Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe noir Histoires de sexe soeur

Tableau Tableau VII

Tableau Tableau VII



Tableau VII
J’ai parmi mes amis un anthropologue, disciple de Jacobus Sutor, spécialisé dans les dernières tribus d’Afrique noire.
Lorsque je lui rends visite nous avons instaurés comme rituel, une étrange séance de psychanalyse, ou celui qui est allongé, moi, sur le sofa colonial se masturbe tandis que celui qui parle, mon ami, relate diverses coutumes exotiques, fruits de recherches scientifiques.
Aujourd’hui, alors que je me défroque sur le cannage rêche et sous le regard sorcier des masques exposés aux murs, il m’annonce qu’il va m’exposer l’histoire d’une tribu méconnue, les Kimbandas, dont il a eut le privilège d’observer le fonctionnement dans sa jeunesse.
Cette tribu a pour particularité, me dit-il, de n’être strictement composé que d’hommes. Aucune femme n’est admise dans leur rang et le problème de la reproduction est réglé par un rapt régulier de jeunes adolescents dans les tribus voisines.
Aucun de ces hommes ne fou jamais en con une femelle, et pour cause l’idée même les répugneraient autant que de culbuter la charogne d’une hyène.
Ces hommes n’ont évidement pas fait vœu de chasteté et c’est dans une pratique sociale et ritualisé de la sodomie que leur sexualité s’épanouit.
La notion de couple n’existe pas et l’acte sexuel se perpétue quotidiennement en communauté avant l’instant du repas.
La hiérarchie s’instaure naturellement par l’âge, le plus âgé sodomisant le plus jeune. Ainsi fait le doyen de la tribu, étant condamné à n’être plus jamais sodomisé, reçoit en contrepartie le statut de grand sorcier.
Les plus jeunes sont enculés par toute la tribu et doivent attendre l’arrivée de nouveaux adolescents plus jeunes pour à leur tour pouvoir faire usage de leur verge.
A cette occasion, à lieu un rituel de passage dans l’âge adulte nécessitant divers actes de modifications corporelles. Leur verge à l’aide d’un silex est alors finement scarifiée de motifs tribaux, de longues lignes ondulantes courent ainsi du pubis jusqu’à la base du gland. Ce dernier est de même cruellement entaillé de symboles magiques.
Le rituel, détail non négligeable, exige que la verge reste en érection tout du long de la douloureuse cérémonie. Dans le cas contraire, l’adolescent à la verge flasque, jugé indigne et impropre à foutre, est castré sur le champ. Le vieux chef cautérise alors la plaie d’un charbon ardent, puis mange l’organe.
Le pauvre mutilé est alors rejeté dans sa tribu d’origine, ou sans statut, interdit de chasse car privé de verge, il reste oisif, tel un kitesha castré, avec les femmes ou bien souvent il se retrouve spectateur impuissant de leur jeux érotiques.

Échaudé par ce récit, une fièvre commençait à faire perler la sueur à mon front. Voyant mon bras s’activer convulsivement, mon ami érudit, à la vu de ces signes annonçant l’apothéose, me dit de me modéré et repris son récit sur le ton nouveau de la confidence.
Sa voix alors, muée en un timbre feutré, me relata les expériences, dépassant le cadre distant de l’observation scientifique, qu’il avait eut avec cette tribu.
Alors qu’il était jeune doctorant, à peine âgée d’une vingtaine d’années et n’ayant en Europe, foutu à l’occasion que quelques filles de joies et profité de quelques belles indigènes à Tanger, il n’avait encore eut aucune expérience sodomite. Mais l’étude assidue de cette tribu, me dit-il, lui avait comme décapsulé la fiole d’un poison naissant à ses désirs.
Il me confia que ses nuits sur place avaient très vite été entrecoupés de violentes érections qu’il ne pouvait soulagé qu’en ce remémorant la vue de ses corps guerriers, arborant leur massifs zobs ciselés et s’emboitant au ras du brasier nocturne.
Une nuit, un des jeunes adolescents avec qui il partageait la hutte, le surpris la verge à la main. Intrigué par l’exotisme de ce gland rose, ce jeune noir imberbe, c’était joint à l’activité et de fil en aiguille c’était retrouvé sodomisant mon ami l’anthropologue.
Les cris de jouissance de ce dernier, attirèrent rapidement l’attention des Kimbandas, qui déboulèrent dans la hutte et mirent immédiatement fin à cette scène d’interdit en égorgent le pauvre adolescent qui n’eut même pas le temps de se retirer et dont les hanches s’activaient encore tout contre mon ami.
Le péché est chez l’homme, quelque soit le temps et l’espace, une source d’exercice des excès, soit dans sa pratique, soit dans la répression de celle-ci.

