Lors d’une randonnée, je découverte derrière une haie un vieux manoir. Son aspect austère fait penser aux films d’horreurs, style Dracula ou Hamityville. J’en ai presque la chaire de poule. Mais, comme d’habitude, la curiosité l’emporte. Cette bâtisse ne m’inspire pas vraiment confiance. En m’approchant, des images de bacchanales et d’orgies me traversent l’esprit.
En avançant, il me semble entendre des voix. Je traverse des fourrés et des ronces m’égratignent. Je serre les dents pour ne par crier et me faire remarquer. Arrivée sur le côté du bâtiment, j’entends plus distinctement les voix. Il me semble qu’il y a plusieurs hommes et une femme. Je décide de pousser la lourde porte qui se met à grincer pour entrer dans ce lieux étrange. Dans ce hall, j’entends des gémissements féminins qui viennent d’une au fond. J’hésite, regarde autour de moi et avance à pas de chat vers cette porte. Des images folles continuent à me tarabuster dans ma tête. Ce qui n’est fait pour me rassurer. Mais il faut que j’en ai le cœur net et tente de voir ce qui se passe dans cette pièce.
La petite porte n’est heureusement pas fermée. Je jette un œil par l’embrasure pour découvrir une scène incroyable. Une femme est assailit par plusieurs hommes qui la baise par tout les trous.
Je sursaute quand j’entends une forte voix lancer :
« Silence ! On tourne ! »
Intriguée, j’entrouvre un peu plus cette porte et découvre qu’il s’agit d’un tournage porno. En retrait derrière l’équipe de tournage, je suis fascinée par la scène qui se déroule devant moi. Les acteurs se donnent à fond et l’actrice semble y prendre un réel plaisir. Je sens que ma chatte est open et se met à suinter. Des fourmillements bien connu me parcourent le bas ventre.
Soudain, le regard de l’actrice accroche le mien. Le metteur en scène voyant la réaction de l’actrice se léve et crie :
« COUPEZ ! » Tout en se retournant vers moi. Mécontent de ma présence importune, le réalisateur s’avance, d’un air couroucé et me lance :
« D’où tu sors, toi ?Qu’est-ce que tu fous là ? »
J’ai la trouille et bégaye une excuse :
« Je… désolée… Je …Je passais par là et j’ai entendu des bruit bizares. Je m’en vais. J’vais pas vous déranger plus ! J’étais juste curieuse !»
« Mais on s’en fout de ton explication de merde ! Tu m’a fait louper ma prise petite conne ! »
L’actrice s’approche alors et prend ma défense :
« Attends, c’est pas méchant ! Et puis tu l’as ta prise ! Elle voulait juste regarder. D’ailleurs, il semble que ça lui plaisait… »
L’actrice s’agenouille devant moi et descend mon short jusqu’aux chevilles. Elle me fait écarter les cuisses et se met, devant le réalisateur, les acteurs et toute l’équipe de tournage, à. Me faire une minette.
Les gémissements que je pousse sous cette douce caresse semble émouvoir le réalisateur qui me dit :
« Heu, bon… Pour ta peine, tu vas devoir remplacer gratuitement une actrice absente. Entre deux gémissements, je remercie le réalisateur. Et pour prouver ma reconnaissance, je me penche, ouvre sa braguette et extirpe son engin pour le sucer.
L’actrice tout en me léchant la chatte me met un doigt dans le cul. Mais le réalisateur, habitué de ce genre de débordement redevient très pro et s’adressant à moi, il me dit :
« Comment t’appele-tu ? »
« Michèle Monsieur ! »
« Ok Michèle ! Mon assistant va te fournir le script des scènes pour que tu ‘en imprègnes. »
Sa bite dans la bouche, je marmonne une sorte d’approbation.
Soudain, le réalisateur dit :
« Bon ! C’est pas tout ça, mais on a du boulot ! »
Il sort son sexe de ma bouche et l’actrice quitte ma chatte. Je suis un peu frustrés car je n’ai pas joui. Je me redresse au côté de l’actrice et le réalisateur se met à s’astiquer devant nos visages. Rapidement il nous éjacule dessus en nous arrosant à tour de rôle de son sperme chaud. Par habitude sans doute, L’actrice reprend en bouche la chose gluante et ramolissante pour le nettoyer.
Alors qu’il se rhabille, il nous demande :
« Vous avez joui toute les deux ? »
« Non ! Tu ne nous en as pas laissé le temps ! »
Un acteur se rapproche de nous en disant au réalisateur :
« Moi aussi, je crois qu’elle a du potentiel celle-là ! »
Sa partenaire se moque de lui :
« Toi, tant qu’il y a un cul, une chatte et deux nichons, tu trouveras toujours du potentiel aux filles ! »
Tout le monde éclate de rire.
Un assistant me donne le script.
« Tiens Michèle ! Voici le script. N’hésite pas à te faire aider ! »
Regardant un des acteur, je lui demande :
« J’y comprends rien ! Tu peux m’aider ? »
« Ha je ne sais pas trop ! C’est du boulot et comme tu sais, toute peine mérite salaire ! »
Je baisse la tête d’un air de chatte battue en lui disant :
« Mais que veux-tu en échange ? Moi je travaille gratos ici ! »
Il me sourit moqueur en me répondant :
« Rien que tu ne sache pas faire…Tu me suces la queue pendant que je te présente les scènes. »
Je suis soulagée et c’est avec joie que je me met à le sucer.
L’acteur habitué des fellation reste stoïque en résumant la première scène :
« Vêtue d’une robe transparente, un black lui arrache ses vêtement et la prend brutalement par le cul. »
En entendant ça, je retire sa queue de ma bouche et lui dis :
« Mais je n’aime pas la sodo ? »
« He bien il faudra bien que tu y passes ! C’est dans le scénar ! »
Puis je reprends ma fellation en me demandant si j’avais bien fait de venir ici. L’acteur continue sa lecture :
« Deuxième scène ! Tu traverse une forêt tropicale sous la pluie. Tu es nue. A l’aide d’un coupe-coupe tu fait ton passage au milieu d’une végétation dense. Tu tombe nez à nez avec un homme nu armé d’une lance. Troisième scène, tu t’enfuis poursuivie par un sauvage et te retrouve acculée à une rivière. »
L’acteur ne se déconcentre pas même si jje lui fais une gorge profonde.
L’acteur résume la quatrième scène :
« La scène de la traversée du cimetière. Tu dois traverser un cimetière de nuit dans ta robe diaphane. Tu es abordée par plusieurs autochtones qui abusent de toi. »
L’acteur s’interrompt un instant pour me dire :
« J’vais jouir ! »
Il se retire de ma bouche juste avant de commencer à éjaculer. Son sperme vient s’écraser sur mon menton et mes seins.
« He bien, merci pour tous ces résumés. Chaque scène est intéressante mais pas facile à jouer. »
Il me sourit et me dit :
« En tout cas, pour une amatrice, tu suces admirablement bien. »
Je rougis légérement à ce compliment et lui met un petit coup de langue sur le gland.
Le réalisateur me voit arriver, nue, et me sourit :
« Ho toi tu as sucé Max ! Je suis désolé, on n’a même pas un peignoir à te prêter… ! »
« C’est pas grave ! »
« Tu as lu les scénarios ? »
« Oui Monsieur mais je ne suis pas certaine d’être à la hauteur surtout pour les sodomies et les doubles pénétrations ! »
« Oui certainement ! Mais c’est un passage obligé si je puis dire ! »
« Oui je comprends Monsieur ! Mais, puis-je vous poser des questions ? »
« Oui bien sûr ! »
« Mais, heu… Les scènes les plus hard par exemple…. Heu c’est du cinéma…. C’est simuler ce genre de chose ? Je veux dire, ce sont des acteurs, ils font semblant, non ? »
« Alors là ma petite, t’es pas dans le monde des Bisounours ! Moi ! J’exige de vrais pénétrations, de vrais orgasmes et de vrais éjaculations de mes acteurs. Tu n’y couperas pas. Est-ce que ça te pose un problème ? »
« Ben … Heu….Je sais pas…Enfin …Heu… Non Monsieur ! »
Le réalisateur me sourit :
« A la bonheur ! »
« Mais Monsieur, ce qui me fait peur c’est de ne pas être à la hauteur ! »
« Il le faudra ! Mais ne t’inquiète pas, mes acteurs sont des pros et personne n’a jamais besoin de simuler son plaisir avec eux. Bien commençons par la scène de la forêt vierge. Allez tout le monde en place ! »
Je suis très excitée à l’idée de jouer la scène de la traversée de la forêt. Une habilleuse me revêt d’une robe blanche et on m’asperge d’eau pour qu’elle devienne Transparente.
La robe me colle à la peau et je commence à évoluer dans cette forêt. A force de me frotter aux grandes feuilles, je me rends compte que mes seins sortent du décolleté.
Je sais que dans le script, je vais faire la rencontre d’un sauvage. Mais pour ménager la surprise, on ne m’a pas dit à quel moment. Tout à coup, j’aperçois la silhouette d’un homme nu qui passe à quelques dizaines de mètres de moi. Pour passer des buissons, j’abandonne ma robe afin de ne pas risquer de la déchirer.
Alors que je m’apprête à repartir, je me rends compte que l’homme à la lance se trouve devant moi et m’observe. Dans ma nudité, je suis gênée. Le sauvage grogne en continuant de m’observer. Son regard se dirige surtout ver mes seins lourds et ma croupe. C’est alors que je remarque la forte érection du sauvage. Comme l’homme émet un nouveau grognement et s’approche, je prend peur. Je suis idiote car c’est du cinéma. Mais je suis tellement immergée dans le film que je prend ça pour de la réalité. Je lui dit alors en levant mon coupe-coupe :
« N’approchez pas ! Je suis armée ! »
Mais le sauvage approche cependant, dirigeant la pointe de sa lance vers moi. Je suis paniquée alors que l’homme brandit sa lance.
Il me pousse à terre, me désarme et dans une dernière tentative, j’essaye de lui donner un coup dans les couilles. Mais l’homme, évite mon pied de justesse et me saisit la cheville. Se ruant sur moi, d’un coup de rein, je sens sa queue noueuse s’enfoncer dans mon vagin jusqu’à la garde. Immobilisée par la force de cet homme, son sexe m’empale et me remplit complètement. Plus je tente de me dégager, plus l’homme resserre son étreinte. La bite du sauvage est trop bien plantée en moi. Il entame de vas et viens brutaux. Je me mets rapidement à gémir sous cet assaut.
Laura sent que son orgasme n’est plus loin. La princesse a été terrassée par le sauvage. Lui aussi semble proche de l’éjaculation. Il relâche la princesse. Laura sent alors l’orgasme l’envahir, en même temps que l’homme s’immobilise et, la queue profondément enfoncée en elle, se met à éjaculer abondamment en couvrant les gémissements de plaisir de la princesse par ses râles de mâle.
Alors que je suis totalement immergé dans cette histoire et que j’ai complètement oublié les caméra. J’entends le réalisateur crier :
« Coupez ! »
Cette intervention coupe la montée de mon orgasme et un peu hagarde, je regarde autour de moi les techniciens qui s’affairent. L’acteur, très macho, me donne une claque au fesses en me disant :
« T’es bonne pour une amatrice ! Mais tu paye rien pour attendre ! »
Dans l’aprés midi, vient le moment où dans une scéne je dois être agressée et prise dans une tournante. J’appréhende cette scéne où je vais me prendre une double pénétration. Surtout que la sodo n’est pas mon truc. Mais je vais essayer de me comporter comme une vraie actrice de porno. Voilà, tout le monde est prêt et le réalisateur lance un tonitruant :
« CA TOURNE !!!! »
Je suis à quatre pattes et les acteurs se mettent à l’œuvre. Pour les pipes c’est du bonheur. Un premier me prend par la chatte nickel, j’adore ça.Je suce les bites à tour de rôle tout en me faisant défoncer le vagin.
Peu à peu, je me met à onduler du bassin et commence à me cambrer pour monter et descendre sur le sexe qui lme baise. Après quelques minutes, je sens un gland se poser sur ma rosette. Il pousse et je crois que je vais être ouverte en deux. La douleur est intense mais je joue le jeux.
Le garçon qui enfonce lentement son sexe dans mon cul rigole de me voir aussi crispée. A peine suis-je remise de mes émotions que celui dont j’avais interrompu la fellation me fourre à nouveau le sexe dans la bouche pour m’empêcher de crier
.
Les trois garçons me baisent ainsi les trois orifices encore quelques minutes. Celui qui est dessous me soulève et se dégage et les trois acteurs viennent éjaculer au dessus de mon visage. Une longue traînée de sperme coule entre mes seins. J’ai mal au cul mais je suis contente d’avoir réussi la scéne.
Le réalisateur crie :
« Coupez !!!! C’est dans la boite !!! »
Je me relève et très galant les mecs m’accompagnent à la douche. L’un deux m’aide même à me laver.
Le réalisateur entre dans la salle de bain et me dit, en me voyant me faire savonner par l’un des acteur :
« Tu es généreuse. Tu remercie toujours tout le monde avec ton cul ? »
« Non enfin ! Mais là c’est spécial ! »
Le réalisateur s’approche de moi et tire la serviette pour me voir nue. Tout en me caressant un sein il me dit :
« Et moi, j’ai pas le droit à quelque chose ? »
Je suis impressionnée par cet homme. Le souffle court, je lui réponds :
« Je… heu… que vous voulez…vous que que je vous fasse ? »
Il sourit devant mes hésitations et me dit :
« J’ai envie de te bouffer la chatte ! »
J’écarte alors les jambes pour lui permettre de me lécher la moule.
Le réalisateur reprend avant de se mettre à l’œuvre :
« Mais ce n’est qu’une mise en bouche ! »
Il a une expérience certaine dans ce domaine et rapidement je me mets à gémir et couler sous sa langue. Puis il me met à quatre pattes et me prend dans une délicieuse levrette. Je gémis et sens mon plaisir monter. Tout à coup, la porte s’ouvre. Cinq gars de l’équipe de tournage entrent. A demi-consciente dans mon orgasme naissant, j’entends des commentaires :
« Bon dieu ! C’est une vraie nympho cette fille ! »
« C’est une chance d’avoir déniché cette salope ! »
« He boss ! faut lui faire un contrat, elle est douée ! »
« Oui avec une cinglée du sexe comme elle on va se faire des couilles en or ! »
Alors que le réalisateur continue de me prendre en levrette, des mains viennent explorer mes seins. Le réalisateur crois me rassurer en me disant :
« Tu vas Toute l’équipe a besoin de se détendre un peu, n’est-ce pas ? »
Je n’ai pas le temps de réagir que déjà un technicien vient me fourrer sa queue dans la bouche.
Comme une automate, je me met à le sucer. Je suis dans un tel état d’excitation que je les laisse faire de moi ce qu’ils souhaitent. Maintenant que mon cul est presque rodé, je ne me rebelle pas quand le réalisateur s’engage dans mon anus pour me sodomiser.
Je me met à crier mon plaisir. Toujours planté en moi, je suis submergée par un terrible orgasme. Un technicien en profite pour me prendre en double par la chatte.
Dans un état de transe, les deux hommes se vider en moi, inondant mes entrailles de leur chaude semence. Ensuite, les autres se lâche et je ne suis plus qu’un réceptacle à sperme.
Je reprends une bonne douche sous l’œil souriant du réalisateur qui me dit :
« Merci, tu es si sexy qu’on avait envie de profiter un peu de toi tant que tu étais là. »
Jouant à la fille prude, je lui réponds espiégle :
« Profiter de la faiblesse d’une femme, ce n’est pas très glorieux. »
Le réalisateur rigole et me demande :
« C’est pas faut ! Mais tu n’as pas caché ton plaisir en criant ta jouissance ! »
Je lui souris en disant :
« Evidemment ! Je pense que ça se voyait et que ça s’entendait ! »
« Nous ne t’aurions pas utilisé, si on n’avait pas senti que tu étais d’accord. »
« Bon, en attendant, je dois rentrer chez moi. »
« Tu veux que je t’y dépose ? »
« Oui merci ! Avec plaisir ! »
Durant le trajet, il me demande :
« Alors Michèle ? Qu’as-tu pensé de cette petite expérience de tournage porno ? »
« J’ai vraiment adoré. »
« Et bien si tu veux je te recontacterai ! Tu es bonne ! »
Quand il se gare chez moi, je lui souris et me penche pour lui faire une pipe en disant :
« C’est pour payer la course. »
Pendant que je le suce, il en profite pour me caresser les seins.
Je l’amène rapidement à l’éjaculation. Gardant mes lèvres ventousées à son gland, je laisse son sperme envahir ma bouche et j’avale toute sa semence jusqu’à la dernière goutte.
Quand je me redresse, je lui dis souriante :
« Voilà, monsieur le chauffeur, j’ai payé la course ! »
« Largement, petite salope ! »
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