi, immobilisée, incapable de faire autre chose.
Elle eu un geste, comme une invite, ou tout au moins je le prenais pour tel. Je glissais un doigt, ce n’est pas beaucoup dans ma fente. J’y glissais directement vers le bas.
Elle ne m’avait même pas vue. Elle continuais sa masturbation. Je commençais la mienne. Je fermais les yeux de plaisir. Je les ouvrais quand je l’entendais m’inviter à venir la caresser.
J’avoue être dans un tunnel sombre. Sa voie seule me guidait vers son corps. Ma main sentait sa chaleur quand j’étais de plus en plus près. Je crois m’être réveillée quand ma main était tout près de sa chatte, sur sa cuisse.
Elle me regardait, suppliante. Je retournais ma main, la paume vers ses jambes. Je crois me souvenir que j’ai caressé sa fourrure. Je devais trop tarder, elle dirigeait mes doigts vers son intimité. Elle y était plus douce que moi.
C’est elle qui introduisait mes doigts en elle. Il a fallut que je pose mes lèvres aussi. Je sentais son odeur féminine, son goût mus**t. Le pire était qu’une main ,venait sur mon crane pour y appuyer. Mes lèvres entouraient un petit bouton souple. Je l’aspirais machinalement, le bout de ma langue le léchait.
Elle m’attirait vers sa bouche. J’oubliais son sexe pour ses lèvres. Elles étaent des plus douces que j’avais embrasée. Sa langue cherchait la mienne : je le lui donnais. Ma main revenait sur son sexe. Elle commençait une caresse meilleure encore que celles que je pouvais me faire ou que mon mec me fait.
Je sentais ses doigts glisser sur ton mon sexe, comme à la recherche de quelque chose que je ne connaissais pas. Elle allait même tout en bas, sur le cul. Je ne savais pas d’où elle connaissait mon goût pour cet endroit. Toujours été-il qu’elle m’envoyait au ciel. Le pire est qu’elle continuait sur mon cul. Elle y entrait deux doigts profonds. C’était délicieux, mais moins bon qu’avec une vrai pine.
Je lui donnais le gode que j’avais, dont mon mari se servait pour me faire jouir. Coquine comme elle est, elle en avait une autre : le sien.
J’aurais bien voulu le lui prendre pour la baiser moi aussi. Elle ne voulait pas me le prêter.
Elle commençait à me baiser dans les règles ou presque entre femmes. Elle savait bien donner du plaisir, jusqu’au bout. J’avais un orgasme rare avec cette fille. J’hurlais bon bonheur. Elle
continuait toujours cette baise insensée. Enfin elle mettait le dernier gode pile dans mon petit
trou.
Une fille me fait une double pénétration : le bonheur intégral. J’aurais pu de rien faire : ma
bouche devait servir à la lécher.
J’adore le jus des filles quand elle jouissent.
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