Alors que j’allais éjaculer, le vieil anthropologue, me coupe dans mes élans et pour la première fois déboutonne son pantalon golf écru pour en sortir sa queue colonialiste.
A mon grand étonnement elle présente les même motifs scarifiés qu’il venait de me décrire.
Il m’éclaire alors en expliquant qu’après avoir égorgé l’apprenti sodomite, les Kimbandas l’intégrèrent à leur société. Ainsi tel un nouveau venu, il fût sodomisé pendant six mois par toute la tribu qui comptait une cinquantaine d’homme. Leurs membres larges lui firent vivre le martyr pendant plusieurs semaines mais il prît rapidement goût à la chose et apprit même à apprécier les effets générés par les profondes cicatrices de leur queue. Les motifs n’étaient pas que symboliques, ils exerçaient un véritable effet sensitif variant en fonction des motifs incisés.
Un jour, me confia-il, un groupe d’homme revint avec de nouveaux adolescents, il comprit qu’il allait devoir subir la dangereuse cérémonie.
Il fût le soir même présenté nu au vieux sorcier.
Il se souvient des flammes dansant sur les chants incantatoires et tandis qu’un préposé à la sodomie l’emmanchait la bite enduite d’un onguent psychotrope, le vieux entamait la délicate scarification de son membre dressé en une périlleuse érection.
Sang, souffrances atroces, vertiges.
A peine masqué par la drogue, le délire sût lier la douleur au plaisir et lorsque que le silex achevait d’inciser un cercle autour du méat, celui ci crachât une séries de salves blanches qui vinrent, mêlées de sang, balafrer le visage buriné du vieillard.
Ce dernier mis en transe par cette giclée, se jeta sur un des adolescents ramené du matin, lui enfonça une mixture du pulpe d’agrumes dans l’anus et y força à la suite la pinne sanguinolente de mon ami.
L’acidité brûlant les plaies, la douleur fût mystique et les yeux révulsés ce fût une seconde salve qui inonda le dépucelage du jeune noir avant qu’il ne sombre inanimé dans une longue léthargie.

La magnifique érection que lui avait provoqué son propre récit, me permis d’admirer sur la verge de mon ami la finesse des motifs incisés qui en faisait une œuvre d’art vivante.

Comme de coutume il me tandis une pipe et nous fumâmes un peu de Rachacha.
Mis sous ce voile opiacé, mes sens se troublent et le récit que vient de me faire mon ami se mêle à mes propres projections.
Des visages masques grimacent à mon cœur tambour. Effilés, immenses et d’une implacable symétrie ils m’encerclent et s’abattent sur moi. Leurs langues sont des pinnes qui traversent mon regard, ma bouche et mon cul.
Duels de queues tintant un requiem d’ébène.
Un serpent ondule sur une pinne totem et en mord le gland.
Mon feu sort et caresse les idoles qui se brisent comme un orgasme sans cri.

De tout cela, qu’est ce qui fût vrai et qu’est ce qui ne le fût pas ? Peu importe, laissons la quête de la vérité à ceux qui prétendent ne jamais mentir.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire